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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/07/15
Résumé:  Un couple illégitime dont la femme est plus âgée se retrouve pour une journée de plaisir.
Critères:  fh fplusag hotel douche amour noculotte massage intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio attache tutu -extraconj
Auteur : Paulo  (Homme la trentaine.)      Envoi mini-message
Une journée ensemble

Il est 9 h 15 en cette journée de fin d’été de septembre. Je t’attends sur un parking de covoiturage sur lequel tu dois me rejoindre afin que nous profitions de cette belle journée de fin d’été ensemble. La température est douce, le soleil est présent, je suis serein même si je sais que nous allons être infidèles à nos conjoints respectifs. Aujourd’hui sera notre journée, nous allons à coup sûr passer d’agréables moments…


Tu as un peu de retard et je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui nous rejoint aujourd’hui. Pourtant rien ne nous laissait penser de ce que nous allions vivre ensemble. Tu es une femme d’une petite cinquantaine, je suis de vingt ans plus jeune que toi. Et pourtant cela fait trois ans que nous avons débuté une histoire, notre histoire. Un peu de charme de l’un et l’autre, quelques remarques sur la couleur de tes bretelles de soutien-gorge, des numéros de téléphones échangés, des MMS de ta belle poitrine habillée par ta belle lingerie et nos vies ont basculé. En effet nous sommes tous les deux en couple et l’infidélité n’était pas notre motivation. Pourtant dans l’usine d’électro-ménager où nous sommes employés le courant est tout de suite passé entre nous, malgré nos différences. Nous avons longtemps joué à nous chercher puis un matin je t’ai entraînée dans un local de notre lieu de travail pour t’embrasser. Au-delà de l’attirance, ce premier contact physique nous a convaincus que l’on avait quelque chose à vivre ensemble.


Depuis ces trois ans notre relation a été faite de hauts et de bas. Un manque d’attention et de présence de ma part, de l’incompréhension aussi. Des souvenirs très heureux, une matinée à l’hôtel, quelques moments volés à l’arrachée chez toi… J’ai apprécié chacun de ces moments et ces derniers mois sans aucun contact ni de l’un ni de l’autre ont été longs. Je ne pouvais pas me résoudre à ne plus sentir ta peau contre la mienne, sentir ta langue contre la mienne. Je t’ai proposé cette petite journée et je sais qu’elle nous ressourcera tous les deux.


Je suis toujours dans mes pensées quand mon téléphone vibre. Tu es sur le point d’arriver. Il nous faut être discrets avant de faire les 50 km qui nous séparent de la chambre d’hôtel qui va nous accueillir pour la journée. Nous avons choisi cet hôtel dans une petite ville sans charme afin de ne risquer de croiser personne qui pourrait nous trahir.


J’aperçois ta voiture se garer, je suis de mon côté à l’opposé du parking et je me rapproche afin de te faire monter dans ma voiture. Je te vois enfin sortir de ta voiture. Tu portes une longue robe d’été avec des chaussures compensées. Je sais que tu auras choisis ta tenue pour me faire plaisir. Cette robe est un compromis où tu te sens belle et sexy, sans être aguichante et les chaussures ouvertes compensées de quelques centimètres affinent ta silhouette et tu sais que j’aime les talons et chaussures hautes. Tu es certaine de l’effet que tu auras sur moi ainsi vêtue.


Tu montes dans ma voiture. Aucune familiarité, aucun baiser. Nous sommes tous les deux tendus et avons hâte d’être plus loin, dans un endroit où nous ne risquerons pas d’être reconnus. Les premiers kilomètres sont longs, puis plus nous nous éloignons, plus l’ambiance se détend. Nous sommes tous les deux contents de nous retrouver. Tu portes un léger maquillage autour des yeux et une fois n’est pas coutume, un peu de rouge à lèvres. Je ne t’avais jamais vue avec, mais je dois dire que cela me plaît beaucoup. Je te trouve encore plus attirante. Tu n’as plus le physique de tes vingt ans et pourtant tu déclenches chez moi un désir fou. Je vois dans tes yeux que tu es satisfaite de l’effet que tu me fais. Tu te détends et nos regards qui se croisent tout en discutant deviennent de plus en plus complices.


Nous sommes maintenant lancés sur la voie rapide qui va nous mener jusqu’à Vierzon. Je pose ma main sur ta cuisse tout en roulant. La robe recouvre entièrement tes cuisses, et je caresse ta peau à travers le tissu. Je sens à ton regard que ce geste tendre te plaît. Arrivé à un rond-point, je profite du ralentissement provoqué pour remonter ta robe jusqu’à mi-cuisses. Tu me fais remarquer avec beaucoup d’ironie que j’ai l’air bien pressé. Nous avons la journée devant nous, et pourtant ces cinquante minutes de route me paraissent interminables. Pour autant tu ne redescends par ta robe et je pose enfin ma main droite sur ta cuisse. Mes caresses se font de plus en plus intensives et remontent vers le haut des cuisses. Tu me facilites les caresses en écartant tes jambes. Je remonte ma main jusqu’à ta culotte. Je te caresse sensiblement à travers le tissu. J’ai de plus en plus de mal à regarder le route et pourtant il nous faut arriver à bon port. Je suis déjà pris d’une érection douloureuse depuis de longues minutes qui déforme mon jean. Tu as l’air d’apprécier mes caresses qui font également monter le désir de ton côté.


Je te demande si tu n’as pas trop chaud, et je suggère qu’avec cette chaleur tu serais plus à l’aise pour passer la journée sans sous-vêtements. Tu ne te démontes pas (sans doute pour accéder à mes désirs et parce que toi aussi tu en avais envie), tu remontes les fesses et fais glisser ton tanga de couleur rose. Tu me le tends avec un sourire satisfait tout en me faisant remarquer ma gourmandise. Je range ta culotte transparente dans mon vide-poches. Je sais déjà que ce sera un crève-cœur de ta la rendre en fin d’après-midi. Je remets ma main sur ta cuisse et la remonte jusqu’à ton intimité que je caresse doucement en passant un doigt le long de ta fente sans le faire rentrer. Tu enlèves habilement ton soutien-gorge sans laisser apparaître tes seins. J’ai déjà hâte de sentir des seins lourds sous mes mains, de lécher tes mamelons et les faire dresser.


Je suis encore plus excité de te savoir nue sous ta robe colorée. Je te fais remarquer que cela fait plusieurs mois que je n’ai pas eu la chance de voir tes seins, et après un sourire malicieux tu fais descendre les deux bretelles de ta robe qui laisse apparaître cette magnifique poitrine. Les quelques secondes où j’ai pu profiter de cette belle vue ont été trop courtes, mais je sens sous mon doigt qui joue avec ton bouton d’amour que l’excitation fait son effet chez toi. De la mouille commence à perler sur mon doigt. À ce moment-là, j’ai envie que tu mouilles comme jamais, je veux d’inonder de plaisir comme jamais tu n’en as eu. Les 8 km qui nous séparent de notre lieu de destination vont encore être longs avant de pouvoir me jeter sur toi.


Nous arrivons dans la zone commerciale où se situe l’hôtel, et je vois une enseigne de chaussures bon marché. Je te propose d’y faire un petit tour afin de faire quelques essayages, tu acceptes avec plaisir. Nous entrons dans le magasin et je sélectionne quelques paires de chaussures à essayer. Sans doute un côté fétichiste qui m’a poussé à t’entraîner ici, mais je te sens détendue et à l’écoute de nos envies. Tu t’installes pour passer la première paire de chaussures, je m’agenouille pour t’y aider et après un rapide coup d’œil à l’arrière, tu fais remonter ta robe et écartes tes cuisses et j’ai désormais une vue imprenable sur ton pubis épilé dans lequel j’ai l’envie de plonger ; tu essayes ainsi plusieurs paires et à chaque changement le même rituel. Perchée sur chaque paire de talons que je t’enfile, ta robe n’est plus un obstacle car dans mon esprit je ne te vois plus que nue…


Après quelques minutes de ce jeu vicieux nous retournons à la voiture afin de rejoindre l’hôtel. Pour la première fois de la journée je ne peux m’empêcher de venir à la rencontre de ta bouche pour que nos langues s’entremêlent. Tu réponds à ce baiser par quelques caresses sur les derniers mètres qui nous mènent à l’hôtel.

Cet hôtel sans charme, dortoir pour commerciaux itinérants sera notre palace à nous pour la journée, et à peine la porte franchie, je ne peux m’empêcher de te pousser sur le lit. Mes mains parcourent tout ton corps pendant que nous nous embrassons à pleine bouche. Quelques secondes plus tard nous sommes nus, je passe ma main sur ta fente qui ruisselle d’excitation. Mon sexe dressé se délecte de tes caresses et je sais déjà qu’il ne m’en faudra pas beaucoup pour jouir compte tenu de mon état d’excitation. Sous mes doigts qui te pénètrent et entrent dans cette grotte de désir, tu pousses tes premiers gémissements.


Je me couche sur le lit et te demande de venir t’asseoir sur moi. Tu plaques ton sexe contre mon visage et j’y plonge ma langue. J’aime cette position où je te montre toute ma soumission à ton égard. Plus tu t’appuies plus je prends du plaisir. Ton sexe ruisselle de plus en plus sur mon visage et en manque de respiration je m’extirpe le visage et glisse plusieurs doigts dans ton sexe dilaté. Tu prends maintenant mon sexe dressé dans ta bouche tout en massant mes testicules. Je cherche ton regard pendant ce moment exquis. Quelques coups de langue et va-et-vient plus tard, je te conjure d’arrêter car sinon je vais venir dans ta bouche. Tu me calmes en gobant mes couilles dans ta bouche ce qui ne fait pas baisser mon niveau d’excitation, au contraire, tu fais cela à merveille.

J’enfile maintenant une capote et tu viens t’empaler sur moi. Nous ne faisons plus qu’un et sommes en fusion. Ce feeling si fort entre nous fait son effet. Tu mènes la danse, et après quelques allers-retours nous jouissons en même temps, je pousse un râle plus fort que le tien, comme sidéré par l’excitation née par le trajet et par l’orgasme que tu viens de me procurer.


Après quelques minutes nous nous enlaçons et profitons de ce moment tendre, je chatouille chaque partie de ton corps que je m’approprie pour la journée. Nos discussions sont agréables et nous savourons ce moment car nous ne les savons que trop rares. Je t’entraîne sous la douche où nous nous lavons mutuellement. Le passage de mes mains sur tes parties intimes fait renaître en moi un début d’érection. Sous la douceur de l’eau qui coule sur nos corps je te demande de te cambrer. J’entreprends de te pénétrer dans la douche. Ta fente est à nouveau bien humide et même si la cabine de douche n’est pas très grande, nous trouvons une position qui nous convient.


Après avoir refait l’amour, nous sommes tous les deux exténués de fatigue et de plaisir et après m’être rhabillé je pars nous chercher un petit en-cas que nous allons partager. Tu décides de ne pas m’accompagner et restes pour te reposer.

Lorsque je reviens trente minutes plus tard, je te trouve requinquée. Tu as passé une courte nuisette que tu as sortie de ton sac à main ainsi qu’une paire de bas noirs. J’aime te voir ainsi et tu le sais. Tu m’indiques que désormais j’ai droit à un petit massage mais que je n’ai pas le droit de toucher la masseuse. Je consens tout en indiquant que ce sera difficile de ne pas toucher. Pour t’assurer que je respecte les règles du massage, après m’avoir déshabillé puis installé sur le lit tu m’attaches les mains ensemble. L’huile de massage conjugué à ton savoir-faire et à la douceur de tes mains sont divins. Je passe un moment divin.


Maintenant couché sur le dos je peux t’apprécier dans cette tenue. Tu joues des positions pour que mes yeux soient happés par ta sensualité. Ta bouche glisse sur mon sexe qui retrouve de la vigueur. J’ai toujours les mains attachées et c’est toi qui décides de tout. Tu te cambres devant moi et je ne peux que déposer que quelques baisers sur tes fesses. Tu viens maintenant empaler ton bassin sur mon sexe. Nous sommes à nouveau en pleine harmonie. Tu joues des mouvements pour atteindre ton plaisir. Je jouis moi aussi une troisième fois sous tes mouvements de bassin.

Nous nous relâchons et nous embrassons, nous aimerions que ce moment ne s’arrête pas. Pourtant après quelques câlins il nous est presque temps de repartir. Je vais jusqu’à la voiture pour y chercher tes sous-vêtements que je t’avais confisqués.


Le chemin du retour passe vite mais l’ambiance est morose. Un dernier arrêt sur une aire de repos pour t’embrasser avant que cela ne soit plus possible et il est temps pour moi de te laisser. Lorsque tu sors de la voiture nos regards se croisent une dernière fois, on a déjà envie de la prochaine fois. Pourtant demain il faudra se croiser et faire comme si tu étais une collègue parmi d’autres…