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03/07/15
Résumé:  La Nature, qui est assez joueuse, m'a offert un sexe assez particulier : plutôt long, voire très long, mais d'un faible diamètre.
Critères:  fh grossexe cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -amourdura -extraconj
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Finement looong

La Nature, qui est assez joueuse, m’a offert un sexe assez particulier : plutôt long, voire très long mais d’un faible diamètre. Les méchantes langues diront que j’ai entre les jambes un long doigt. Moi, je dirais plutôt un long pouce. Certains diront un tuyau.


Pour diverses raisons, le vagin de ces dames ne me dit trop rien. Il faut dire que j’ai souvent du mal à caser toute ma longueur, et qu’en diamètre, on ne peut pas dire que j’occupe bien la place… Et comme je me vois difficilement en train de plier ma queue en deux ou en trois pour obtenir plus d’épaisseur ! Les dames se plaignent que mon service n’est pas assez consistant, ce qui est vexant ou démoralisant.


Pareil du côté de la fellation, imaginez un peu une femme en train de sucer un feutre ou un doigt, vous aurez une petite idée. Je sais bien que ce qui est fin est mignon, mais certaines femmes exigent plus de consistance, point de vue diamètre en bouche. La plupart des femmes veulent un minimum syndical en calibre, mais pas trop quand même. En ce qui concerne ma longueur, ça reste limité en introduction buccale, sauf pour les adeptes des gorges très profondes faisant terminus dans l’œsophage. Mais là, j’ai l’impression de jouer les sondes gastriques ! Bref, pas la joie non plus.


Du coup, il me reste une autre possibilité : celle de l’entrée des artistes ; et là, c’est nettement mieux. Les femmes aiment bien ma chose car elle entre sans trop de difficulté et, sans vous faire un cours d’anatomie, il est possible d’aller bien profond dans les entrailles de la dame, surtout quand l’intrus farfouilleur est fin. Ça fait parfois un peu « ramonage », surtout quand je ressors la bête de la cheminée obscure ; mais au moins, très rares sont les femmes qui n’ont pas apprécié que je passe par là !


Pour vous dire à quel point c’est un avantage : j’ai déjà été recommandé à certaines amies de mes conquêtes, celles qui voulaient essayer la sodomie mais qui avaient quelques craintes, surtout liées au diamètre de la bête envahissante. Eh oui, carrément des stages d’initiation ! Et depuis, j’ai quelques gentes dames très libérées et très régulières qui apprécient de se faire allègrement enculer par mes bons soins, mais pas par ceux de leurs maris et compagnons.


Et en ces années soixante-dix, même si la libération sexuelle est d’actualité, les mœurs sont restées plus calmes et sobres en province ! Mais il y a justement du bon et de l’excitant dans la transgression !




---oOo---




Justement, aujourd’hui, je suis avec Emma qui est une régulière. Au moins deux fois par mois, si ce n’est trois, j’ai l’immense plaisir de profiter de son corps et de son cul, ce que j’adore faire sans retenue ! Et comme elle aime que je m’occupe d’elle, tout va bien.


Emma est une adorable fille de trente-deux ans. Malheureusement pour elle, son prénom n’est pas un summum de délicatesse en prononciation, et pire encore, Robert, son homme est encore moins délicat, et c’est un euphémisme ! Hélas pour elle, deux petits machins l’empêchent plus ou moins d’aller refaire sa vie ailleurs, et contrairement aux chatons, on ne pouvait pas les noyer à la naissance. Ceci dit, noyer des chatons, ça, je ne pourrais pas. Son homme, si, sans problème ! C’est un premier point qui nous différencie. Pour le sexe, j’ai cru comprendre qu’il est du style « couche-toi-là-que-je-m‘y-mette ». C’est un deuxième point qui nous différencie, car la pratique de la sodomie exige la plupart du temps de longs préliminaires. Et comme j’aime prodiguer des préliminaires, Emma en profite et en redemande.



Loulou, c’est moi. Ça n’a rien à voir avec mon prénom, Jérôme, mais les petits noms doux ne sont pas toujours très logiques.



Nous sommes dans mon salon, assis sur le canapé. Nous avons environ deux heures devant nous. Nous étions en train de parler d’un peu de tout. Je m’approche un peu plus d’elle, pour la tenir par la taille :



Je la serre un peu plus contre moi :



Je l’embrasse pour la faire taire, puis je la couche sur le canapé. Elle se laisse faire. Petit à petit, je la déshabille, révélant sa peau que j’aime beaucoup goûter. Emma est incontestablement une femme avec qui j’adore faire l’amour ; de plus, j’aime sa compagnie, sans que ce soit forcément sexuel. Parfois, je me demande si, finalement, ce n’est pas elle, ma promise, comme on dit dans les romans précieux et datés.

Pour l’instant, je suis plus terre à terre avec ce splendide corps à ma disposition.


Peu après, comme un lit est nettement plus confortable qu’un canapé, nous poursuivons nos petits jeux dans ma chambre.

Niché entre ses jambes, je m’offre une bonne dégustation de son appétissant fruit bien mûr et dégoulinant. Je sais qu’elle aime, et elle me le démontre très bien en écartant plus encore ses jambes et en pressant ma tête contre son sexe détrempé.



Alors je continue…


Je fourrage éhontément de ma langue toute son intimité détrempée. J’aime boire son onctueuse cyprine, la cueillir, m’en mettre plein les lèvres, plein la bouche. J’adore agacer son petit bouton rose, le décalotter, le titiller, le harceler, le tourmenter tandis qu’elle gémit et qu’elle tressaille sous ma douce mais implacable torture !


Sa cyprine dégouline vers son sillon fessier, ce qui fait honteusement mes affaires. Je m’amuse à taquiner du bout de mon majeur et de mon index ses lèvres suintantes et légèrement gluantes. J’accélère mes coups de langue, elle gémit de plus en plus. Alors mon index descend petit à petit pour venir agacer sa rondelle déjà un peu distendue. Je m’amuse à la masser à cet endroit, épousant les bords de sa cuvette. Elle soupire, remuant un peu du bassin mais n’esquivant pas ma caresse incongrue !


C’est alors que je m’introduis un peu en elle, enfouissant ma première phalange. Elle tressaille, acceptant cet intrus. Tout en la léchant, la lapant, je joue du doigt en elle. Elle aime, comme à chaque fois que je lui fais subir ce genre de chose ! Alors, posément, je glisse mon majeur en elle pour qu’il vienne tenir compagnie à son voisin, l’index.


Je m’acharne autour de son clitoris, le choyant, l’agaçant, le caressant voluptueusement. Dans le même temps, j’enfonce mes deux doigts en elle, taquinant son conduit annelé, tout en continuant d’avancer dans ce sombre tunnel interdit. Emma m’aide en remuant posément du popotin pour faciliter cette intrusion dans ses profondeurs.


Soudain, elle explose, sa jouissance fuse, elle est assaillie de mille tremblements et de mille petits cris désorganisés. J’adore la sentir, la voir jouir ainsi, sans retenue, offerte à mes caresses, à mes câlineries, à mes explorations vicieuses ! J’adore sentir ses ondes de plaisir, ses contractions sur mes doigts enfoncés dans son tunnel si particulier !


Toujours empalée sur mes deux doigts, elle continue de jouir, tandis que je la lèche furtivement, suscitant en elle des soubresauts. Elle tente de repousser ma tête, mais je ne me laisse pas faire, continuant à la torturer finement jusqu’à ce que toute sa jouissance se soit écoulée !


Ce qui arrive très vite ! Alors je la laisse se reposer un peu, son corps s’avachit plus encore sur mes doigts fichés toujours en elle. Elle ne cherche même pas à se dégager. C’est moi qui prends l’initiative de les retirer délicatement, puis de les nettoyer, tandis qu’elle se somnole.

Les bras en croix, essoufflée, elle finit par me demander :



En réalité, j’ai fait beaucoup de plongée jusqu’au jour où j’ai eu droit à un problème d’embolie gazeuse. Depuis, je me suis singulièrement limité, mais j’ai conservé mon aptitude à savoir respirer d’une certaine façon, et de pouvoir tenir longtemps avant de reprendre mon souffle. Et ça, quand je les lèche, les broute, les savoure, les femmes adorent qu’on les déguste sans interruption !



Je me penche sur ses lèvres puis je l’embrasse. Elle répond ardemment à mon baiser, tandis que mes mains caressent son corps en sueur. Elle récupère ainsi petit à petit. Au bout de quelques minutes, elle se soulève un peu sur ses coudes puis s’exclame :



Elle se relève d’un bond :



Soudain, elle se met à quatre pattes :



Ostensiblement, elle remue des fesses, se montrant très lascive et impudique, tout en fredonnant des « poupoupidous » très érotiques ! Je sens qu’à ce tarif-là, je ne vais plus résister bien longtemps !



Elle semble un peu gênée. Agenouillé à côté d’elle, caressant délicatement ses fesses, ses cuisses, son dos, je l’incite à poursuivre :



Je donne une petite tapette sur ses fesses et j’ordonne :



Elle joue le jeu, moi aussi. Je pose ma main sur son dos pour l’obliger à se cambrer plus encore, puis une fois que j’ai obtenu ce que je désirais, je décide d’y aller franco ! Agenouillé derrière elle, je lui offre un petit anulingus bien salivé qui parvient à élargir un peu son petit trou. Je m’amuse beaucoup à décrire des cercles autour de sa cuvette qui s’entrouvre légèrement, lentement mais sûrement. J’aime voir cette entrée s’offrir à mon désir. Puis me redressant, je dirige fermement ma queue bien raide vers l’entrée convoitée. Sachant ce qui va lui arriver, Emma frémit. Vicieusement, je questionne :



Écartant le sillon fessier entre mes doigts, je pose mon gland juste à l’entrée puis avec régularité, j’enfonce une bonne partie de ma tige en elle. Elle soupire sous l’effet de cette chose qui l’envahit. Arrivé à mi-parcours, je marque une petite pause. Elle demande :



Et je projette en avant mon bassin afin d’entrer sur toute ma longueur. Elle pousse une longue mélopée assourdie, sans toutefois modifier sa pose soumise. Peu après, j’ai l’immense satisfaction de venir plaquer mes testicules bien gonflés sur la chair tendre de son popotin.



Je capture son bassin à pleines mains, puis je commence un mouvement de va-et-vient sans pitié, entrant, sortant, coulissant. J’admire ma tige qui ressort presque pour replonger de plus belle dans ses entrailles accueillantes en diable ! C’est très jouissif de la prendre ainsi, bestialement !



C’est étrange comme je peux très vite abandonner le vernis du gentleman ! Comme le disent souvent les femmes, il y a un cochon en chaque homme ! Je me console en me disant que c’est elle qui l’a demandé, mais je reconnais que ça m’arrange bien, de lâcher prise de la sorte ! Et ce n’est pas tous les jours qu’on redevient primaire !



Je sens à présent l’agitation de ses doigts sur mes couilles, elle est assurément en train de se masturber. Quelque chose me dit que nous risquons d’être deux à jouir…



À peine la dernière syllabe sortie de sa bouche qu’elle jouit bruyamment avec plein de mouvements désordonnés. Il ne m’en faut pas plus pour lâcher prise moi aussi, et j’éjacule de tout mon saoul, dans un grand râle, agrippé à ses hanches, après un ultime coup de reins pour m’enfoncer en elle !



Je me souviendrai longtemps de cette jouissance, de toutes les étoiles qui ont dansé devant mes yeux, de cette sensation de puissance sublimée et de vide intégral ! D’Emma qui s’est, elle aussi, lâchée sans retenue, sans honte, complètement offerte ! Une splendide symbiose entre nos deux corps !

Épuisé, je me retire à regret. Elle s’effondre sur le lit :



Tandis que je me nettoie, étonné, je demande :



Avec un large sourire que je pourrais qualifier d’assez canaille, elle glisse vers moi, indifférente à mon sperme qui s’échappe d’elle, maculant ses fesses et les draps. Elle se blottit contre moi :



Collée contre moi, elle rit, détendue. Nous nous faisons un gros câlin. Puis soudain, elle change de visage :



Je me contente de la presser un peu plus contre moi. C’est peut-être idiot, mais je me sens bien avec elle, juste comme ça, à parler parfois de choses un peu stupides, ça me détend, et j’aime qu’elle soit ainsi contre moi. Avoir plusieurs maîtresses, ça a du bon. N’en avoir qu’une seule avec qui on est si bien, ce n’est pas mal non plus… J’avoue :



J’ai arrêté de dire des grosses bêtises. J’ai commencé à la caresser doucement, délicatement. Elle s’est blottie plus encore contre moi. Je suis très bien comme ça, j’aimerais que ça dure toujours, demain, dans une semaine, dans un mois, dans un an, et plus…


Pour l’instant, je me contente de savourer l’instant présent, elle avec moi, elle pour moi…




---oOo---




Je suis confortablement installé dans mon canapé en train de lire mon hebdomadaire favori, ma détente favorite, tout au moins, celle qui vient en deuxième après le sexe. De toute façon, il n’y a rien de folichon à la télé, idem sur les chaînes étrangères que j’arrive à capter tant bien que mal. Nous allons bientôt élire un nouveau Président de la République, suite au décès inopiné de Georges Pompidou, il y a quinze jours environ, et la bataille fait rage pour le poste. D’après ce que raconte mon quotidien qui provient de l’autre côté de la frontière, Pompidou était malade depuis un bon bout de temps, mais est resté à son poste sous l’amicale pression de ses proches. Bref, on a accéléré sa maladie et on l’a empêché de mourir en paix.


Je me demande quel gugusse nous allons récupérer au sommet de notre belle France ! On dira ce qu’on voudra du Général, mais c’était un grand bonhomme dans les deux sens du terme. Toujours est-il que c’est un journal pas français qui m’a renseigné sur diverses choses. Je me dis que décidément les journalistes d’ici cirent les bottes de nos dirigeants ! Et l’ORTF n’est pas la dernière…


Soudain le téléphone sonne. À cette heure-ci ? C’est étrange !

À ma très grande surprise, c’est Emma au bout du fil, elle semble être totalement déboussolée, j’arrive à la calmer. C’est alors qu’elle m’apprend le drame :



Je raccroche aussitôt, et je saute dans ma voiture, une minute plus tard. En un rien de temps, j’arrive à l’hôpital, je n’ai aucun mal à la trouver auprès de sa fille endormie. Elle est à la fois surprise et soulagée de me voir. Sans me soucier de quoi que ce soit, je la prends dans mes bras, elle se laisse aller. Elle pleure doucement. Je laisse le temps s’écouler. Elle finit par se reprendre :



Je dépose un baiser furtif sur son front, et je pars aux nouvelles… Quelques minutes plus tard, je reviens, muni d’un peu d’informations que j’ai pu glaner auprès d’une de mes connaissances qui travaille ce soir à l’hôpital.



Bien qu’elle ait protesté, je suis resté avec elle toute la nuit. L’un contre l’autre, nous avons beaucoup discuté, à voix basse pour ne pas réveiller sa fille. Petit à petit, Emma s’est laissée aller, elle a raconté plein de choses, elle s’est déversée, elle avait besoin de s’épancher. Plus tard, vers les deux heures du matin, elle a fini par s’endormir contre mon épaule. Au petit matin, quand elle s’est réveillée, j’ai bien vu dans son regard qu’elle appréciait que je sois là. Le baiser qu’elle m’a donné me l’a ensuite démontré.


C’est alors que le cours de ma vie s’est orienté autrement…




---oOo---




Quelques mois plus tard, dans un café du village, chez Maurice, deux hommes au comptoir, Martial, un petit plutôt sec et René, son voisin plutôt rondouillet. C’est le plus petit qui lance la conversation :



Faisant la moue, Martial ronchonne :



Martial renâcle, il boit une gorgée puis reprend :



René pose sa large paluche sur la frêle épaule de son voisin :



C’est au tour de René de boire une gorgée :



Éberlué, René regarde Martial dans les yeux :



Environ cinq mois plus tard, tout le village, ou presque, se retrouva à l’église puis la mairie pour fêter le mariage d’Emma et de Jérôme. On ne sut dire qui fut l’héroïne de la fête : Emma, la jeune mère rayonnante ou Céline, sa fille qui paradait en demoiselle d’honneur du haut de ses à peine quatre ans…




---oOo---




Quelques années ont passé, nous sommes, Emma et moi, toujours en couple, et tout va très bien, tout au moins maintenant. Hélas, au début de notre mariage, comme le démontra un nouvel examen approfondi des fonctions cérébrales, il a fallu se résoudre à débrancher David, ça n’a pas été une partie de plaisir, puis la vie a repris à nouveau ses droits. Nous avons deux beaux enfants qui s’entendent très bien avec Céline, leur demi-sœur. Nous formons une belle petite famille. L’accident de la mare-à-bestiaux est quasiment oublié.


Je suis toujours aussi fou de mon Emma qui me le rend bien. Souvent, nous faisons des séances torrides de sport en chambre, comme maintenant.

Nous sommes étendus, nus, sur le lit. Je la caresse, tout en déposant ci et là des baisers sur son ventre, ses seins, son cou… Soudain elle se redresse pour s’asseoir. Je suis le mouvement, sans cesser de patiner son doux corps que j’aime tant. Elle pose son doigt sur l’arête de mon nez, elle en suit la descente avant de glisser sur mes lèvres :



Je prends sa tête entre mes mains :



J’approche son visage du mien, elle pose ses mains sur les miennes, je lui souris :



Elle me donne un baiser furtif :



Elle ôte ses mains des miennes pour les poser derrière elle, ses seins dardés vers moi :



Je fais semblant de la gronder :



Surpris, je me raidis, je lâche son visage. Elle me regarde d’une façon un peu curieuse. C’est elle qui rompt le silence avant moi :



Pour toute réponse, je me jette sur elle pour l’enlacer et l’embrasser. Nous roulons dans le lit, tout en nous dévorant. Nous passons de la sorte un bien agréable moment. Soudain elle se détache de moi, et me regarde droit dans les yeux, avec une lueur que je connais bien :



Elle glousse, chassant ma phrase d’un geste de la main. Puis elle s’allonge sur le côté gauche, sa jambe du même côté tendue, l’autre recroquevillée. Moi, je m’agenouille de part et d’autre de sa jambe tendue, me positionnant ainsi tout près de son entrejambe offert. Elle connaît très bien la suite des opérations, ce n’est certainement pas la première fois que je la prends ainsi, d’autant que c’est elle qui le désire !


J’aime cette position un peu curieuse : je peux lui caresser voluptueusement les seins, jouer avec ses tétons durcis, la masturber en titillant son clitoris offert, tout en l’enculant joyeusement et profondément !



Elle rit, mais ne change rien à sa position :



Je me contente de caresser ses seins tandis que mon autre main furette sur ses fesses. Mon tuyau, qu’elle connaît très bien, se cale petit à petit dans son sillon arrière que je dégage lentement, pour mieux profiter de l’instant présent. En appui sur une main derrière l’oreille, elle me regarde en souriant :



Elle pouffe, s’allonge, se détend totalement, ouvrant légèrement sa délicate rondelle sombre. C’est tout ce qu’il me faut, mon gland trouve sans problème l’entrée et s’y enfonce avec aisance. Elle soupire de contentement de me savoir à l’orée de son ténébreux tunnel. Soulevant sa fesse droite, je facilite mon intromission en elle, tel un serpent qui disparaît dans son petit trou accueillant.


Je caresse toujours son sein, le pétrissant, le possédant sans vergogne. Je coulisse de plus en plus loin en elle, j’adore me voir disparaître ainsi. J’abandonne son sein pour venir titiller son clitoris bien à l’abri dans une fente déjà assez humide, ce qui prouve, une fois de plus, que l’organe le plus sexuel reste le cerveau qui s’excite en fonction des circonstances, car pour une femme, il n’y a pas de prostate pour aider à la stimulation, même si l’anus est assez innervé. Emma aime que je la prenne ainsi, que je la possède toute entière de cette façon. Il est vrai que mon faible diamètre facilite grandement les choses ! Et puis comme j’adore passer par là, qu’une femme s’offre à moi de cette façon impudique et abandonnée, ça tombe très bien.


Peu après, je commence lentement à la pistonner afin de faire entrer petit à petit toute ma longueur dans ses profondeurs intimes et obscures. C’est vrai que je pourrais me demander où se nichent mes nombreux centimètres de tige souple mais néanmoins assez droite, tout au plus un arc de cercle, car il est certain qu’en projection, je dépasse le nombril… Si, si, n’oubliez pas que je l’ai plutôt longue ! Peu importe ! Je suis très bien où je suis, je suis au chaud, je suis en elle, je sens ses chairs sur ma peau !


Vicieusement, je coulisse d’une façon de plus en plus ample, extirpant ma queue à moitié avant de la réintroduire sans trop de ménagement. J’entends ma femme respirer à grands coups sous l’assaut. Je continue à la masturber, afin de compenser, je commence à la connaître sur le bout des doigts, si je puis dire. Je force la dose, pour lui en mettre plein le cul, pour la malmener un peu comme elle ne déteste pas parfois. Elle proteste :



Alors, projetant mon bassin vers l’avant, j’enfourne en elle la totalité de ma longueur avant de me caler dans ses entrailles. Puis j’amorce des plus petits mouvements de va-et-vient, sans oublier de la masturber. Mon autre main saisit son sein et commence à jouer avec un téton bien érigé. Elle gémit doucement, elle vibre un peu. Elle accompagne mes coups de queue en elle par ses ondulations de bassin. Je respire à grands coups pour continuer à me contrôler, sinon j’éjaculerais trop vite. Elle accélère le mouvement, j’en fais de même, aussi bien derrière que devant. Le rythme devient de plus en plus bestial, brutal, elle tend plus encore les fesses, comme si elle n’avait pas assez de queue en elle ! Pourtant, j’ai largement de quoi la remplir bien loin !



Elle pousse des petits cris, ses mouvements s’accélèrent encore, encore. Je la pistonne sans vergogne, impudiquement, elle, mon adorable chose, mon objet de plaisir !



Elle se débat, se remue dans tous les sens, secouant ses seins, des tas de petits cris rauques en bouche, puis soudain, elle se raidit, j’entends alors une longue plainte discordante qui explose en mille halètements !


Alors, moi aussi, je me laisse aller ! Tandis qu’elle jouit impudiquement, remuant lascivement du bassin, pivotant autour de ma tige rivée en elle, je force plus loin encore pour expulser tout mon sperme, pour la remplir, la combler, l’envahir, pour être au plus profond d’elle, au plus lointain, laisser ma marque en elle, elle, mon adorable chose à plaisir, ma douce femme, ma belle salope !



Oh oui, j’adore me laisser aller avec elle à tous ces délires ! J’adore l’avoir à moi, la posséder, elle pour qui j’ai dû, il y a quelques années, faire certaines choses. Je ne les regrette pas. Peut-être que j’irai brûler en enfer, si l’enfer existe, mais vivre avec Emma, vieillir avec elle, ça le valait bien…


Et ce n’est certainement en ce moment où elle s’abandonne totalement à moi, en ce moment où je me vide complètement en elle que je vais regretter !