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Temps de lecture estimé : 9 mn
04/07/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Attirée par l'appât du gain, la directrice d'une agence immobilière se fait piéger par un vieillard aux idées coquines.
Critères:  fh hplusag grosseins humilié(e) chantage confession
Auteur : Patrick de Toscane            Envoi mini-message

Série : Cathy & Papy

Chapitre 01 / 03
Papy est un suceur de tétine

Papy est un suceur de tétine



Cette histoire m’a été racontée au début du mois de juin par le petit-fils d’Antoine, le grand-père de l’histoire que je vais maintenant vous narrer.




Catherine sortit de chez l’esthéticienne et traversa le passage pour piétons. Soudain elle comprit son erreur et accéléra sa foulée pour se mettre en sécurité. Un coup de klaxon retentit : était-ce pour son culot, ou plus probablement pour cette poitrine qu’elle venait de bousculer de manière indécente sous le nez d’une file d’automobilistes ?


La directrice poussa la porte de sa petite agence immobilière. Un silence s’installa dans les locaux climatisés… Deux employés s’éclipsèrent sous le regard de Catherine. Le troisième trébucha, alors que le dernier de ses employés reluqua discrètement le tailleur-jupe courte de la voluptueuse quinquagénaire.


Seule dans son bureau, Catherine rangea quelques dossiers en suspens. Elle saisit une paire de lunettes et consulta son agenda : cet après-midi, elle avait une visioconférence avec le directeur général du groupe Echo Imm France. Mais pour ce matin, un simple rendez-vous en extérieur.


Entre dix heures et midi, elle devait visiter un petit pavillon de banlieue ; les deux fils de monsieur Lopez l’avaient sollicitée pour estimer la demeure vacante de leur père récemment admis en maison de retraite. Pour éviter d’alerter le voisinage et de faire naître des questions gênantes, les deux frères lui avaient demandé de passer par l’arrière-cour et une discrète porte de jardin.

Catherine était habituée à ces petits arrangements, mais à chaque fois elle se sentait un peu coupable. Elle réunit quelques affaires et les clés de la demeure qu’elle plaça avec contrariété dans sa mallette.


La directrice de l’agence immobilière gara son Audi à l’autre bout de la rue. Le quartier était calme. Construits dans les années 70, les nouveaux propriétaires étaient maintenant de vieux retraités. Catherine mit ses lunettes de soleil et remonta la rue jusqu’au 17 où discrètement, elle attarda son regard sur le pavillon : il était dans un relatif abandon, et la haie débordait en largeur sur le trottoir.


Catherine fit le tour de la propriété par la rue des Lilas, et rapidement elle identifia le vieux portillon. Avec audace, elle introduisit la clé dans la serrure et déverrouilla la grosse serrure.

Les charnières grincèrent et Catherine s’empressa d’entrer dans la petite allée pavée de mauvaises herbes. La végétation heurtait ses mollets et elle devait jongler avec les obstacles naturels pour ne pas tacheter ses escarpins.


Elle détailla les lieux : le puits était bien le seul élément vendeur dans cette demeure d’une autre époque. Elle avança dans la petite allée jusqu’au perron. Par les vitres, elle identifia une vieille cuisine. Elle ôta ses lunettes de soleil et déverrouilla la porte qui débouchait dans un couloir. Un mélange d’odeurs de moisi et de vieille soupe emplit désagréablement ses narines.



La vieille voix électrisa le couloir. Catherine sursauta et se retourna sur un vieillard en fauteuil roulant.



L’homme tenait fermement un fusil de chasse qu’il pointait sur Catherine. Il poussa un petit rire équivoque et bougonna :



Catherine ouvrit grand les yeux, son sac à main tomba à terre et, à la recherche d’une pirouette, elle serra sa mallette contre sa lourde poitrine.



Le vieil homme posa son arme sur ses cuisses et recula son fauteuil avec ses doutes.



Le vieil homme poussa un long soupir en s’éloignant dans un couloir.



Catherine sursauta : elle n’était pas soumise à ce genre de familiarité. Elle suivit l’homme en fauteuil roulant jusque dans le salon. Elle posa sa mallette et son sac pour sortir une paire de lunettes.

L’homme déposa son fusil sur un fauteuil et il se retourna sur celle qui restait pour lui une hors-la-loi ; il la surprit détaillant du regard ses biens d’une vie et quand elle le découvrit, elle pinça les lèvres en baissant les yeux. D’un regard glacial, le vieillard la déshabilla des pieds à la tête, il s’attarda sur cette poitrine qui semblait avoir la bougeotte. Hypnotisé, il semblait réaliser, chaque seconde, qu’il avait devant lui « une bombe ».

Antoine resta songeur, avant de croiser le regard inquiet de cette brune BCBG.



À nouveau, Antoine fixa cette poitrine qui s’agitait au rythme de l’irritation de Catherine.



Catherine n’avait pas l’habitude qu’on lui parle sur ce ton. À l’agence, elle était la patronne et au niveau de la région, ses subordonnés la craignaient.

Un instant de silence s’éternisa… L’homme soupira et Catherine recommençait à décrire le salon…



Catherine ne répondit rien ; elle détaillait les huisseries pendant que le vieillard la détaillait du coin de l’œil : cette paire de jambes nues jusqu’à mi-cuisses, ces fesses moulées dans une jupe sur mesure ou cette bouche à peine maquillée.

Catherine quitta le salon et sans gêne, elle monta l’escalier. Avec un temps de retard, Antoine la suivit et put détailler les cuisses fermes en rêvant de découvrir un temple inaccessible.

À voix basse, il baissa les yeux vers sa braguette et son vieux compagnon.



Il poussa un petit rire…



Elle disparut dans le couloir à l’étage et l’homme abandonna son fauteuil pour deux cannes.



Catherine visita les deux chambres, sortit de la salle de bain et sursauta en voyant l’homme. Antoine était mal assuré sur ses béquilles et elle s’approcha de lui :



L’homme l’écarta avec sa canne et Catherine capitula le dos contre le mur.



Catherine soupira en maugréant. Le vieil homme se retourna face à elle et vigoureusement, il planta sa canne droite entre les jambes de Catherine, juste en dessous de sa jupe pour la rendre inoffensive.



Avec sa main, elle essaya de retirer la canne, mais en vain… Catherine se pencha et enroula ses doigts autour de la canne, mais eut peur de faire trébucher le vieillard. Elle réalisa que dans cette position, elle donnait une vue extraordinaire dans sa vallée accidentée ; Antoine put découvrir un échantillon des deux gros lolos bien confinés dans un précieux soutien-gorge.

La gorge serrée, en délicatesse pour la première fois de sa vie, elle sentit la canne remonter lentement… Leurs regards s’affrontèrent. Sa jupe courte se relevait délicatement sur le haut de ses cuisses subitement nerveuses… Une éternité qu’il n’avait pas vu une peau veloutée et lisse, bronzée… Antoine se mit à fantasmer et esquissa un sourire en comprenant qu’il pouvait encore avoir quelques frissons.

Le vieil homme retira sa canne.



Catherine serra les mâchoires pour ne pas répondre.



Il la fixa avec un léger sourire… Il se sentait revivre.



Catherine se retenait de sortir de ses gonds.



Catherine inspira à pleins poumons…



Elle expira en regardant en l’air tout en grimaçant.



Le regard d’Antoine fit « pause » sur la poitrine qu’il avait à portée de main. Catherine fronça les sourcils et inspira à pleins poumons pour « crucifier » le vieillard, mais au dernier moment, elle hésita.



La respiration de Catherine commençait à s’accélérer ; elle regardait tout autour d’elle, la perspective d’être souillée par la suspicion était, pour elle, tout aussi incriminable que la culpabilité.



Déstabilisée, elle s’éloigna de quelques centimètres.



La tête et le regard bas, Catherine entra dans la chambre… Pendant que le vieil homme s’asseyait sur le bord de son lit. Pudique et dos à Antoine, la quinquagénaire déboutonna lentement son chemisier…

Elle sentait son cœur cogner fort contre ses doigts…


Elle ôta son chemisier… dévoilant ainsi un soutien-gorge sur mesure fraîchement sorti de la corsetterie.


À deux mètres, Catherine pivota face à lui. Elle descendit une bretelle et baissa difficilement un bonnet pour libérer une imposante mamelle bronzée.

Elle vint à la rencontre d’Antoine tout sourire et enthousiaste, l’homme tendit sa bouche vers la large aréole claire. Soudain, une douleur arrêta l’enthousiasme du vieil homme et il redevint courtois. Catherine ferma les yeux en pensant à cette déchéance : elle, la mère de famille exemplaire était en train de s’offrir.


La douleur se dissipa et Antoine put lever les yeux vers l’offrande : son regard resta un instant sans vie. Il leva ses doigts tremblotants vers les aréoles gonflées en craignant la sentence de cette femme du monde. Il croisa son regard sévère et avança sa bouche sur le téton qui commençait à s’éveiller. Il aurait tant aimé qu’elle montre un signe de plaisir… N’en pouvant plus, Antoine ouvrit grand la bouche et aspira tout le mamelon dans sa bouche en gémissant ; il l’aspira à perdre haleine. Catherine fermait les yeux et refusait de geindre, mais ses gros tétons la trahissaient.


Soufflant fort, Antoine leva le menton et sortit une vieille langue pour savourer la dureté de ce gros téton, avant de le sucer : exercice moins éprouvant pour lui. Pendant un instant, il crut que son sexe avait frétillé, mais hélas…



Catherine fit un pas en arrière et chercha la table de chevet. Antoine s’essuya la bouche et la brune BCBG prit un mouchoir en papier pour nettoyer son sein maculé de salive.


Sans un mot, elle remit son sein dans le bonnet. Catherine quitta la chambre et patienta dix minutes dans le salon. Reposé comme les hommes des nuits de Catherine, Antoine arriva dans le salon dressé sur ses béquilles.



Catherine termina d’ajuster son chemisier en analysant le double sens des mots d’Antoine.



Le vieil homme était écarlate : depuis quelques minutes, il n’arrêtait pas de l’imaginer, tête-bêche, les hanches de « sa » pouliche entre ses mains, ses deux orifices offerts à ses yeux… et à son choix.



Un silence s’installa, avant que Catherine ne disparaisse en claquant la porte.



FIN




Voici la fin un peu brutale de cette histoire. Je me demande si ces deux-là vont véritablement se revoir ? S’il va se produire un nouveau truc ? Si j’ai des nouvelles, je ne manquerai pas de vous tenir informés, à moins que ça ne vous intéresse pas du tout !


Patrick de Toscane