Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16885Fiche technique49119 caractères49119
Temps de lecture estimé : 29 mn
03/07/15
Résumé:  Christine rejoint sa maison de vacances. Son mari n'arrivera que samedi prochain.
Critères:  fh fagée extracon inconnu grossexe vacances campagne fmast hmast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo hdanus coprolalie confession -totalsexe -occasion -bourge -exhib
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Lubéron, terre de calme et de sérénité

Ce samedi de début août, j’ai pris un avion pour rejoindre notre maison de vacances dans le Lubéron. J’attendais cette pause estivale avec tellement d’impatience que j’ai oublié la moitié de mes affaires de toilette. Mon mari avait encore une semaine de travail et me rejoindrait le samedi suivant en voiture.


Notre petite fermette restaurée est située dans une petite clairière, loin de tout, en pleine nature. C’est vert, doux, calme ; un paradis. Mon paradis.


Il était 20 heures quand je me suis engagée dans le long chemin qui mène à notre propriété. Le cantonnier devait être malade. Des fougères énormes et des herbes folles avaient envahi le chemin. Quelques branches cassées donnaient à l’ensemble l’aspect d’un endroit désaffecté, d’une zone autrefois habitée puis laissée à l’abandon.

Le petit lac, lui, semblait avoir résisté à l’invasion de la végétation. Sans doute quelques pêcheurs avaient-ils contribué à maintenir l’endroit en état.


J’adore le premier jour, celui où je passe de l’ombre des arbres à la lumière de la clairière pour redécouvrir ce havre de paix avec sur la droite une grange où nous rangeons le bois et le matériel de jardin, et sur la gauche notre maison.


J’ai sorti la clé de la boîte à gants de la voiture pour me précipiter sur la lourde porte d’entrée. Surprise : la porte n’était pas verrouillée. Il n’y avait cependant aucune trace d’effraction. Je me suis demandé si j’avais bien fermé le mois précédent, sans trop m’inquiéter.


C’est en entrant dans la grande pièce de vie que j’ai failli m’évanouir. Quelqu’un était venu. C’était évident. Le canapé avait été déplacé, du linge jonchait le sol, et ça sentait le café et la cigarette. J’ai traversé la pièce pour me rendre dans la cuisine et avoir la confirmation de ce que je pressentais. Des fruits, des bouteilles d’eau et un cendrier plein se trouvaient sur la table. La porte arrière qui donne sur la piscine était grande ouverte.

Sur le moment, j’ai eu un peu peur. Il ne s’agissait visiblement pas d’un cambriolage, mais plutôt de squatters qui avaient profité de notre absence pour faire comme chez eux. Je me suis avancée prudemment vers la porte après avoir pris un grand couteau de cuisine pour me donner de l’assurance.


Un jeune type d’une vingtaine d’années se trouvait là, allongé nu sur la margelle, endormi sans doute, la bouche ouverte. Cuit par le soleil, son corps fin et musclé était presque entièrement tatoué. Des écarteurs dans les oreilles, un piercing dans le nez, les cheveux ras, une espèce ce crête décolorée, le look grunge parfait. Une jambe tombée dans l’eau, l’autre sur la margelle, il était aussi en train de prendre un coup de soleil entre les cuisses où son sexe pendait. Il n’avait pas l’air bien méchant comme ça, surtout endormi. Je me suis demandé combien ils étaient et où se trouvaient les autres.

J’ai crié, levant mon couteau en l’air.



L’air pas du tout surpris et encore moins paniqué, il a ouvert les yeux, a tourné sa tête vers moi, m’a souri, puis s’est redressé sur ses coudes pour me regarder.



C’est seulement quand il m’a posé cette question que j’ai réalisé que son sexe avait gonflé. Ou peut-être l’avais-je mal vu quand il était allongé.



Il s’est levé et j’ai eu confirmation : son sexe était à l’horizontale, gonflé, à moitié décalotté. Il a croisé ses mains devant pour se cacher.



Je n’ai pas pu réprimer un sourire, à la fois amusée et troublée de qu’il me montrait. Je lui ai demandé de filer à la douche et j’ai tourné les talons pour aller chercher ma valise.


Direction ensuite la chambre pour installer mes affaires. Heureusement, il n’avait pas utilisé cette pièce. Quand j’en suis ressortie, je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil dans la salle de bain dont il n’avait pas fermé la porte. Il était sorti de la douche et s’essuyait, face au miroir. Son sexe était toujours gonflé, un peu moins quand même. Nos regards se sont croisés bien malgré moi dans le miroir. Il a fait comme s’il ne m’avait pas vue, et son engin s’est remis au garde-à-vous presque instantanément alors qu’il continuait de s’essuyer.


S’il m’avait un peu inquiétée quand je l’ai vu au bord de la piscine, je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là je ne ressentais plus aucune menace. Encore que j’ai bien senti que ce qui me menaçait, c’était plutôt mon attirance pour ce garçon que je ne connaissais même pas et qui aurait pu être mon fils. Attirance, c’est peut-être un mot un peu fort. Disons que la vision de cette jeunesse virile m’avait ramenée à une époque, l’après 1968, où personne n’éprouvait plus aucune gêne à se balader à poil et où les femmes dites « libérées » jouissaient du corps des hommes à leur guise. Les tabous allaient revenir un peu plus tard pour remettre des carcans encore plus lourds sur la société, mais ces quelques années avaient été pour moi des années folles.


Ce jeune, en tout cas, ne semblait en rien gêné par la situation. Il a vu que je le voyais, et peut-être s’est-il dit que ça me plairait de le voir bien dur. Ou était-ce lui, finalement, qui aimait s’exhiber ? Je n’ai pas eu le temps de répondre à cette question. Il a saisi son sexe en se retournant face à moi, et sans me quitter des yeux, a entrepris de se masturber. Quelle belle image que ce garçon à l’air marginal, la queue à la main, excité par une vieille en plus. Il s’est assis sur un tabouret pour continuer de se branler, toujours sans me quitter des yeux.



Je n’avais pas besoin de mettre mes doigts dans ma culotte pour savoir qu’il avait raison, et que j’étais en train de perdre la mienne. Le sang m’est monté dans les oreilles brutalement, et je pouvais entendre les battements de mon cœur quand j’ai glissé mon index entre mes lèvres. Je n’étais pas en train de vérifier si j’étais mouillée, mais en train de satisfaire une envie immédiate de me toucher pour faire descendre un peu la pression. J’ai ressorti rapidement mes doigts.



Au point où nous en étions… J’ai fait glisser ma jupe à mes pieds. Rouge comme une pivoine.



Mon éclat de rire passé, j’ai quitté ma chemise et mon soutien-gorge. Curieusement, je n’en éprouvais aucune honte alors que sur la plage, me montrer les seins nus m’avait toujours posé problème.



À ces mots, j’ai caressé mes seins en titillant mes tétons, en tirant dessus. Évidemment, il voyait bien que mes seins étaient gonflés par l’envie. J’ai descendu une main tout doucement vers mon sexe pour en écarter les lèvres et faire de mon index quelques mouvements circulaires autours de mon clito. Le plaisir est venu assez vite. J’ai écarté un peu les cuisses pour passer ma main et m’introduire un doigt et faire des allers-retours dans ma vulve en fusion. Le jeune ne parlait plus. D’une main, il tenait ma culotte sous son nez ; de l’autre il se branlait doucement. Puis il a écarté un peu plus ses cuisses, a remonté ses fesses et a accéléré son mouvement.



Sans cesser ses mouvements, il a approché ma culotte de son gland pour que les longs jets qu’il envoyait en se secouant atterrissent dessus. Cette vision m’a soulevée moi aussi du sol, et j’ai joui comme une salope en m’enfonçant tous les doigts que je pouvais dans le sexe béant.

À peine mon orgasme terminé, je me suis enfuie comme une gamine, enfuie rouge de honte de ce que je venais de faire.


Quand il est arrivé dans la cuisine, toujours nu, je n’arrivais pas à soutenir son regard de braise. Je me suis mise à gamberger. « Ce look, mon Dieu… comment ai-je pu ? Ce genre de mec me fait changer de trottoir dans la rue, et là je m’exhibe sans pudeur, je me masturbe alors que même seule dans le noir j’ai du mal à me laisser aller… »



Et il n’avait pas tort, le bougre ! Mais lui montrer à quel point, je ne pouvais pas m’y résoudre. Le téléphone a sonné.



Tout en parlant, il s’était approché de moi, tout doucement. Il a ouvert ses bras pour que je m’y réfugie, et pris mon visage entre ses mains pour me regarder droit dans les yeux en me disant : « Et je vous aimerai comme on aime une femme du monde, avec tendresse, avec délicatesse. » Je me suis sentie fondre. Il m’a embrassée longuement ; je ne me suis pas dérobée, mais j’avais du mal à faire preuve d’enthousiasme. J’étais un peu coincée. Il a décollé sa bouche pour me fixer à nouveau, une main tenant mon menton, l’autre se dirigeant vers mon sexe.



Les dernières syllabes sont arrivées alors que ses doigts avaient déjà trouvé le chemin ; un chemin il est vrai assez touffu, mais ô combien chaud et humide. Sentir ses doigts me pénétrer m’a fait ouvrir la bouche. Il en a profité pour m’y enfoncer sa langue, forçant un peu ma nature comme il forçait ma chatte en feu. Je ne pouvais même pas protester à sa dernière demande, me contentant de bruits de gorge incompréhensibles. Il a dû comprendre « oui », et je n’ai plus touché terre.


Je me suis retrouvée à genoux devant la grande armoire, le cul en l’air, et Joël entre mes cuisses derrière moi qui avait remplacé ses doigts par sa queue. Je n’ai pas eu le temps de m’habituer ; pas l’envie, peut-être aussi. Il m’a remplie d’un coup, énergique plus que brutal, et j’ai compris ce que « baiser » voulait dire. Jusque-là on m’avait fait l’amour ; là, il me défonçait, plus préoccupé par son plaisir que par le mien, me claquant les fesses avec force. Il me faisait mal, mais plus je me sentais proche d’être déchirée, plus j’écartais les cuisses pour qu’il ne s’arrête pas de me maltraiter.


Dans le miroir de l’armoire, le spectacle irréel qui s’offrait à moi aurait pu me dégoûter pour ce qu’il avait de bestial : une femme de mon âge, avec les seins qui tombent, avec des vergetures visibles, des traits altérés par le temps, quelques rides, les lèvres amincies… et derrière, un jeune musclé, beau comme un dieu si on fait l’effort d’oublier ses piercings et ses tatouages. Un jeune qui semble prendre un pied terrible à me claquer le cul, et qui continue de me vouvoyer.




Il s’est arrêté net. Salaud ! Et s’est reculé, l’air rigolard. Nos regards, comme dans la salle de bain un peu plus tôt, étaient rivés l’un à l’autre au travers du miroir.



Je me suis allongée à même le sol, sur le tapis. Il était assis sur ses talons, les bras le long du corps, l’air pensif.



Je me suis redressée pour m’approcher de lui et lui attraper le sexe d’une main. De l’autre, j’ai mis un doigt en travers pour lui montrer à peu près la longueur du sexe de mon mari.



J’ai pris son sexe en faisant un cercle entre mon pouce et mon index ; ça ne suffisait pas pour en faire le tour. Il était décidément bien bâti ! J’ai ensuite retiré ma main pour faire à nouveau un cercle en repliant la première phalange de mon index contre mon pouce.



Il m’a prise dans ses bras et a cherché à nouveau ma bouche. Il a attrapé mes fesses pour me soulever et m’attirer contre lui. J’ai senti son sexe entre mes fesses quand il me descendait. J’ai passé une main entre mes cuisses pour le guider à la descente suivante et m’empaler profondément. C’est vrai que l’impression d’être totalement remplie est exaltante ; je ne la connaissais pas avant.


Je me suis mise à danser sur lui tout en l’embrassant. Il me caressait les fesses, me les écartait, me les pressait. De temps en temps il quittait ma bouche pour me manger les tétons, puis revenait m’embrasser ; très vite je me suis retrouvée suspendue au-dessus de moi-même, planant, extatique, déglinguée. J’ai joui une première fois, longuement. Il ne s’est pas arrêté de me baiser, profondément, jusqu’à ce qu’une vague encore plus intense ne vienne me tétaniser. J’ai ressenti cet orgasme de la pointe de mes pieds jusqu’à la racine de mes cheveux, allant jusqu’à pisser en même temps. Je sentais que ça allait durer s’il ne s’arrêtait pas, une sensation inoubliable d’orgasme total, fulgurant et presque douloureux, quand il a crié « Stop ! » pour me signifier qu’il n’en pouvait plus.

Il était hors de question que je ne savoure pas le moment ; je l’ai serré contre moi en lui demandant de continuer de me baiser plus fort. J’ai dû répéter dix fois « Tu me fais jouir ! » en hurlant alors que je sentais qu’il m’inondait de son sperme en râlant, tous ses muscles tétanisés par la jouissance.


En sueur, épuisée, heureuse et honteuse, je me suis écartée de lui pour aller dans la salle de bain. Assise sur un tabouret, j’ai pris ma tête entre mes mains pour pleurer. Il est arrivé quelques instants plus tard, inquiet.



Il a repris ma bouche en passant ses pouces sous mes yeux pour étaler mes larmes, et j’ai senti ses mains s’égarer de nouveau à la découverte de mon corps. J’avais chaud, très chaud. Mes seins étaient douloureux comme jamais. J’avais l’impression d’avoir le sexe totalement dilaté, et je sentais son sperme couler le long de mes cuisses. Il s’est redressé devant moi, présentant devant ma bouche son sexe mou. Il a pris ma tête à deux mains pour me faire comprendre qu’il voulait que je le suce.


Sucer, ce n’était pas mon truc. J’ai quand même voulu lui faire plaisir en ouvrant la bouche. Mais quand j’ai senti sa queue prendre à nouveau du volume à peine entrée, j’ai ressenti une fierté indicible à lui faire autant d’effet. Je ne pensais plus à ce que je faisais, mais à lui faire du bien. Et lui faire du bien m’a excitée moi aussi. J’aurais pu le sucer pendant des heures, mais il a préféré me prendre dans ses bras, me soulever, et me porter jusqu’à ma chambre. Il m’a déposée debout devant le lit, s’est assis en face de moi, a pris mes mains dans les siennes.



Sans attendre ma réplique, il s’est allongé sur lit, à plat-ventre, les cuisses écartées.



Je me suis agenouillée entre les jambes pour le caresser comme je pouvais. Le dos d’abord, puis les hanches, les fesses, les cuisses ; mais mettre mes mains dans sa raie…


Puis il s’est mis à remuer, remontant son bassin puis le descendant à nouveau à chaque fois que mes mains touchaient ses fesses. Il a passé une main sous lui pour repousser son sexe entre ses cuisses. J’y ai posé un doigt, puis l’ai pris dans ma main par le bout, en jouant avec son prépuce. À chaque appui, il remontait à nouveau son bassin. Je l’entendais souffler, râler. Puis j’ai pris son engin fermement dans ma main pour le masturber, ne me rendant pas compte qu’il remontait tout doucement ses genoux. Les coudes appuyés sur le lit, il avait les fesses en l’air, écartées ; je m’occupais de son gros sexe raide, de ses couilles. Petit à petit, j’ai quand même osé poser un doigt sur son périnée pour le presser un peu. J’ai trouvé ça assez drôle. Quand j’appuyais d’un doigt, je sentais son sexe gonfler davantage dans ma main. J’ai poursuivi, fascinée, de plus en plus fort. J’ai fini par toucher son anus sans le vouloir. Quand il a senti le contact de mon doigt tout près, il s’est cambré davantage en poussant un cri, en me disant « encore ».


Je me suis jetée à l’eau. « Puisqu’il veut que je le caresse là, après tout, essayons. » me suis-je dit. Ce garçon m’avait donné tellement de plaisir que je pouvais bien faire ça pour lui. J’y suis allée résolument, tournant le bout de mon doigt autour de son anneau. J’ai pris de ma salive pour le faire mieux glisser, plusieurs fois. Je voyais bien qu’il était réactif à ma caresse, qu’il aimait ça, vraiment. Il me répétait « encore » et « plus fort ». J’ai senti ma tête tourner quand j’ai osé pour la première fois placer le bout de mon doigt là où il le voulait, à l’entrée serrée, à l’entrée interdite. Et j’ai poussé, tourné mon doigt encore, repris de la salive.


Emportée par une sorte de frénésie, j’ai introduit une phalange. Il était aux anges, en demandait encore. « Encule-moi » me disait-il pour m’encourager. Je n’avais pas réalisé en effet que j’étais précisément en train de l’enculer, un terme que je trouvais tellement dégradant. Tout en continuant de le masturber, j’ai forcé encore un peu et j’ai senti la résistance s’amoindrir, le passage s’ouvrir, laissant la place pour un second doigt, puis à trois. Je ne trouvais plus ça sale et dégradant, puisque ça lui faisait plaisir ; et quand j’ai senti qu’il jouissait de mon autre main alors qu’il avait mes doigts dans le cul, j’ai compris qu’il y avait pris un plaisir immense.



Il me manipulait, c’était évident, mais je n’ai pas résisté à l’envie d’essayer. Je me suis positionnée comme lui juste avant, la tête dans les mains, le cul en l’air. J’ai senti sa bouche au contact de mes fesses pendant que ses mains me saisissaient les seins. Sa langue a fait quelques circonvolutions avant de s’insinuer dans la raie de mes fesses, alors qu’il avait descendu une main entre mes cuisses pour me masturber. Et enfin sa langue est venue tourner autour de ma fleur, tout d’abord très doucement, puis en appuyant de plus en plus fort. Il a cessé de me branler le clitoris pour s’occuper ensuite exclusivement de mon cul, alternant la pression d’un doigt et celle de sa langue.


Il avait raison, le bougre ! Si je pouvais mettre de côté mon appréhension, la douce sensation qu’il me procurait était en effet assez subtile, et j’en ressentais des frissons dans tout le corps. Je me suis détendue, le laissant faire. Ses doigts m’ont fouillée alors que sa langue venait faire quelques incursions. J’ai senti mon anus se desserrer progressivement jusqu’à sentir sa langue entrer carrément. J’avais le cul ouvert.


Emportée par mon élan bestial, je pense que j’ai remué le popotin plus que de raison, lui montrant que j’aimais ça. J’ai un peu moins aimé quand il est venu coller son bassin à mes fesses, me prendre par les hanches, et essayer de remplacer ses doigts et sa langue par sa bite. J’ai moins aimé, mais j’ai laissé faire. Je l’ai laissé me cracher entre les fesses et étendre sa salive largement. Je l’ai laissé frotter son énorme gland contre ma rondelle. Quand il a pris mes mains pour les guider vers mes fesses pour me les écarter, j’ai obéi à son injonction silencieuse et tirant bien pour écarter au maximum de ce que je pouvais. Et à force de pousser, son gland est passé d’un coup avant de se bloquer ; je hurlais comme une dingue sous l’effet de la douleur, mais il ne s’est pas arrêté pour autant. Il a sorti sa queue pour la présenter à nouveau et a attendu un peu avant de pousser. Le gland est entré plus facilement, et dès qu’il est entré, j’ai senti sa queue me perforer, cette fois en profondeur. Il s’est figé, me laissant le temps de reprendre mes esprits. J’avais mal au cul, mais surtout pas envie qu’il s’arrête en si bon chemin. Je m’étais dit que jamais, au grand jamais personne ne m’enculerait, et j’étais là, à quatre pattes, un énorme engin fiché dans mes entrailles.

Il s’est penché sur moi pour approcher sa bouche de mon oreille.



Obéissant, il s’est attaché à me donner du plaisir sans me faire mal ; mais progressivement, j’ai ressenti le besoin de plus de vigueur. Je me suis mise à reculer vers lui quand il avançait pour qu’il me prenne plus fort, plus profond. Je n’osais pas le lui dire, mais je prenais un pied terrible à sentir son énorme engin me remplir le cul. Puis je me suis lâchée, incapable de me tenir.



J’ai senti mon vagin se crisper, mes jambes trembler, tout mon sang affluer dans mon crâne. J’ai vu des étoiles, j’ai entendu des tambours. Je n’ai pas pu me retenir de pisser sur le lit alors qu’il continuait ses ruades brutales jusqu’à jouir dans mon cul.


Il s’est affalé sur moi. Quand il est ressorti, je dois dire que je n’ai pas trop aimé la douleur de l’extraction. Mais bon, il était clair que je n’allais plus pouvoir m’asseoir pendant un moment. Nous sommes allés ensemble à la douche, silencieux. Sous l’eau, on aurait dit un enfant, jouant à m’asperger, dirigeant le jet entre mes cuisses, faisant tourner son sexe en ondulant du bassin. Venait de naître entre nous une complicité étonnante et improbable.


J’ai autorisé Joël à rester jusqu’au vendredi. Quand nous allions ensemble en ville faire les courses, il prenait soin de rester à distance pour éviter que nous ne nous faisions remarquer, moi la bourgeoise un peu coincée, et lui le jeune grunge « no future ». Mais aussitôt rentrés dans l’intimité de ma maison, il n’y avait plus de tabou entre nous. J’ai pris goût à ses caresses, tantôt tendres, tantôt plus brutales. J’ai pris goût à ses démonstrations de tendresse quand il était entre mes cuisses à m’embrasser alors qu’il allait et venait en moi tout doucement, nos corps serrés. J’ai pris goût à ses assauts virils quand il me sautait tout debout dans la cuisine ou qu’il me collait à la table de la terrasse pour me fouiller la chatte à grand coups de queue. Et je dois dire que j’ai pris goût, aussi, à la sodomie. Les orgasmes qu’elle me provoque sont à la fois plus forts et plus longs, plus profonds et plus violents.


Nous avons roulé quelques dizaines de kilomètres le vendredi après-midi sans choisir de direction précise, puis je l’ai laissé au bord de la route. Il allait continuer en stop. Je l’ai pris dans mes bras en sachant qu’il allait me manquer. Il ne m’a pas demandé mon numéro de téléphone. Je n’ai rien demandé non plus. Je ne l’ai jamais revu.


Le samedi toute la journée je me suis affairée au ménage et au lavage des draps souillés. Il fallait que la maison soit propre avant l’arrivée de mon mari.


J’ai été réveillée alors que je faisais un somme sur la terrasse, après avoir tout revérifié, par un baiser baveux sur la bouche. Mon mari venait d’arriver. Nous nous sommes longuement embrassés. Il était visiblement ravi d’être là, et vous me croirez ou pas, j’étais heureuse moi aussi.


Au retour de notre dîner en ville, il m’a gentiment fait comprendre qu’il était fatigué. Souvent, cette excuse, c’était moi qui la sortais. C’était une façon élégante de dire non, de repousser à plus tard. J’ai presque été vexée de son refus lâche.



Mon mari était assis dans le canapé, l’air désabusé et inquiet. Je me suis mise devant lui, debout, et tout doucement je me suis débarrassée de mes vêtements. Ses yeux, interrogatifs d’abord, sont devenus brillants. Il ne comprenait visiblement pas ce sketch que je lui faisais. C’était la première fois…

Une fois nue, je me suis caressée devant lui en le regardant dans les yeux. D’abord les seins, puis le ventre. J’ai passé une main derrière moi pour me toucher les fesses pendant que mon autre main écartait mes lèvres intimes pour qu’il puisse voir l’humidité de ma chatte.

Il a souri, s’est détendu.



Il était cette fois dubitatif mais s’est exécuté. Sa chemise et son pantalon sont partis rejoindre les chaussettes au sol. Il a plongé une main dans son boxer sans vraiment oser se caresser.



Je me suis agenouillée devant lui pour le pomper, ne le laissant quasiment pas respirer. J’avais passé une main sous ses fesses pour lui caresser l’anus. Un temps réticent, il a fini par se laisser faire. J’en ai profité pour lui mettre un doigt.



Je me suis mise à quatre pattes au sol, le cul en l’air. Il n’en croyait pas ses yeux. Sa femme, si prude et timide, qui lui tendait son abricot trempé et en plus son œillet interdit ! J’ai eu droit à ses doigts, longuement, puis à ses doigts, tendrement.



Il a semblé hésiter, puis s’est approché doucement, la queue à la main, pour présenter son gland devant mon anus. Quand il a poussé, j’ai fait semblant de souffrir ; mais mon plaisir, lui, n’était pas feint. Ce n’était pas un gamin bien monté qui s’introduisait dans mon cul, mais un homme, mon homme, doux et délicat, amoureux et attentif. Il me tirait sur les tétons en pressant son bassin contre mes fesses, visiblement trop heureux d’enfin pouvoir me prendre comme ça. Nous avons joui ensemble, heureux.


Autant Joël pouvait recharger en quelques minutes – c’est le privilège de la jeunesse – autant mon mari avait besoin de temps pour revenir de ses émotions. Ce temps, bien employé à me caresser, je l’ai aussi utilisé pour lui passer ma langue partout. Quand je suis arrivée à son anus, il n’a même pas eu l’air surpris. Plutôt gêné. Mais ses borborygmes et son souffle chaud m’ont montré qu’il aimait ça, lui aussi. Et d’ailleurs, ça l’a remis en forme.


Nous avons fait l’amour, cette fois de façon plus, disons, conventionnelle. Ce n’en fut pas moins bon. Ça faisait au moins 15 ans que nous n’avions pas fait l’amour deux fois dans la même journée, alors j’ai bien senti qu’il se posait des questions.


Quand il est parti satisfaire un besoin naturel, je me suis inquiétée quand même un peu. Comment lui expliquer ce changement dans mon attitude, le fait que j’aie retrouvé mes envies de jeunesse, le fait que je veuille qu’il me sodomise, le fait que je lui lèche l’anus ?

Il est arrivé, l’air hagard, un poing fermé.



Je suis restée interdite, incapable de dire quoi que ce soit. Un moment, j’ai cru qu’il allait se ruer sur moi, m’insulter, et pourquoi-pas me frapper. Non. Il s’est assis, les mains sur les genoux.



Je me suis approchée de lui pour l’embrasser. Il a soulevé ma jupe pour me caresser, et je me suis donnée à lui comme une folle.


Le reste de nos vacances, nous l’avons passé à faire l’amour ou à dormir. Savoir que j’avais été à la merci d’un pervers l’avait lui aussi excité. Je ne savais pas si savoir qu’en réalité il était cocu aurait eu le bonheur de lui plaire. Je n’ai pas voulu prendre le risque.

Et ça n’avait plus aucune importance.