n° 16936 | Fiche technique | 12178 caractères | 12178Temps de lecture estimé : 8 mn | 03/08/15 |
Résumé: C'est au détour d'une recherche sur Internet que l'image me saute aux yeux et sans efforts, réveille ma mémoire. Là, couchée sur l'écran glacial de mon ordinateur, se superposant à mon souvenir, la fille à la tulipe rouge... | ||||
Critères: f fh frousses rousseurs hotel collection voir pénétratio fsodo -totalsexe -occasion | ||||
Auteur : Jeff Envoi mini-message |
C’est au détour d’une recherche sur Internet que l’image me saute aux yeux et sans efforts, réveille ma mémoire. Là, couchée sur l’écran glacial de mon ordinateur, se superposant à mon souvenir, la fille à la tulipe rouge…
C’est curieux, cette propension que la mémoire a, à faire remonter des souvenirs ou des bribes d’informations qui vous font dire « mais, j’ai déjà vu ça ! », ou alors « j’ai déjà vécu cela… ». C’est exactement ce qu’il vient de se produire alors que je farfouillais sur Internet en pratiquant ce que les spécialistes nomment la sérendipité, c’est à dire l’art d’errer de lien en lien, d’enchaîner les liens les uns derrière les autres et trouver une perle rare de façon fortuite…
Sur un fond blanc, son corps diaphane aux seins à peine marqués, elle est allongée, arc-boutée sur ses épaules, mettant en hauteur et en relief ses poils pubiens. D’entre ses jambes serrées, sort une tige de tulipe dont la fleur rouge va caresser les seins à peine existants. Rien d’autre. Juste cette jeune femme, nue, sans figure ni pieds et… cette tulipe rouge.
Alors pourquoi et par quel miracle ma mémoire vient-elle immédiatement substituer une image analogue bien que différente et lointaine dans mes souvenirs ? Mystère de l’homme, du mâle et de sa mémoire. Et en quelques secondes ou dixièmes de seconde j’ai revu cette scène, revécu sa chaleur, ressenti son érotisme, repensé à cette fille à la tulipe rouge…
oo00oo
Les yeux mi-clos, l’esprit embrumé, mon inconscient me disait qu’il fallait que je me réveille. Pourtant la douce chaleur du lit, le moelleux de l’oreiller et l’onctuosité de la couette continuaient à entretenir cet état de demi-conscience dans lequel je me trouvais si bien. À côté de moi, je décelais plus que je ne sentais une présence. Petit à petit, les souvenirs se faisaient plus précis, plus nets… Non je n’étais pas seul… Ah oui j’étais bien dans une chambre d’hôtel ! Mais où ? Bon sang, mais c’est bien sûr… j’étais à Amsterdam. Et voilà, tout rentrait dans l’ordre…
Oui, je me souvenais aussi avoir été raccompagné par une mignonne Batave rousse… Et non, ce n’était pas un rêve, ni un fantasme matinal… La paupière à moitié ouverte, elle était bien là… nue, allongée sur le drap blanc, la peau lumineuse et tavelée de minuscules taches de rousseurs, ses longs cheveux roux, frisés, faisaient une auréole rutilante sur l’oreiller et me cachaient son visage. En bas de ses seins, une tulipe rouge vif jetait un contraste saisissant avec le laiteux de la peau.
De mon point de vue, je distinguais les épaules, appuyées sur le drap tandis qu’elle avait soulevé ses fesses… L’esprit en train de se réveiller, je n’arrivais pas à comprendre la scène qui se déroulait à mes côtés et je n’osais pas bouger de peur de rompre le charme de ce réveil.
Dans le silence de la chambre, son souffle bien que léger, était saccadé. Le mouvement de montée et de descente de ses hanches indiquait clairement qu’elle était en pleine ascension d’un plaisir solitaire. Un plaisir qu’elle se donnait au moyen de la queue de la tulipe qu’elle avait glissé entre le haut de ses cuisses, à hauteur de son sexe…
Je restais immobile, la paupière filtrant les images, l’esprit tout de suite en éveil et faisais un sérieux effort pour garder ma respiration calme. Mais elle semblait être dans son monde, dans son rêve, dans ses fantasmes.
La corole rouge vif de la tulipe allait et venait au rythme d’un plaisir de plus en plus fort. Les fesses montaient de plus en plus vite et haut. De temps à autre, les pétales effleuraient la pointe d’un des seins et les fesses remontaient alors plus vite encore et plus hautes, la respiration se faisait plus haletante, plus forte. Elle devenait une sorte de chuintement. Et, immédiatement, la tige s’enfonçait plus loin entre les cuisses et redressait automatiquement la fleur et les fesses replongeaient aussitôt au ras du drap blanc… Puis le mouvement, que j’aurais aimé être perpétuel, reprenait. Gracieux, aérien, érotique et érotisant en diable… Je calquai ma respiration sur la sienne. Mon sexe dressé, je le sentis prêt à commettre toutes les folies matinales, inimaginables et plus si affinités…
Le rythme allait crescendo… de plus en plus violent. Déjà un premier sépale se détacha et alla gésir sur un téton, couvrant pudiquement sa pointe dressée d’un faux et minuscule bonnet rouge… La tige, vert absinthe, écrasée par sa main nerveuse, laissait couler un jus qui mouillait ses doigts et filait entre ses cuisses.
Puis un second sépale dans une chute planante vint atterrir vers son nombril avant de choir sur le drap… Et la main rejoignit promptement son sexe, directement pour terminer le travail de la tige et accomplir son œuvre d’extase et de plaisir. Les fesses tétanisées, décollèrent du lit, dans un long sifflement mêlé à un bref cri. Elles retombèrent lourdement, m’obligeant à ouvrir les yeux complètement et ne plus être en mesure d’ignorer que ma compagne du moment venait de connaître un intense moment de plaisir…
Alors que je me penchais sur son visage ourlé d’une fine sueur, je lui souris tandis qu’elle rougit, prise en flagrant délit de plaisir.
Oeke, son prénom me revenait immédiatement au bout de la langue – prononcez Euké ! – sembla confuse, telle une jeune ado surprise dans son intimité… Avec délicatesse, je lui posai un doux et long baiser sur sa bouche aux lèvres pulpeuses, qu’elle entrouvrit à mon premier contact. Et ses bras se transformèrent instantanément en lianes, m’attirant sur elle, puis en elle, sans autre forme de préliminaires.
Oeke restait frustrée de sa caresse qui n’avait pas dû la satisfaire pleinement et en écartant largement ses jambes, en s’ouvrant à ma pénétration, elle finit son plaisir, remplaçant la tige de tulipe par mon sexe bien raide et prêt à lui rendre un hommage matinal enflammé…
Du bout des doigts j’allai vriller la pointe d’un sein faisant creuser le ventre d’Oeke qui m’aspira encore plus loin en me montrant ainsi qu’elle appréciait cette douce violence faite à son téton. Ses jambes largement écartées, ses deux mains sur mes fesses, c’est elle qui impulsa le rythme, me bloqua en elle quand elle se sentit prête à exploser pour mieux relancer son plaisir… et le mien.
Déjà, en nous couchant, la soirée avait été torride et ce n’était que très tardivement que nous avions rendu les armes, emboités l’un dans l’autre avant de sombrer dans les bras de Morphée… jusqu’à ce réveil câlin et coquin… pour terminer la nuit ou débuter une nouvelle journée ? Ni l’un ni l’autre ne le savions et ne voulions le savoir. Seuls, nos plaisirs et le plaisir de l’autre restaient nos priorités.
Alors que j’étais au bord d’une explosion intense, Oeke d’une main autoritaire vint s’emparer de mon sexe, le bloqua à sa base et le sortit du tréfonds de son intimité. En un tour de main et de reins elle me repoussa sur le dos et vint remplacer son sexe par sa bouche fraîche et goulue. Mêlant sa salive à ses sécrétions, Oeke m’aspira, enroula sa langue autour de mon gland, vint lécher la hampe, joua avec mes bourses, tout en me massant avec ses doigts jusqu’à ce que je vienne jouir au fond de sa gorge.
Avec application, elle but tout, comme si elle se délectait d’un nectar, sans en oublier une goutte. Et sans attendre que mon excitation ne retombe, elle continua ses manœuvres provocantes, frottant la pointe de ses seins sur mes cuisses tout en allant plonger ses doigts entre ses propres cuisses pour se caresser l’abricot… Le résultat escompté ne se fit pas attendre. J’étais prêt à continuer nos ébats, ce qu’Oeke souhaitait. Et ce que femme veut…
Sans que je n’aie à bouger, elle s’empala sur mon pieu droit et fier, et entama une hallucinante série de montées et de descentes aussi vertigineuses qui me permirent d’aller me nicher au plus profond de cette nymphomane qui remua sa tête dans tous les sens, transformant sa chevelure en une coiffure afro des plus étincelantes.
Les petits seins avaient presque doublé de volume sous la puissance de son plaisir et de son désir. Ils tressautaient au gré de sa cavalcade et dardaient leurs pointes. Son ventre, se creusait au rythme de ma pénétration. Son sexe, glabre, ouvert, rouge et luisant de plaisir, frottait sur mes poils et j’en sentais le grenu fin de la peau fragile et mouillée de jouissances. Décalotté, brillant, pointu, dardait son clitoris qu’elle allait titiller de temps à autre, question de parfaire sa satisfaction.
Mes deux mains calées sur ses hanches, je tentai de la maintenir en équilibre quand il le fallait ou la bloquai quand je me retrouvais au fond de son intimité.
Oeke, dans la nuit, bien que très gourmande, ne m’avait pas laissé la possibilité d’explorer tout son corps, toute son intimité. J’avais dû me contenter de ce qu’elle avait bien voulu me laisser accessible, son sexe, sa bouche, ses doigts et ses seins. Or, ce matin, j’étais bien décidé à terminer cette exploration. Mais pour l’instant, je tentais de résister tant bien que mal à la puissante aspiration de son sexe et des montées de ses jouissances multiples.
Pourtant, ce fut elle qui, dans un moment où nos corps restaient suspendus en l’air, mit mon sexe au bord de ses lèvres intimes, puis d’une main secourable s’en empara pour le glisser quelques millimètres plus loin et le présenter à l’entrée de son petit trou.
Et sans attendre, elle se laissa retomber sur mon épieu, tendu comme une corde de harpe.
Son petit trou était aussi excité que son sexe. Mais plus étroit. Je m’y glissai avec une certaine délectation et réussis à y trouver ma place. Oeke, devait apprécier cette introduction qu’elle dirigeait avec une certaine brutalité pour son fondement mais elle avait posément calé ses pieds le long de mes fesses et écartait avec ses deux mains les siennes, qu’elle empoignait avec détermination et une certaine habitude.
Et elle continua à mener son rythme. Elle dosa la pénétration avant de s’empaler jusqu’à ce que son sexe touche mon ventre. Là, elle marqua un temps. Elle commença à rouler ses hanches et frotta langoureusement les lèvres brûlantes de son sexe sur mon ventre. Ce mouvement me massa aussi par la contraction des muscles de son ventre. Cette délicieuse caresse interne me mit au bord de la jouissance. Puis sans prévenir, elle entama de nouveau une série de puissantes montées et descentes avant que nous n’explosâmes tous les deux en même temps et elle s’abattit sur ma poitrine, le souffle court, la peau trempée de sueur, les muscles tremblants sous la tétanie de nos plaisirs.
Plus tard, après une longue douche aussi excitante que notre réveil, il me fallut repartir, abandonner Oeke. Telle était, à cette époque, ma vie, faite de tribulations de pays en pays, de villes étrangère en villes étrangères, de chambre d’hôtel en chambre d’hôtel, des bras d’une fille dans d’autres bras…
De cette époque épique, j’ai conservé de nombreux bons souvenirs, d’autres moyens et d’autres, certainement, qui se sont effacés de ma mémoire… Les meilleurs reviennent souvent au hasard de mes lectures, de mes errances sur le Web. Alors, pour qu’ils restent encore un peu vivants, c’est pour vous lecteurs, que je les ranime. Peut-être en les enjolivant un tantinet, mais avec le plus de fidélité possible, comme aujourd’hui, avec celui de cette fille à la tulipe rouge.