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n° 16930Fiche technique21743 caractères21743
Temps de lecture estimé : 13 mn
29/07/15
Résumé:  Premiers émois gays avec mon voisin de palier.
Critères:  hh voisins ascenseur hsoumis intermast facial fouetfesse -hhomo
Auteur : Paradishommes            Envoi mini-message
Le temps des découvertes

Bonjour ; je me présente : je m’appelle Paul, j’ai 35 ans, 1,75 m pour 77 kg ; mes nombreuses conquêtes m’ont toujours complimenté pour mon physique. Depuis longtemps, je pratique en été le bronzage intégral, offrant mon corps nu aux rayons du soleil. J’entretiens aussi mon apparence par quelques séances de musculation en salle, mais pas trop, juste ce qu’il faut pour raffermir pectoraux et abdos. Les fesses, aussi ; j’adore avoir le cul musclé et galbé. Mon côté exhibe.


J’avoue qu’un superbe cul de mec me déclenche une érection ; je ne peux pas me retenir. Plein d’images défilent dans ma tête, et cela réveille en moi de nombreux souvenirs qui remontent à mon initiation sexuelle. Mes premiers émois gays. Je sais, vous allez me dire que j’avais tout juste dix-huit ans. Et alors ? L’âge des découvertes…


J’habitais à cette époque une belle petite ville dans le Sud de la France. Je n’ai pas connu mon père, parti vivre sa vie autre part… C’est ma mère donc qui m’éleva seul, comme elle put. La pauvre travaillait dur six jours sur sept, avec des astreintes de nuit une semaine sur deux : être réceptionniste dans le plus grand hôtel de la ville exige, pour un salaire convenable, certaines contraintes. J’avais donc beaucoup de temps libre à occuper.


C’était ma période console PSP. Je passais mes journées à titiller ma manette, et j’étais devenu pro sur la plupart de mes jeux. C’était l’âge en principe où l’on se sent attiré par le sexe opposé. Mais moi, bien que mes hormones aient commencé à me travailler discrètement le bas-ventre, les filles ne m’intéressaient pas plus que ça.


Mon voisin, Bernard, un célibataire d’environ trente-cinq ans, aimait lui aussi les jeux vidéo ; et comme nous possédions la même console, bien souvent nous échangions les derniers jeux. Un après-midi, en se croisant dans le hall de l’immeuble, nous avions aperçu chacun dans la main de l’autre le dernier jeu PSP du moment. Engageant la conversation en souriant, il me dit :



Et me tendant la main libre, il se présenta :



Je connaissais déjà son prénom pour l’avoir vu retirer son courrier de sa boîte aux lettres.



Hésitant une fraction de seconde, je lui tendis ma main, scellant ainsi notre première et brève rencontre.



Et par mon plus beau sourire, en hochant légèrement la tête, j’ajoutai :



C’est ainsi qu’en cette fin de journée je pensais et repensais à ce nouveau copain, plus âgé que moi, très sympa et très à l’aise pour notre premier contact. Je l’imaginais chez lui, jouant avec sa console. Sans m’en rendre compte, je ne pouvais dissiper son visage de ma mémoire. Il faisait à la fois viril, mais il possédait également un côté très sensuel. Les femmes devaient sûrement se retourner sur lui, comme certains garçons le font sur des filles. Je commençais à fantasmer sur mon voisin.


Ce soir-là, je me couchai de bonne heure. N’arrivant pas à trouver le sommeil, des visions de corps d’hommes défilaient dans ma tête ; le visage de Bernard était là tout près de moi, je me sentais très bizarre. J’avais si chaud que je dégageai le drap. Vêtu que de mon boxer, j’avais encore très chaud. Le prétexte suffit à me décider à me mettre complètement nu. Mon membre était si dur qu’il était littéralement plaqué contre mon ventre. Mais je n’avais aucun prétexte pour ne pas caresser ce sexe qui n’attendait que ça.


Connaissant déjà le fonctionnement, je commençai des va-et-vient maladroits ; des images défilaient dans ma tête : j’imaginais Bernard nu, frottant contre moi sa grosse bite d’homme. L’image était parfaite. J’écartai mes fesses de mon autre main, l’invitant dans mon rêve à me fouiller mon petit trou. Mon doigt effleura mon œillet, et lentement je l’enfonçai entièrement dans mon derrière, imaginant sa tige. De mon autre main, j’accélérai mes caresses. Dans mon ventre, tout bouillonnait. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer. De longs jets giclèrent de mon prépuce ; j’en avais plein le torse. Ma première offrande virtuelle à Bernard.

Ma béatitude était totale, et je m’endormis ce soir-là souillé de ma semence.


Le lendemain et le surlendemain, je guettais de mon balcon ; mais mon ami Bernard semblait avoir disparu. Au bout de quelques jours, en fin de matinée, je décidai d’aller frapper à sa porte avec un jeu vidéo en main, histoire de prétexter ma visite. J’attendis quelques minutes qui me parurent interminables, puis le bruit du loquet que l’on déverrouille. La porte s’ouvrit. Un Bernard à moitié réveillé, juste vêtu d’une petite serviette autour des reins qu’il tenait nonchalamment d’une main.



Je me ne fis pas prier et j’ajoutai :



Joignant le geste à la parole, il me prit par l’épaule et me fit entrer dans son salon en s’écartant légèrement pour me laisser passer. L’entrée de son appartement était si exigue que je dus un instant me coller contre son corps. Cela eut pour effet d’éveiller mes sens, et pas que … Une faction de seconde, j’ai cru sentir sa queue à travers sa serviette. Je maudissais cette serviette. Une fois la porte refermée, il me poussa vers le salon.



Il me claqua deux bises qui m’émoustillèrent davantage.



J’opinai de la tête et j’ajoutai en le regardant bien droit dans les yeux :



Il n’avait pas fini sa phrase que sa serviette vola sur le canapé et qu’il disparut dans la salle de bain, m’offrant l’espace d’un instant la vision de son corps entièrement nu. Je n’ai pu entrevoir son sexe et ses fesses qu’une fraction de seconde, mais quel spectacle ! À peine était-il parti que je glissai dans mon short pour vérifier l’état de ma queue : je bandais déjà fermement, et le seul contact avec ma main accentuait au maximum mon érection. Après un tour d’horizon, je lui criai :



Au lieu de me répondre depuis sa douche, il arriva face à moi complètement nu. Sa belle tige ne bandait pas, mais à chaque pas se balançait d’une cuisse à l’autre. J’étais fasciné par cette vision ; je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son entrejambe. J’avais toujours ma main dans mon short à flatter mon sexe.



Bernard était totalement nu. J’avançai de quelques pas vers lui, et délicatement il posa un baiser au coin de mes lèvres. Son bassin se pressait contre le mien, comme une invitation.



Délicatement, il me baissa mon short, libérant mon sexe à l’équerre. Puis il me prit mon autre main qu’il plaça sur sa tige délicatement et me guida :



Pour toute réponse, je lui tendis ma bouche pour un baiser brûlant. Nos langues se cherchaient pendant que j’astiquais ce magnifique pieu.



Je n’avais encore jamais goûté la liqueur d’homme, mais une envie irrésistible de le boire m’envahit. Je voulais le surprendre réellement. Dans un souffle court, j’ajoutai :



À genoux devant mon amant, je branlais cette tige de toute mon énergie pour, la bouche ouverte, boire ce nectar, fruit de mon effort. Giclée après giclée, je reçus son offrande. Il me fallut déglutir à plusieurs reprises afin d’avaler son foudre tiède et âcre. J’étais aux anges ; je voulais le garder en bouche jusqu’à sa débandaison. Je sentais sa semence couler au fond de ma gorge. Je respirais ce jus aux parfums subtils, odeur de sexe tellement aphrodisiaque. Je voulais le nettoyer entièrement de ma langue, lui prouver mon amour et ma soumission. J’étais heureux. Bernard, reprenant à peine ses esprits, me releva et m’embrassa à nouveau, mélangeant foutre et salive. Il n’avait cessé de me branler.



Je m’exécutai en tendant mon cul vers lui, ce qui ne lui échappa pas.



Son langage m’électrisait. J’étais sa chose, et je lui obéissais.



Je m’exécutai et m’offris encore davantage. Il me fit sucer son doigt, ce que je fis sensuellement et le plaça sur ma rondelle. Sans crier garde, il l’enfonça aussi loin qu’il put ; j’étais en feu. Je sentais ma jouissance monter. Il me taraudait le trou sans aucune retenue, m’insultant de tous les mots.



J’arrivais à peine à lui répondre ; ma voix était saccadée. Un deuxième doigt sembla me dilater, puis un troisième. J’étais complètement ouvert du cul, et je bandais comme jamais je n’avais bandé. Je me tortillais du bassin, désirant bien plus que ses trois doigts. Je l’encourageai à bien plus :



Juste le temps de finir ma phrase et j’éjaculai mon foutre sur mon amant. Le salaud s’en badigeonna le torse, en récupéra un maximum pour m’en enduire le bas-ventre. J’attrapai cette main souillée pour la porter à ma bouche pour laper ma crème. J’étais épuisé et ravi. De longues minutes s’écoulèrent ainsi ; ni l’un ni l’autre ne voulait rompre le charme. Nous sentions l’amour, le sperme et la sueur ; mais qu’importe. Nous étions super bien. C’est Bernard qui se releva le premier. Toujours la main sur mes fesses.



Pour toute réponse, je me lovai dans ses bras en l’embrassant amoureusement.



La cabine de douche n’étant pas très grande, c’était un vrai bonheur de se savonner mutuellement. Il nous fallut très peu de temps pour retrouver notre vigueur et caresser nos queues. La sortie de douche fut rapide, et un jet de spray aviva nos sens. Nous étions propres, très excités, et je désirais plus que tout lui appartenir. Je pris l’initiative en lui prenant la main et l’entraînant dans sa chambre ; je lui fis comprendre que je voulais lui appartenir. Je m’arrêtai devant son lit ; il vint se coller à moi. Mon cœur battait la chamade. Je cambrai mes reins afin de coller mes fesses contre son sexe, je tendis de trois-quarts ma tête et lui offris mes lèvres. Il comprit mon désir, et nos langues avides se mélangèrent. Mon amant devait aimer ce baiser car son membre se raidit instantanément pour se plaquer contre ma raie. J’ondulais du bassin, le branlant de mes fesses. Mon amant ondulait au même rythme en me caressant le torse. Ses mains trouvèrent les pointes durcies de mes seins et les pincèrent très fort. J’haletais sous ses caresses ; je l’encourageais encore plus :



Il les pinça si fort que je laissai échapper un cri.



Bernard me poussa doucement sur le lit, me demandant de tendre mon cul. Je me cambrai au maximum, m’offrant à lui. D’un seul coup, sa main me fessa une première fois. J’ondulai de la croupe, puis une pluie de claques eut pour effet de me mettre le feu au cul.



Pour toute réponse, je me cambrai davantage. Je ressentais chaque claque. Sa main me chauffait le cul. J’étais sa chose ; je prenais cela comme une récompense, à quatre pattes, offerte telle une pute, les jambes écartées. Sa main s’abattait sur mes fesses sans discontinuer ; plus j’en recevais, plus je sentais mon sexe tendu. Sa main tombait alternativement sur la fesse gauche puis sur la fesse droite. Le salaud savait y faire car les coups étaient secs et brefs. De temps à autre, une petite claque moins violente venait frapper ma rondelle. De son autre main, mon amant me prenait la bite qu’il tirait en arrière et me branlait comme s’il tenait le pis d’une vache puis, délaissant mes fesses, il donnait de petites tapes sur mon membre et sur mon gland. J’étais devenu son objet de désir.

Voyant mon état d’excitation, il me souleva en attrapant ma bite par derrière, à me décoller les genoux du lit. Il me soulevait littéralement par la queue.



Mon amant me souleva par la queue afin de me placer au bord du lit.



Je tournai la tête pour admirer son sexe dressé devant mon derrière, et j’étais déjà impatient de lui appartenir. Le cul en feu, je n’avais qu’une envie : le sentir en moi. De mes deux mains, j’attrapai mes fesses pour les écarter au maximum, lui présentant ma rondelle en offrande. Après quelques secondes dans cette position, mon amant fit couler sur ma raie une crème douce et tiède avec laquelle il me badigeonna le trou. Avec un doigt, puis deux, il me sodomisa doucement dans un premier temps puis, accélérant son geste, il me tarauda le cul pour bien me dilater. J’étais en feu. Je jetais de temps à autre un coup d’œil sur son sexe prêt à entrer en action.



Et, joignant le geste à la parole, il plaça son gland devant mon trou ; je tremblais d’impatience. Je sentais son gland plaqué contre mon œillet. J’haletais d’excitation, mais aussi de peur, comment j’allais le recevoir. De ses deux mains il m’enserra la taille, et lentement mais fermement, je sentis son membre pénétrer mon anus et s’enfoncer délicieusement en moi. Il me remplissait totalement. Plus il progressait, plus je l’accueillais. J’étais dilaté et comblé. Plus son sexe avançait, plus je cambrais mes reins. Le cul en l’air, son bas-ventre tapait contre mes fesses en feu. Il était entièrement en moi. Il reculait, ressortant à chaque fois, presque toute la longueur de sa queue de moi pour à nouveau m’enculer entièrement d’un puissant coup de reins. Je sentais son membre coulisser en moi ; son gland me remplissait entièrement. La sensation d’être pris était délicieuse. Il me limait l’anus avec hargne. Ces violents coups de boutoir exacerbaient mes sens. J’étais chienne ; si sa queue – qui était déjà une belle pièce – avait fait le double, j’aurais voulu qu’il m’encule de la même manière, aussi sauvagement. Je me sentais rempli, dilaté, soumis ; ces va-et-vient m’excitaient terriblement. J’avais le cul en feu. La cadence s’accéléra, ce qui décupla mon plaisir ; je me sentais plus que chienne : une loque, comme un trou que l’on taraude. Voilà, j’étais son trou. Le salaud m’agrippait si violemment les hanches lorsqu’il me pénétrait que je me sentais transpercé. Mon amant se plaqua contre mes fesses, et l’espace d’un instant il resta immobile au fond de moi.



Aussitôt, des jets brûlants de foutre me remplirent les entrailles. Après avoir giclé trois ou quatre fois, il sortit sa bite pour finir d’éjaculer sur ma rondelle ; j’étais aux anges. Me tartinant le cul de son foutre avec son gland, il m’encula à nouveau aussi violemment que la première fois. Sa semence augmentant la lubrification de mon anus, son membre coulissait aisément. Mais j’en voulais encore. Je me retournai, toujours à quatre pattes sur le lit, et je le pris en bouche pour nettoyer sa tige odorante et dégoulinante de foutre.



Mon amant prenait ma tête avec ses deux mains et me baisait par la bouche profondément, me déclenchant des haut-le-cœur. J’étais sa chose ; il pouvait me prendre comme il le désirait. Il bandait toujours aussi dur, et il se vida une seconde fois les couilles dans le fond de ma gorge. La quantité de sperme était si abondante que j’avais du mal à déglutir au fur et à mesure. J’avais le cul dégoulinant de son jus d’homme et la bouche remplie de cette même semence.



Puis, m’aidant à me remettre debout, il me roula une pelle d’enfer, goûtant goulûment son propre jus.



Je quittai à contrecœur mon nouvel amant, Bernard, emportant le goût de sa semence dans ma bouche et dans mon corps.


Ma mère étant de nuit cette semaine, je décidai de lui faire une surprise dans la soirée.

Mais ça, c’est une autre histoire…