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n° 16895Fiche technique11652 caractères11652
Temps de lecture estimé : 8 mn
06/07/15
Résumé:  Parfois, une chute de vélo peut amener à un grand plaisir !
Critères:  fh inconnu médical hsoumis fdomine fellation
Auteur : Opsilon      
La douleur apaisée

Lundi soir, la journée touche à sa fin. Toute la journée le soleil nous a offert un ciel merveilleusement chaleureux, pas un nuage à l’horizon et un léger vent pour rafraîchir l’atmosphère, un temps parfait pour un tour de vélo, la journée n’aurait pas pu être meilleure…


Enfin elle aurait pu si je n’avais pas fini ma course allongé sur le bitume pour avoir voulu éviter un piéton totalement absorbé par sa musique qui m’a coupé la route. Me voilà les genoux en sang à jurer dans le vide pendant que l’homme vient s’inquiéter de ma chute.


Je le rassure et me relève rapidement, du sang coule le long de mes jambes mais à part ça je vais bien. Le voilà qui repart me laissant assis sur un banc tout proche. Après avoir repris mon souffle et mes esprits je remonte en selle, après tout il me reste 10 bons kilomètres avant d’arriver chez moi.


Malgré mes efforts je continue de maugréer contre cet idiot qui est de plus en plus loin à chaque coup de pédale jusqu’à ce qu’enfin je sois devant chez moi. Je laisse mon matériel, me déshabille et fonce sous la douche.


L’eau ruisselle sur mon corps et lorsqu’elle atteint mes genoux je frémis autant à cause de la douleur que du soulagement que ça me provoque. Après un bon quart d’heure je quitte ma douche à regret et avant de m’habiller fais un pansement sur chaque genou.


La nuit est difficile, la douleur sans être trop forte est lancinante et empêche tout repos. Lorsque mon réveil sonne je suis presque plus fatigué que la veille.


Lorsque je change mes pansements l’un de mes genoux est déjà en train de soigner (??? P-O !) l’autre en revanche saigne toujours et n’a pas l’air de vouloir me faciliter la vie. Une chance que je n’aie pas de job en ce moment…


Alors que je fouille ma pharmacie je m’aperçois de mon manque cruel d’équipements, une bombe antiseptique un pansement et… c’est tout. Je lave la plaie y applique un peu du contenu de la bombe, colle le pansement avant de passer quelques vêtements avant de prendre ma voiture direction la pharmacie la plus proche.


Moins de 10 minutes me suffisent pour me retrouver devant une enseigne que j’ai déjà fréquentée, je me gare et jurant dans le vide chaque fois que mon genou bouge, je m’avance vers l’officine. À peine ai-je passé la porte que je me retrouve devant une file de 7 personnes, âgées pour la plupart, un rapide coup d’œil me confirme mes craintes, une seule pharmacienne pour répondre à toutes les demandes… l’attente risque d’être longue.


Près de 20 minutes à attendre et enfin mon tour arrive, derrière moi la file s’est reformée et la journée de la Blouse Blanche s’annonce longue. La pharmacienne est brune, quadra, svelte, pas vraiment de charme mais en même temps ce n’est pas ce que je lui demande…


Je lui explique ma péripétie et mon besoin en pansements et autres, je ne voudrais pas l’occuper trop longtemps vu le monde. Immédiatement elle part dans l’arrière-boutique et revient avec plusieurs boîtes de compresses et autres bandages. Je dois avoir l’air totalement perdu puisqu’elle me demande si je sais faire un pansement. Un peu gêné je lui explique que je n’ai jamais l’utilité d’en faire jusqu’à aujourd’hui.


Elle m’explique succinctement la marche à suivre mais devant mon air peu convaincu elle décide de passer à une autre méthode.



Je la suis dans l’arrière-boutique et la voilà qui appelle quelqu’un.



Voilà alors que sort une petite brune de derrière une pile de cartons plus haute qu’elle. 1,65m, fine, une queue de cheval stricte, 25 ans tout au plus et un regard émeraude à faire pâlir d’envie le soleil de ces derniers jours.



Je la suis jusqu’une petite pièce pleine de cartons, elle s’absente quelques secondes et revient avec une chaise pour me faire asseoir.



Un peu gêné je m’exécute et lorsqu’elle me montre la chaise je m’y assois sans discuter. Elle passe des gants chirurgicaux et enlève le pansement mis à la hâte.



Sa position m’offre une vue surprenante, j’ai une vue plongeante sur son décolleté et ses seins me semblent magnifiques et je parviens tant bien que mal à masquer mon érection naissante.


Je ne suis pas discret dans mon observation à tel point qu’elle claque des doigts juste devant moi en s’offusquant légèrement :



Honteux je baisse la tête et m’excuse platement. Alors qu’elle reprend son explication, cette fois-ci je ne détourne pas le regard et reste figé sur ses gestes que je devrai reproduire. En deux minutes elle a terminé et s’éloigne de ma jambe visiblement ravie d’elle-même.


Alors que je me relève je m’aperçois trop tard que mon érection est loin d’être passée, et maintenant que je me tiens droit elle est immanquable pour mon infirmière improvisée.



Je balbutie quelques mots de partir dans une excuse moisie de fatigue à cause de ma mauvaise nuit.



Devant mes doutes elle ouvre sa blouse et son chemisier offrant ses seins à mes yeux ravis ! Sa poitrine ferme n’est pas très grosse mais s’accorde à la perfection avec son corps, ses tétons pointent allègrement et alors que je me rince l’œil je la sens me saisir par les épaules pour me forcer à m’asseoir à nouveau.


Alors qu’elle se remet également à genoux je la vois verrouiller la porte de notre local d’une main alors que de l’autre elle baisse déjà mon boxer totalement déformé par mon sexe.



Je hoche la tête et lui passe la main dans les cheveux alors que sa bouche approche de ma queue dressée.



Je la rassure tout de suite et ma phrase à peine terminée je la vois lâcher un filet de salive de ses lèvres, sa main étale le liquide tandis qu’elle englobe mon gland.


La chaleur de sa bouche est accentuée par la douceur de sa langue qui vient découvrir ma couronne perlée, sa main continue de me masturber pendant qu’elle vient me caresser les bourses.


Aucun doute elle sait ce qu’elle fait ! Et elle le fait bien !


Ses yeux viennent à la rencontre des miens et je vois qu’elle comme moi apprécions le moment. Elle va-et-vient à son rythme m’offrant même de merveilleuse gorge profonde, sa salive et mon plaisir se mélangent et je la vois avaler le plus possible de notre semence commune. De ma main je caresse ses cheveux mais ne lui impose pas mon rythme, elle est trop douée pour ça.


Elle relâche mon sexe, avale sa salive et me regarde droit dans les yeux avant de me dire sèchement :



Je souris et ramène sa tête vers mon sexe qui ne tiendra pas 5 minutes de plus.


J’entends mon sexe glisser dans sa bouche alors qu’elle continue d’avaler goulûment notre mélange intime. Enfin je sens l’orgasme venir, entre deux respirations je le lui signale et lorsqu’enfin les soubresauts de mon sexe annoncent ma jouissance, elle place sa bouche juste devant mon gland et récupère deux, trois puis un quatrième jet de sperme sur sa langue. Elle continue à me masturber pour récolter jusqu’à la dernière goutte et je la vois jouer avec ma semence dans sa bouche. Sans avaler elle se relève vient près de moi et colle ses lèvres aux miennes qui s’ouvrent sans réfléchir.


Ma langue se retrouve inondée de sa salive et de mon sperme et alors que nos langues se découvrent dans ce liquide je la sens quitter ma bouche, elle fait glisser la lèvre inférieure entre ses dents et avec son sourire retrouvé elle me dit :



Nous échangeons un nouveau baiser et lorsque nous nous séparons à nouveau elle me montre ma semence dans sa bouche avant de l’avaler goulûment, piqué par son défi je lui montre également ma bouche et avale sans plus d’état d’âme.


Ravie de son effet elle me tend un mouchoir et passe un dernier coup de langue avant de me dire de remettre mes vêtements. Elle referme son chemisier, essuie quelques gouttes de sperme avec son doigt et le lèche pour ne laisser aucune trace. Avant de refermer sa blouse elle me regarde une dernière fois et me dit :



Je la rassure sur mes intentions futures, nous échangeons un nouveau baiser et enfin elle me laisse sortir de la pièce, elle m’offre un dernier grand sourire et me laisse partir, sans me raccompagner.


Lorsque je repasse devant la pharmacienne celle-ci s’inquiète de mes pansements à venir et je ne peux me retenir de faire un éloge rapide de cette jeune Clara et de ses capacités d’explications.


Visiblement ravie de sa jeune apprentie elle me souhaite une bonne journée et reprend avec son client, la file d’attente n’a pas bougé, seulement deux patients ont eu le temps d’être servis, la journée des Blouses Blanches de l’officine sera en effet longue mais l’une d’entre elle y aura au moins trouvé un peu de plaisir en plus de m’en offrir une large part !



Fin