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Temps de lecture estimé : 14 mn
04/07/15
Résumé:  La rencontre d'un jeune et de sa belle-mère qu'il va initier à toutes les perversions.
Critères:  f fh fplusag frousses vacances boitenuit nudisme fmast fellation cunnilingu confession -totalsexe -extraconj -bellemere -fellation
Auteur : Denise            Envoi mini-message

Série : Ma rencontre

Chapitre 01 / 04
La découverte tardive du bonheur

Je m’appelle Denise ; j’ai 69 ans, je suis une vraie rousse, 1,60 m, très mince, mal mariée à un homme qui ne m’a pas touchée depuis 30 ans, 4 enfants. J’avais oublié les joies d’être désirée par un homme.

Mon mariage n’était pas une réussite.


De 15 à 17 ans, je n’avais eu que très peu d’aventures ; elles furent très ordinaires, et surtout faites de bisous et de frottements manuels au-dessus des vêtements. En fait, je ne me languissais que d’une chose : partir de chez mes parents et trouver un bon mari, un bon père.


À 17 ans, j’étais mariée et enceinte. Jamais je n’aurais pensé que ne pas désirer l’homme qu’on épouse foutait un mariage en l’air dès le début. On a eu une ou deux bonnes années, un enfant puis 2, 3, 4, mais je m’ennuyais. Il m’ennuyait.

J’aurais aimé sortir, rire, parler souvent, découvrir l’amour, se faire confiance, moi qui étais pudique mais qui ne demandais qu’a l’être moins.


Résultat : on faisait l’amour dans le noir, si on peut appeler ça l’amour. Les seules fois ou j’ai vraiment eu envie – de lui – c’était au début du mariage ; et de faire l’amour tout simplement, c’était quand j’étais enceinte. (Une seule fois ; les hormones, sans doute).

Mon mari fermait son livre, éteignait la lumière ; je faisais de même, et j’attendais qu’il "finisse", même s’il espérait me donner du plaisir. En fait, j’appréciais la pénombre totale pour pouvoir grimacer à mon aise – de dégoût – mon pauvre mari n’étant équipé que d’un sexe de 8 cm en érection et 4 cm en pause, et surtout très rapide en la besogne avec ses 4 allers-retours.


Nous avions une villa agréable, loin du bruit et de l’agitation de la belle ville d’Aix-en-Provence. Notre vie intime était réglée, rien d’exceptionnel à 30 ans, après 10 ans de mariage. Je voyais la routine s’installer et mon mari oublier son devoir conjugal.


Je l’ai trompé, une fois avec un homme qui faisait des travaux dans notre villa, mais rien de folichon. Il m’avait surprise alors que je lui préparais son repas de midi, en m’embrassant dans le cou tendrement, en passant ses mains sur mon corps, puis en m’embrassant sur la bouche. Il avait relevé ma robe, m’avait mise sur le ventre, sur la table de la cuisine, et avait baissé ma culotte. J’étais restée sans réaction, tellement tout ça avait été très rapide et inattendu.


Il avait sorti son petit sexe et m’avait prise là, sur la table, sans vergogne ni préliminaires. Chaque matin, quand il arrivait pour travailler, il baissait son pantalon pour que je lui fasse une pipe, et le midi il me prenait en levrette dans ma cuisine. Il passait son temps à me prendre rapidement (trop rapidement) en levrette, vite fait mal fait : rien de neuf par rapport à mon mari, ni la rapidité, ni la taille de leurs petits sexes. Après deux mois de travaux nous en étions restés là. Il venait de temps en temps manger à la maison avec sa femme, et je trouvais la situation cocasse.

L’inaction de mon mari m’a rapprochée de mes enfants au point de devenir exclusivement une mère.


Je vais vous raconter ce qui est advenu de ma vie sexuelle grâce à mon gendre…



Ma fille aînée, à l’époque 26 ans, était mariée depuis six ans avec un sympathique jeune homme plein de vie, de muscles et de malice. Beau brun ténébreux, il avait un sourire à faire hurler de supplice un couvent de bonnes sœurs. Il était très grand et très musclé. Jeune cadre dans une grande société, du haut de ses 26 ans il semblait déjà vouloir ce qu’il voulait. Il m’embrassait souvent avec délicatesse, ses lèvres très proches des miennes, toujours sa main dans mon dos – voire sur le bas du dos – caressant en douceur celui-ci. J’avoue que de temps en temps je l’allumais un peu en écartant les jambes plus que de mesure dès qu’il se trouvait en face de moi, ou lorsque j’étais en maillot de bain et que j’enlevais mon haut, dos à lui, pour mettre mon paréo transparent. Des fois, j’aimais bien jouer avec lui dans la piscine, faisant semblant d’essayer de le faire couler pour pouvoir me tenir proche, voire très proche de lui, sentant parfois une bosse dans son maillot de bain que je tâtais avec le dos de ma main, mon coude ou mon avant-bras, et des fois mes fesses venaient se coller contre lui pour se frotter rapidement. Il me souriait toujours, plein de tendresse.


Un après-midi, je me délassais nue, allongée sur un transat devant ma piscine après une longue matinée chargée, heureuse de ce moment de détente, mes enfants ne devant pas rentrer avant 19 h.

Tout à coup, ma fille de retour de balade vint me dire bonjour, me fit la bise, et là, stupeur ! Son mari était avec elle ; il l’avait suivie ! Il vint me faire la bise.


Alors que d’habitude j’étais toujours en maillot de bain, là il me découvrait entièrement nue. Je protégeai ma nudité de sa vue en posant mes mains sur mon sexe, essayant maladroitement de cacher ma poitrine (85 B) avec mes bras. J’étais complètement nue, exposée à la vue de mon gendre. Ma fille éclata de rire devant la situation et tourna les talons pour aller se mettre en maillot. Mon gendre, face à moi avec un sourire contemplatif, des yeux admiratifs, me détailla encore de la tête aux pieds, au point de me faire rougir de honte.

À l’appel de ma fille, il me dit :



Il inclina la tête pour me montrer une bosse énorme à travers son pantalon de toile.



Partant en marche arrière pour continuer de me mater, il s’embroncha dans la petite marche de la terrasse et se retrouva les quatre fers en l’air. J’éclatai de rire à mon tour et j’en profitai pour m’enrouler dans une serviette ; il me sembla que mon abricot avait l’air humide.


J’ai évité avec beaucoup de soin de le rencontrer les jours qui suivirent cet incident malheureux.


Plusieurs semaines après cet incident, nous sommes partis en week-end avec ma fille et mon gendre au camping de Sainte-Maxime dans un mobil-home. Les plus jeunes sont partis direct à la piscine pour retrouver leurs copains ; ma fille m’a proposé de les accompagner à la plage. Connaissant les goûts pour le naturisme de ma fille, j’ai préféré refuser. Je suis partie de mon côté à la plage du camping, où j’ai pu faire bronzette seins nus.


Lorsque je suis rentrée, toute la troupe était déjà là. Les petits et ma fille aînée sont partis aux douches communes, mon gendre étant déjà sous la douche.

Alors que je rentrais dans le mobile-home, il sortit de la douche. Me voyant, il a souri et m’a demandé de lui apporter sa serviette qu’il avait oubliée sur le lit. J’avoue qu’au repos, son sexe était déjà long, plus long que celui de mon mari et ex-amant en érection ; j’avais eu du mal a tourner mes yeux autre part.


Alors que je lui tendais sa serviette, son sexe était en semi-érection ; il commençait à prendre de belles proportions ! Il m’attrapa la main, m’attira vers lui et m’embrassa. Devant toute cette fougue, surprise, j’essayai maladroitement de me dégager. Il me serra fort contre lui, me fit pivoter, dos à la paroi ; j’étais coincée. J’essayai de me dégager en le repoussant, mais avec sa poigne il arriva à me maintenir contre la paroi, sa langue essayant à tout prix de prendre ma bouche. Son sexe en pleine érection venant battre contre mon ventre, je lâchai la serviette pour essayer de le repousser. Il était ferme, mais doux en même temps. Mon corps commença à réagir positivement à ses caresses. Il a continué à m’embrasser dans le cou, puis il est revenu vers mes lèvres.


À ce moment-là, j’ai craqué et je répondis à son baiser. Je pris son sexe dans ma main pour commencer à le branler. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti ce désir… Sa main a lâché mon poignet pour s’emparer de mon sein alors que son autre main était déjà dans mon maillot, titillant mon bouton d’or. On s’est branlé mutuellement, sauvagement. En peu de temps il a joui sur mon tee-shirt, alors que peu de temps après je l’ai rejoint dans une jouissance que je n’avais jamais connue.


Tremblant de toute part, je l’ai laissé m’enlever le tee-shirt, puis mon haut et mon bas de maillot. Il m’a embrassée tendrement, est descendu doucement vers mes seins, a pris en bouche mes tétons qui étaient déjà bien érigés, les a aspirés, léchés, sucés, puis il est descendu doucement vers ma toison, me complimentant sur le fait que je n’étais pas rasée. Il m’a léchée et aspiré mon bouton pendant qu’avec ses doigts il me fouillait le vagin. J’ai mis peu de temps pour lui jouir dans la bouche ; ni mon mari ni mon amant ne m’avaient jamais fait ça !


J’ai repris mes esprits ; je l’ai mis en dehors de la salle de bain et je me suis douchée.

Toute la soirée il n’a pas arrêté de me faire du pied sous la table, profitant du moindre moment où nous étions seuls à l’intérieur pour me caresser les fesses, les seins. J’étais entièrement à sa merci.


De retour à la maison, j’ai réfléchi à ce que j’avais fait sous l’impulsion d’un démon intérieur oublié depuis longtemps ; ce n’était pas flatteur pour moi.


Le lundi, je reçus un bouquet de fleurs magnifiques de sa part. Le mardi, une boîte de chocolats avec une invitation à déjeuner. Après hésitation, je n’y suis pas allée. Le mercredi, j’ai reçu un bouquet de fleurs avec une invitation à déjeuner. Il m’a appelée, mais je ne l’ai pas pris et je ne suis pas allée à son déjeuner. Le manège a duré un mois. J’ai tout fait pour l’éviter ; même à la maison je prétextais du travail ou autre chose pour ne jamais être là.

J’avoue que ce qu’il m’avait fait m’avait secouée.


Entre-temps, mon gendre m’avait offert un sextoy pour mon clito, « un lapin pour me faire du bien », comme il disait. Je l’utilisais régulièrement ; j’avais de grandes jouissances à chaque fois. Cela faisait six ans que mon corps de femme était en sommeil ; une folle incartade l’avait réveillé.


Après trois mois de sollicitudes, alors que je pensais qu’il allait s’essouffler, mon gendre a décidé de passer la vitesse supérieure.


Un jeudi après-midi, alors que j’étais seule à la maison, les enfants à l’école, le mari au travail, tranquillement à la maison je me délassais en peignoir, dans ma chambre, devant la télé. Je regardais un film ; mon imagination s’égarait. J’ouvris en grand mon peignoir et je me caressai le clito d’une main, la poitrine de l’autre, les jambes bien écartées. J’accélérais le mouvement puis je ralentissais. Je voulais que cela dure longtemps. J’utilisai mon sextoy sur mon clito. Après de longues minutes de ces caresses infernales, je fermai les yeux car la jouissance arrivait. Je sentis une présence, mais je pensai que c’était ma libido ou le film ; cela m’a excitée encore plus, et j’ai joui très fort.


En ouvrant les yeux, je vis mon gendre devant moi, nu comme un ver, en train de se masturber. Il s’est approché de moi. J’étais rouge pivoine. Il est resté droit devant moi. N’en pouvant plus, je me suis approchée. J’ai pris son gros membre dans ma bouche et je lui ai pompé la queue jusqu’à ce qu’il me crache sa sève sur les seins. Il m’a félicitée pour ma performance, m’a embrassée à pleine bouche et il est descendu vers mon puits d’amour qu’il s’est mis à lécher. Il m’a introduit un doigt dans la chatte, puis dans le cul. Je lui ai dit que j’étais vierge de ce côté-là et qu’il fallait être très doux. Il ma léchée et aspiré le bouton ; j’étais comme folle. Il m’a pénétrée avec deux doigts dans chaque orifice et il m’a fait jouir, jouir, jouir…


Son sexe ayant repris de la vigueur, il s’est mis une capote et l’a introduit dans mon sexe trempé qui attendait d’être honoré depuis si longtemps. Il m’a prise avec beaucoup d’intensité, avec un va-et-vient très rapide, puis il m’a retournée sur le lit, mise à quatre pattes et il m’a prise en levrette. Je n’ai pas résisté longtemps à ce traitement de choc et il m’a encore fait avoir un orgasme titanesque. Il m’a remise sur le dos, a retiré sa capote et il est venu se glisser entre mes seins, se branlant avec énergie au milieu de mes globes. Il a joui en m’envoyant son sperme sur le visage. Pendant que je récupérais, il m’a demandé si j’avais des petits secrets. Il m’a dit que ma fille pensait que le sexe et moi, c’était fini depuis longtemps.


Sa performance m’a mise dans tous mes états. Comment avais-je pu me passer depuis si longtemps d’un tel bonheur ? Je suis devenue folle de son sexe, et nos après-midis sont devenus réguliers. Il était très inventif, et en peu de temps il m’a fait découvrir des choses inconnues, comme le cunnilingus, l’exhibitionnisme ou la sodomie qu’il pratique régulièrement avec mon gode dans la chatte, pour me préparer à la suite, m’avait-il dit.


Nous nous voyions souvent à l’hôtel, où nous pouvions donner libre cours à notre passion. Il ne pouvait pas s’empêcher de me faire l’amour non sans m’avoir longuement léché le minou. Ça me rendait folle, mon mari ne s’étant jamais exécuté sur cette caresse précise.


Il m’a récemment prise debout ; il faut dire qu’il est particulièrement costaud. Alors que nous rentrions dans la chambre, il m’a embrassée et déshabillée sur le pas de la porte, m’a soulevée avec ses bras et m’a collée contre le mur. Tout d’un coup j’ai senti sa main se glisser sous ma jupe, me caressant les fesses. Ce geste me fit mouiller comme une folle. J’ai senti son majeur venir titiller mon bouton, puis son pouce prendre possession de ma chatte. De ses bras musclés il me fit monter puis descendre pour m’empaler sur son sexe en érection. Il me fit aller et venir sans discontinuer pendant un long moment, et je ressentis une décharge électrique comme jamais je n’en avais ressentie ; mon gendre me faisait jouir entre ses bras. À la limite de l’évanouissement je le sentis jouir à son tour et je crus qu’il m’avait explosé le minou.


Il m’imposait maintenant de mettre des strings ou rien c’était très excitant, mais parfois un peu gênant. En voiture, il en profitait pour me caresser les cuisses ; il en profitait même pour me doigter et me faire jouir : il était terrible, et surtout très efficace. Sur l’autoroute, il me demandait de m’exhiber, chemisier ouvert et jupe enlevée pour le plaisir des routiers. J’ai un peu hésité au début, mais comme d’habitude il a su trouver les arguments pour me décider. Je lui ai même fait une pipe en roulant.


Un soir, nous sommes sortis en boîte avec ma fille, très étonnée de ma présence, et des amis à eux. Nous sommes d’abord allés au restaurant où il n’a pas arrêté de me faire du pied. Il a glissé son pied entre mes jambes ; cela lui a permis de vérifier que je n’avais rien sous ma jupe. Pendant que ma fille était aux toilettes, il en a même profité pour me pénétrer avec son gros orteil ; il faut dire que je m’étais avancée sur le rebord de la banquette pour lui faciliter la tâche.

Nous avons rejoint leurs amis à l’entrée de la boîte ; une bande de Blacks, que des mâles. Là, il m’a présentée Sam, un grand Black qui était son ami d’enfance et avec qui il partageait tout, me glissa-t-il à l’oreille. Sur l’instant, je n’ai pas forcément compris ce que ça voulait dire.


Au cours de la soirée, alors que je dansais avec mon gendre, je me suis aperçue que Sam, à côté de ma fille sur la banquette, était vraiment très collé à elle avec ses copains, et qu’à certains moments ils avaient leurs mains qui se baladaient, sur sa poitrine, ses jambes, son entrejambe. Elle ne portait pas de culotte ; par contre, elle était rasée complètement.

Mon gendre avait l’air d’apprécier la situation. À un moment, il m’a attirée vers lui, et on s’est dirigé vers un coin plus sombre, loin des autres. Là, il m’a embrassée et a commencé à me caresser le dos, les fesses, les cuisses, l’entrejambe, mon clito ; c’était très excitant de se faire caresser alors qu’il y avait du monde pas loin. Il m’a pénétrée avec deux doigts, m’embrassant à pleine bouche, le pouce s’agitant sur mon clito.


À ce rythme infernal, je n’ai pas mis longtemps pour jouir. Il m’a alors mis la main sur l’épaule pour me faire comprendre ce qu’il désirait. J’ai ouvert se ceinture et sa braguette ; je me suis accroupie et j’ai pris son sexe en bouche. Ma langue allait et venait autour de son gland pendant que ma main le masturbait. J’accélérai le mouvement pour que cela ne dure pas trop, mais étonnamment il résistait. J’ai mis ma bouche pratiquement jusqu’au bout de sa verge ; je l’ai aspirée comme si je la tétais, et il a joui dans ma bouche.


Je lui ai dit que j’allais aux toilettes pour me réajuster. Là, dans les toilettes du fond – pas tout à fait fermées – une femme et un homme faisaient l’amour. Je me suis lavé les mains et rincé la bouche. Vu les bruits de succion, la femme tirait une pipe au mec. Excitée comme j’étais, je me suis approchée. Comme je ne voyais pas bien, j’ai entrouvert légèrement la porte ; et là, stupéfaction : ma fille était en train de sucer Sam, qui visiblement avait une queue encore plus longue et plus épaisse que mon gendre ! Il me regarda et me sourit, très content de pouvoir me montrer son sexe. Je suis devenue toute rouge et je suis partie. J’ai raconté à mon gendre ce que j’avais vu ; il m’a répété qu’il partageait tout avec Sam, et que ma fille appréciait son gros bâton noir. Devant mon étonnement, il m’a dit que si je voulais je pourrais en profiter aussi.


Ma fille et Sam sont revenus peu de temps après, l’air de rien. Une série de slows a commencé ; mon gendre et ma fille sont partis danser. Au moment où j’allais m’asseoir, Sam m’a invitée à danser. Nous nous sommes retrouvés sur la piste. Il me serrait de près… Ses mains me caressaient le dos, puis descendirent peu à peu ; je lui ai remonté ses mains en lui disant que je n’étais pas du tout d’accord. On a continué à danser ; il s’est collé un peu plus. J’ai pu sentir sa verge en érection se frotter contre mon ventre ; je me suis moi-même frottée à lui, mais je suis restée inflexible : je n’étais pas d’accord, même très excitée.


Pour le retour, mon gendre m’a demandé de monter avec Sam car il était seul. Il a bien essayé en route de me caresser les cuisses. Il avait une grosse bosse que je voyais très bien à travers son pantalon, mais je n’ai pas accepté toutes ses avances malgré l’envie qui me prenait le ventre de prendre cette queue dans ma bouche. Je n’allais quand même pas me jeter dans les bras d’un inconnu sous prétexte que mon gendre l’avait décidé ! Arrivée devant chez moi, il a baissé son pantalon. Sa queue noire a jailli et a percé l’horizon, énorme. Il m’a dit : « Si tu ne me suces pas, je sors à poil et je fais du bruit pour que tes voisins me voient devant chez toi. »


Cette queue noire, je l’ai empoignée et je l’ai sucée. Elle était belle, dure, longue et épaisse ; c’était très agréable. Ma main montait et descendait, et il y avait encore de la place pour que je gobe le début de sa queue ; son gland perlait de bonheur. Après cinq bonnes minutes, il m’a joui dans la bouche et m’a remerciée en me disant que ma bouche pulpeuse était aussi habile que celle de ma fille.



À suivre…