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Confession

• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Quel âge avez-vous ? Qui êtes-vous ?
• — J’ai dix-neuf ans, mon Père, je m’appelle Martine, et je viens d’arriver dans la ville, je suis en vacances chez une amie de mes parents, qui tient l’auberge.
• — Ah oui, Madame Chaumont, c’est ça ?
• — Oui, mon Père, Huguette est une amie d’enfance de ma mère.
• — Vous êtes étudiante ?
• — Non, j’ai arrêté au brevet, mon Père, je suis fille d’agriculteurs, je vis à la campagne, je travaille à la ferme familiale.
• — Je vous écoute, dites-moi les fautes pour lesquelles vous implorez le pardon de Notre Seigneur.
• — Eh bien, euh… voilà, mon Père, euh, c’est délicat…
• — Je vois, mon enfant… Auriez-vous péché conte la pureté ?
• — Oui… c’est ça…
• — Vous avez eu des pensées impures ?
• — Oui… oui… beaucoup, mon Père.
• — Et… plus que des pensées ? Avez-vous pris du plaisir ?
• — Oui, aussi, beaucoup… oui, beaucoup de plaisir…
• — Par des attouchements, ma fille ?
• — Oui, mon Père, je l’avoue…
• — Et ces attouchements étaient… très intimes, c’est cela ?
• — Oh oui, mon Père…
• — Et ils étaient prodigués par quelqu’un ? Ou par vous-même ?
• — Non, j’étais toute seule, mon Père, par moi-même, c’est ça. C’est grave ? Vous pensez que je pourrais être… je veux dire… excommuniée ?
• — Non, pas jusque-là, mon enfant ! Nous ne sommes plus au temps de l’Inquisition, mais au vingtième siècle, en 1975, quand même ! Mais la masturbation est interdite par notre Sainte Mère l’Église, le saviez-vous, ma fille ? Et aussi que le plaisir ne doit être pris que dans l’acte de reproduction, à condition d’avoir auparavant été consacrée par les liens sacrés du mariage, n’est-ce pas ?
• — Oui, oui, je le sais, mon Père…
• — Et malgré cela, vous avez cédé à la tentation ?
• — Oui, mon Père… euh… j’avais très envie… et puis… c’était très bon…
• — Oui, je vois… et malgré cela, vous le regrettez, n’est-ce pas ?
• — Oh oui, maintenant, je le regrette…
• — Et vous vous êtes livrée à ces excès souvent ? Combien de fois ?
• — Euh… mais… tous les jours, mon Père…, et oui, souvent, plusieurs fois par jour…
• — C’est donc une habitude ? C’est grave, mon enfant !
• — Je suis désolée, mon Père, je regrette… mais quand ça vient, je ne peux pas m’en empêcher, vous comprenez…
• — Je comprends que vous avez un véritable vice, ma pauvre enfant…
• — Je suis désolée, mon Père, je regrette, je regrette…
• — Bien. Si vous me promettez de faire un effort pour résister à vos tendances perverses, je vais vous absoudre. Dites votre acte de contrition.
• — Merci, mon Père. Mon Dieu, je regrette d’avoir péché, j’implore votre pardon et je promets de faire tous mes efforts…
• — Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Vous direz dix « Notre Père » et dix « Je vous salue Marie ». Allez en paix, mon enfant.
• — Merci, au revoir, mon Père.

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• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Eh bien, je vous écoute, quelles sont les fautes dont vous voulez vous confesser ?
• — Euh… c’est pareil, mon Père… enfin… je veux dire, c’est comme la dernière fois…
• — Ah je vois, encore la pureté, c’est ça ?
• — Oui mon Père… encore…
• — Et… les mêmes… euh… choses que l’autre fois ?
• — Oui…
• — Mmm… je vois…. Mais pour que je puisse vous absoudre, il va falloir encore mieux vous confesser, ma fille.
• — Euh… mais comment, mon Père ?
• — Eh bien… vous devez tout dire, vraiment vider votre sac !
• — Mais comment ça, vider mon sac ?
• — Tout dire, tout raconter, avec tous les détails, bien sûr… Alors, voyons, où faites-vous cela ? Dans votre chambre ?
• — Non, je ne peux pas. En ce moment, comme je vous ai déjà dit, j’habite chez Madame Chaumont et je dors dans la chambre de sa fille, où je ne suis pas seule… Non, je fais ça dans la salle de bains…
• — Au moment de votre toilette ? C’est ce qui explique votre pratique journalière, c’est ça ?
• — Oui, mon Père.
• — Et dans la salle de bains, que faites-vous ? Vous devez tout avouer au Seigneur !
• — D’abord, je me mets nue, entièrement nue… je me regarde dans le grand miroir…
• — Et ça vous… je veux dire, ça vous excite ?
• — Oui, beaucoup… En plus il y a une fenêtre dans la salle de bains, normalement masquée par un rideau. Je tire le rideau et je passe devant la fenêtre, qui donne sur une petite cour. J’imagine que je m’exhibe… devant des gens… des gens inconnus… qui me regardent par les vitres de la fenêtre, entièrement nue… que je leur montre mes seins… mes fesses… euh, et surtout mon minou, ma toison, qui est fournie…
• — Et ensuite ? Comment arrivez-vous à satisfaire vos désirs ?
• — Je me caresse, devant la fenêtre, en me regardant dans la glace, … sous les bras pour commencer, j’y suis très sensible… puis les seins, surtout les bouts, les tétines, qui se fripent… ensuite le ventre… puis ma main descend plus bas, dans mes poils… je les caresse… puis encore plus bas…
• — Et… vous vous pénétrez ?
• — Pas tout de suite. D’abord je me caresse à l’extérieur… puis j’augmente le rythme… ça me fait couler, beaucoup, ça suinte jusque sur mes cuisses… alors je me mets un doigt… puis ensuite deux… Et alors là c’est très bon… je ne peux pas résister, je gémis, mon minou se contracte, la tête me tourne, j’ai les jambes molles, je suis obligée de m’asseoir…
• — Oui, je vois… et ça s’arrête là ? Ou bien il y a d’autres choses, d’autres pratiques impures que vous devez avouer à Notre Seigneur ?
• — En même temps, souvent avec mon autre main… je glisse mes doigts entre mes fesses pour titiller mon petit trou…
• — Vous caressez votre anus ? Est-ce que vous le pénétrez ?
• — Oui, un peu. Je lubrifie mon doigt avec ma mouille qui coule de mon minou et je l’introduis pour faire jouir aussi mon petit trou…
• — Oui, je vois… Bien. C’est tout ?
• — Euh… oui…
• — Êtes-vous sûre d’avoir tout avoué ?
• — Oui, mon Père, je vous promets.
• — Et là, maintenant, vous regrettez sincèrement ?
• — Oh oui, mon Père.
• — Bien. Pour votre punition, vous direz dix « Notre Père » et dix « Je vous salue Marie ». Dites votre acte de contrition.
• — Merci, mon Père. Mon Dieu, je regrette d’avoir péché, j’implore votre pardon et je promets de faire tous mes efforts…
• — Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Allez en paix, mon enfant.
• — Merci, au revoir, mon Père.

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• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Eh bien, vous êtes déjà revenue ? Je vous écoute.
• — J’ai… euh… autre chose à confesser.
• — Vous voulez dire contre la pureté ? Mais différent de ce que vous avez confessé la dernière fois ?
• — Oui, oui, c’est ça. Il faut que je vous dise tout ?
• — Bien sûr, Notre Seigneur ne peut vous pardonner que si vous avouez tout votre péché, ma fille. Allez-y, racontez-moi tout, bien en détail.
• — Alors voilà. J’habite chez une amie, comme je vous ai déjà dit, et… euh… l’autre matin, j’étais dans la salle de bains… et j’avais commencé… je veux dire, enfin, comme les autres fois…
• — Vous aviez commencé à vous caresser, c’est ça ?
• — Oui, et j’étais déjà très excitée. J’ai entendu la porte d’entrée claquer, Huguette m’avait dit qu’elle devait sortir pour aller au marché. Et je savais que sa fille était à son cours de musique. Donc, j’étais seule dans la maison. Alors, j’ai eu envie de sortir de la salle de bains, nue…
• — Pour vous balader nue dans la maison, c’est ça qui vous excitait, petite vicieuse ?
• — Oui, c’était très excitant. J’ai ouvert la porte et regardé dans le couloir, puis je suis sortie, entièrement nue, j’étais très troublée, j’avais le cœur qui battait très fort. Je suis allée jusque dans le séjour et j’ai tiré le rideau devant la fenêtre… c’était fou… pour que peut-être les voisins d’en face puissent me voir… J’étais tellement excitée de le faire…
• — Et… et ensuite ?
• — Mais… euh… je ne sais pas si j’ose…
• — Confessez tout à notre Seigneur, je suis son oreille, vous devez tout me dire, tout !
• — Alors voilà. Ça ne me suffisait pas de continuer à me caresser debout. À ce moment, je suis grimpée sur la table de la salle à manger, qui n’est pas loin de la fenêtre et… je me suis allongée dessus, sur le dos, avec les jambes écartées en direction de la fenêtre…
• — Dans une pose obscène, c’est ça ?
• — Oui, j’avais trop envie de faire des choses cochonnes, vous comprenez, mon Père, je n’avais jamais été excitée comme ça… je sentais ma mouille qui me coulait entre les fesses, jusque sur la table… Je me caressais comme une folle, puis je me doigtais à la fois le minou et le petit trou, la tête me tournait, je ne savais plus ce que je faisais, j’ai eu un énorme spasme de plaisir, mes deux trous se sont mis à se contracter tous les deux à la fois, je me tordais sur la table en donnant des coups de reins, je me suis mise à gémir, je crois bien que j’ai aussi crié…
• — Oui, vous avez eu un bel orgasme, toute seule, comme ça, quelle honte…
• — Énorme plaisir, oui… et à ce moment, mon Père, il s’est passé quelque chose de terrible… j’en ai encore la chair de poule, maintenant… Oh là là…
• — Mais quoi ? Parlez, par Notre Seigneur !
• — J’avais gardé les yeux fermés pendant… toute cette séance, pour mieux prendre mon plaisir, et là d’un coup, j’ai eu la sensation d’une présence, je les ai ouverts… Catastrophe ! Huguette était là, qui me regardait… j’ai sauté de dessus la table et me suis retrouvée debout devant elle, je cachais comme je le pouvais mes seins et ma toison, rouge d’excitation et de confusion… Sur la table, il y a avait la grosse tache de ma mouille qui brillait… comme une preuve de ma dépravation…
• — Et alors, comment a-t-elle réagi ?
• — J’ai eu très peur qu’elle me crie dessus, qu’elle me frappe, qu’elle me gifle de colère… Mais non… Elle m’a juste dit : « Eh bien, ma chérie, que fais-tu là ? Tu n’as pas honte de faire tes petites cochonneries ici ? Et en plus, les rideaux sont tirés, nos voisins auraient pu te voir ! Tu me feras le plaisir de réserver tes égarements à la salle de bains ou aux toilettes, où tu peux faire tout ce qui te plait sans gêner personne. Allez, file te rhabiller ! Moi, je vais nettoyer tes épanchements, oh là là, et ben toi, alors, y en a copieux, hein ! ». Et tout en parlant, elle essuyait la tache sur la table avec un torchon.
• — Donc finalement, elle vous a surprise, mais elle n’a pas été trop sévère, elle ne vous a pas punie…
• — Mais oui, c’est ça qui m’a étonnée. Moi, je ne savais plus où me mettre, mais ce qu’elle me reprochait c’était non pas de m’y être livrée sans retenue, mais juste de l’avoir fait à cet endroit… En fait, je ne sais pas exactement quand elle était entrée dans la pièce. J’ai compris ensuite qu’elle avait oublié son porte-monnaie, c’était la raison de son retour, vraiment inattendu pour moi. Mais elle avait dû être témoin de… euh… de ma jouissance, de mes gémissements, de mes cris…
• — Sans aucun doute, ma fille, vous ne pouvez plus lui cacher, dorénavant.
• — Depuis, je me pose plein de questions.
• — Et par la suite, quel a été son comportement pendant le reste de la journée ?
• — Mais… très normal, tout ce qu’il y a de plus normal, mon Père. Et alors ? Est-ce qu’elle considère qu’il est normal qu’une fille comme moi se livre… au plaisir. Est-ce qu’elle a déjà surpris sa fille dans ce genre de situation ? Et même…
• — Même quoi, ma fille ?
• — Je veux dire… et elle ? Est-ce qu’elle le fait aussi ?
• — Vous voulez dire… Madame Chaumont ? N’est-elle pas mariée ?
• — Non, mon Père, elle ne l’est plus, elle est divorcée et vit seule avec sa fille. Son fils fait des études à Paris et ne revient parfois que pour des vacances. Donc, pour ce qui est du… euh… du sexe, je veux dire, elle aussi, elle est toute seule, vous voyez ce que je veux dire…
• — Mais ceci ne nous regarde pas, mon enfant. Ne péchez pas par vilaine curiosité, en plus de vos impuretés.
• — Non, bien sûr, mon Père.
• — Bien. Je suppose que dans ces conditions, vous regrettez encore plus vos actes que les dernière fois, n’est-ce pas ?
• — Oh oui, mon Père… je regrette énormément et j’en demande pardon au Seigneur.
• — Bien. Pour votre punition, vous direz dix « Notre Père » et dix « Je vous salue Marie ». Dites votre acte de contrition.
• — Merci, mon Père. Mon Dieu, je regrette d’avoir péché, j’implore votre pardon et je promets de faire tous mes efforts…
• — Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Allez en paix, mon enfant.
• — Merci, au revoir, mon Père.

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• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Eh bien, vous voilà de nouveau ? Je vous écoute, racontez-moi vos turpitudes.
• — J’ai… euh… encore des choses à confesser.
• — Je suis là pour tout entendre, mon enfant. Racontez-moi, n’oubliez aucun détail. Nous avons tout notre temps.
• — Alors, voilà. Hier, une autre amie est venue dormir à la maison. Huguette l’a installée dans la chambre de sa fille, à ma place, dans le deuxième lit. Et elle a donc décidé que j’allais dormir avec elle, dans son grand lit.
• — Oui… je vois.
• — Le soir, au moment de nous coucher, je me suis retrouvée dans sa chambre… j’étais un peu gênée, surtout avec ce qui s’était passé la veille, dans la salle à manger…
• — Oui, c’était le moment d’avoir une attitude réservée, mon enfant.
• — C’était ce que je faisais, mon Père. Je m’étais assise sur le lit, sagement, j’attendais de voir quand j’allais me déshabiller pour mettre la chemise de nuit que j’avais apportée. Huguette est entrée dans la chambre, elle m’a souri, puis a commencé à se déshabiller… ici, il faut que je vous dise, c’est une femme pour laquelle j’ai beaucoup d’admiration, une belle femme.
• — Madame Chaumont ? Je ne me souviens plus exactement. Décrivez-la-moi.
• — Elle est très jolie, grande et forte, blonde avec des yeux bleus, des taches de rousseur, beaucoup de poitrine…
• — Ah oui, je la vois, maintenant. Oui, une belle femme…
• — Oui, très blonde. Alors que moi, je suis brune, petite et mes tétons sont… modestes. Donc, elle se déshabillait, tranquillement, devant moi, elle s’est vite retrouvée en culotte et soutien-gorge et… j’ai pu voir qu’elle était encore à son âge super bien foutue… oh pardon, mon Père, je veux dire… qu’elle a gardé une belle silhouette, malgré quelques lourdeurs bien normales à cet âge…
• — Quelle âge a-t-elle, mon enfant ?
• — Environ quarante ans, mon Père. Et là, comme je sentais qu’elle allait continuer, j’ai commencé à me tourner de l’autre côté, par une sorte de pudeur. Elle l’a vu, et elle m’a dit en souriant : « Tu peux me regarder, tu sais, ça ne me dérange pas. Nous sommes entre femmes, il ne doit pas y avoir de gêne entre nous ». Donc, je me suis à nouveau tournée vers elle, elle a retiré sous soutien-gorge, et j’ai pu voir ses beaux seins lourds et blancs, avec de grosses tétines, qui remuaient doucement au fil de sa démarche. Puis, elle a baissé sa culotte, en me tournant le dos, j’ai d’abord pu voir ses belles fesses, larges et fermes. Ensuite, elle s’est tournée, m’a fait face. Et là, vous savez, moi, je suis brune, en bas de mon ventre, c’est noir… Et elle, c’est roux… un beau triangle frisé, mais pas blond, complètement rouquin, je veux dire…
• — Ça vous a frappé, cette différence ?
• — Oui, et… aussi ça m’a troublé, beaucoup, de la voir si différente de moi, ça me donnait des envies… En plus, elle déambulait dans la chambre, entièrement nue, sans se presser de revêtir sa chemise de nuit posée sur le lit, elle rangeait des objets, puis elle s’est démaquillé le visage, toujours nue. À un moment, elle a fait tomber un bibelot et s’est baissée pour le ramasser, et comme elle me tournait le dos j’ai aperçu… entre ses fesses blanches… son petit trou brun… Je vous l’ai dit, j’étais très troublée.
• — Dites-moi tout. Vous étiez troublée, vous dites. Mais pourquoi ? Vous étiez gênée ? Par sa nudité ? C’est ça ? Ou bien… vous ressentiez… du désir ?
• — Heu, les deux, en fait, mon Père. Oui, gênée, parce que j’étais habillée et elle toute nue. Mais je dois l’avouer, oui, aussi, très excitée par la vue de son corps, ça me donnait plein d’idées…
• — D’accord, et ensuite ?
• — Après, elle a fini par enfiler sa chemise de nuit et s’est installée dans le lit. Et elle m’a dit : « À toi de te préparer pour la nuit, maintenant, ma chérie ». J’étais un peu gênée, mais elle a vu mon trouble et pour me mettre à l’aise, elle m’a dit : « Tu peux te déshabiller devant moi, tu sais. Tu n’as pas à me cacher ce que tu souhaitais montrer à nos voisins pas plus tard qu’hier, ma chérie, n’est-ce pas petite coquine ? ». Et là, le souvenir de cette séance et de mon excitation me revint. Et en plus, ce qu’elle me disait n’était-il pas la preuve d’une certaine complicité entre nous ? Je sentis encore plus le désir monter en moi. Oui, moi aussi, j’allais tout lui montrer, j’avais envie qu’elle me voit nue…
• — Donc, vous vous êtes aussi déshabillée devant elle…
• — Oui, mon Père, totalement.
• — Et ça vous a… troublée ?
• — Oui, beaucoup, surtout lorsque j’ai baissé ma culotte… Et là, elle m’a dit : « Eh bien, mais tu es très mignonne, comme ça, ma chérie. Tourne-toi, fais-toi voir aussi de dos. Oui, comme ça, très bien. Marche un peu, oui, voilà ». Je m’exhibais devant elle, j’étais déjà très excitée, je sentais que je commençais à mouiller. « Mets ta chemise et viens te coucher avec moi, maintenant ». C’est ce que j’ai fait et je me suis glissée sous les draps, le cœur battant, je ne sais pas pourquoi, mais j’étais excitée de me trouver dans le lit avec elle. « Voilà, nous allons éteindre la lumière maintenant » et c’est ce qu’elle fit, nous étions dans le noir. « Avant de dormir, viens me dire bonne nuit, faisons un petit câlin, ma chérie ». Elle s’est approchée de moi et m’a prise dans ses bras. Je sentais son parfum et le poids de ses seins contre moi, et ses jambes contre les miennes, elle glissait son genou entre les miens. Et là, elle a commencé à me faire des petits bisous, sur les joues, puis de plus en plus près de ma bouche, puis sur mes lèvres…
• — Est-ce ça vous plaisait ou bien vous effrayait ?
• — Un peu les deux, mon Père. J’étais excitée par ce contact, mais je ne savais pas où elle voulait en venir, jusqu’où elle désirait aller… Je veux dire… je n’avais jamais fait… enfin, rien fait…
• — Vous voulez dire avec une femme, c’est ça ?
• — Oui, c’est ça, mon Père. Heu, en fait, sauf une fois, avec une copine, mais on n’avait presque rien fait…
• — C’est-à-dire ? Vous savez qu’ici il faut tout dire, ma fille.
• — Mais non, en fait on n’avait fait que des… des comparaisons, vous voyez ce que je veux dire ? Enfin, juste baissé nos culottes pour nous montrer nos foufounes réciproquement.
• — Et… qu’est-ce qui vous excitait le plus ? Contempler le sexe de votre copine ou bien lui exhiber le vôtre ?
• — Je crois bien que c’était de lui montrer, mon Père… D’ailleurs, par la suite, je m’étais beaucoup caressée en y repensant. Mais je l’avais confessé au curé de notre village.
• — Oui, c’est votre tendance exhibitionniste, un de vos vices. Bon, c’est donc pardonné, maintenant. Poursuivez, avec votre amie.
• — Oui, voilà. Donc j’avais très envie d’essayer, alors je me laissais faire et à ce moment j’ai senti qu’elle introduisait sa langue entre mes lèvres, et là, j’ai compris où elle voulait en venir… Docilement, j’ai ouvert la bouche et nos langues et nos salives se sont mélangées dans un baiser furieux. C’était délicieux, mon Père, sa langue et sa bouche étaient si douces… Je confesse avoir pris beaucoup de plaisir dans cette étreinte…
• — Et… après ?
• — Après, tout en continuant à m’embrasser, j’ai senti qu’elle glissait sa main sous ma chemise de nuit, elle descendait le long de mon ventre, puis j’ai senti ses doigts qui commençaient à jouer avec mes poils… Folle de désir, j’écartais les cuisses pour faciliter sa caresse, ses doigts s’introduisirent en moi, j’étais trempée et elle commença à me faire jouir par des va-et-vient délicieux. En même je sentis qu’elle avait pris ma main pour la glisser entre ses cuisses. J’ai compris qu’elle voulait que je lui rende le même service, ses poils tout frisés étaient aussi déjà trempés et elle était tellement ouverte que je dus m’occuper d’elle avec deux, puis trois doigts… Je ne savais plus où j’étais tellement c’était bon, nous ne prononcions pas une parole, il n’y avait dans la chambre que le bruit de nos langues qui se mélangeaient, le clapotis de nos caresses intimes et nos petits gémissements de plaisir à toutes les deux.
• — Et… ça a duré longtemps ? Vous devez tout avouer ici, vous le savez.
• — Au juste, je ne sais pas trop, mon Père… Oui, longtemps, le temps que nous arrivions chacune à notre spasme, l’une après l’autre, elle d’abord, je crois, oui, avant moi… Ensuite, nous nous sommes endormies. Et ce matin, au réveil, c’était comme si rien ne s’était passé auparavant. Huguette était redevenue la même, un peu distante, sans aucune allusion à notre étreinte. Voilà, mon Père, mon énorme péché. Je ne l’avais pas voulu, mais j’y ai été entraînée avec délices, je dois le reconnaître.
• — Donc vous vous rendez compte à quel point c’est grave ?
• — Euh… oui, bien sûr, mon Père.
• — Vous avez commis un acte de chair homosexuel, ma pauvre enfant.
• — Je… je suis désolée, mon Père… Je me repends, je vous assure…
• — Bien. Pour votre punition, vous direz cette fois-ci vingt « Notre Père » et vingt « Je vous salue Marie ». Dites votre acte de contrition.
• — Merci, mon Père. Mon Dieu, je regrette d’avoir péché, j’implore votre pardon et je promets de faire tous mes efforts…
• — Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Allez en paix, mon enfant.
• — Merci, au revoir, mon Père.

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• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Eh bien, qu’allez-vous confesser aujourd’hui ?
• — Euh, j’en ai un peu honte, mon Père, mais… ça a recommencé…
• — Qu’est-ce qui a recommencé, mon enfant ?
• — Eh bien… avec Huguette…
• — Oui, je vois, avec Madame Chaumont, donc encore… Vous allez tout raconter pour que le Seigneur puisse vous pardonner. Allez-y, je vous écoute, n’oubliez aucun détail, ma fille.
• — Voilà, ce matin, sa fille était partie de bonne heure à son cours de musique du mercredi. Il faut dire que son amie était repartie, nous nous étions retrouvées toutes les trois comme avant et j’avais de nouveau dormi dans sa chambre. Là, Huguette était allée dans la salle de bains faire sa toilette et moi, j’étais encore en chemise de nuit, et je suis passée dans le couloir, devant la porte de la salle de bains. Et là… c’était entrouvert et j’ai vu, je l’ai vue, elle…
• — Elle se déshabillait ? Elle était déjà nue, c’est cela ?
• — Oui, elle était nue, mais pas que ça… Assise sur le bord de la baignoire, elle se… enfin, elle prenait…
• — Elle se masturbait, en prenant du plaisir, c’est ce que vous voulez dire ?
• — Oui, mon Père… C’était fou, je n’avais pas imaginé qu’elle aussi, elle le faisait… je veux dire… comme moi. Alors je l’ai regardée, elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte, ce qui lui donnait une attitude un peu… bestiale, oui, c’est ça, elle était tellement différente de d’habitude, où elle est à la fois réservée et souriante… c’était très excitant pour moi de la voir ainsi…
• — Qu’avez-vous fait alors ?
• — J’ai eu envie de me caresser en la regardant, et j’ai commencé à le faire, j’avais glissé ma main sous ma chemise de nuit, dans ma culotte… Et à ce moment, elle a ouvert les yeux et m’a vue qui la regardait par la porte entrouverte, en train de me toucher ! Elle s’est précipitée vers moi, m’a prise par la main et m’a attirée dans la salle de bains, en me disant : « Viens ici, toi, petite cochonne ! ». Là, elle m’a arraché ma chemise de nuit et descendu ma culotte sur mes chevilles. J’étais à la fois excitée et un peu effrayée, tellement elle avait l’air de ne plus se contrôler, mon Père…
• — Et… ensuite ?
• — Nous étions l’une contre l’autre, elle me dévorait la bouche et la langue, et nous avions chacune la main entre les cuisses de l’autre pour nous donner le plaisir. C’était très bon, comme l’autre fois, je me sentais déjà les jambes molles…
• — Et… vous avez…, je veux dire… conclu comme ça ?
• — Non ! À un moment, elle m’a repris par la main et tirée hors de la salle de bains, en me disant : « Viens, viens ! », pour m’entraîner vers la chambre. Et là, elle m’a jetée sur le lit, couchée sur le dos et s’est mise sur moi, mais… à l’envers… enfin, je veux dire tête-bêche, vous voyez ? J’ai senti qu’elle commençait à me sucer et me lécher le minou, c’était absolument délicieux. Et en même temps elle plaquait son entrejambe sur moi, je sentais les frisottis de sa toison me chatouiller le visage. J’ai compris qu’elle voulait que je lui fasse la même chose, et elle me l’a dit, tout crûment : « Bouffe-moi la foune, lèche-moi la chatte ! ». Alors j’ai commencé moi aussi à la lécher et à aspirer sa mouille dégoulinante, j’étais tellement excitée ! Là, elle s’est relevée un instant de mon minou pour m’interpeller de manière très vulgaire, mais c’était encore plus excitant : « Ouiiii, vas-y, comme ça, oui, enfonce bien ta langue, encore, encore, vas-y, vas-y, petite cochonne ! ». Elle gémissait très fort, de plus en plus. Et là, elle m’a murmuré, au milieu de ses soupirs : « Lèche-moi aussi le cul, vas-y, petite salope ! » En même temps, j’écartais ses fesses pour découvrir son petit trou dont je respirais l’odeur très intime… et folle de désir, je commençais à le lécher, j’en sentais les replis sous ma langue, j’étais tellement excitée qu’à ce moment-là je me suis tordue de plaisir, je crois bien que j’ai crié, mon Père… Et elle aussi n’arrêtait pas de gémir et de me dire : « Encore, encore, vas-y, oui, là aussi c’est bon, oh que tu es bonne, toi… ». Ensuite, nous avons fini par nous séparer et nous sommes retombées sur le lit, épuisées…
• — Ma pauvre enfant, vous avez donc commis l’acte de chair, et avec une femme, qui plus est !
• — Oui, mon Père, j’ai honte et je me repends…
• — Mais… êtes-vous vraiment lesbienne ? Je veux dire… avec les garçons… vous ne ressentez rien ?
• — Euh, si, mon Père. L’année dernière j’ai été amoureuse d’un garçon plus âgé que moi, mais en secret…
• — Il ne s’est donc rien passé entre vous ?
• — Non… lui ne me regardait pas beaucoup… c’était un amour, comment dit-on ?
• — Platonique, ma fille. Et vous n’avez eu aucune… expérience, avec les garçons ?
• — Euh, si, mon Père. L’été dernier, à la campagne, à la ferme, chez nous. C’était d’abord avec le fils des voisins.
• — Et vous avez eu un acte de chair avant le mariage, c’est grave, mon enfant !
• — Mais non, mon Père, pas ça… on s’est juste… un peu amusés…
• — Amusés ? Mais à quel genre de jeux ? Sexuels, c’est ça ?
• — Oui, bien sûr… Mais… c’est lui qui avait commencé, je vous jure !
• — Ne jurez pas, ma fille ! Par contre, vous devez tout confesser ici, tout raconter, avec tous les détails, pour que Notre Seigneur puisse vous pardonner.
• — Mais, mon Père… j’avais déjà confessé tout ça à notre curé, chez nous.
• — Il n’empêche, il y a péché dès lors que vous y repensez et que vous en parlez, mon enfant, donc vous devez tout me raconter, en détail.
• — Alors voilà, on était dans la grange, on jouait au milieu de la paille, à je ne sais plus quel jeu, mais innocent, je vous assure. Et lui, à un moment, me fait : « j’ai vu ta culotte ! » Moi : « Je ne te crois pas ! Et d’abord, de quelle couleur elle est ? » Lui : « Elle est blanche et j’ai vu aussi des poils noirs qui dépassent un peu… Dis… tu ne veux pas m’en montrer un peu plus ? » Ça m’a excitée qu’on commence à parler de ça. Et j’ai eu envie de lui montrer mon minou. Alors je lui ai proposé : « Je te montre si tu me montres aussi. Allez, on tire à la courte paille pour savoir qui c’est qui commence ! » Aussitôt dit aussitôt fait, j’ai gagné le tirage au sort et décidé que ce serait à moi de commencer. J’étais très excitée. J’ai baissé ma culotte, puis j’ai remonté ma jupe en écartant les cuisses pour lui exhiber mon minou…
• — Et… qu’a-t-il dit à ce moment, le coquin ?
• — Il a dit, je crois : « Ouah, c’est beau, on dirait une fleur, et y a plein de poils ! » Et là tout de suite, il a baissé son pantalon et son slip et il m’a révélé son… machin… C’était très gros et très raide, dressé contre son ventre, au-dessus de sa touffe de poils, avec les boules qui pendaient en dessous, comme le chien de la ferme quand on le regarde de l’arrière. Et là, il m’a dit : « Tu peux toucher, tu sais, tâte comme c’est bien dur… ».
• — Et qu’avez-vous fait, ma pauvre enfant ?
• — J’ai fait comme il a dit, j’en avais envie, pour voir, j’ai mis ma main autour de son machin. Alors il m’a montré qu’on pouvait tirer vers le bas la peau qui recouvrait le bout et dégager le gros truc tout rouge et tout luisant, vous comprenez, mon Père ?
• — Oui, ça s’appelle décalotter le gland, ma fille. Et ensuite ?
• — Oui, c’est ça. Ensuite, il m’a demandé de continuer à faire des va-et-vient, de plus en plus vite et à un moment il s’est mis à haleter en me disant : « ça vient… vas-y… t’arrête pas… ». Il s’est mis à donner des petits coups de reins en avant, il a gémi et une liqueur blanche s’est mise à gicler par saccades, sur son ventre et sur ma main. Il avait fini et son machin se ramollissait à vue d’œil, mais moi, j’avais envie… envie de jouir en m’exhibant devant lui, et j’ai commencé à me caresser sous ses yeux. Et alors, très vite son machin a commencé à se redresser, à devenir à nouveau raide. Il l’a pris en main s’est mis à se le faire lui-même. On se machinait l’un devant l’autre en haletant, on était rouges d’excitation.
• — Et ensuite ?
• — Ensuite, mon Père, il s’est avancé vers moi en me présentant son gros machin et il m’a dit : « J’ai envie que tu me suces ! ». Je l’ai pris en main et approché de ma figure, ça sentait fort le pipi et le sexe… Mais quand je suis excitée, j’aime bien les odeurs cochonnes, mon Père.
• — C’est-à-dire, par exemple, ma fille ?
• — Euh, j’en ai un peu honte, mais je le fais souvent, quand je me donne du plaisir : voilà, je sens mes doigts après les avoir retirés de mon minou ou de mon petit trou… Alors, son truc rouge, je l’ai pris dans ma bouche et je me suis mise à le sucer comme une grosse glace. Le goût m’a plu, c’était à la fois goûtu et un peu salé, comme quand je suce mes doigts pour goûter ma propre mouille, j’aime bien le faire, quand je me caresse.
• — Oui, et ensuite ?
• — En même temps que je suçais le truc du garçon, je me doigtais fort, c’était bon. Et puis soudain il s’est retiré de ma bouche, il s’est pris en main et il a giclé encore une fois, et il en a mis partout…
• — C’était fini ?
• — Non, car je jouissais encore très fort… Alors tellement j’étais excitée, j’ai eu envie de goûter son machin, cette liqueur qu’il avait craché, qui venait de son sexe, vous comprenez…
• — Oui vous vouliez connaître le goût du sperme, petite vicieuse…
• — C’est ça, mon Père. Alors j’en ai recueilli sur mes doigts, sur son ventre où ça avait giclé et j’ai sucé mes doigts… ce n’était pas très bon, mais à ce moment ça m’a tellement excitée que j’ai eu mon spasme. Voilà, mon Père. Et le soir, je me suis caressée à nouveau en y repensant.
• — Eh bien, ma fille, quelle confession… Mais vous ne m’avez pas tout dit, n’est-ce pas, puisque vous m’aviez parlé d’une première expérience, l’été dernier, avec ce voisin, c’est donc qu’il y en a eu une autre ?
• — Euh, oui, mon Père, quelques jours après, dans la même grange.
• — Confessez-moi tout, mon enfant, racontez.
• — Je m’étais isolée un moment dans la grange pour… m’amuser un peu… j’avais envie… À un moment, j’ai entendu du bruit derrière la charrette qui était garée dans la grange, j’ai regardé par dessous… Et là, je n’en croyais pas mes yeux…
• — Qu’il y avait-il donc, ma fille ?
• — Notre vieux garçon de ferme… Il était debout, le pantalon baissé et il… se machinait, lui aussi… C’était incroyable, il avait un énorme truc, beaucoup plus gros et long que celui du garçon…
• — Oui, je vois… très gros… Et ensuite ?
• — J’ai dû faire du bruit et il m’a vue… Et ce n’était pas difficile de comprendre ce que je faisais moi aussi dans la grange, j’avais la jupe relevée et la culotte baissée aux genoux…
• — Qu’a-t-il fait alors ?
• — Il m’a interpellée : « Hé, mais viens donc ici, cochonne ! » Le cœur battant, je me suis approchée, et là il a mis son gros truc en avant vers moi : « Allez, toi, ma petite, aide-moi, occupe-toi de ça ! ». Je l’ai pris dans ma main, je n’arrivais pas à en faire le tour… alors j’ai arrêté de me le faire à moi et j’ai rajouté mon autre main pour le machiner. Et lui disait : « Ouiii, comme ça, ma petite, vas-y. Viens ici… » Et là il m’a mis la main entre mes cuisses, il a caressé ma toison et puis il s’est bien occupé de moi pendant que je lui faisais plaisir. Oh, il savait y faire, le vieux cochon…
• — Que faisait-il, ma fille ?
• — Il m’avait mis un doigt dans le minou, je pouce, je crois et un autre dans mon petit trou. Et on a continué comme ça tous les deux jusqu’à ce qu’il gicle une quantité qui m’a parue énorme, alors j’ai moi aussi eu mon spasme. On s’est reculotté et là il m’a dit : « Tu ne diras rien à Fernande, bien sûr, ça reste entre nous, hein ? » Je lui ai promis, c’était notre petit secret. « Tu es gentille, tu comprends, elle a ses petites affaires, en ce moment et elle n’est pas disponible… Alors elle m’a dit de me débrouiller tout seul… Sauf que là, tu m’as aidé un peu, hein ? ». Voilà, mon Père.
• — Eh bien, vous avez énormément péché, ma pauvre fille. Est-ce que vous le regrettez, au moins ?
• — Oui, mon Père, je vous promets. Je… je regrette beaucoup, vous savez, d’avoir fait tout ça… Je me repends, je demande pardon au Seigneur. Pour ce que j’ai fait… et aussi… pour maintenant…
• — Que voulez-vous dire, ma fille ?
• — C’est-à-dire… eh bien, voilà, de tout vous raconter… ça m’excite beaucoup… ça me donne très envie… envie de me caresser en même temps…
• — Vous êtes folle ! Pas ici, voyons, reprenez-vous, mon enfant !
• — Mais… et vous, mon Père ? Ça ne vous donne pas envie, vous aussi ?
• — Euh… ne blasphémez pas, ma fille…
• — Ah, peut-être bien que oui, quand même un peu, non…
• — Mais… voyons, arrêtez… Voilà, nous avons terminé, laissez votre place, il y a des dames qui attendent… Pour votre punition, vous direz cette fois-ci vingt « Notre Père » et vingt « Je vous salue Marie ». Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Allez en paix, mon enfant.
• — Merci, au revoir, mon Père.

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• — Bonjour, mon Père, bénissez-moi, parce que j’ai péché.
• — In nomine patris, et filii et spiritus sancti, amen… Bonjour ma fille. Alors, qu’allez-vous encore confesser aujourd’hui ?
• — Euh, j’en ai un peu honte, mon Père, mais… Voilà, demain je dois repartir chez mes parents. Et alors, aujourd’hui, c’est la dernière fois que je me confesse à vous, mon Père. Et… je suis très troublée…
• — Pourquoi êtes-vous troublée, mon enfant ?
• — Parce que je ne sais pas si je vais oser…
• — Vous savez bien que vous pouvez tout me dire, ma fille, la bonté et la compréhension du Seigneur sont infinies. Je vous écoute. Racontez-moi ce que vous avez fait de si extraordinaire contre la pureté.
• — Euh… ce n’est pas ce que j’ai fait, mon Père…
• — Je ne comprends pas, mon enfant…
• — Euh… mmm… ha… mmm…
• — Mais qu’y a-t-il, ma fille ?
• — Mmm… mais… c’est ce que je… ce que je fais… là… maintenant…
• — Quoi ? Que voulez-vous dire ?
• — Je… je suis en train… mon Père… mmm… je le fais… là, ici…
• — Vous voulez dire… que vous vous… ici ? dans le confessionnal ?
• — Ouiiii… je le fais… là… devant vous… mmm… oh, c’est bon…
• — Vous êtes folle !
• — Je… je n’ai pas mis de culotte pour venir vous voir… et je confesse… en direct, devant vous… que je me caresse… que je me touche le minou… je me caresse les poils… ça me fait couler… beaucoup, c’est bon, c’est trop bon… je confesse que c’est bon…
• — Mais c’est fou… Oui, continuez… je veux dire… à vous confesser…
• — Oooh… voilà… je rentre mes doigts… par derrière, je touche mon petit trou avec l’autre main… ça coule beaucoup… vous entendez, mon Père, le bruit ? Ça clapote dans mon minou… je mets trois doigts… plus un autre dans mon anus, c’est trop bon…
• — … Oui… oui…
• — Ouiiiii… c’est bon, c’est bon… je le confesse… ouiiiiiiii…
• — …
• — Mmmmm… ouiiiiii…. Ça y est… ça y est… oh, c’était trop bon… Vous ne dites plus rien ?
• — Aaahhh… mmmm… aaaahhhh…
• — Ah ouiii… vous aussi, mon Père ? C’est génial, on l’a fait ensemble… mais je regrette… oui… je regrette beaucoup… mais j’en avais trop envie… Pardonnez-moi… Donnez-moi l’absolution, mon Père.
• — Mmmm… Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti, amen. Allez en paix, mon enfant, je vous embrasse…
• — Merci, adieu, mon Père, moi aussi, je vous embrasse.