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n° 16909Fiche technique12209 caractères12209
Temps de lecture estimé : 8 mn
18/07/15
Résumé:  Une femme mariée et délaissée se lasse et se transforme au contact d'un compagnon d'infortune dans un cabinet de kiné.
Critères:  fh hplusag amour fmast fellation anulingus fdanus jeu confession -extraconj
Auteur : DuranDuran            Envoi mini-message
Traitement post-traumatique

Je m’appelle Coralie. Je viens d’avoir quarante ans, et c’est ma première chute grave de cheval. Je participais à une compétition de cross, et mon cheval « Terminator » a refusé un saut. Je suis tombée le dos sur une barre, me cassant deux côtes, et j’ai terminé ma chute dans la rivière, me brisant le poignet droit. Et le pire, c’est que je sentais venir l’accident, n’arrivant plus à me concentrer suffisamment, suite à la lente dérive de mon couple…


En effet, je suis mariée depuis dix-huit ans, et bien que faisant des efforts pour m’entretenir, mon mari, Pierre, ne me touche presque plus. J’ai bien essayé les tenues sexy, les films coquins, les situations canailles, il semble ailleurs, fatigué. Il prétexte un stress important au travail, et je veux bien le croire, mais il n’arrive plus à déconnecter.


Moi, cette chute m’a obligée à déconnecter ! Trois fois par semaine, je me retrouve chez Éric, mon kiné, un petit jeune homme rigolo, sportif, nerveux, râblé, souriant, toujours à me chambrer, et qui plus est, très bon masseur. Mais ce n’est pas Éric qui me trouble, c’est Nicolas !


Ah, Nicolas ! La cinquantaine fringante, les yeux clairs, un côté sauvage malgré un visage d’ange buriné par l’océan. Il parle peu mais il m’écoute beaucoup, l’air détaché ! Je ne sais pas ce qu’il me prend quand je suis avec lui, mais je cherche toujours à l’observer ; il me fascine… La lenteur et la précision de ses gestes, l’investissement dans l’effort, la pureté de son regard, l’éclat de ses dents de carnassier, la bosse de son short quand nous sommes aux soins en piscine.


Bref, je ne me reconnais pas ! Habituellement si classique, plutôt prude ou, comme me disent mes nièces, un peu « bourge », je fantasme comme une midinette. Et pour la première fois depuis des années, je me suis mise à me caresser la nuit en pensant à un homme, mon mari ronflant doucement à mes côtés. Je commence toujours ainsi. Je me caresse doucement les tétons par-dessus la chemise de nuit. Je voudrais directement mettre un ou deux doigts dans ma chatte, mais je trouve qu’il est plus convenable d’attaquer par les seins. Ceux-ci bien excités, je descends et ouvre mes lèvres déjà humides, et glisse mon majeur dans le vagin. Je commence alors à imaginer des scénarii obscènes, brutaux, voire vulgaires qui m’émeuvent au plus haut point.


Physiquement, j’ai constaté que je prenais plus de plaisir à l’introduction qu’à la caresse clitoridienne. J’ai découvert également que mon anus, dont mon mari, par dégoût, a très peu usé, était par contre très sensible aux caresses. Et c’est donc avec mon majeur droit dans la chatte et mon majeur gauche dans le cul que je m’astique en étouffant mes râles. Bref, un jeu réservé aux majeurs. Discrètement, une fois ma petite affaire terminée, j’ai des lingettes au pied du lit et je me purifie consciencieusement…


Mon approche auprès de Nicolas fut lente et frustrante. Je vois bien qu’il me regarde parfois du coin de l’œil. Mais il reste si sauvage… On parle un peu à la piscine de nos accidents respectifs, chute à moto pour lui, mais rien de très subversif. Éric, mon kiné, trouve que j’ai un corps ultra ferme et des fesses terriblement agressives. C’est vrai que j’essaie parfois des positions d’étirement qui dépassent le cadre thérapeutique, mais rien n’y fait. C’est la dernière séance pour Nicolas ; je tente une dernière manœuvre en l’invitant à prendre un verre à la fin de sa séance, mais il refuse poliment. Tristement, je lui dis que nous nous reverrons peut-être au bord du fleuve où je vais marcher tous les jours entre midi et deux… Il opine de la tête et s’en va. Ce soir-là, j’ai pleuré doucement. Ces larmes retenues sont les plus douloureuses.


Quelle ne fut pas ma surprise, trois semaines plus tard, alors que je marchais sur les quais avec mon amie Julie, d’entendre derrière moi une voix grave :



Je me retourne et vois Nicolas sur un beau vélo hollandais.



Julie nous abandonne, prétextant un rendez-vous chez son coiffeur, et je vois le regard de Nicolas se poser sur les très jolies fesses de mon amie qui s’éloigne.


J’habite près du fleuve et, une fois le vélo rangé, Nicolas me suit dans la maison. C’est incroyable comme cet homme me fait envie. Je me découvre des envies effroyables de sexe qui, à la fois, m’effraient et me fascinent. J’ai toujours beaucoup auto-analysé mon comportement ; je me connaissais très flegmatique, très retenue, et je me découvre très excitée. Est-ce les quarante ans, la frustration, la blessure ?


Je sers un verre à Nicolas, et assis l’un contre l’autre nous parlons de choses et d’autres, surtout des patients du kiné que nous côtoyons souvent. Son téléphone sonne. Il me fait un petit signe pour s’excuser et répond. La conversation porte sur son travail : il semble régler les détails d’une négociation à venir, et les termes techniques s’enchaînent. J’ai envie de le taquiner.


Je pose ma main – la valide – sur sa cuisse. Après un léger tressaillement et un léger regard interrogateur, il continue sa discussion. Bref, le goujat typique ! Je pousse plus avant ma caresse, et remonte lentement sur son short. Il se laisse faire. Mes hormones sont en folie, je suis hors de contrôle. L’ange qui me dit que ce que je fais est mal vis-à-vis de ma morale et de mon mari est étouffé par le diablotin qui m’encourage à continuer ma visite. Ma main est maintenant sur la bosse de Nicolas, qui continue à parler comme si de rien n’était. J’ouvre sa braguette et sors un engin encore au repos bien plus impressionnant que celui de mon mari. Il ne réagit toujours pas. Je pousse mon avantage. Je me lève, me tourne, soulève ma jupe, et je fais glisser ma culotte aux chevilles. Je me retourne, lui passe la culotte blanche devant le nez, m’accroupis face à lui et commence à lui titiller le gland du pointu de la langue. Ce que je n’ai jamais osé faire à mon mari me semble une évidence avec Nicolas.


Je le suce maintenant ; sa voix est plus hachée, mais il continue sa discussion. De ma main valide, j’ai glissé mon majeur dans ma chatte, et avec deux autres doigts j’écarte doucement les lèvres humides. Dans l’excitation, j’avais oublié que j’étais en période de règles, qui sont très légères chez moi, mais je sens la ficelle. Petit coup de blues ! De sa main libre, il réagit enfin et me saisit un téton à travers mon tee-shirt. Je ne sais pas comment il a fait, mais d’une main ferme il m’a redressée et je suis maintenant à quatre pattes à côté de lui sur le canapé, lui une main sur le téléphone et l’autre en train de vouloir fouiller ma chatte.


Je m’esquive, je crois qu’il a compris. Sa bite a pris maintenant de bonnes dimensions et je peine à l’avaler. Son doigt a glissé et se pose maintenant sur ma rondelle palpitante. D’un mouvement sec, je m’enfonce deux phalanges dans le cul et sa queue dans la gorge. J’ai gagné : il dit à son interlocuteur qu’il a un double appel et le rappellera plus tard ! Il lâche son smartphone, m’attire à lui en glissant sur le côté, et nous nous retrouvons dans un 69 acrobatique. Sa langue est une vraie tuerie. Je jouis comme une affamée et le suce à me décrocher la mâchoire.



Il hésite un moment. Je sens son inquiétude, mais je vois aussi son envie.



Je le prends par la main et l’entraîne dans la chambre conjugale. Au moment où il me jette sur le lit, je pense qu’il faudra que j’aère et lave les draps. Mais ces considérations ménagères s’estompent vite au profit du diablotin.


Nicolas m’a positionnée à quatre pattes ; j’ai l’impression qu’il aime bien mes fesses, et il me bouffe le cul ! Il se place maintenant derrière moi. Avec ses deux pouces, il me dilate l’anus. Il a bien compris qu’aujourd’hui il n’aurait pas mon vagin. Et cela m’arrange, car j’ai le sentiment étrange que mon vagin est réservé à mon mari. Je me laisse aller à mon plaisir anal.



Je note que ce sont les premiers mots qu’il prononce depuis la fin de sa conversation téléphonique.



Son gland est énorme mais mon envie est immense. Je sens sa queue au fond de moi, j’ai des éclairs de plaisir et de douleur dans la tête. J’ai envie qu’il aille profond, qu’il accélère, qu’il me déchire. Il me lime pendant de longues minutes ; je suis sa chose, sa pute, je m’écarte les fesses pour qu’il aille encore plus loin. Ses coups de boutoir sont si violents, si précis, si bestiaux… Mon dos me fait mal. J’ai envie de goûter à son sperme !


Je sens maintenant qu’il va jouir ; il a bien tenu, ce chéri. Sans le lui demander, je me retourne – je sens mon cul encore ouvert – et lui gobe sa bite qui était encore voilà quelques secondes dans mon côlon. Il jouit presqu’immédiatement, dans un râle de cerf en rut. Nous nous écroulons côte à côte, transpirants, épuisés, heureux, inertes.


Il est parti maintenant depuis cinq minutes, et je me sens coupable. Coupable bien sûr vis-à-vis de mon époux, que j’aime malgré tout, mais aussi vis-à-vis de moi. Il a fallu que j’attende quarante ans pour découvrir un tel plaisir, alors que mon corps avait toutes les dispositions pour l’atteindre depuis au moins vingt ans. Vingt ans à lire des romans de gare alors que j’avais du Flaubert dans ma bibliothèque !


Je me dis que je n’ai qu’une vie et que je dois dévorer Flaubert ! Le diable a gagné ! Et tant que notre histoire restera secrète, cela ne fera aucun mal à mes proches… Et si je suis plus heureuse, je ferai tout pour qu’ils le soient aussi. En quelques heures, ma morale a réorienté ses voiles…


Mince, il faut que je change les draps.


Avec Nicolas, nous nous sommes revus régulièrement. Chaque fois avec le même enthousiasme d’adolescents. J’ai beaucoup d’imagination, et nous avons expérimenté de nombreuses situations. Je suis heureuse, cela se voit. Et mon amie Julie s’en est rendu compte, évidemment. Le secret est vraiment trop lourd à porter, et je me suis sentie contrainte de lui en parler.


J’ai abordé le sujet avec crainte, mais je me suis rendu compte que je me trompais sur elle. J’attendais une leçon de morale, j’ai eu droit à des milliers de questions, toutes plus indiscrètes et coquines les unes que les autres. Elle est divorcée depuis trois ans et me dit sans ambages qu’elle était en manque et m’enviait beaucoup. Un jour, avec Nicolas, nous avions évoqué un de ses fantasmes qui était l’amour à trois. Julie m’avait toujours beaucoup plu ; sa peau blanche, ses cheveux roux pâle, ses gros seins, son regard électrique. J’en glissai deux mots à Julie qui sauta au plafond d’excitation. J’allais organiser cela…