Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16923Fiche technique18555 caractères18555
Temps de lecture estimé : 11 mn
24/07/15
Résumé:  Comment ma belle-mère et moi sommes devenus amants.
Critères:  fh fagée alliance voir fellation cunnilingu fsodo
Auteur : Yvan  (Homme voyeur aimant les femmes)      
Ma belle-mère

Je m’appelle Yvan, et cette histoire est arrivée il y a bien longtemps maintenant. J’étais marié et très heureux. Mes beaux-parents étaient sympas et j’avais de bonnes relations avec eux. Ma belle-mère, que j’appellerai ici Lucette, était une femme assez grande et un peu corpulente. Elle n’était pas le genre de femme que j’aimais, mais elle avait un visage plein de douceur et des yeux que je trouvais rieurs et coquins.


Nous habitions à la campagne dans un petit village. Lucette n’était pas spécialement attirante, ni par son physique, ni par sa manière de s’habiller, mais elle générait un trouble en moi que je ne m’expliquais pas. Il est vrai qu’à cette époque je fantasmais souvent sur les femmes qu’on appelle mûres et je regardais souvent des pornos car ma femme n’était pas très portée sur le sexe.

Nous allions chez ma belle-mère environ un dimanche sur deux pour le repas de midi, et nous passions quelques heures à bavarder.


Tout a changé un dimanche d’été où je me suis rendu chez ma belle-mère pour changer la bouteille de gaz car mon beau-père était parti pour la journée. Elle avait appelé à la maison tôt ce matin-là en demandant si je pouvais venir assez vite car elle était en panne de gaz. Ma femme était également partie pour la journée avec son équipe de volley-ball.

Je me suis donc rapidement douché et habillé avec un short et un tee-shirt. Il était environ 9 heures lorsque je sonnai à la porte.



Elle me fait la bise, une bise dans le coin de mes lèvres ; enfin, c’est ce que j’ai ressenti. Elle était encore en nuisette sur laquelle elle avait passé un peignoir. Même si rien ne dépassait, elle me faisait de l’effet et je commençais à fantasmer, comme à mon habitude.



Je descends à la cave, je prends la bouteille de gaz et je remonte. Je m’installe devant le placard sous l’évier. C’est souvent là qu’on met les bouteilles de gaz pour alimenter les cuisinières. Je sors tout ce qui gêne et commence à dévisser le détendeur. Plus facile à dire qu’à faire car il semble qu’il est coincé. Au bout de longues minutes, Lucette vient voir où j’en suis.



Elle est juste devant moi, elle est en nuisette, une nuisette qui lui arrive juste au-dessus du genou. Elle est devant moi – enfin, façon de parler car je suis assis par terre et elle debout – à contre-jour, ce qui me permet de voir ses jambes et ce qu’il me semble être une culotte.



J’essaie avec la clef mais rien n’y fait : le beau-père a dû monter ça de travers ; il n’a jamais été le meilleur bricoleur du monde.



Lucette se baisse pour voir sous l’évier le détendeur récalcitrant. Elle s’accroupit juste à mes côtés et regarde le tuyau de gaz. D’où je suis, j’ai une vue plongeante dans le décolleté de sa nuisette et j’aperçois une bonne partie de sa généreuse poitrine. Elle s’avance comme pour mieux voir sous l’évier. La vision de ses seins me fait bander immédiatement, ce qui provoque une bosse voyante sur mon short. Comme elle est accroupie, je peux aussi admirer son entrejambe. À croire qu’elle l’a fait exprès… J’essaie de reprendre mes esprits en me disant que je me fais des idées.

Soudain, alors que nous sommes encore par terre, elle me regarde, baisse sa nuisette et sort ses deux magnifiques seins.



Je pose mes mains sur ses seins gonflés. Elle ferme les yeux. Je les caresse, les malaxe, et ses pointes se dressent aussitôt. Elle gémit. Elle se laisse faire et elle aime ça.



Puis elle se recule, se rajuste.



Au moment où elle allait se redresser, je lui ai pris la main pour la garder près de moi.



J’ai passé ma main dans sa nuisette pour lui toucher les seins pendant que mon autre main passait et remontait sur une de ses cuisses puisqu’elle était toujours accroupie à mes côtés. Mes doigts arrivèrent rapidement vers sa chatte. C’est là que je me suis aperçu qu’elle n’avait pas de culotte. Ses lèvres étaient déjà gonflées de désir et elle mouillait abondamment. Lucette se laissait faire en gémissant.



Elle m’a entraîné, m’a déshabillé. Je l’ai déshabillée. Elle m’a pris la bouche pour m’embrasser. Je me sentais bien dans ses bras charnus. Nous nous sommes allongés et j’ai repris mes caresses. Lucette était couchée sur le dos, jambes écartées. Elle semblait en manque car son corps ondulait sous mes mains. Je lui enfoncé deux doigts dans la chatte, lui arrachant un petit cri. Je lui léchais les seins, lui mordillais les bouts, les aspirais. Je bandais dur. Après quelques minutes elle eut un orgasme, fort, violent.


Je pensais qu’elle allait se laisser tomber sur le lit quelques instants pour reprendre ses esprits mais elle me renversa sur le dos et pris mon sexe directement dans sa bouche.

Lucette me fit une fellation comme jamais je n’en avais eue. Pendant qu’elle me suçait, je lui triturais les seins, et surtout je caressais son cul, qui bien qu’un peu gros était splendide. Je lui passais la main entre les fesses, je lui enfonçais mes doigts dans sa chatte. Elle suçait de plus belle.



Je pensais qu’elle allait sortir mon sexe pour finir par une branlette, mais elle aspirait encore plus fort et, ne pouvant plus me retenir, j’ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé. Après un court instant elle s’est levée.



Je la vis disparaître dans la salle de bain où l’eau à coulé de longues minutes. À force de persévérance j’ai réussi à changer la bouteille et je suis rentré chez moi. Je suis aussi passé sous la douche et je me suis branlé en repensant à Lucette.



____________________________



Plusieurs mois après, cela faisait longtemps que je n’avais revu ma belle-mère Lucette. Enfin, que je ne l’avais pas revue seul à seule. Ce samedi soir, nous rentrions d’une journée en plein-air ; nous allions passer à table quand le téléphone a sonné. Ma femme décroche.



Elle met la main sur le combiné et me dit tout bas :



À ce moment-là, je n’avais rien en tête ; la petite aventure que nous avions eue était déjà loin. Je prépare mes affaires et je m’habille.



Il me faut à peine 10 minutes pour être chez elle. Je vois de la lumière, je sonne.



Je pousse la porte. Elle arrive dans le hall d’entrée.



Je lui fais deux bises, et encore deux bises de la part de sa fille. Lucette est déjà en chemise de nuit avec un peignoir par dessus. Je la suis jusqu’au bureau.



Je la regarde partir ; j’adore ses mollets. Je commence à nettoyer le disque dur et à supprimer les fichiers qui ne servent à rien. Ensuite je consulte les historiques d’accès à Internet. Quelle surprise ! Lucette est seule ce week-end et je trouve des adresses de sites coquins, et même cochons. Je clique sur un des liens et la page s’affiche : c’est une vidéo d’une femme mûre avec un jeune homme ; le lien suivant, idem. Presque tous les liens affichent ce genre de vidéo : une femme mature et un jeune homme. Enfin le dernier lien, lui, affiche une vidéo de lesbiennes matures.

Ma belle-mère semble être une grosse coquine, et ça, je ne le soupçonnais pas. Les extraits de vidéos que j’ai vus me font bander. Lucette en profite pour amener le café. J’ai juste le temps de changer de page.



Je savais que j’avais fait mouche.



Je fais semblant de chercher où se trouve cette liste.



Je joins le geste à la parole et une vidéo s’affiche à l’écran. Je regarde Lucette : elle est rouge de honte.



Lucette s’assoit sur le canapé à proximité du bureau où je suis assis. Son peignoir est ouvert et sa nuisette est remontée haut sur ses cuisses. Ses seins donnent l’impression de vouloir s’échapper.



Elle se lève, me saute au cou pour m’embrasser sur les joues. Je bande toujours, et collée à moi de cette façon, je suis certain qu’elle s’en est aperçue. Je la prends également dans mes bras et nous nous étreignons. Nos corps se touchent. Je tourne sa tête et je pose mes lèvres sur sa bouche. Nous nous embrassons fougueusement et nos langues se cherchent. Mes mains parcourent son corps, je fais tomber son peignoir, puis je baisse les brettelles de sa nuisette et elle tombe à ses pieds. À ce moment-là, Lucette est nue devant moi.

Elle me déshabille ; nous sommes nus l’un devant l’autre, et mon sexe est dur comme jamais.



Je la couche sur le lit ; elle a les jambes écartées. Ses cuisses un peu grasses laissent entrevoir son sexe. Ses seins que j’adore pendent de chaque côté. Je les lèche, les triture, les pince ; Lucette gémit. Je m’approche de son sexe, et ma langue se pose sur cette chatte gonflée de désir et déjà bien humide. Elle me tient la tête en minaudant.



Ma langue entre, sort, aspire, suce, mordille les lèvres et le clito ; elle passe de son pubis à son cul, et je sens ma belle-mère en redemander encore. Elle aime, et elle a un premier orgasme. Je luis relève les jambes pour que je puisse lui lécher le petit trou. Ma langue tourne autour, lubrifie, puis se pose devant sa rosette. Je n’ai pas le temps de pousser ma langue que Lucette remue son bassin pour se planter sur ma langue et remuer comme une chienne.



Je la sodomise avec ma langue qui rentre chaque fois plus profond ; elle crie, elle gémit, elle remue son cul, elle écarte bien ses fesses pour que ma langue rentre plus profond. Je bande comme un âne. J’attire son corps au bord du lit ; elle est toujours couchée sur le dos, ses pieds sur mes épaules. Je pose mon sexe sur son anus et je l’enfile d’un coup. Lucette lâche quelques petits cris de douleur avant de gémir à nouveau.



Lucette se tripote la chatte pendant que je la défonce ; il ne me faut que quelques minutes pour jouir dans son cul. Je m’écroule sur elle au moment où elle a un deuxième orgasme. Nous restons comme ça de longues minutes.



Nous nous embrassons, nous nous rhabillons, nous nous embrassons à nouveau, je lui mets la main aux fesses.



Deux heures plus tard, Lucette a reçu un SMS : « La prochaine fois que je vous vois, vous n’aurez pas de culotte. »