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22/07/15
Résumé:  Souvenirs de mes premiers émois gays et de mon initiation au goût d'homme, sa semence, mais pas que...
Critères:  hh hépilé vacances piscine campagne hsoumis hdomine voir exhib hmast intermast facial fellation anulingus 69 hdanus hsodo fouetfesse init confession -inithh -hhomo -hsoumisah
Auteur : Paradishommes            Envoi mini-message
Le goût des hommes

CHAPITRE 1




Je m’appelle Paul – votre serviteur – et il y a en moi, depuis mon plus jeune âge, un Mister Hyde qui sommeille en moi et qui n’a aucun interdit sur le sexe, mais même s’il sommeille souvent, il se réveille à la moindre occasion et, croyez-moi, elles ne manquent pas. Plutôt beau gosse, la quarantaine. J’aime le sexe, j’aime le sexe des hommes, leurs formes, leurs fesses, leur bite, les toucher, les sentir, les goûter, hum quel bonheur ! M’approprier leur queue, la dévorer avec gourmandise, l’enfouir au plus profond de mon intimité, j’aime être offert impudique à quatre pattes ou à genoux, dans tous les lieux possibles, au ciné, dans des vestiaires à la piscine, au sauna, en forêt, enfin partout où l’on peut échafauder un plan cul avec un bel inconnu. J’aime l’exhibition et la soumission sexuelle. Bref, j’aime le cul avec un homme.


Je devais avoir tout juste dix-huit ans, et en grand solitaire que je suis, je me promenais seul au bord d’un lac dans une forêt près de chez moi. Alors que je contournais un grand lac prenant un sentier pour ainsi dire inconnu des promeneurs. La végétation avait repris ses droits et plus personne ne l’empruntait.

Forçant le passage que des ronces et des jeunes arbustes m’interdisaient, je m’enfonçais péniblement dans cette végétation, essayant tant bien que mal de pas perdre de vue la berge. Je savais – du moins, j’avais entendu dire – qu’une petite plage servait de lieu de rendez-vous. Toujours selon des rumeurs, l’endroit avait servi (ou servait encore) aux naturistes.

Avide de nouvelles expériences et déjà très chaud côté sexe, je tendais l’oreille et j’avançais discrètement.


De légers bruits presque imperceptibles – ou plutôt des gémissements – mirent mes sens en éveil et je progressai presque accroupi. J’écartai lentement les feuillages devant moi, et là, à une dizaine de mètres, deux hommes totalement nus étaient allongés sur une immense serviette de plage. Quel spectacle ! Ils étaient magnifiques, leur corps athlétique devait faire fantasmer plus d’un homo, le soleil avait dû se rincer l’œil vu leur bronzage et sans aucune marque de maillot, bronzage intégral. Ils devaient avoir plus de quarante ans. Beaucoup plus vieux que moi mais qu’importe, le sexe me rendait fou. Alors ce n’était pas une légende : le lieu était fréquenté par des pédés. Étant très curieux et très attiré par ce genre de spectacle, je matais ces deux beaux mâles en pleine action.


Les deux hommes, tête-bêche, se bouffaient littéralement la bite, il n’y avait pas d’autres mots. J’assistais à leurs ébats et je les entendrais s’insulter mutuellement en proférant des insanités, j’étais au comble de l’excitation. Je me touchai la queue à travers le tissu de mon pantalon pendant quelques minutes, et n’y tenant plus – j’étais trop excité – je dégrafai mon pantalon qui atterrit sur mes chevilles, et mon boxer prit le même chemin. J’étais là, derrière un bosquet tout près d’eux à me branler en matant ce merveilleux spectacle.


Les deux amants s’emboîtaient parfaitement dans la bouche de l’autre par de violents coups de boutoir. L’un des hommes stoppa net la pipe qu’il pratiquait sur son comparse et accéléra la branlette. J’étais fasciné par cette queue pointant vers le ciel ; elle me paraissait énorme : la main qui la branlait avait peine à en faire le tour. Quelle vision fantastique ! L’homme sur le dos souleva son bassin et déchargea sa semence par de puissants jets que son branleur avide s’empressa de boire à la source. Le pompé donnait de violents coups de reins, comme pour se vider complément les couilles.


Comme lui, je jouis rapidement dans un râle de satisfaction, fermant les yeux, fantasmant sur leurs queues engluées ; j’étais comme dans un rêve. Lorsque je rouvris mes yeux, stupeur : l’un des hommes se trouvait nu devant moi, le sexe encore tendu. Panique. Je me baissais pour remonter mon pantalon lorsque j’aperçus le deuxième à quelques mètres derrière moi.



Je n’avais pas peur, bien au contraire… Mon pantalon toujours baissé, mon sexe bavant de mon jeune foutre reprit instantanément de la vigueur. Plaçant mes mains sur mes hanches, je m’exhibais fièrement devant ces deux hommes nus, me tournant et retournant l’un vers l’autre afin qu’ils profitent du côté pile et du côté face.



Aussitôt, je lui lançai ma parade :



Joignant la parole au geste, il fit quelques pas et s’agenouilla devant mon sexe.



Pour toute réponse j’avançai mon sexe vers sa bouche. J’allais recevoir ma première pipe.



Mon suceur commença par lécher toute trace de ma première jouissance, et sa langue si douce engloutit mon membre dressé. Le deuxième homme, derrière moi, se rapprocha en se collant contre mes fesses. Je sentais son sexe tendu venir se plaquer contre la raie, j’étais au bord de l’évanouissement. Il me murmurait de pures insanités qui augmentaient mon trouble.



De sa main, il guidait son gland entre mes fesses. Pour toute réponse je creusai mes reins, me cambrant davantage sur son dard.



Pendant que je m’exécutais, j’angoissais ; je désirais vraiment qu’il me prenne, mais j’avais tellement peur qu’il me défonce mon cul encore vierge. Je me cambrai davantage pendant que je me faisais toujours pomper la tige, et de mes deux mains j’écartai au maximum mon trou et le lui offris comme une pute. Immobile j’attendais d’être pilonné mais, à ma grande surprise, c’est sa langue qui me titilla l’anus. Lui aussi m’écartait les fesses pour gagner quelques millimètres avec sa langue ; c’était divin. Je tortillais du cul, pris en sandwich par ces deux mâles en rut, l’un me bouffant la bite et l’autre le cul. Après ces quelques instants de pur bonheur, il saliva au maximum sur ma rondelle en crachant dessus pour me préparer.



Son majeur vint se coller sur ma rondelle, et délicatement il me pénétra. Le salaud commençait à me limer avec son doigt qui coulissait, je dois le dire, assez librement.



Me sentant remuer du cul et haletant, il me travaillait l’anus pour le dilater avant qu’il ne me prenne. Je sentais à présent deux doigts qui me travaillaient.



Il m’insultait comme une femme, comme une pute ; j’étais au comble de la soumission. J’étais offert au maximum, et je lui tendais mon derrière. Je ne voulais pas pour autant que mon premier amant arrête de me pomper. Un troisième doigt m’ouvrit complètement. J’étais en feu de partout ; j’espérais sa queue, qu’elle me remplisse, qu’elle me défonce comme ses trois doigts le faisaient. Il les retira rapidement. Le cul offert, je sentis son gland se placer sur ma rondelle déjà dilatée ; et là, d’un seul coup d’un seul, son sexe me pénétra entièrement.


La sensation que j’avais éprouvée avec ses doigts n’était rien en comparaison de son membre. Même bien préparé, la grosseur de sa bite dépassait mes espérances ; j’avais le cul non seulement éclaté, mais son gland venait frapper très loin dans mon fondement (Messieurs les hétéros, il faut goûter au moins une fois cette sensation). S’aidant de ses deux mains, il s’agrippait à mes hanches ; le salaud me pilonnait le cul, et son bas-ventre venait claquer contre mes fesses : c’était divin. Mes va-et-vient étaient à contre-sens des siens, favorisant la violence de ses coups de bite. Ses assauts n’arrêtaient pas. Le cul en feu, j’en redemandais toujours plus en l’encourageant verbalement :



Je remuais mon cul comme je le pouvais ; je bandais comme un âne, et mon pompeur le savait bien : il me faisait des gorges profondes en mordant la base de ma tige à la limite de la douleur. Je vivais mon premier moment de pure extase ; mon fantasme devenait réalité. Mon enculeur me limait sans relâche, me fessant le cul déjà bien en feu ; puis, passant ses mains sur mon torse, il attrapa mes pointes de seins qu’il pinça si fort que je laissai échapper un petit cri de douleur.



Et il continua à me triturer les seins avec plus de dextérité, mais toujours à la limite du supportable. Il retira son membre luisant de mon anus et se colla contre ma raie pour éjaculer. Je sentis sa semence tiède couler entre mes fesses, c’était très agréable. Il frottait sa bite engluée contre moi en me tartinant de foutre, et sans crier garde m’encula à nouveau. J’étais soumis, ou plutôt soumise.


De l’autre côté, mon pompeur toujours à genoux arrêta de me sucer pour me finir à la main ; je ne pus résister bien longtemps et lui offris ma crème, de longues et épaisses giclées. Ses mains dégoulinaient de jus, de grandes traînées blanchâtres maculaient son visage et son torse. Aux derniers soubresauts, mon pompeur se releva pour me rouler une pelle d’enfer, et je lui rendis son baiser avec délectation. C’est ainsi que je pris goût au sperme, le mien ou celui d’un autre, peu importe ; ce goût âcre et salé très aphrodisiaque, tous les homos vous le diront. Un régal.


Après cet épisode vécu comme mon vrai dépucelage, tous les samedis suivants et pendant tout l’été mes deux amants m’initièrent à leurs plaisirs, et mon apprentissage de petite pute révéla en moi la pire des salopes.


Depuis cette année-là, qu’ils soient homos ou hétéros (ces derniers sont fascinants à allumer), la drague est ouverte à tous. Lorsque l’endroit est propice et que je ressens une opportunité, je deviens impudique et je m’arrange pour dévoiler un bout de fesse, ou mieux, mon sexe. Le regard qui se pose sur moi me donne immédiatement le feu vert ou pas.


Les vestiaires de la piscine offrent des plans cul formidables ; c’est là que j’ai converti mon premier hétéro. C’était, je me souviens, une soirée de novembre ; à cette heure et à cette époque de l’année, peu de personnes pratiquent la natation. Il faut dire que là ce n’est plus les belles soirées d’été, mais je vous assure que la température de l’eau des bassins est parfaite ; quant aux vestiaires, il y fait très bon avec 30°, un peu comme un hammam (ah, les hammams ou saunas…), donc pas de problème pour se foutre à poil.


Ce soir-là, seulement une dizaine de personnes dans le grand bassin : un groupe de quatre femmes et six mecs, ou plutôt quatre papys en séance d’aquagym et deux mecs potentiellement intéressants. Le premier, un petit jeune bien bronzé et taillé comme un dieu, enchaînait des longueurs de bassin dans un crawl impeccable. C’est le deuxième mâle qui m’attirait irrésistiblement. Sans avoir réellement fait mon choix, après une heure de nage et une proie en vue, j’observe du coin de l’œil ce beau mâle et j’attends tranquillement qu’il retourne aux vestiaires ; je le précède de quelques minutes, et comme lui je vais me changer. Ayant une bonne connaissance du lieu, je m’arrange selon où il se trouve pour n’être vu que par lui, il offre un champ de vision imprenable.


Là, le plus naturellement du monde, je retire mon maillot de bain, m’exhibant, impudique. Je suis totalement nu et je m’essuie lentement. Je passe ma serviette sur tout mon corps sans jamais lui cacher ma queue tendue. Je lui laisse le temps d’admirer mon sexe entièrement rasé. Si d’une fraction de seconde je capte du coin son regard, si son regard est soutenu et qu’il mate, je ralentis le mouvement selon ; je frotte mes cheveux avec ma serviette en me retournant de trois-quarts afin de lui présenter mes fesses rasées, elles aussi. Deux choses : soit la personne n’est pas intéressée, soit ce petit salaud est excité. Si le dernier choix l’emporte, c’est gagné. Sans le regarder directement pour ne pas l’effrayer, je dégage la serviette et me caresse impudique devant lui, m’exhibant de face, de côté et de dos. Après quelques instant, je le regarde et lui fais signe de me rejoindre dans une cabine. Une fois la porte refermée, j’avance ma main lentement et la pose sur son entrejambe, j’accentue mon contact. En principe, mon lapin est chaud, et pour ainsi dire cuit. Je décèle le début de sa bandaison, alors là, sans aucune gêne, je place ma main sur sa queue et je commence à caresser son membre à travers le tissu de son maillot de bain. Bien souvent, la bandaison est tellement spontanée que sa queue dépasse déjà du maillot. Je le regarde droit dans les yeux et je lui demande s’il désire se faire sucer ; je n’ai jamais eu de refus. Alors, je me mets à genoux devant lui et descends son maillot, libérant un sexe déjà tendu, je pose mes mains sur ses chevilles afin de m’occuper de lui qu’avec ma bouche.


À ce stade-là, je mate sa lance qui se déroule et je fantasme sur ses couilles pleines de bon foutre. Sans rompre l’excitation du moment aussi bien pour moi que pour mon futur amant, je renifle son sexe qui lentement se redresse. Délicatement, je passe ma langue sur sa tige, je salive bien, passe dessous pour happer ses couilles et aussi et surtout lui permettre de voir sa queue parcourue par ma langue qui se fait bouffer, et moi en train de le sucer, qu’il savoure, qu’il mate sa queue qui me baise. Si c’est un hétéro novice en la matière, de se faire pomper pour la première fois, il réalisera enfin son fantasme de se faire pomper par un homme et il ne pourra plus jamais oublier ce merveilleux instant ; il repartira avec plein de belles images dans la tête. Je m’évertue à prendre mon temps afin d’offrir cette nouvelle expérience.


Je l’amène (sans qu’il ne s’en rende compte) à choisir comment il veut finir. La plupart du temps, il hésite à éjaculer dans ma bouche, alors je prends un peu de recul et je le regarde se vider ; je suis tellement excité de le regarder jouir que je dois faire un effort surhumain pour ne pas happer son membre. Mais moi, bon samaritain, je le laisse se vider, et c’est après lorsqu’il est à demi inconscient que je m’approche pour le sucer pour bien le nettoyer, boire au maximum son foutre et aussi qu’il comprenne que son jus m’est agréable. S’il a joui sur son ventre, je le nettoie de la même manière sans y laisser une goutte, et tout cela lentement, en lui laissant bien l’occasion de mater.

J’argumente mon nettoyage par un vocabulaire bien hard : « Ton jus est délicieux, j’adore ton foutre sur ma langue. »


Mais la plupart du temps, le pompé prend sa queue en main et se branle dans ma bouche. Avec son autre main, bien souvent il veut appuyer derrière ma tête comme pour me limer en bouche en profondeur ; pas la peine, car bien souvent je fais une gorge profonde, et avec mes lèvres je resserre la base de sa tige, ce qui a pour effet d’accentuer sa bandaison (mais j’ai aussi d’autres variantes). Un hétéro qui se fait souvent pomper aime comme finalité qu’on le suce à fond, c’est-à-dire lorsqu’on ressent les premiers soubresauts du sexe en bouche, pour ma part je retire la main de la queue de mon amant, je sors sa tige de ma bouche que je garde grande ouverte, et devant son sexe tendu qui tressaille j’attends à quelques centimètres de son gland et je contemple les derniers soubresauts avant de recevoir giclée après giclée son jus âpre qui je savoure avec délectation. Pour le remercier de cette offrande, je nettoie toute trace de foutre avec ma langue. J’adore pointer ma langue à la source, juste sur son méat, et sentir son jus épais et âcre.

Depuis ma première expérience, j’ai adoré le sperme, son odeur, son goût. Et au fil des ans, mon appétit n’a jamais cessé de croître.


Comme dit la chanson, il venait d’avoir dix-huit ans. Je venais de fêter en avril avec mes potes ma majorité et je me sentais libre dans mon corps et dans ma tête. C’était en camp d’ados où nous prenions les douches en commun. J’aimais à observer discrètement les plus hardis ; les sexes tendus s’exhibaient devant les plus pudiques qui, terrorisés par leur nudité, tenaient leur sexe caché derrière leurs mains. J’aimais regarder ces queues, et bien que timide moi aussi, je ne cachais rien de mon trouble : bien au contraire, j’aimais exhiber mon sexe déjà de bonne taille et bien tendu. Ma queue aux yeux de tous devait aimer leurs regards, car dès qu’un endroit prêtait à la nudité, elle se dressait impudique, et donc les douches étaient pour moi un haut lieu d’exhibition.


Une matinée, alors que nous prenions notre douche quotidienne, notre mono – José – qui devait aimer nous mater n’avait rien raté de mon manège, ma queue bien raide trahissait mes penchants pour le même sexe, mais je ne considérais pas cela comme une trahison mais plutôt comme un message personnel aux autres mâles. José le comprit vite en fixant ma bite, et nos regards se croisèrent. Je ne sais pourquoi – je tournais le dos au groupe et lui faisais face – je pris mon sexe en main en mimant une branlette, ce qui m’excita encore plus. C’est ainsi que l’après-midi même j’avais trouvé comme prétexte un mal au ventre pour ne pas faire la sortie rafting qui était programmée. José se porta volontaire pour rester à mes côtés. Après le repas, les groupes prirent le chemin de la forêt, et à 14 heures le camp était pour ainsi dire désert.


José me fit monter dans le dortoir et m’invita à m’allonger sur mon lit, ou si je préférais, me reposer dans son box car son lit était plus spacieux. Je n’hésitai pas une seconde et pris la deuxième option. J’étais excité au maximum ; j’espérais ce qui aller peut-être m’arriver. J’étais tétanisé, mais bien décidé à vivre une aventure avec ce beau mec. Allongé sur son lit, je ne luttais pas pour cacher mon érection, bien au contraire. Ma queue tendue à l’extrême avait bien du mal à ne pas s’exhiber elle-même. L’élastique de mon short n’était plus plaqué sur mon ventre et laissait libre cours à d’éventuels fantasmes salaces. Il était impossible à José de ne pas voir mon état d’excitation. D’ailleurs, ce salaud n’était pas mieux que moi car son bas de survêtement était si tendu que je fantasmais sur la taille de sa bite.



C’est vrai : même pas douze ans nous séparaient. Ce salaud devait aimer les jeunots et ne devait pas être à son coup d’essai. Il devait faire des camps pour mater les jeunes mecs. Il était pas mal foutu, ni gros ni maigre, une belle peau bronzée, des pectoraux tout juste saillants, des abdominaux entretenus ; bref, un mec qui prenait soin de son apparence.

J’étais dans mes pensées en observant son corps lorsque qu’il apparut nu devant moi, son sexe bandé à son maximum. Sans aucune pudeur il ajouta :



Il me parlait en exhibant sa queue et en se branlant doucement. Je fixais son membre en glissant ma main sous mon short pour me caresser moi aussi. J’étais prêt pour une bonne baise.



Il ne croyait pas si bien dire.



J’étais étendu sur son lit, face à la cabine de douche qui n’avait pas de porte, matant à loisir ses fesses qu’il exhibait. J’en profitai pour retirer mon short afin d’être aussi nu que lui. Je détaillais mon futur amant se laver, ou plutôt je le soupçonnais de s’astiquer la tige. Étendu sur son lit, la bite en l’air, je me branlais en regardant ce corps d’athlète si bien dessiné. José se tourna de profil et je pus admirer sa queue que sa main parcourait, passant quelquefois sur ses couilles, les soupesant, reprenant son sexe en main en le branlant lentement. Le salaud savait ce qu’il faisait ; il se positionnait afin de m’offrir une vue exceptionnelle de son cul et de son sexe qu’il flattait. Son regard tourna vers moi et contempla ma nudité.

J’avais prévu son regard et lui offrais une vue impudique de mon anatomie. J’étais nu sur son lit ; j’avais placé son oreiller sous mes fesses afin de me surélever. J’écartai les cuisses au maximum. D’une main je me titillais la rondelle comme pour l’inviter dans ses fantasmes, et de l’autre main j’avais attrapé queue et couilles que je malaxais sensuellement. Nos regards se croisèrent ; je fixai son regard intense et matais en même temps sa main qui le branlait.



Pour toute réponse, j’écartai davantage mes jambes en me branlant et j’enduisis mon index de salive afin de lubrifier mon rondelle en lui offrant mon plus beau sourire.



À peine sorti de la douche, je m’y engouffrai en frôlant de la main son sexe tendu.



J’étais trop excité pour m’attarder sous la douche. En une minute je me savonnai, me rinçai et sautai dans le lit en me lovant contre lui. Il me retourna comme une crêpe, puis de ses deux mains attrapa mes hanches et suréleva mon bassin pour lui offrir mon cul. Il m’écarta la raie au maximum pour y enfouir son visage. J’étais aux anges ; je me cambrais pour lui donner ce qu’il désirait tant : mon œillet. Sa langue s’insinua délicatement ; le salaud savait y faire et ne devait pas être à son premier bouffage de fion. Il crachait abondamment sur ma rondelle et il frottait sa barbe naissante sur ma raie, ce qui décuplait mon excitation. Afin de l’exciter davantage, mon langage devint aussi cru que le sien.



Il prit mes mains qu’il plaça sur mes fesses, m’obligeant à écarter davantage ma raie. J’étais comme je désirais être : à quatre pattes, offerte et soumise comme une pute ; sa pute. La tête contre le lit et le cul ouvert, ma queue était plaquée contre mon ventre et tellement tendue que je souffrais de sa raideur extrême. Sans cesser de me bouffer la rondelle, mon amant se saisit de mon sexe qu’il retourna complètement pour me sucer. Je bandais si fort que ce changement de direction à 180° doubla ma douleur et mon plaisir. J’étais écartelé, fouillé, je bandais comme jamais. Je cambrais mes reins à me faire mal au dos, j’écartais mes fesses, mes cuisses ; j’en voulais davantage et mes désirs se réalisèrent : sa bouche mouilla goulûment mon trou et il plaça son doigt dessus.



Pour toute réponse, j’offris ma croupe et creusai mes reins en offrande.



Un frisson me parcourut lorsque mon amant me pénétra de son majeur.



C’est dans un râle de plaisir qu’il obtenu ma réponse.

Sans savoir le sort que José me réservait, je sentis qu’il déposait sur mon œillet une crème douce et onctueuse. Le plaisir ne se fit pas attendre. Il m’enduisait la raie d’un onguent très agréable et de son doigt me tartinait l’intérieur du cul. L’effet ne se fit pas attendre : une merveilleuse chaleur m’envahit ; j’avais les fesses en feu, et ma rondelle qui en redemandait était aussi chaude qu’un feu de forêt. Je sentis mon amant s’enhardir sur ma rondelle, m’enfilant avec un doigt, puis deux, puis trois doigts. Au fur et à mesure mon trou se dilatait sous ses assauts répétés.



Mon merveilleux amant, continuant majestueusement son travail de dilatation anale, vint se placer devant moi, m’offrant une vue imprenable sur sa queue tendue. Une bonne queue d’environ 15 centimètres, mais très grosse, avec un énorme gland violacé. La grandeur ne m’impressionnait pas car j’avais déjà pris 20 centimètres ; mais une telle grosseur… Comment prendre un tel engin dans le cul sans hurler de douleur ? Même en bouche, je n’étais pas sûr de pouvoir le gober. Ceci dit, mon amant prenait vraiment soin de son corps car côté sexe, c’était épilation totale. Pas un poil, ni sur les couilles, ni au bas-ventre. Fesses et cul rasés de près : une vraie merveille à caresser. Je voyais déjà quelques gouttes de pré-cum perler à son méat. Sans le prendre en bouche – prudence – j’avançai la pointe de ma langue et recueillis ce nectar avec délectation. Je tentai d’enfoncer mon bout de langue dans son méat très dilaté.



Excité à fond, il ne cessait d’une main de me travailler mon trou en m’enculant toujours plus profond pour me dilater, et de l’autre main me fessait copieusement le cul en feu. Un pur bonheur, surtout qu’il me voyait soumis et offert à ses assauts les plus pervers. Sans plus attendre, je crachai abondamment sur son sexe, je saisis queue et couilles qui tenaient difficilement dans ma main et commençai une pipe gourmande en le branlant sensuellement. Je tentais d’engloutir ce gland violacé, j’emprisonnais d’une main ses couilles en les pressant furieusement comme pour extraire le foutre qui s’y trouvait. J’avais mon amant à ma merci. Je sentais sa douleur dans son souffle, mais il devait aimer ce traitement car sa queue se tendait à chaque que je maltraitais ses couilles. Son bassin ondulait au rythme de son désir. Il me fallut ouvrir grand ma bouche pour happer sa grosse tige. Le pervers me baisait par la bouche ; il me limait les amygdales, je sentais son gros gland buter contre mon palais. J’étais en extase. Sensation de soumission. C’était extraordinaire. Plus mon amant en voulait, plus je m’offrais, et ses mains qui fessaient mon cul me mettaient les fesses en feu.



Ses mots électrisèrent mes sens. J’étais à quatre pattes, le cul dilaté, la bouche pleine, le cul comme un brasier, et j’allais recevoir tout son foutre comme une offrande.



José finit sa phrase dans un râle, et un premier jet de foutre gicla sur mon visage ; je m’empressai de le reprendre en bouche pour boire sa semence. Le salaud n’arrêtait pas de jouir : il m’a fallu déglutir plusieurs fois pour tout avaler. Moi qui voulais déguster…


Mon amant avait lâché mon cul pour s’étendre sur le dos, les bras et les cuisses en croix. J’en ai profité pour le reprendre en main et vérifier si réellement ses couilles étaient vides. Sa queue toujours tendue accepta mes caresses, et après quelques va-et-vient je réussis à faire jaillir trois nouvelles giclées de sperme. Les traînées de foutre se répandirent sur son bas-ventre ; il ne me restait plus qu’à faire sa toilette et savourer sa liqueur.

Il me regardait faire, et cela devait lui plaire car déjà sa bite reprenait consistance. Je n’osais pas trop le caresser, par respect pour le repos du guerrier ; mais de lui-même il commença à se branler lentement afin de reprendre vigueur. Tout en se caressant, il me demanda :



J’avais son foutre plein le visage, ma bouche et mes lèvres barbouillées de sa semence. Je déposai sur ma langue une grande quantité de sa liqueur bien épaisse. Là, joignant le geste à la parole, je lui roulai une pelle d’enfer. Le salaud me prit la bouche en léchant goulûment son foutre.



Pour toute réponse, je l’invitai à prendre l’initiative.



Mon amant avait déjà sa bite bien raide, et son invitation à m’empaler dessus attisait mes sens.



Toujours sur le dos, je m’installai sur lui en écartant mes cuisses, une jambe de chaque côté, et d’une main je plaçai son gland encore luisant devant l’entrée de ma rondelle. J’appréhendais un peu, vu le diamètre de son sexe. Il décela une certaine crainte et me rassura :



Ces mots résonnaient dans ma tête et amplifiaient le désir de me faire mettre. Je décidai donc de lui faire entièrement confiance, et sans aucune retenue je m’empalai sur sa queue. Mon anus s’ouvrit instantanément, me remplissant le cul comme jamais je n’aurais pu croire. Sa grosse queue commença un pilonnage en règle. Pendant qu’il me baisait, je m’exhibais fièrement devant lui. J’étais offert, le cul bien rempli, je branlais mon sexe qui se dressait droit devant. Que rêver de mieux ? De ses deux mains il m’entoura la taille et me fit monter et descendre sur son pieu au rythme de ses assauts ; j’étais au paradis, je chevauchais mon étalon.



De ses deux mains, José me caressait le torse ; j’étais offert comme une pute, sa pute. Je désirais tous les outrages. Il s’empara de mes tétons et pinça les pointes si fort que je laissai échapper un râle de plaisir. Il faisait rouler les pointes entre le pouce et l’index ; cela devait l’exciter car sa queue sembla doubler de volume. Côté sensations, c’était l’extase : la douleur sur mes pointes était si intense que j’accélérai les va-et-vient sur ma bite, décalottant bien mon gland que je lui offrais en spectacle. Côté cul, j’étais en feu ; ma rondelle se dilatait davantage à chaque coup de boutoir. Le salaud devait me l’avoir caché, mais sa bite semblait deux fois plus grosse et plus longue qu’il y a dix minutes.



À chaque coup de bite, la sensation qu’il gagnait du terrain en s’enfonçant plus profondément. Les yeux fermés, je visualisais son énorme pieu avec ses cinq centimètres de diamètre me remplir davantage. La longueur, que je croyais modeste au début de nos rapports, devait à présent mesurer 20 centimètres, et j’avais un mandrin comme ça dans le fondement ! J’avais beau serrer ma rondelle comme mon amant me le suggérait, je ne pouvais résister bien longtemps et je relâchais mon sphincter pour l’accueillir encore plus au fond.

Je sentais la jouissance monter de mes entrailles ; j’arrêtai ma branlette outrageuse pour placer mes deux mains sur ses cuisses afin de m’exhiber entièrement face à lui.



Je me cambrai davantage, tendant mon gland vers lui, et pendant qu’il me pilonnait l’anus, de longs geysers de foutre giclèrent très loin vers mon amant. Ma bite tendue vers le ciel n’arrêtait pas de l’inonder de ma semence, et mon amant tentait, la bouche grande ouverte, d’en boire un maximum.

Puis s’aidant de ses deux mains, il enserra ma taille, redoubla la violence de ses coups de queue, resta un fragment de seconde au plus profond de mes entrailles, et une succession de spasmes déversèrent son foutre au fond de mon intestin. Un liquide chaud me remplissait : sa liqueur d’homme qui faisait de moi le plus heureux des petits pédés. En remerciement, je me lovai contre lui en l’embrassant amoureusement et nettoyai son visage et son torse de ma semence encore tiède. J’avais joui avec ma queue ; mon cul avait pris cher, mais il en redemandait.

Malheureusement, son radio-réveil indiquait 17 heures, et au loin on entendait le premier groupe d’ados. En quelques minutes nous étions rhabillés et prêts à descendre dans le hall. Je me retournai vers mon amant, et après une pelle d’enfer je lui donnai rendez-vous pour le lendemain.

Dans le hall, nous nous mélangeâmes aux premiers arrivants qui se rafraîchissaient à la fontaine. Un autre mono, Marc, s’approcha de moi et me demanda :



Puis, s’adressant à José :



José, de loin, avec un grand sourire accompagné d’un clin d’œil, lui fit signe que « tout » était OK. Marc, se rapprocha de moi, et discrètement passa sa main dans mon dos ; à l’abri des regards, il posa sa main fermement sur mon cul, et avec un regard plein de sous-entendus, il ajouta :



Et d’ajouter :



Je lui fis face, et aussi discrètement que lui je plaçai ma main sur son entrejambe en pressant fortement sa queue en ajoutant :