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Temps de lecture estimé : 7 mn
28/06/15
Résumé:  Comment j'ai découvert à plus de trente ans les plaisirs de la sodomie.
Critères:  hh grossexe travail collection hsoumis hsodo init confession
Auteur : Mich0186  (Un homme normal ouvert à toutes les voies du plaisir.)      
Sodomie : initiation et addiction

J’ai toujours eu la tentation d’essayer la sodomie. Comme pour beaucoup, le premier essai fut avec des bougies, des carottes ; intéressant : la sensation que quelque chose était possible.

L’ayant pratiquée avec plusieurs copines qui ne semblaient pas trop s’en plaindre, donc l’idée me prit d’essayer en vrai.

En vrai : oui, vrai de vrai.


Ma première rencontre fut sur Paris. Intimidé, il était jeune, beau, absolument gay ; et moi, hétéro, marié, je fus un peu désorienté par ce contact. Néanmoins j’ai accepté d’aller chez lui.

Là, j’avais amené une bouteille de whisky pour décontracter l’atmosphère, et surtout me décontracter moi. S’ensuit une longue discussion ; c’était surtout lui qui parlait, du monde homosexuel sur Paris, des clubs, etc. Intéressant, mais je n’étais pas vraiment preneur.


Au fil de la discussion, on a fini par se toucher un peu, puis beaucoup, et finalement j’ai demandé comment on fait.



Chose faite, pas de préparation. En fait, un tout petit sexe ; j’ai eu mal, mais pas de trop. Je l’ai senti ; il est sorti, revenu, et c’était fini.

À peine le temps de se retourner, il me dit :



Je me suis retrouvé dans la rue, à la fois me disant « Ça, c’est fait ; mais bon, j’avais eu le fantasme d’autre chose. »


Les choses en sont restées là, mais l’envie est revenue quelques mois plus tard. Après bien des recherches, j’obtiens un rendez-vous dans la banlieue Est de Paris dans une rue, près d’une cabine téléphonique. Coup de chance, je peux me garer pas trop loin.

L’heure passe. Alors que je suis en train de penser à un lapin, un monsieur très bien habillé, très classe, d’un certain âge, les cheveux tout blancs, toque à ma fenêtre :



En moi-même, je me dis « Il est vraiment vieux ; mais bon, tu as voulu, alors on y va. » Je le suis dans une ruelle en me demandant bien où il m’emmène ; en fait, il ouvre une porte métallique et on entre dans une usine ressemblant à une usine de nettoyage de linge.



S’ensuit un dédale de couloirs, et on arrive dans son bureau. Il s’installe dans son fauteuil, me regarde d’un air autoritaire, et finalement baisse son pantalon jusqu’aux genoux.



Le ton est ferme, digne d’un patron qui a habitude de donner des ordres.

Je n’ai jamais sucé d’hommes. Je m’approche.



Son sexe est tout mou. Je le prends en bouche ; il a un goût de savon : il a dû se laver avant. Je suce comme je peux ; comme il est mou, dès que je recule la tête, il m’échappe. Je le reprends.



Finalement il me prend la tête avec les deux mains et me l’appuie sur son sexe ; je sens que cela commence à grossir. Il soupire, et cela grossit, grossit, encore et encore. Finalement, je l’ai au fond de la gorge, je hoquète ; sans ménagement, il me secoue la tête avec ses mains et me le met très profond. Je ne sais plus trop où j’en suis, mais vu les douleurs que j’ai dans les maxillaires, je commence à penser qu’il est très gros, très dur, et que – vu que je sens mes dents l’érafler – il n’a pas l’air vraiment sensible.


Au bout d’un bon moment, il me libère la tête. Ouf ! Je peux respirer. Ce que je vois devant mes yeux, c’est une bite énorme, dure comme du bois. À peine le temps de respirer, il me la renfourne dans la bouche jusqu’au fond, en me tenant très fermement la tête.



Je trouve bizarre de me faire traiter de salope, mais petit à petit j’entre dans ce rôle.

Finalement, il me relève la tête, regarde sa bite, me regarde. Bêtement, je lui dis :



Il me dit :



Il ouvre son tiroir, en ressort un préservatif, le déplie, l’écarte et s’en recouvre délicatement, sort un flacon de gel s’en enduit le sexe.



Je suis là à ne trop savoir que faire.



Je m’exécute. Il reste assis, m’attrape par les hanches et me force à reculer et m’asseoir sur son sexe. Je sens son gland posé sur mon anus ; il tire pour que je m’empale dessus. « Aïe ! » Une sensation de déchirure, une grosse douleur. Je me dégage.



Une grosse baffe sur les fesses et il m’attire à nouveau ; on réessaie.

« Ouille ! Ouille ! Mal. Trop mal. » J’avoue en me relevant :



Il me pousse vers son bureau, me force à m’allonger à plat-ventre dessus, à écarter les jambes autant que mon pantalon aux pieds me le permet, me prend les bras, me les croise dans le dos, et me les tient fermement.

Je suis pris, immobilisé. En plus, il est costaud. Et là, il me met une volée de claques sur les fesses, de toutes ses forces. J’essaie de me dégager en relevant les jambes, mais il a tout prévu : en fait, il marche sur mon pantalon entre mes jambes ; je ne peux pas les relever.

Il arrête de me frapper et je sens son gland sur mon anus.



Maintenant il me tient les bras croisés dans le dos avec ses deux mains tout en m’appuyant sur le bureau de toutes ses forces, mes jambes immobilisées par son pied sur mon pantalon, son gland sur mon anus. Et il pousse. Je gémis :



Doucement, doucement, je me plains. Inexorable, je le sens pousser. Mon anus me fait mal, une douleur aigüe, brûlante. Il relâche la pression ; cela va mieux. Bêtement, je lui demande :



Vu la douleur, je croyais l’avoir eue.



Il recommence à pousser, et la douleur devient insupportable, au paroxysme de ce que je pense être supportable. D’un seul coup mon corps se rend, et au lieu de se défendre contre l’intrusion, je le sens s’ouvrir presque magiquement, s’offrir. Mes fesses s’écartent d’elles-mêmes, mes reins se creusent, et je sens ce pieu s’enfoncer inexorablement en moi. Je crie, je pleure, j’ai mal.

Il est à fond ; je sens son ventre appuyer sur mes fesses. J’ai le souffle court, haletant.



Et il commence des va-et-vient, et cela vient comme une onde de chaleur ; je me demande ce que c’est. Mon anus se contracte, et d’un seul coup je jouis, je crie. Il accélère, et je deviens femelle ; j’ai mal, je jouis, je crie « Encore, encore ! »

Cette sensation de l’orgasme anal que je viens de découvrir, je la reveux. Mon corps en veut encore, tout mon être la veut, et il m’en donne encore de toutes ses forces. Il ne me tient plus les bras dans le dos, je ne me défends plus, je suis à lui, offert ; il me tient au bout de sa bite. J’entends une voix crier de bonheur ; je me rends compte que c’est la mienne.


Mon bassin se soulève tout seul pour se mettre à sa disposition. Je sens son sexe en moi, dur, implacable, qui me remplit d’extase ; je n’en reviens pas que l’on puisse avoir autant de plaisir…

Il me saisit par les cheveux, me tire la tête en arrière, et de toutes ses forces se fiche en moi. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens son sexe grossir encore, dur comme du fer. Avec un grognement de bête, je ressens un vigoureux tressautement de sa bite dans mon fondement ; je suis surpris par un orgasme encore plus fort. Je suis complètement offert ; son coup de bassin tel un taureau me soulève les pieds du sol. Et encore un, et encore un ! Puis, crescendo descendant ; mon bassin recule instinctivement pour rechercher les à-coups qui diminuent les uns après les autres. Puis cela s’arrête.

Je sanglote :



Il se retire ; c’est fini.

Le temps passe. Je me relève, vacillant. Il est déjà rhabillé ; le préservatif gît au milieu de la poubelle. Je remonte mon pantalon. Machinalement, je tends la main vers son entrejambe ; je touche. Je balbutie :



On est sorti. Comme un automate, je suis revenu à ma voiture.

En roulant je me suis dit… Non, je me suis rien dit.

Je me suis simplement dit « Encore… »