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Temps de lecture estimé : 12 mn
19/07/15
Résumé:  Tu m'attends à l'aéroport de Toulouse. Toujours friande des défis que nous nous faisons, cette fois la réalité dépassera les fantasmes...
Critères:  fh cocus inconnu parking voiture exhib noculotte intermast cunnilingu pénétratio tutu -totalsexe -occasion
Auteur : Nous 3194  (nous sommes un couple très unis)

Série : Notre histoire à Toulouse

Chapitre 01
À l'aéroport en t'attendant

Comme à ton habitude tu es partie à l’aéroport chercher ton amour, bien en avance pour ne pas le laisser attendre, anticipant ainsi les éventuels embouteillages. Obéissante et heureuse de plaire, tu t’es ce matin-là habillée en conséquence à la demande de ton chéri. Très « working girl », tu as ainsi opté pour un tailleur jupe courte, et osant, tu as décidé de couvrir tes jambes des bas à coutures qu’il t’a offerts, le tout retenu par un porte-jarretelles. Joueuse et déjà excitée à l’idée de lui plaire, tu as décidé de laisser ta culotte dans ton armoire, et profitant de cette belle journée d’automne, tu ne peux qu’apprécier le souffle léger du vent sur ton intimité quand tu te déplaces dans le parking de l’aéroport en direction du hall des arrivées.


Les escarpins rouges choisis sont aussi du plus bel effet et montrent un contraste saisissant avec le noir et mettent en valeur l’ensemble. L’avion a du retard et tu attends debout devant la porte des arrivées dans ce hall d’aéroport qui se remplit de plus en plus. L’envie de ton homme, liée à son éloignement, se fait sentir au plus profond de ton ventre. Tu te sens femme. Tu sais que quand il sera là ses mains, sa bouche sur tes parties intimes, sa langue et son sexe t’enflammeront. Tu as également conscience des regards de plus en plus appuyés des hommes derrière et autour de toi qui, attirés par tes jambes gainées de noir à coutures remontant sur tes fesses, ne manquent pas d’apercevoir les marques des jarretelles, mais aussi vraisemblablement l’absence de traces de ta culotte. Certains osent des sourires, d’autres par leurs regards semblent et veulent te montrer qu’ils te déshabillent. Cette situation t’excite, d’autant que tu sais que ton homme sera sensible à cette chaleur dès son arrivée.


L’avion tarde encore, et la foule semble se faire de plus en plus nombreuse. Les barrières retiennent ceux qui sont devant toi, et tu te trouves désormais serrée au milieu de ce monde. Cette situation te rappelle le métro, te renvoie à Paris, cette ville où tu aimes te promener avec ton homme, à ces moments parfois très torrides que tu as vécus. Prise dans tes pensées, tu n’as pas remarqué de suite le léger effleurement qui semble parcourir ta jambe à la limite de ta jupe. Instinctivement tu t’éloignes, mais la foule désormais compacte t’empêche d’avancer.


Un texto sur ton téléphone t’informe que je viens d’atterrir, mais que l’avion continue de rouler. Absorbée par ta lecture et la réponse que tu me fais, tu ne prends pas conscience de suite que l’effleurement a recommencé et se fait plus insistant désormais sur ta jupe. Tu comprends, sans pouvoir te retourner du fait de la densité de la foule, que ton voisin derrière toi ne s’est pas contenté comme d’autres de regards ou sourires lubriques, mais s’est enhardi, posant maintenant sa main clairement le long de tes cuisses, interprétant ton manque de réaction initial comme une invitation.

Ton cœur s’emballe, et alors que tu allais envoyer ton message, tu écris « On me touche dans la foule… » « Mon Dieu, je suis folle ! » penses-tu au moment où tu l’envoies. Les quelques secondes d’attente de ma réponse te semblent interminables, alors que désormais la main ne se contente plus d’effleurer, mais est désormais bien à plat sur tes fesses, les caressant.


« Si tu veux, laisse-toi faire… Profite. » Cette réponse, tu la redoutais et l’espérais à la fois. Tu sais que ton homme n’en sera que plus excité dans quelques minutes, mais désormais les deux mains de l’inconnu descendues à l’orée de ta jupe te font tourner la tête. Tu sens ton cœur s’accélérer ; l’aspect public de la situation t’inquiète mais t’excite à la fois. Tes jambes tremblent et tu sens ton sexe s’humidifier et s’écarter. Tu es en proie à des sentiments si contradictoires : peur et honte à la fois, mais le désir qui monte au plus profond de toi a raison de tes dernières résistances. Tu écartes tes jambes et te penches légèrement en avant. Ce double mouvement est le signe qu’attendait ton admirateur inconnu derrière toi : une invitation à aller plus loin. Tu sais désormais que tu as fait sauter le dernier obstacle, et tu attends, effrayée mais brûlante de désir, la suite, attentive désormais au mouvement de ses mains sur ton corps. Déjà l’impétueux a glissé une main sous ta jupe, dévoilant le haut de tes bas et les jarretelles désormais visibles. Tu as honte d’être exhibée ainsi en public, mais la foule est tellement compacte que personne ne semble remarquer ta tenue ni ton trouble, ni les mains de l’homme qui désormais atteignent le sommet de ton intimité.


Pour atteindre ton sexe, il a dû relever ta jupe. Tes fesses sont désormais à l’air, à la merci d’une de ses mains pendant que l’autre s’est posée sur ta chatte dont les lèvres se sont écartées d’elles-mêmes pour mieux s’ouvrir au désir. Expert, il a posé deux doigts sur ton bouton qu’il masse délicatement en l’enserrant, le faisant gonfler, le rendant sensible. Tu frissonnes, tes jambes flageolent et tu commences à haleter. Fermant les yeux, tu mords tes lèvres pour ne pas crier quand, tout en continuant à jouer avec ton clitoris, il enfonce profondément deux doigts dans ton vagin, brutalement, intensément. Naturellement, tu te penches en avant, évitant tant que faire se peut de te faire remarquer pour faciliter cette prise de possession de ton intimité, ce viol de ton antre d’amour dont les doigts désormais accélèrent le mouvement. Tes jambes sont écartées, ta jupe relevée, et tu ne peux que serrer les lèvres pour ne pas gémir. Il s’attarde désormais sur ton point G, et subitement tu mets ta main sur ta bouche afin d’étouffer les cris des spasmes de ta jouissance qui te submerge totalement.


Sous l’effet de celle-ci tes jambes flageolent, mais ses bras experts te soutiennent en te serrant les seins. Te présentant ses doigts mouillés de ton plaisir sur ta bouche, instinctivement tu te mets à lécher ceux qui, il y a encore quelques secondes, prenaient possession de toi. L’odeur et leur goût te font prendre conscience à quel point tu as pu jouir dans les mains de cet inconnu.


L’inconnu ne te laisse pas reprendre tes esprits. Déjà une de ses mains a glissé sous ta chemise, enserrant ton sein droit qu’il libère et dont il écrase son bout dur. De l’autre, il a posé ta main sur son membre enfermé dans son pantalon. Tes mains sentent cette tige dure à travers l’étoffe. Ton désir, ton envie reviennent brutalement, telle une vague qui te submerge. Oubliant où tu es, l’insolite de la situation, tu veux toucher, sentir entre tes mains ce sexe chaud qui grossit à chaque pression de tes doigts. Le comprenant, il ouvre son pantalon, et déjà ta main a glissé dans son slip afin de s’emparer de l’objet de ta convoitise. D’une main experte, tu le fais jaillir à l’air, et déjà par un mouvement de va-et-vient tu le branles de plus en plus vite.


L’homme n’est pas en reste. D’une main experte il continue à serrer ton sein. Ta chemise est désormais ouverte, ta jupe relevée, mais tu n’en as cure. Attentive à ton désir, tu ruisselles de mouille quand il se remet à fouiller ta chatte désormais avec quatre doigts. Le plaisir monte, la chaleur dans ton ventre est intense, et avec ta main libre tu t’efforces d’étouffer tes cris. Tes doigts qui enserrent son membre se font moins précis. Tu n’as qu’une envie : le sentir en toi, que ce pieu te pénètre et fasse éclater ton plaisir. Instinctivement déjà tu l’as dirigé avec ta main à l’entrée de ta grotte. L’homme le comprend ; tu sens ses doigts se retirer de toi, prendre la place de ta main et diriger le membre entre les lèvres de ta vulve. Haletante, n’écoutant que ton désir, tu te vois pousser en arrière alors que d’un geste sec celui-ci avance. Son sexe gonflé écarte alors les lèvres de ta vulve pour lentement te pénétrer au plus profond de ton intimité. Le temps semble figé, quelques millièmes de secondes, et déjà se reculant il commence ce va-et-vient lent et progressif qui fait monter ce désir de plus en plus fort.


À chaque mouvement celui-ci s’accélère. Ta main est désormais sur ta bouche, les siennes sur ton sein et une sur tes fesses. Il halète aussi et tu sens sa jouissance approcher. Les coups s’accélèrent, deviennent de plus en plus profonds jusqu’à ce moment sublime. La contraction de ton ventre, tes jambes, la lumière qui déforme les images, la vague de chaleur qui te submerge au moment où tu sens des gestes saccadés de sa part quand il te remplit de sa semence alors que tu exploses de plaisir.


Déjà la vague s’éloigne. L’inconnu se retire et enlève les mains de ta chemise. Prenant alors conscience de la situation, tu la réajustes et redescends ta jupe. Profitant de ce mouvement l’homme s’est éloigné, et quand tu te retournes, tu ne peux apercevoir qu’un homme de dos, brun, en costume sombre, qui s’éloigne déjà de la foule.


Le flot des voyageurs arrivants commence à approcher. Déjà tu avances, le cœur battant, à la recherche de ton amour. Le haut de tes jambes est mouillé de vos sécrétions et tu souris au plaisir que ton homme aura en le découvrant. Il est là, au loin, dans ce costume bleu, chemise mauve et cravate violette que tu aimes tant. Il court vers toi et déjà, alors que ton sourire éclaire ton visage, il te prend dans ses bras, embrassant ton cou et ton visage.



Tes mots provoquent en moi un désir intense de te prendre là, maintenant, immédiatement, et je te serre tendrement dans mes bras, te couvrant de baisers qui exacerbent ton amour. Mais, mutine, tu t’écartes, me faisant signe de te suivre vers la voiture. Faisant quelques pas devant moi, j’ai l’occasion d’admirer tes jambes et tes bas à coutures dont je devine les jarretelles sous ta jupe serrée. En bon connaisseur, je remarque aussi l’absence de culotte, et de suite je sens que mon sexe n’y est pas insensible… J’ai également pu observer dans tes yeux ces signes si perceptibles de la femme épanouie, celle qui a visiblement joui il y a peu. Ma curiosité et mon imagination s’enflamment alors que nous arrivons devant ta voiture.


Au lieu d’opter pour s’asseoir à l’avant, j’ouvre la portière arrière, te pousse à l’intérieur et m’assois à tes côtés.



Tu ne réponds pas, te contentant de sourire et d’écarter tes jambes. M’enhardissant, je glisse alors ma main entre tes cuisses. Le contact de celle-ci te fait frissonner. Je te sens tremblante alors que mes doigts atteignent ton puits d’amour. Tout de suite je constate que tes cuisses sont humides et tes lèvres totalement écartées. M’enhardissant, je touche ton clitoris, entièrement sorti et gonflé…



Me regardant fixement dans les yeux tu souris, et je devine à tes yeux le désir qui remonte… Je glisse alors deux doigts dans ton sexe entièrement ouvert et m’aperçois que tu es totalement trempée. Cette intrusion de ton homme dans ton intimité te fait immédiatement gémir et resserrer tes cuisses pour mieux ressentir la pénétration… Je m’attarde dans ta grotte d’amour, imprégnant mes doigts de tes sécrétions, et alors que tu es attentive à la vague qui approche, joueur, je les retire immédiatement, provoquant en toi un halètement de frustration.


Joueur, je lèche mes doigts pour m’imprégner de ton goût et ton odeur. Immédiatement, j’en reconnais l’odeur forte et âcre. Celui de ta mouille, si caractéristique, mais mélangée à ces effluves et traces de sperme que l’inconnu a laissés en toi en guise d’offrande à ta beauté…



Te saisissant par la taille, je t’allonge alors sur mes cuisses, assis, et relève ta jupe pour te fesser.



Le côté insolite de la situation, toi tes fesses à l’air sur moi, te faisant fesser dans ta voiture dans ce lieu public t’excite et ravive ton désir qui a pris totalement possession de ton corps. Honteuse, tu te rends compte que la situation t’excite. Tu sens que tes seins sont durs, et malgré toi tu ne peux t’empêcher de les saisir à pleines mains. Je te fesse une première fois en te disant que tu es une salope qui a le feu au corps. Terrifiée, tu sens que la fessée te provoque au-delà de la douleur une excitation extrême. Ton sexe est brûlant de désir, tu te sens ruisseler, et au lieu de te rebeller tu te frottes contre ce sexe que tu devines durcir sous mon pantalon.


Une deuxième fessée te fait tressaillir et trembler de tout ton corps. Le désir est total, et tu as besoin de te sentir fouillée. Malgré toi, les mots sortent de ta bouche :



À chaque détail de ton récit je ne cesse de te fesser alors que mon excitation grandit au fur et à mesure de ton récit. Je te sens ouverte, ruisselante de mouille qui dégouline maintenant sur tes cuisses. Jamais je n’ai senti une telle excitation…


Brusquement je te redresse et te mets en levrette pour mieux sucer cette chatte ouverte et ce clitoris que je n’ai jamais vu si gros. Je te sens gémir, haleter et crier dans ce premier orgasme qui remplit ma bouche de ta mouille et du sperme de cet inconnu qui a eu la chance de te rencontrer. Alors que tes mains serrent tes seins, te plaquant contre la vitre, j’ouvre mon pantalon, faisant surgir ma queue bandée pour mieux la présenter le long de ta fente. Je joue alors sur ton désir, imprégnant mon sexe de tes sécrétions sans pour autant t’honorer par la pénétration. Tu gémis de frustration. Tu cambres tes fesses vers l’objet de ton désir afin qu’il te remplisse. Tu as ouvert ta chemise et sorti tes seins érigés, inconsciente du fait que tu es totalement visible de l’extérieur.


Subitement, d’un coup de reins je te pénètre profondément, te faisant hurler à la fois de plaisir et de surprise. Ton sexe est trempé de mouille et de sperme mélangés. Je m’y noie, mais la chaleur et l’odeur puissante décuplent mon excitation qui se manifeste par des poussées de plus en plus fortes et rapides.


La vague arrive ; tu la sens et essaies de la contrôler pour mieux te sentir submergée. Tes doigts s’agitent sur ton clitoris alors que tes gémissements sont désormais plus forts et que tu ne peux contrôler les cris sortant de ta bouche. Subitement ton corps se raidit et tu te mets à crier, complètement prise dans l’orgasme qui te foudroie. Toujours te pilonnant, je te murmure ces quelques mots :



Haletant, je te sens te détendre après ce moment de bonheur. Ton corps se relâche, et si tu restes encore les seins à l’air, nue, plaquée le long de la vitre, tes yeux vagues n’ont pu voir l’homme caché à quelques mètres qui, le sexe à l’air, s’est masturbé me voyant t’honorer… Tu te tournes vers moi et m’embrasses longuement et tendrement… Nous nous disons des mots forts d’amour, à l’image de ces sentiments merveilleux qui nous unissent. Je t’enlace tendrement et te sens t’abandonner dans mes bras.

Ta petite voix me souffle alors doucement à l’oreille :



Je te regarde tendrement et t’embrasse langoureusement… Puis avec un sourire je descends ta jupe et te rhabille décemment… Mettant un doigt sur ta bouche, je te murmure :



La suite a fait que tu as supplié pour la forme. Ton envie était prégnante, mais tu savais que je ne cèderais pas. Je t’ai vu ouvrir la portière, sortir de la voiture et te réajuster. Non sans rougir, alors qu’après avoir remis ton soutien-gorge et reboutonnant ta chemise, tu as alors croisé le regard de l’homme qui, quelques mètres face à toi, s’était masturbé en te voyant jouir. Tu as juste pu remarquer la tache de sperme sur son pantalon alors qu’il se rhabillait et évitait, honteux, ton regard.


Tu as pris ton temps pour bien remonter ta jupe, écarter tes jambes pour retendre et ajuster tes bas, puis bien penchée sur le rétroviseur tu as pu ainsi lui montrer ta croupe, tes fesses sous la jupe remontée.



Un rouge à lèvres, bien rubis, une touche de mascara pour valoriser tes yeux, un peu de parfum pour éveiller les sens, et un sourire à faire fondre un iceberg m’ont permis de comprendre que tu étais prête et d’accord pour continuer le jeu.