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n° 16929Fiche technique15745 caractères15745
Temps de lecture estimé : 10 mn
29/07/15
Résumé:  Récit réel de mon initiation par la meilleure amie de ma mère, peut-être mal raconté selon les critères des correcteurs, mais fait en hommage à une Femme disparue .
Critères:  fh fplusag jeunes fellation cunnilingu pénétratio fsodo init -inithf
Auteur : FCG38
Celle qui m'a initié

J’ai écrit ce récit car je viens d’apprendre le décès de celle qui fut mon initiatrice en amour, et pour qui j’ai gardé malgré les années, une pensée particulière.


Ce récit remonte au début des années soixante-dix. À l’époque j’avais un peu plus de dix-huit ans, et comme beaucoup de garçons de mon âge, je n’avais, hormis quelques séances de pelotage, jamais fait l’amour avec une fille et encore moins avec une femme… J’étais étudiant, sportif. Je jouais au rugby, et du fait de ce sport j’étais assez bien taillé (1,84 m pour 70 kilos). Même si j’avais parfois des copines, jamais je n’avais eu la possibilité de faire l’amour. À l’époque, les filles étaient moins libérées, et hormis les filles dites « faciles », il n’existait que peu de possibilités de perdre son pucelage.


Donc à l’époque, j’habitais chez mes parents, et au cours de cet été-là n’ayant pas d’occupation particulière, je passais mon temps à la piscine municipale ou avec des copains. Bref, je ne faisais pas grand-chose. Nous habitions dans un immeuble, et ma mère avait comme amie une voisine, Annick, qui à l’époque était mariée avec un cadre d’une société américaine, très souvent absent. Je savais par la conversation de mes parents qu’elle n’était pas très satisfaite de sa vie, du fait des absences de son époux, et malgré le confort matériel que cela lui amenait.


À l’époque, Annick était une femme d’environ quarante ans, sans enfant, qui possédait tout ce qui pouvait attirer un homme. Assez grande, environ 1,70 m et des formes dignes des mannequins de l’époque. Je la connaissais depuis de nombreuses années et je dois avouer que je fantasmais souvent sur elle, et que je m’étais à de nombreuses fois masturbé en imaginant que c’était elle qui s’occupait de mon sexe.


Un soir, ma mère au cours du repas me demanda si le lendemain, je pouvais aller chez Annick lui donner un coup de main pour réaménager des pièces de son appartement. Bien que peu enthousiaste à cette idée, devant les arguments de ma mère qui me reprochait de ne rien faire, j’ai finalement accepté ce qu’au départ je prenais pour une corvée. J’étais loin de me douter de ce qu’il allait se passer.


C’est ainsi que le lendemain matin je me suis rendu chez Annick aux environs de 9 heures. À mon coup de sonnette, Annick est venue m’ouvrir et j’ai tout de suite été frappé par son allure. Elle venait sans doute de se lever et n’était donc ni coiffée ni habillée véritablement. Son seul vêtement était une chemise de nuit courte assez transparente qui ne cachait pas grand-chose de ses formes. À peine entré chez elle, elle me proposa avant toute chose de boire le café et nous nous sommes donc rendus dans la cuisine. Le café servi, nous nous sommes assis un en face de l’autre chacun d’un côté de la table.


Étant placée devant la fenêtre, en contre-jour, du fait de sa tenue minimaliste Annick me dévoilait tous ses atouts. Sa poitrine avait l’air de bonne taille (à mon avis un bon 90) sans soutien-gorge et surtout au niveau de son entrejambe, je voyais bien qu’aucun slip ou culotte ne protégeait son intimité. Cette vue magnifique n’a pas tardé à m’échauffer les sens, et mon sexe a très vite pris des proportions inappropriées. Bref je bandais dur. Je me dois de préciser que rien dans l’attitude d’Annick ne pouvait me faire présumer du reste de la journée et d’une partie de l’après-midi. Hormis sa tenue, elle était naturelle comme elle aurait pu l’être avec un jeune qui aurait pu être son fils.


Notre café avalé, elle me déclara aller se changer pour être dans une tenue plus adaptée aux travaux. Elle me laissa donc seul quelques minutes, et lorsqu’elle revint, effectivement elle était habillée de la tête aux pieds, mis à part que son tee-shirt très moulant dessinait parfaitement ses seins libres apparemment de tout soutien. Heureusement, pendant ces quelques minutes d’absence, mon émoi avait en grande partie disparu.


Durant près de trois heures, nous avons démonté des meubles, déplacé les morceaux d’une pièce à l’autre et remonté les différents éléments, le tout dans une atmosphère étouffante du fait de la chaleur et du poids des éléments. Nous étions tous deux trempés de sueur, et je dois dire que du fait de son tee-shirt très moulant, je voyais les seins d’Annick comme s’ils avaient été à l’air libre. Cette vision a réenclenché chez moi une érection que j’avais bien du mal à maîtriser. À ce moment-là, il était largement plus de midi, et Annick me dit :



Ce à quoi je n’ai pu que répondre positivement. C’est alors qu’après être retournée dans la cuisine, Annick me dit :



Elle s’est donc de nouveau absentée quelques minutes, et lorsqu’elle est revenue, je me suis alors rendu dans la salle de bain. Je me suis placé sous le pommeau de douche, ai mis l’eau chaude au minimum, et une fois lavé, j’ai voulu sortir de la douche et m’essuyer. C’est alors que je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas de serviette. Entrouvrant la porte de la salle de bains, j’ai alors crié :



Je me suis donc aussitôt rendu dans la cabine de douche, et ai refermé les portes, tournant le dos à l’ouverture. À peine une minute s’était écoulée que j’ai entendu la porte de la salle de bains s’ouvrir, et les portes de la douche s’écarter. Je n’avais pas encore eu le temps de réagir que j’ai entendu Annick dire :



Joignant le geste à la parole, Annick de ses deux mains a saisi mes fesses et a commencé à les caresser. Excité par les visions du matin, mon sexe a réagi aussitôt et s’est dressé tel un mât (à dix-huit ans, c’est normal). J’étais tétanisé et ne savais quoi dire, je n’osais pas bouger et la caresse sur mes fesses, du fait de ses effets sur mon sexe, m’empêchait de me retourner. Ces caresses ne cessaient pas et comme vous pouvez vous en douter, mon érection non seulement ne faiblissait pas, mais devenait de plus en plus difficile à maîtriser. Au bout d’une minute ou deux, Annick cessant ses caresses posa ses mains sur mes hanches et d’une pression me força à me retourner.


J’avais donc mon sexe dressé à sa vue, et c’est alors que je me suis rendu compte qu’Annick était totalement nue de la tête aux pieds. Elle n’avait pas fait le voyage pour rien. Annick fixant mon sexe dressé me dit alors :



Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit, emboucha mon sexe et entama une fellation endiablée. Complètement dépassé par les événements, j’étais sans réaction, et comme c’était ma première fellation, je n’ai pas une seule seconde pensé à m’échapper de cette étreinte délicieuse. Sa langue tourbillonnait atour de mon gland et par pression de ses mains sur mes hanches, elle me faisait aller et venir dans sa bouche. La sensation était merveilleuse. Je dois avouer qu’avec l’expérience, c’est du fait de la nouveauté une des meilleures fellations que l’on ait pu me faire, mais à ce moment-là, je n’avais pas conscience pleinement de ce fait.


Au bout d’un petit moment, mon sexe était si dur que je sentais bien que je ne pourrais tenir longtemps et une onde délicieuse au creux de mes reins m’indiquait que le moment d’éjaculer était imminent, ce dont j’avertis Annick, qui me dit :



Ne maîtrisant plus rien, j’ai donc éjaculé dans sa bouche, et elle est parvenue à avaler tout mon sperme, sauf quelques gouttes qui ont perlé à la commissure de sa bouche. De mon côté, sous l’effet du plaisir, mes jambes se sont mises à trembler nerveusement jusqu’à ce que mon éjaculation cesse. Complètement anéanti par le plaisir, je n’ai pu que dire :



Ce à quoi elle me répondit :



C’est alors que me saisissant par la main, elle m’a entraîné hors de la salle de bain, m’a fait la suivre dans la chambre à coucher, m’a fait tomber sur le dos sur le lit défait. À peine avais-je touché le lit qu’elle est venue s’allonger près de moi. J’étais encore sous le coup de ma jouissance, et je dois avouer que mon esprit n’avait pas encore retrouvé toutes ses facultés. C’est alors qu’Annick se soulevant, s’est positionnée au-dessus de moi en position de 69, et ses mains ont commencé à caresser de manière très douce mon sexe bien ramolli. En même temps, avec sa bouche elle léchait mon bas-ventre tout autour de mon sexe sans jamais le toucher.


Au bout de quelques minutes peut-être cinq, mon sexe a commencé à réagir à ces caresses, et une forte érection a commencé se manifester. Voyant ce développement de ma personnalité, Annick me dit :



Tout en disant cela, elle a plaqué son sexe sur ma bouche et m’a alors dit :



Malgré mon inexpérience, j’ai vite compris que je devais lui lécher le sexe, et avec ma langue je me suis appliqué à bien lécher les lèvres de son sexe tout en aspirant à certains moments un petit monticule appelé clitoris. En même temps, elle avait repris mon sexe en bouche et entamé une nouvelle fellation.


Apparemment, mes efforts devaient être efficaces, car Annick n’arrêtait pas de me dire :



En même temps, elle émettait des râles de plaisir très forts. Au bout de quelques minutes, le traitement infligé à mon sexe ainsi que mes propres caresses m’ont amené au bord de l’explosion. S’en rendant compte, Annick me dit alors :



Et joignant le geste à la parole, elle s’est positionnée au-dessus de moi sexe contre sexe et nous avons alors échangé un baiser sauvage. Elle a alors glissé sa main droite entre nos corps et s’est emparée de mon sexe, qu’elle a aussitôt introduit dans son vagin, le plus profondément possible. À peine mon sexe en place, par des mouvements du bassin, elle glissa tout le long de ma tige. Quelle sensation pour moi, se faire faire l’amour par une femme mûre, et qui plus est par la femme de mes phantasmes d’adolescent !


À chaque fois qu’elle s’enfonçait sur mon sexe, aidée en cela par mes mains posées sur ses hanches, Annick poussait des cris de plus en plus forts (Heureusement que l’isolation phonique était bonne, car tout le voisinage et en particulier ma mère aurait compris ce qui se passait). Au bout d’un moment, ses ondulations sont devenues frénétiques et le rythme imposé a déclenché une nouvelle fois mon éjaculation. À la sensation de mon sperme emplissant son vagin, Annick a poussé un râle tel que j’ai cru qu’elle souffrait. Je me suis aperçu par la suite que ce n’était qu’un râle de plaisir.


Elle s’est alors effondrée sur moi, et cherchant à reprendre sa respiration, elle s’est petit à petit détachée de moi pour se retrouver couchée à mes côtés sur le dos. Nous reprenions chacun nos esprits, et Annick se soulevant sur un coude caressait mon sexe d’une main très douce. C’est alors qu’elle me dit :



Devant mon air étonné, elle m’expliqua que son mari, un peu plus âgé qu’elle et crevé par son boulot n’était pas souvent dans les bonnes dispositions pour lui donner du plaisir, qu’elle souffrait d’un manque de plus en plus cruel de sexe, que c’était la veille qu’elle avait trouvé le moyen d’être seule avec moi, et qu’elle avait fait exprès de ne pas mettre de serviette dans la douche, se doutant qu’avec la chaleur j’accepterais de prendre une douche chez elle.


Tout en m’expliquant cela, la caresse de sa main sur mon sexe se faisait insistante et une légère érection commençait à se manifester, ce qu’elle a aussitôt cherché à amplifier en reprenant mon sexe en bouche. Malgré ses efforts, et du temps qu’elle y passa, mon érection n’a pu devenir suffisante pour reprendre une pénétration quelconque.


Elle me dit, l’air un peu déçue :



C’est ainsi que dès le lendemain, je suis retourné chez Annick, et qu’à peine arrivé, nous nous sommes rendus directement dans la chambre où je l’ai prise très vite en position du missionnaire, et qu’un bon moment après, ayant rechargé mes accus, je l’ai sodomisée ce qui, vu les cris et les encouragements qu’elle émettait, la combla de bonheur.


Notre « liaison » a duré un peu plus de deux ans, même si la fréquence de nos rapports n’était plus aussi rapprochée que durant cet été-là, du fait des études. Elle n’a cessé que lorsque j’ai connu celle qui est encore mon épouse, et que j’ai quitté le cocon familial car Annick ne voulait pas que je la trompe. Durant toutes ces années, ma mère a été étonnée de la fréquence de mes visites à Annick, mais autant qu’il me semble, n’a jamais soupçonné la nature de nos relations.


C’est avec une grande tristesse que j’ai appris son décès récent, car j’éprouvais pour cette femme beaucoup de tendresse, et de respect.