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Temps de lecture estimé : 27 mn
05/08/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  L'échange s'est fait facilement. Mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?
Critères:  2couples couplus cocus vacances amour fellation 69 fgode pénétratio hgode hsodo échange -entrecoup
Auteur : RobertAnne      

Série : Alea jacta est

Chapitre 02 / 03
Le Fleuve

Prune et Pascal.

Marie et Cédric.



Résumé du premier épisode : « Le Ruisseau »

Cédric vient de réaliser un fantasme. Sans que sa femme, Marie, en soit informée il organise une rencontre avec un couple libertin, Prune et Pascal, où l’on doit la séduire. Tout se passe bien. Dans l’épisode précédent, Marie a été doucement amenée à se laisser prendre par Pascal alors que son mari possède Prune. Tout s’est passé dans le même lit, dans la chambre de leurs hôtes, après une longue soirée de mise en condition.

On les retrouve alors qu’ils viennent de jouir.



______________________________________




Cédric reprend son récit


Prune se lève.



Elle disparaît. Nous aussi nous nous relevons. Étrange situation de Pascal, Marie et moi, assis sur le bord du lit. La place de ma femme est symbolique. Entre son mari et son amant. Elle et moi ne sommes pas tout à fait à l’aise. Ce qui vient de se passer est fort, désiré, obtenu, célébré mais encore neuf. Heureusement Prune revient avec des verres et de l’eau. Nous buvons comme après la traversée d’un désert.


Prune vient s’asseoir à côté de moi. Le quatuor est au complet. Elle caresse négligemment ma cuisse. Sa main continue pour ne rencontrer qu’un sexe encore bien flasque et humide. Elle joue un instant avec, et puis se décide à venir le sucer, se plaçant à genoux entre mes cuisses. Elle n’a aucune difficulté à me prendre entre ses lèvres, mon sexe ayant déjà oublié son heure de gloire, jusqu’à ce que mes couilles lui barrent le chemin.


C’est agréable. Comme beaucoup d’hommes j’apprécie le symbolisme de la position ou la femme s’agenouille devant nous, comme une prêtresse devant son Dieu. Marie n’aime pas le faire, elle préfère en 69.


Marie ! Ma Marie qui bouge à mon côté ! Ma femme qui se lève et…




MARIE


C’est un vrai bonheur de se laisser diriger et ne pas s’inquiéter de problèmes que d’autres se chargent de résoudre pour vous.


La rencontre « fortuite » avec Pascal, ami d’enfance m’a mis la puce à l’oreille. Depuis des mois, je sentais que Cédric préparait quelque chose. Mon mari est transparent. Il ne sait pas mentir. Un jour j’ai découvert que, dans la salle de bain, il s’enfonçait notre gode dans les fesses et se masturbait l’anus avec délectation. Une autre fois, en « collant » dans un texte Word ce que je croyais avoir « copié » d’un des miens, j’ai eu la surprise de découvrir une copie d’un de ses documents. Toute une prose où manifestement il faisait part de ses fantasmes à un interlocuteur. Des fantasmes très crus et détaillés. Se faire sodomiser par moi avec un gode-ceinture, me voir avec un autre homme, me prendre en sandwich avec le même, etc.


Je n’ai rien dit, le laissant faire des travaux d’approche, ô combien maladroits ! Il faut dire que je me sentais vexée qu’il avoue à des inconnus ce qu’il n’osait me demander. C’est bien volontiers qu’à la place du doigt que je lui mettais de temps en temps dans le cul, je lui aurais enfoncé un gode ou autre chose. J’avais juste décidé que cet été, justement, parce que nous n’aurions pas les enfants, je lui tendrais une perche pour « se faire prendre ». J’avais même regardé sur le net, un sex-shop pas bien loin de notre résidence où je l’aurais entraîné « par hasard ».


Mais c’est « Pascal et Prune » qui sont arrivés. J’ai laissé faire. Je me suis laissé faire. Je me suis laissé guider. Je savais qu’à tout moment il me suffisait de dire « non » pour tout arrêter. Mais ! Mais, je n’ai pas dit « non ». J’aurais été bien bête de me priver de ce que le trio me proposait avec tant de gentillesse. J’ai adoré ce jeu de cache-cache. J’ai adoré la séance sur la plage. J’ai adoré la scène de l’épilation, puis celle de Pascal et du reste.


Quant à cette soirée, ce n’est que du bonheur. Le problème est qu’à chaque instant je pensais « encore un peu, pour voir » et que je me suis retrouvée baisée par un autre, par Pascal. Mais je ne regrette rien. C’était super. Moi aussi j’ai le droit d’avoir des fantasmes que ma fidélité me refusait de réaliser. Alors pourquoi refuser ce qu’on m’apporte sur un plateau ?


Le verre d’eau est le bienvenu. J’ai la gorge sèche comme du parchemin. Être assise entre mon mari et mon amant, est une étrange sensation. Cédric est mal à l’aise, cela se sent à sa façon de se tenir. Je le connais si bien. Je n’en doutais pas, mais c’est bien la preuve qu’il n’est pas devenu un mari uniquement obnubilé sur ses fantasmes.


Mais la présence de Prune et cette main qui va se saisir de son sexe le distrait. Moi aussi, je regarde mon amant, enfin je veux dire ce que mon amant a entre les cuisses. Après tout c’est la première fois que je vois vraiment ce qui vient de me baiser. La mise en scène ayant veillé à ce que la queue tendue ne soit que suggérée avant de m’investir. Pour ne pas m’effrayer ? Sûrement ! Décidemment le, la ou les metteurs en scène sont plein de talents.


Prune va s’installer pour pomper mon mari. J’imagine qu’elle a prévu une suite. Personnellement cette première baise, si elle m’a fait jouir, m’a surtout donné envie de plus et si j’en crois les écrits de Cédric, le programme est varié, trop peut-être pour qu’une soirée suffise.


Moi aussi je me lève, mais au lieu de m’agenouiller, je pousse Pascal sur le lit et vais m’installer sur lui en 69. Il découvre ma fente gluante de ses œuvres. J’ai sous les yeux son sexe mou qui porte les traces de ma jouissance et de son jus. D’habitude je refuse de sucer le sexe de Cédric s’il l’a déjà introduit en moi et surtout qu’il jouisse entre mes lèvres, mais cette nuit je ne suis plus la femme réservée, j’ai envie de me lâcher, de forcer mes craintes, de répondre aux attentes de ceux qui sont avec moi.


Je dois soutenir la verge pour que mes lèvres en attrapent le gland. Quelques coups de langues me transmettent le goût qu’il véhicule. Ce n’est pas si terrible, une fois l’appréhension passée. Comme je n’ai pas d’expérience, je ne saurais pas reconstituer la part de chaque constituant. Foutre, cyprine et peut-être liquide de mon orgasme, bien que je n’aie jamais ressenti d’écoulements à cet instant. Il m’est facile de prendre la totalité de la verge dans ma bouche, mes lèvres butant sur les bourses. L’odeur est plus forte à cet endroit. L’anus n’est pas loin.


Mais déjà je sens que la queue revit. Petit à petit je suis obligée de céder du terrain et mes lèvres rampent à reculons le long de la hampe qui se déploie. Elles s’incrustent dans le sillon entre gland et hampe comme un alpiniste s’accroche au dernier piton de la paroi. Ma langue découvre la douceur de cette peau si délicate et surtout si sensible.


Sensible aussi ma chatte que Pascal explore. Lui aussi doit découvrir mais en quantité autrement plus abondante le foutre dont il m’a lessivé le vagin. Cela ne le révulse pas et je n’en suis pas étonnée d’un libertin affirmé. Jamais Cédric ne m’a fait ce cadeau. Mais aussi il aurait fallu que je le suce. C’est encore meilleur que tout à l’heure. Je suis plus ouverte et réceptive. Je n’hésite pas à pousser ma chatte pour qu’il s’en empare vraiment, que ses lèvres recouvrent les miennes, que sa langue s’aventure le plus loin possible pour revenir vers mon clito qui se tend de joie.


C’est difficile d’être concentrée pour sucer une queue alors que votre amant vous lape le minou. Un ou deux doigts entrent, s’ébrouent, ressortent, replongent, me baisant doucement. Et puis ils sortent, mais c’est pour mieux revenir. Revenir, de concert, parallèles mais chacun par un chemin différent. Je m’étonne que mon anus ne proteste pas, ou si peu, devant la phalange qui s’invite. Il me prend par mes deux trous. C’est vicieux mais que c’est bon.


C’est bon, surtout que je devine, juste à côté, Cédric qui s’est retourné. Prune n’est plus avec lui. Il s’est agenouillé sur le lit, regardant notre couple en 69. Il bande magnifiquement, résultat certainement des gâteries de sa maîtresse mais je pense aussi de ce qu’il voit. Il l’a imaginé. Mon mari le voit. Sa femme qui pompe une queue pendant que ses trous sont occupés par les doigts de son amant. Il entend aussi sortir de ma gorge occupée des grondements de satisfactions, des gargouillis que ma salive produit pendant que je pompe la queue forçant jusqu’à ce que le gland, devenu somptueux, vienne buter au fond de mon palais. Pour un peu je le sucerais jusqu’à ce qu’il me crache sa purée.


Est-il possible de virer cochonne si vite ? Cochonne, oui, certainement car ma main va s’emparer de la queue de mon mari qui sursaute de mon avancée. Je la flatte, je la caresse, j’entame une branlette. Cochonne, mais la faute à qui ? Plutôt grâce à qui ? Je sais ce que Cédric veut voir. Moi aussi j’ai envie de me montrer, de lui montrer que je peux devenir plus libertine, vicieuse. Peut-être va-t-il regretter de ne pas avoir osé plus tôt.


Plus tôt ? Mais non. Je n’aurais pas accepté. Il a fallu un concours de circonstances pour me conduire ici. Mes enfants qui grandissent et me font penser que bientôt ils n’auront plus besoin de moi et je me retrouverai alors, mère satisfaite, mais femme délaissée. Mais aussi et surtout l’attitude de ce client venu me proposer son appartement à vendre et qui m’a fait une cour pressante à laquelle j’ai bien failli céder. Il était beau, sympa et certainement un amant expérimenté. Sa chambre était un somptueux piège à femme avec un raffinement dont un homme est rarement capable. Garçonnière de luxe.



Je m’étais allongée. « Le client est roi. »



Il s’était installé à côté de moi. Tout naturellement, en appui sur son avant-bras, un peu comme Cédric tout à l’heure, il avait avancé son visage du mien. Je n’avais pas réagi lorsqu’il m’avait embrassée dans le cou. Je n’avais pas réagi lorsque sa main s’était posée sur ma cuisse et repoussant l’étoffe, se glissait vers mon intimité. Mais il avait attrapé le lobe de mon oreille et le suçait avec sensualité. C’est ce qui m’a sauvée, sinon je passais à la casserole avec armes et bagages. Le lobe de l’oreille est ma « Madeleine de Proust » personnelle. C’est ainsi que j’avais conquis Cédric, avec d’autres arguments aussi, mais c’est tout un symbole. Si ce gars n’avait pas brisé ce tabou personnel, j’étais prête à me laisser séduire. J’en avais envie. J’avais envie de rompre notre monotonie. Cette monotonie que Cédric de son côté ressentait manifestement aussi.


Combien de couples se séparent juste à cause de non-dits ! Mais pour l’instant j’ai l’imprimatur de mon mari pour m’envoyer en l’air. Il suffit de me redresser, libérant mon amant de la pression insistante de ma fente. Il suffit de ramper un peu, sous les yeux de mon mari qui n’en perd pas une miette. Il suffit de guider la queue que je viens de sucer et qui laisse couler ma salive sur les bourses. Il suffit d’un mouvement du bassin pour se soulever assez, afin que ma chatte se place à la verticale de la fusée gluante. Il suffit d’un ajustement et de descendre un peu, juste ce qu’il faut pour que la tête de la fusée vise sa fenêtre de tir. Ensuite, tout est plus simple. La gravité fait son œuvre. La nature a horreur du vide. Une fente est faite pour être ouverte. Une grotte ne demande qu’à être comblée.


Je descends lentement sur le mandrin. S’il n’en tenait qu’à moi, je me serais enfilée en une seule fois pour le plaisir de me remplir. Mais Cédric est juste à côté, spectateur particulier et combien cher à mon cœur. Je ne veux pas le priver de ce qu’il a décrit avec tant de crudité dans le texte que j’ai surpris par hasard. « Voir une queue ouvrir le chemin de son sexe. Voir la fente s’élargir et ses petites lèvres se mouler à la bite de l’homme. Voir le gland, puis la hampe, disparaître lentement dans la grotte de laquelle suinte la mouille de son envie. Voir les fesses venir se poser sur les cuisses de l’homme, écrasant au passage les couilles gonflées qu’elle a gobés juste avant ».


J’ai oublié les couilles, mais de toute façon ce n’est pas mon truc. Par contre pour le reste j’ai tout juste, sauf que je tourne le dos à mon amant et que mes fesses écrasent son ventre, mais bon ! Je descends si lentement que mes cuisses finissent par me faire mal. Enfin je suis sur lui, la queue bien à fond et qui me remplit si bien.


Un regard derrière moi me montre Cédric, les yeux rivés vers le bas.



C’est un baiser sans fougue mais bien meilleur car il transporte tout notre amour, notre vécu, nos enfants et la promesse de jours radieux.


Je l’abandonne. J’ai envie maintenant de penser à moi, rien qu’à moi. Le mur de la chambre qui me fait face ne me distrait pas. Je commence ma lente ascension, puis la descente sur la bite que je découvre de plus en plus longue, dure et grosse. Sur mes fesses, des mains m’accompagnent. Elles sont l’émanation de Pascal que je ne vois pas.


Je sais que j’ai tout mon temps. Je ne suis pas pressée et je sais que mon amant qui a déjà craché une fois va être d’une résistance à toute épreuve. Je varie les plaisirs. Bien profond. Penchée en avant. Penchée en arrière. Rotation qui stimule toutes mes parois. De longues minutes passent. Je sais que Cédric regarde. Je sais que sa queue doit lui faire mal de désir. Celle de Pascal résiste à mes traitements.


Et puis, Prune apparaît dans mon champ de vision. Une Prune, harnachée avec un gode fixé autour de sa taille et des cuisses par des sangles. Un gode rose couleur chair, parfaite imitation d’une verge en érection avec son gland marqué, sa hampe longue où des veines courent. Pendant que je me baise, je la vois se courber, repousser les cuisses de son mari et venir lui caresser les couilles avec sa bouche et sa langue. Elle joue aussi avec le mandrin qui apparaît et disparaît dans ma fente, mais c’est pour se consacrer bientôt à l’anus. Les couilles me cachent l’orifice mais je la devine le séduire pour qu’il se relâche comme j’aime le faire avec Cédric. Elle s’aide aussi de ses doigts. Un, puis deux, semblent entrer sans effort.


Elle se relève, mission accomplie. Elle avance le gode vers son objectif. Comparé aux couilles de Pascal, l’engin paraît bien gros, mais elle le place. Je stoppe mes mouvements, écrasant mon amant de tout mon poids. Peut-être veux-je l’empêcher de s’enfuir ? Ridicule, le couple doit être familier de ces jeux. Seul son ventre avance. Imperceptiblement au début. Ma position ne me permet pas de voir la rondelle se déformer sous la pression. Je donnerais n’importe quoi pour le voir, mais ce serait abandonner la queue qui me remplit. Ce serait « lâcher la proie pour l’ombre ». Mais je me rassure, si je suis le témoin de cette scène c’est que j’ai gagné le droit de faire partie de leur club et de pouvoir revenir.


Et puis elle se rapproche, signe que le gode fait son chemin dans le cul et les entrailles de Pascal. Est-ce une impression mais je crois le sentir qui monte vers moi ? Les derniers centimètres disparaissent presque d’une poussée. Prune est maintenant tout contre moi. Mais aussi cette dernière poussée arrache un cri derrière moi, un cri que Pascal pousse un peu comme celui d’une femme que son amant vient d’investir avec détermination. Aussi, j’en suis sûre maintenant, si le gode n’est pas dans mon vagin, la bite qui le remplit vient de grossir. Ainsi c’est l’effet « deux en un ». La queue de chair réagit à l’enculade.


Prune effleure mes lèvres des siennes. Elle me sourit, mais recule un peu comme pour prendre appui. Commence alors l’enculade de son mari. L’enculade de mon amant. Mon amant ! Mais où est mon mari ? Oh, pas loin, toujours à côté, je l’avais oublié par ce spectacle. Il bande bien sûr et je vois de la sueur couler sur son torse. Il n’est que spectateur, mais après tout c’est ce qu’il voulait. Nul doute que Prune va s’occuper de lui après. Sinon, je me ferai un plaisir de le faire.


Maintenant c’est encore meilleur. Je me baise sans retenue. J’adore entendre les gémissements derrière moi, les gémissements de cet homme que sa femme encule sans ménagement et que sa maîtresse pompe par le vagin. Il résiste longtemps. Merci la nature qui rend cela possible. Moi j’enchaîne les plaisirs et puis sans prévenir un orgasme survient. Un orgasme où j’ai l’impression que j’urine en même temps. J’ai peur un instant de m’être laissée aller, mais je comprends que c’est ce fameux liquide des femmes-fontaines. Heureusement je ne suis qu’une source du désert et n’inonde pas mon amant. Mais que c’est bon. La queue glisse encore mieux.


Mais lui aussi est au bout. Prune l’encule maintenant plus lentement mais chaque avancée est brutale. Il jouit. Avant même que sa queue libère le foutre, Pascal prévient de « Oui, oui, je viens » comme on s’attend d’une femme. La queue gonfle une dernière fois, dilatant encore plus ma grotte et puis le torrent arrive, saccadé comme si quelqu’un bloquait le jet entre chaque coulée.


Prune se retire. Je la vois partir de la pièce. Au loin de l’eau coule. Elle doit nettoyer le gode. Moi je reste un moment encore. Le sexe débande tout doucement. Je sens le sperme et ma jouissance couler doucement. Lorsque je me relève, j’abandonne une flaque de foutre sur le pubis de mon amant. Cédric me donne la main, comme si d’enjamber Pascal était un risque. Mais c’est en réalité un geste de tendresse et d’amour. Son visage est lumineux, ses yeux brillent. Les étoiles qui scintillent sont la preuve de son plaisir. Son fantasme se réalise…




CÉDRIC


Jamais je n’aurais pensé être le spectateur de ce que Marie m’a offert. Jamais je n’aurais imaginé qu’elle se serait coulée si facilement dans le moule que mes amis ont préparé pour elle. Le moule, c’est la queue sur laquelle elle s’est baisée et je ne parle pas de la vision de Pascal enculé par sa femme. Marie n’a pas semblé surprise.


Prune revient de la salle de bain. Elle abandonne le gode sur le lit. Elle me regarde, et surtout voit ma verge si tendue qu’elle semble une excroissance incongrue de mon ventre. Elle sourit. Marie recule un peu laissant la place à son amie. D’une main elle me pousse pour me faire allonger. Son regard est un appel au vice. Elle vient me chevaucher. Son visage est si près que je sens son souffle. Elle m’embrasse pendant que je sens ma queue s’engloutir dans sa fente, ses seins s’écraser sur ma poitrine. Ma queue découvre à nouveau avec délice la grotte amicale. Elle se redresse. La voici cavalière comme Marie l’instant d’avant mais une cavalière qui me fait face. Elle se tortille sur moi, ma bite est un baobab qui ne plie pas sous la douce pression et elle doit en apprécier la dureté.


Pascal et Marie nous ont laissé la place mais regardent. Ma femme surtout est au spectacle, juste retour des choses. Je ferme les yeux me laissant conduire par ma maîtresses dans un mouvement de lentes montées et descentes. C’est encore meilleur, sachant que Marie n’en perd pas une goutte. Et puis quelque chose me caresse la queue lorsque Prune la libère. Une langue joue avec et lèche mes couilles. Un regard me fait constater que Marie n’est plus à côté. C’est elle. Je retrouve ma complice de nos 69, elle continue sur mon anus. Bientôt un doigt vient tester la résistance de la rondelle. Il entre. Ce n’est pas la première fois mais aujourd’hui une femme se prend sur moi.


J’ai du regret lorsque mon cul est abandonné. Je pensai qu’elle allait me sodomiser plus longuement. Quelques secondes passent me faisant reconcentrer sur les mouvements de ma cavalière. Et puis Prune se couche sur moi se baisant par de grands coups de reins. Et puis je sens qu’on m’invite à soulever les jambes. Je cède bien volontiers attendant un doigt enculeur plus audacieux. Mais ce n’est pas un doigt. Par-dessus ma maîtresse, je vois Marie se plaquer contre moi et ce qui pointe contre mon petit trou c’est plus froid, plus gros. C’est le gode. Ma femme s’est harnachée avec et veut me sodomiser. Elle n’hésite pas. Pourtant elle ne sait pas que depuis des mois je m’encule avec le gode de la maison et que mon cul sait s’ouvrir. Celui-ci est encore plus gros mais elle y va « franco ». Nul doute que la vision de son amant enculé ne l’inspire ou l’excite.


Elle pousse. Je la regarde. À partir de maintenant je vais vivre en vrai ce dont je rêve depuis si longtemps. Elle est concentrée sur le gode et ma rondelle. Mon cul s’ouvre. Elle l’a déjà vu de près avec un de ses doigts mais c’est autrement plus impressionnant. Moi, les premières fois j’avais installé une glace sous le gode vertical pour voir le sphincter s’élargir, le gode entrer, l’anneau chercher à étouffer l’intrus et puis finalement se laisser faire. Aussi, le temps de latence où le gode sorti, l’anus qui ne se referme pas aussitôt mais reste un moment ouvert, ouvert d’autant plus et plus longtemps que je progressais dans mes enculades privées.


Voilà, elle l’a poussé assez loin pour que je sente la dureté de l’objet dans mes entrailles. Maintenant elle ne regarde plus mon cul. C’est moi qu’elle regarde, cherchant une réaction sur mon visage. Moi je ferme les yeux tout au plaisir de me faire enculer et de satisfaire en même temps une femme. Ce qu’elle y découvre doit la satisfaire car elle commence ses mouvements.

Putain que c’est bon ! Les mecs qui se font prendre disent que cela augmente leur érection. J’en doutais car dans la solitude de la salle de bain, je devais me branler pour que ma queue gonfle. Mais ici c’est différent. Le mental est au maximum et mon sang doit charrier un max d’hormones.


Ma maîtresse se baise. On me baise. Je caresse les seins de Prune ne voulant pas n’être qu’une queue et un cul que l’on utilise. Mais le gode part. Que fait-elle ? Pourquoi me laisser en plan. Je la vois reculer. Mais c’est pour céder la place à son amant. Marie est-elle devenue si vicieuse en une soirée qu’elle propose le cul de son mari à son amant ? Mais oui. Elle s’écarte. Il s’installe. Je ne vois pas son sexe. Il a donc déjà repris de la vigueur. Prune m’avait fait la confidence que son mari s’avait « assurer » plusieurs fois. C’est une évidence car ce que je sens contre mon cul n’est pas un bâton mou, mais la pointe d’un gland bien nerveux.


La salive qu’il laisse tomber de ses lèvres n’est pas d’une élégance folle mais je la remercie de participer à la lubrification. Il fait ce dont nous avons parlé souvent. Il m’a raconté la différence de plaisir et de sensation entre un gode et une vraie queue d’homme. Je lui avais dit que moi je n’étais pas tenté. Qu’un gode suffirait sûrement surtout si c’est ma femme qui le manipule.


Mais après tout comment refuser. Comment refuser ce que ma femme propose. Ce serait maladroit. Après tout elle a peut-être ce fantasme. Il pousse. Il entre sans grande difficulté. C’est vrai, c’est différent. C’est à la fois moins dur et plus puissant. Surtout, c’est comme un tison qui avance. Il avance. Il avance. Pascal s’est emparé de mes jambes et je suis maintenant une femme que son amant écarte pour posséder le plus profond possible.


À côté de moi, Marie vient s’allonger. Elle me parle à l’oreille. Mais ce qu’elle me dit me parvient haché, décousu. Je ne suis plus qu’une queue et un cul. C’est bon de se laisser faire. Chacun des mouvements du couple est un délice.


« Gode », « Salle de bain », Sodomie », sont des mots que Marie prononcent. Mon cul devient un boulevard que le rouleau compresseur de Pascal parcourt. Ma queue est un bâton qui devient insensible à mesure que Prune la pétris de sa grotte. « Candaulisme », « Presse papier », « Fantasmes », « Colère », « Prune », « Pascal », « Libertins », arrivent à mon oreille, mais mon cerveau est ailleurs. Tous mes neurones ne sont plus que des compagnons de sexe. Prune gémit. Elle jouit sur moi. Mon cul est inondé. Pascal dans des derniers soubresauts a craché son foutre dans mes reins. J’ai suffisamment de lucidité pour me dire que c’est certainement la même sensation lorsqu’une femme reçoit ce don de son amant. Moi, c’est la première fois. C’est chaud, étrange mais surtout me remplit totalement alors que mon amant continue ses mouvement de piston. J’ai joui mais suis bien incapable de dire à quel moment, tellement j’ai été submergé par toutes ces nouvelles sensations.


Notre trio se défait. Quelques minutes où chacun retrouve son souffle.

Prune se lève. Elle entraîne Pascal.



Marie et moi restons seuls. C’est la première fois depuis que nous sommes arrivés. Elle se love tout contre moi. Nous sentons la sueur, le foutre suinte de nos orifices. Mais je suis bien. Juste, des mots susurrés qui reviennent à ma mémoire. Mon cerveau en reconstitue la logique. Ils se transforment en phrases. Ils se transforment en émotion. D’un seul coup je comprends que Marie savait. Elle ne savait qu’une infime partie de mes échanges avec le couple, de mes fantasmes, du piège. Mais elle en a reconstitué assez pour avoir compris l’essentiel.



Alors, câline et coquine, elle se frotte à moi.



Elle sourit de notre réponse non concertée avec deux « Oui » qui se bousculent spontanément comme un cri qui signifie « Encore ».



Étrange sensation de diriger le jet entre ses fesses pour en retirer le sperme déjà collé. Nous revenons vers la chambre. La porte en face est ouverte.



Ni Marie ni moi n’avions pensé à cela. Ne pas dormir ensemble. Elle, dormir avec Pascal et moi avec Prune. Elle hésite. Elle voit que dans l’autre chambre Prune attend, elle m’attend. Nous nous regardons. C’est elle qui prend la décision. Un baiser et un « Bonne nuit Chéri » suffit. Elle entre. Elle repousse la porte derrière elle. Ma femme va dormir avec un autre. Cela me perturbe. Je sais que c’est ridicule après ce que nous venons de vivre, mais dormir est déjà une séparation.


Moi aussi j’entre. Pour moi aussi, Pascal prête un boxer ou un bas de pyjama. C’est « comme je veux, » dit Prune. Elle reste nue. Moi aussi. Elle s’allonge. Je la rejoins. Un instant j’ai envisagé de la caresser mais manifestement, le moment est au repos. Elle me questionne sur Marie. Je lui raconte qu’elle se doutait. Prune reconnaît que ma femme s’est vraiment libérée comme si elle aussi attendait une opportunité. Tout est pour le mieux dans le meilleur des m…


Une sensation étrange. À moitié réveillé, à moitié endormi. Il fait jour mais certainement encore tôt. Mon sexe est dur. Classique érection du matin, de celle que le cerveau déclenche pour s’assurer que tout va bien, un peu comme une répétition générale. Mais ce n’est pas que cela. Prune s’est saisie de ma verge. Elle la branle et la prend en bouche. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle me pompe avec avidité. Je jouis très vite, tellement fort que je crains un instant d’uriner en même temps. Mais non. Elle avale ma semence. Se redresse, me sourit.



Et elle se retourne me laissant face à son dos et sa chute de reins. Je ne croyais pas me rendormir, mais si. Lorsque je me réveille, Prune semble revenir du couloir. Elle vient me saluer d’un baiser.



Intrigué, je me lève. Elle traverse la chambre. Elle ouvre notre porte. Elle passe le couloir. La chambre en face n’est pas totalement fermée, il lui suffit de la pousser pour voir l’intérieur. L’intérieur et le lit que la lumière qui passe par la fenêtre non occultée semble souligner. Un lit. Ma femme allongée, nue. Ma femme avec un…




PRUNE


Cédric n’a pas encore intégré que sa femme aussi a des envies et que le sexe sage de couple ne lui suffit plus. En allant dans la salle de bain, j’ai entendu des gémissements venir de leur chambre. Il m’a suffi de pousser doucement la porte pour voir le couple enlacé. Alors, lorsque Cédric m’a dit que sa femme ne lui ferait pas une sucette matinale, j’ai tout de suite pensé, connaissant les goûts de mon propre mari, qu’il se chargerait d’y remédier. Cela n’a pas raté. Lorsqu’avec Cédric j’ai repoussé la porte, nous avons découvert un magnifique spectacle. Spectacle magnifique pour moi, mais peut-être pas pour le mari.


Encore un qui croit, et pourtant dieu sait que j’apprécie Cédric, sa naïveté, son amour pour Marie, alors qu’il se croit machiavélique, que les femmes ne sont qu’à la traîne des fantasmes masculins. Pourtant il sait depuis cette nuit que sa femme se révèle aussi audacieuse que lui alors qu’elle improvise ce que lui imagine, organise, fantasme depuis des mois. Ah les hommes !


Marie est allongée. Entre ses cuisses, mon vibromasseur semble le prolongement de sa main. Je ne connais rien de plus efficace, mais aussi de moins élégant que ce tube que l’on tient d’une main et dont l’excroissance plus grosse qui vibre si bien, si fort, si parfaitement ajustable aux envies du moment que toute femme rêve de le connaître. Mais les sites marchands préfèrent mettre en avant des sex-toys qui ressemblent à une queue, alors que cette tige, chargée d’énergie par les piles ou les batteries, n’est pas belle mais sans comparaison pour vibrer un clito.


Mais ce n’est pas tout. Pascal s’est arrangé pour que la belle se trouve au bord du lit, la tête pendant dans le vide. Mais ce vide, il s’est chargé de le combler. La tête renversée en arrière fournit un axe parfait pour la bite raide de désir. Une bite qui disparaît entre les lèvres de Marie. Lèvres gourmandes, pas du tout choquées de l’usage qu’en fait mon mari. Un regard vers Cédric me montre sa surprise.


La vibration est lointaine mais le bruit de la bite de Pascal qui pistonne la gorge est autrement plus suggestif. Je connais bien cette position. Elle peut paraître inconfortable, dominatrice mais en réalité elle est parfaite, surtout pour une gorge peu habituée à une grosse queue qui avance. La salive arrive comme par enchantement et participe au plaisir.


Le gargouillis ! La salive qui coule de la commissure des lèvres. Tout contribue à l’excitation des participants mais aussi des spectateurs que nous sommes. Cédric ne fait pas exception. Son sexe se dresse. Je le pousse pour qu’il avance. Naturellement il va voir le couple. Son regard hésite entre le vibro et la queue qui coulisse dans la gorge de sa femme. Pascal maintient fermement la tête entre ses mains et la bouche n’est pour lui qu’un orifice dans lequel il se baise.

Soudain Cédric fait quelques pas, monte sur le lit et sans attendre, va glisser son sexe entre les cuisses ouvertes pour posséder cette femme qu’il ne reconnaît plus. À son tour, il devient le mâle qui ne se soucie plus de sa partenaire. Il baise sa femme comme Pascal baise la gorge. Les deux hommes ne sont plus que des brutes, mais des brutes que la possédée adore. Pour mieux se faire prendre, elle n’hésite pas à cambrer les reins.


De longues minutes le trio s’active. Moi je viens apporter une touche plus sensuelle en caressant la poitrine. C’est Pascal qui crache son jus le premier. Le mari peut voir pour la première fois sa femme recevoir entre ses lèvres la crème généreuse et particulièrement odorante du matin. Cédric est fasciné par ce qu’il voit et pensait impensable quelques minutes auparavant. Marie garde dans sa bouche le foutre et seule une fraction s’échappe de ses lèvres avant qu’il la voie déglutir pour l’avaler. Boire le sperme, voilà ce qu’il n’avait même pas osé espérer. Cette soudaine perversité l’excite au point que sa propre semence jaillit pour inonder le vagin de sa femme.


Dans un spasme de jouissance Marie se joint à eux. Je sais que son clito est douloureux de ces vibrations si efficaces. Elle relève la tête. Son visage est souillé de sperme et de salive. Mais le sourire à peine marqué montre bien que pour une première fois elle a aimé. Décidemment, qu’elle femme !


J’entraîne Cédric avec moi, abandonnant les amants sur le lit. Il me suit avec réticence. Mais j’insiste. Cette séparation d’avec sa femme fait partie de mon plan. Ce n’était pas prévu au départ car Cédric nous avait décrit Marie comme une épouse assez peu portée sur la chose. Et puis, au fil des heures, surtout la soirée, nous avait révélé une femme autrement plus libre que décrite. Ce n’était pas l’épouse toute en retenue qui est venue s’embrocher sur Pascal. Ce n’était pas la femme sans imagination qui s’est emparée du gode et surtout a fait enculer son mari par mon homme.


Pascal était de mon avis, d’où l’idée de les séparer pour la nuit. D’ailleurs je vais, au petit déjeuner, leur proposer de venir s’installer quelques jours à la maison. J’ai envie d’aller plus loin avec eux et pour cela il faut qu’ils soient séparés. Je suis certaine que nous n’en sommes qu’au début. Déjà ce matin Marie a fait des choses qu’elle n’aurait sûrement pas osé faire si Cédric avait été présent dès le début. Mon rêve est que lorsque ce petit couple va retourner à sa vie de famille, il se souvienne avec émotions de ces quelques jours et qu’il soit « armés» au mental comme au physique pour réaliser toutes ses envies, sans gêne ni tabous.


Ils nous rejoignent alors que Cédric et moi avons préparé le petit déjeuner. Chacun se jette sur la nourriture. Après un long moment de silence, Marie demande :



C’est son mari du jour, Pascal qui répond.



Je viens compléter.





MARIE


Passer une nuit avec un autre homme est presque plus troublant que de baiser avec. J’ai mis un moment avant de m’endormir alors que Pascal se reposait à mes côtés. Je m’attendais à de nouvelles aventures sexuelles mais je dois reconnaître que mon pauvre amant avait déjà éjaculé trois fois. C’est en pensant à cela que Morphée est venu. Une fois doucement calé contre mon dos. Une fois alors que je le chevauchais et que sa femme le sodomisait. Une fois dans le cul de… de…


C’est le bruit qui m’a d’abord réveillée. Et puis j’ai senti la vibration contre ma hanche. J’ai découvert alors cet objet insolite mais dont l’usage était évident. Pascal a souri lorsque je l’ai placé sur mon minou. Ensuite il m’a demandé de ramper sur le lit pour que ma tête déborde.


La suite est connue. Son sexe qui m’étouffe. Cédric et Prune que je devine à travers les larmes que la bite envahissante provoque et mon inquiétude de savoir que mon mari me voyait dans cet état, lui à qui je refusais de telles pratiques. Quoique à y bien réfléchir, il ne m’ait jamais mise en position de vraiment refuser ce qu’il ne devait pas oser me proposer. Mais j’ai été rassurée lorsqu’un membre bien gaillard est venu se joindre au sex-toy. Ne pas avaler le foutre de mon amant ne m’est même pas venu à l’idée…


En arrivant à l’appartement, Pascal m’a tout de suite demandé :



J’ai compris que j’allais passer mes nuits et le reste avec lui alors que Cédric dormirait avec Prune. La valise de Cédric a été vite faite. La mienne a donné droit à des remarques de mon amant.



Même remarque pour mes jupes et robes.



Soudain inquiète que mon mari se plaigne de la fille que j’ai eue avec mon ex.



C’est vrai. Je sais que Cédric souffre de mes disputes permanentes avec l’ado et qu’après, mon humeur n’est pas à la bagatelle.



Il rit de sa plaisanterie. Et à nouveau sérieux, ajoute :



Et je sors de la table de nuit un gode acheté il y a une éternité. Celui avec lequel j’ai surpris mon mari en train de se sodomiser dans la salle de bain.



J’ai presque honte d’avouer que notre vie sexuelle se réduit à pas grand-chose, coincés par toutes nos obligations de parents et du reste. De retour chez Pascal, il se charge de monter les valises dans chacune des chambres. Prune et Cédric sont revenus de courses et préparent le repas. Un vrai petit couple. Pascal et Prune bavardent un instant et puis Prune annonce :