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n° 16928Fiche technique12704 caractères12704
Temps de lecture estimé : 8 mn
28/07/15
Résumé:  Un homme se fait manipuler par sa femme jusqu'à en perdre tous ses repères.
Critères:  fh hépilé hsoumis fdomine cunnilingu hgode hsodo yeuxbandés -hsoumisaf
Auteur : Vinz  (anonyme)      Envoi mini-message
Mon chéri, un mari obéissant

Comment tout ceci a commencé, il ne s’en souvient plus.

Sans doute – oui, sans doute – tout a commencé avec cette petite phrase ; tout commence par une petite phrase, si souvent… Un SMS, en fait. Ça disait : « Oh faite, ne prévois rien du tt pour samedi. Je me suis occupée de ton emploi du temps. » Non, il ne s’agit pas d’une erreur de traduction issue d’une langue cunéiforme ou d’un dialecte oublié tiré d’une île perdue du Pacifique. Oui, la retranscription est authentifiée, fautes d’orthographe incluses.




Le fameux samedi



Le samedi suivant, les enfants étaient chez les grands-parents, comme par enchantement. Il revenait du jardin, à gratouiller la terre comme à son habitude. Il était transi de sueur, son tee-shirt juste bon pour un passage au tourniquet aquatique.



Il s’exécuta. Quand il revint dans la chambre avec le plateau garni, elle lisait un magazine qu’il ne connaissait pas et avait l’air un peu affriolé.



Il avait l’air déçu, le bougre. Elle le regarda en souriant, écarta légèrement les cuisses, et de la main lui fit signe de venir près d’elle, tout près d’elle, la tête entre ses cuisses en fait…



Il n’entendit pas la fin : il était déjà trop occupé…


L’après-midi avait donc bien débuté. Bon, sa jouissance n’était pas allée à son terme, mais elle avait quand même bien profité de la situation, s’était à un moment donné carrément assise sur son visage, frotté les lèvres sur… les siennes, et enfin l’avait enfourché, chevauché, pénétré, absorbé… Elle non plus n’avait pas été jusqu’à le laisser jouir : elle s’était retirée au moment fatidique. Au bord de l’explosion, son mari était devenu prêt à tout. C’était justement le moment qu’elle attendait pour déclencher la seconde partie de son programme…



La façon dont il s’est jeté sur elle en disait long sur l’état d’excitation dans lequel elle avait réussi à le mettre. Il lapait comme un fou, tentait aussi de se frotter l’entrejambe au rebord du fauteuil sur lequel elle s’était assise. Si elle ne reprenait pas la main rapidement, il allait jouir sans elle, là.



Et en disant ces paroles, elle recula d’une main la tête de son mari pour l’empêcher de continuer à la sucer et lui plaça deux doigts de son autre main dans sa bouche en guise de lot de consolation. En l’écoutant, il se mit à sucer ces doigts offerts ; il était sous son emprise.



Il est parti à la salle de bain pratiquement en courant. Le pauvre, s’il savait. Elle n’avait pas du tout l’intention de le laisser jouir, du moins pas comme il le pensait. En attendant, elle s’est servi un rhum arrangé, a sniffé un peu de popper qu’il avait ramené un jour. « Bou-ha, bizarre, ce truc… » Elle n’eut guère le temps d’en faire davantage ; déjà il revenait de la salle de bain, apprêté, nu, et appétissant comme un croissant chaud. Mais encore raide et le regard déjà trouble d’excitation.



Elle se mit à quatre pattes en levrette et lui présenta son sexe en écartant légèrement les jambes.



Il se dressa sur le lit sur les genoux, derrière elle, le souffle court, et d’un coup, sans prévenir, il s’introduisit en elle. Ah bravo, quelle sensibilité ! Mais en fait, elle avait toujours le contrôle de la situation, hé-hé… Elle gémit et lui massa d’une main les testicules. Puis lui branla fermement la queue qui entrait et sortait d’elle, en simulant carrément un orgasme. Évidemment, il jouit bruyamment. Il n’était donc pas arrivé dans la chambre depuis plus de deux minutes qu’il était déjà vidé ! Et c’est bien ce qu’elle avait imaginé…

Il était toujours en train de lâcher son sperme par spasmes réguliers au fond d’elle, jet après jet, en pleine action, quand brusquement elle ne le laissa pas finir : elle se retira vivement, s’allongea sur le dos, et des deux mains lui prit fermement la tête pour la conduire à son sexe béant. Un peu honteuse quand même, elle chuchota en guise de justification :



Et voilà comment elle comptait bel et bien démarrer ce bel après-midi ensoleillé : se faire sucer par un mari doux et obéissant, sucer en toute sérénité car il avait désormais les couilles à moitié vides, et surtout se faire sucer avec un lubrifiant naturel tout trouvé : son propre sperme.


C’était vraiment un mari parfait : il n’a pas bronché ni eu de mouvement de recul ; il n’a manifesté aucune précipitation non plus. Son mari lui broutait le minou avec douceur, consciencieusement, comme un bon élève, en fait. Elle lui caressait la tête lorsque les coups de langue étaient bien placés ou au bon rythme. Elle lui plaçait en revanche son index sous le menton s’il n’était pas à l’endroit voulu ou s’il avait besoin d’un petit stimulant. Il adorait aussi qu’elle lui mette un doigt dans la bouche ; elle allait cette fois encore le faire, avec en bonus un peu de sperme qu’elle allait puiser avec facilité en elle.

Il avait d’abord avalé le sperme qui s’était présenté à la sortie de sa chatte ; maintenant, il enfonçait la langue plus profondément pour aller en chercher davantage. Quel bon nettoyeur ! Elle était aux anges ; la réalisation de son petit plan machiavélique dépassait toutes ses espérances ! Mais toujours pas de jouissance en vue pour elle ; trop d’émotions sans doute.


Son homme était de nouveau frais et dispo, au vu de sa queue qui semblait se durcir légèrement, et surtout des mouvements de bassin qu’il recommençait à donner contre le matelas tout en la léchant. Bon, elle n’avait donc pas d’autre choix que d’appliquer la troisième et dernière partie de son programme, qu’elle maîtrisait nettement moins. En tout cas, pas le choix : elle aussi voulait jouir, non mais !



À son retour cinq minutes plus tard, elle le découvrit comme prévu avec le masque sur les yeux, mais à quatre pattes sur le lit en train de se branler ! Alors, sans un mot elle s’approcha. Lui, devinant finalement sa présence, s’arrêta net dans sa masturbation, le souffle court, aveugle avec son masque. Elle lui claqua violemment la fesse droite. Il fit un bond en avant, mais ne broncha pas.


Alors, comme la précédente fois (lors du carnaval, cette année), elle alla chercher le gode transparent ; elle le fit courir doucement sur sa colonne vertébrale qui se tendit, se courba. Il respirait fort. D’un coup d’œil expert, elle vit sa queue qui devenait de plus en plus dure. Lorsque le gode arriva au niveau des fesses, celles-ci semblaient se lever vers elle, s’ouvrir, implorer sa bienveillance.

C’est le moment qu’elle choisit pour lubrifier le gode et commencer à l’enfoncer très doucement en lui. À peine enfoncé de quelques centimètres, elle le retira, puis recommença plusieurs fois l’opération. Après une première résistance naturelle, le cul de son mari semblait bien souple et en attente. Vint alors la petite phrase qu’elle avait au préalable imaginée, préparée, longuement jaugée pour ne pas être trop trash, mais lourde de sens quand même :



Elle entendit un petit « Euh… c’est toi. » en guise de réponse. Elle enfonça le gode d’un coup, jusqu’à la moitié de celui-ci. Il tressaillit. En cet instant, il était tout à elle. Elle voulait néanmoins pousser encore un peu plus son avantage…



Elle insista sur ce dernier mot ; elle ne disait jamais « mon chéri » d’habitude : elle voulait en fait que ce mot prenne un tout autre sens pour eux deux, peut-être un peu l’équivalent de « soumis », mais elle n’appréciait pas ce terme.



Il aurait sûrement dit oui à n’importe quoi pour qu’elle finisse de le pénétrer… Elle fit un dernier mouvement de recul du gode, puis l’enfonça de nouveau lentement en lui, profondément, jusqu’à la garde.


Elle le prit comme ça avec son gode pendant de longues minutes. Il haletait, il perdait visiblement ses repères. Le gode toujours en lui, elle le fit s’allonger sur le dos, s’assit littéralement sur sa bouche. Elle profita de sa langue et du spectacle. Puis elle se pencha sur sa queue pour la prendre en bouche. Elle était à moitié molle, ça n’allait jamais le faire avec ce gode en lui. Elle avait déjà remarqué ce phénomène : impossible pour lui de bander (mais pas impossible de jouir, curieusement) quand il avait ce gros gode en lui. Alors elle avait anticipé et s’était rendue dans la boutique sexy qu’ils connaissaient tous deux. Elle en était repartie avec un joli plug anal. Un objet qui ferait l’effet d’un gode mais qui resterait bien en place et permettrait sans doute (la vendeuse le lui avait assuré) d’avoir en même temps une érection.


Elle remplaça donc le gode par le plug ; il sembla à peine voir la différence, tant mieux. Le plug avait un petit hochet dans sa partie extérieure, qui rendait son mari tout à fait appétissant… et serait à l’avenir le témoignage de son obéissance. Pour finir, elle le suça pour s’assurer que tout allait bien aussi pour lui. Et enfin, enfin, après tant d’heures d’attente, elle s’assit sur sa queue tendue vers le ciel. Et cela a duré près d’une demi-heure, peut-être plus. Il était parfait, son mari : ni trop excité, ni trop dur, ni trop sensible aux caresses qu’elle se prodiguait sur elle-même pour accéder à la jouissance.


Lorsqu’ils jouirent tous les deux en même temps, l’instant était magique, presque parfait. À un détail près : elle voulait se retirer de lui mais elle craignait d’en faire couler partout, et elle avait franchement la flemme d’interrompre tout cela en allant bêtement aux toilettes. Alors comme dans un rêve, elle s’entendit lui dire :