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n° 16915Fiche technique8789 caractères8789
Temps de lecture estimé : 6 mn
21/07/15
Résumé:  Ma collègue que je ne supporte pas, et moi... Non, absolument impossible !
Critères:  fh collègues travail odeurs fellation anulingus -totalsexe -bourge
Auteur : Chewy 12  (homme qui aime lire et écrire des histoires vraies)            Envoi mini-message
Qui l'eût cru ?

Je m’appelle Stéphane ; 38 ans, et deux enfants.

Le récit qui suit m’aurait semblé impossible il y a quelques mois.


Je travaille dans un cabinet de courtage en back office. J’ai pour habitude de travailler tard, n’étant pas franchement du matin. Nous sommes une équipe de 8 personnes. Dans cette équipe, Corinne, mariée, 42 ans, un enfant. Pour vous la dépeindre en essayant de rester correct : je ne la supporte que très peu. Elle se veut bobo parisienne à mort. Aimerait bien être BCNG et pète beaucoup plus haut qu’elle n’a le cul. Elle s’amuse à nous expliquer que son mari ne regarde que les émissions politiques et qu’elle a pris une grande résolution : ne plus boire que du très bon vin.


Si seulement elle était belle… Même pas ! Moi qui aime les femmes avec des formes généreuses pour peu qu’elles aient du charme et de la malice dans les yeux, elle n’a de ça que les formes généreuses.


Pour finir de dépeindre le portrait, elle ne respire pas franchement le cul. Je me doute fortement que ce n’est pas la fête à ma bite tous les soirs à la maison.


Nous sommes une équipe qui parle beaucoup de cul. Tout le monde se lâche régulièrement, le midi, à la pause-café… On voit bien qu’elle aimerait elle aussi aller sur ce terrain pour nous prouver qu’elle n’est pas si coincée que ça. Mais on sent bien que c’est forcé.


Alors qu’elle se croyait seule dans les bureaux un soir, elle sursaute en me voyant au niveau de la photocopieuse. Ma seule réaction est de lui dire : « Te croyant seule, heureusement que tu ne t’es pas mise nue pour bosser à l’aise ! »


Sur cette blague, pas complètement pourrie mais loin d’être très drôle, elle éclate de rire à ne pas s’en remettre. J’ai l’impression d’avoir fait la blague du siècle. C’est flatteur, mais pas franchement sincère.


Une semaine après, rebelote : nous voilà tous les deux. Que fait-elle ? Elle me parle de ma super blague d’il y a dix jours. Cinq minutes après, elle me rappelle dans son bureau. Sympa, je viens, et là elle me dit :



Et elle embraye sur une conversation surréaliste.



Mais pourquoi elle me raconte ça, cette gourde ?



Oh, là ça dérape complet. Qu’est-ce qu’elle me fait ?



Qu’est-ce qui me prend ? Je deviens taré ou quoi ? À peine répondu qu’elle rapproche sa chaise de bureau vers moi et s’attaque à ma ceinture. Je me recule en lui ôtant les mains.



Je ne m’attendais pas à entendre Corinne me parler comme ça. Ça m’a troublé, et d’un coup je me suis rendu compte que j’avais envie qu’elle me suce la bite. Ne voyant plus de résistance elle a repris l’assaut de ma braguette. Le temps que je réfléchisse à tout ça, me voilà le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Corinne prend ma queue à pleine main et colle son nez dessous. Je la vois qui me renifle la bite à pleins poumons. D’abord la base ; elle remonte et renifle mon gland, colle son nez sous les couilles, et pareil, renifle tout ce qu’elle peut. Première surprise : voilà que la collègue bobo des bas quartiers est une fétichiste des odeurs.



Elle me dit ça les yeux plantés dans les miens en commençant à me branler. Elle regarde ma queue et se passe la langue sur les lèvres comme pour se préparer à savourer. D’abord elle lèche, de haut en bas, le gland, les couilles, sous les couilles, remonte redescend. Quand elle estime avoir léché tout ce qui est possible, elle se décide à suçoter mon gland. Un vrai aspirateur, cette nana. Ce n’est qu’après cinq bonnes minutes de ce traitement qu’elle se décide enfin à me gober la bite. De haut en bas et sans en perdre un centimètre. Je commence à pousser des râles.



Là, elle tire la langue et se la bifle avec ma bite tout en me regardant. Elle me branle et plonge vers mes couilles. Elle les gobe une par une. Putain, que c’est bon !



Je n’aurais jamais cru dire ça ; mais, putain, c’est vrai qu’elle suce super bien, cette conne. Et voilà que je sens un doigt se faufiler dans ma raie. Hum, une petite olive, j’adore. J’écarte plus les jambes pour lui montrer qu’elle a le feu vert complet de ce côté-là.



Et voilà : Corinne, que je ne supporte pas, est en train de me sucer en me mettant un doigt dans le cul. Et j’adore ça. Elle se relève d’un coup, me pousse sur le bureau.



Et vas-y qu’elle me passe la langue entre les couilles et l’anus tout en me branlant. C’est divin.



C’est pas possible, elle lit en moi comme dans un livre ! J’adore me faire bouffer le cul. Certains de mes amis sont repoussés par cette seule idée. Moi qui ai goûté à cette expérience, c’est un de mes moments préférés.



Sa langue me fouille, tourne autour de mon étoile, appuie dessus, ressort, revient. Il n’y a pas à dire, cette femme sait bouffer un cul. Elle ne se contente pas de me bouffer l’anus, la salope : elle me branle bien serré. Ah, je vais exploser !



Ça augmente encore mon plaisir, qu’elle soit si crue. Deux minutes après l’avertissement, je suis obligé de la prévenir ; j’explose. Le temps qu’elle remonte, elle rate la première giclée qui s’échappe sur le bureau avec force. Je prends les choses en main et me branle dans sa bouche pour me finir. La salope avale tout. Quel bonheur !


Je mets du temps à me remettre de mes émotions. Quelle suceuse !



Alors qu’elle s’essuie la bouche, elle s’approche de moi et me dit à l’oreille :



Du coup, je me dis « Tiens, effectivement, qu’il y ait une prochaine fois, ce n’est pas con ! »


Qui l’eût cru ?