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n° 16945Fiche technique16154 caractères16154
Temps de lecture estimé : 10 mn
05/08/15
Résumé:  Mon homme me pousse à m'offrir à un autre mâle depuis de nombreuses années. Je finis pour lui donner satisfaction d'une manière bien particulière.
Critères:  fh couleurs cocus inconnu pénétratio coprolalie -totalsexe -extraconj
Auteur : Badgirl      Envoi mini-message

Série : Le cadeau

Chapitre 01
Le Cadeau - Part 1

C’est bientôt l’anniversaire de mon homme. Ça fait des années qu’il me tanne avec son fantasme de me voir faire l’amour avec un autre mâle. Il m’en a parlé tellement de fois alors qu’on faisait l’amour que je le connais par cœur. L’homme est de couleur, il a un sexe énorme qui m’ouvre le ventre et me fait jouir à en perdre connaissance.


Le temps a passé et je ne suis plus l’oie blanche qu’il a connue. J’ai décidé de tourner une vidéo mettant en scène son fantasme. Ça sera son cadeau.


Je suis à la fois excitée mais aussi un peu inquiète car le gars que j’ai choisi sur le web, si les photos qu’il m’a envoyées ne sont pas truquées, possède un sexe monstrueux pour ma petite chatte. Au repos la bête pend presque jusqu’à mi-cuisse et en érection, son gourdin lui arrive pratiquement au sternum. Inutile de vous dire que j’appréhende quand même de prendre ça dans le ventre.


J’en ai parlé à personne, même pas ma meilleure amie laquelle, ne comprendrait sans doute pas mes motivations, même si je sais qu’elle se fait mettre régulièrement par un de nos directeurs commerciaux dans son bureau après que tout le monde soit parti.

La séance a été préparée dans le plus grand secret. Mon homme doit s’absenter quelques jours dans le cadre de son travail et c’est le moment que j’ai choisi pour faire venir l’étalon chez nous. Je m’y sens plus rassurée que si ça se passait dans un endroit que je ne connais pas.


C’est enfin le grand soir. Jacques est parti ce matin comme d’habitude en me serrant dans ses bras, les yeux pleins de malice, me recommandant d’être sage mais pas trop, et de me raconter si… S’il avait su, je suis sûre qu’il m’aurait sautée une dernière fois sur le pas de la porte avant de s’en aller.


Je l’attends en tournant comme une lionne en cage. Je me sers un cognac, histoire de faire passer l’angoisse qui me serre la gorge et le ventre. Qu’est-ce qui m’a pris de me lancer dans un truc aussi insensé ? Comment va-t-il réagir en découvrant mon cadeau ? Et d’ailleurs aurai-je le cran d’aller jusqu’au bout ?


Je regarde l’horloge, il arrive dans cinq minutes. Je me lève, me regarde dans le miroir, je « mérite toujours » comme diraient entre eux certains mâles de ma connaissance. Belle chute de reins, des fesses rebondies mais pas trop, juste assez pour faire bander un mâle. Je soulève ma robe, découvre mes fesses. Le string blanc sur ma peau bronzée va plaire, c’est sûr.


Je passe un de mes doigts entre mes lèvres intimes, le renifle pour vérifier que mon odeur n’est pas trop forte. Tout d’un coup, mon cœur fait un bond dans ma poitrine, manquant de s’arrêter, la sonnerie de l’interphone retentit. C’est lui, il est devant la grille, je peux le voir grâce à la caméra de surveillance. J’hésite à lui ouvrir puis je me décide. J’appuie sur la commande d’ouverture. Il se dirige sans hésiter vers l’entrée. Il va frapper dans quelques secondes, j’entends déjà ses pas dans le gravier.


J’ouvre, il est là, aussi grand qu’il l’avait dit, un athlète à la peau d’ébène exactement comme je le voulais. Il me sourit et me fait la bise en me complimentant d’emblée sur ma tenue que d’après lui, je mets en valeur plus que le contraire. C’est un charmeur.

Il semble tellement à l’aise que ma nervosité s’en va presque sans que je m’en rende compte. Nous parlons de la maison, sa décoration, de plein de choses qui n’ont à voir avec ce pourquoi, il est là, ce soir.


J’avais prévu un petit brunch au cas où le personnage ne me plairait pas mais nous voilà finalement attablés, mangeant tranquillement comme si nous nous connaissions déjà depuis quelque temps.


Nous allons nous promener dans le jardin, près de la piscine après avoir mangé puis, nous nous installons sur des transats qui nous tendaient les « bras ».

Je me sens bien, en confiance et je me laisse approcher. Il est très tactile. Moi aussi d’ailleurs et naturellement, nos mains se sont posées sur un bras, une épaule, très facilement.


Je sens qu’il va se passer quelque chose, j’en ai d’ailleurs envie, ce serait le moment idéal. J’ai oublié la caméra, l’enregistrement, le cadeau. L’homme me sent prête. Il se lève, se penche vers moi, ses lèvres se posent doucement sur les miennes. Je ne résiste pas. J’ouvre la bouche, sa langue glisse aussitôt contre la mienne. Nous nous caressons de la bouche et des mains. Une bouffée de chaleur m’envahit. Je sens l’excitation me gagner, grandir, irradier mon esprit pour libérer ces fameuses phéromones qui nous font perdre la tête. Mon ventre se noue, des sensations bien connues me parcourent l’échine, se propagent dans mon ventre vers mon sexe qui s’émeut lui aussi. Mon entrejambe se liquéfie. Des spasmes incontrôlés contractent mon vagin, expulsant mes premières secrétions intimes. Mon slip est trempé, je mouille tellement que je me surprends à penser à sa réaction quand il va s’apercevoir de mon état.


J’ai soudainement peur, honte, je ne sais plus. Sans réaliser comment, je me retrouve dans ses bras, soulevée dans les airs comme un fétu de paille. Je suis aux anges. Je m’abandonne sans réfléchir à ce qui va se passer. Il me mange la bouche, en explore de sa langue le moindre recoin. Elle est douce. Il embrasse bien, ma tête s’alourdit, je me sens perdre pied mais loin de m’affoler, ça me rassure. Nous sommes sexuellement sur la même longueur d’onde.


Il me repose déjà, j’ouvre les yeux. Nous sommes dans le grand salon. Il me dépose à même la moquette, me couvre de son corps en continuant à boire à ma bouche. Je me sens toute petite dans ses bras, sous ce corps musclé et puissant.

Un éclair de lucidité traverse mon esprit, j’avise la télécommande de la caméra braquée en plan large sur le canapé où nous nous trouvons. Je déclenche l’enregistrement.

L’homme fait courir ses mains sur mon corps, palpe mes seins qui frémissent et durcissent sous les caresses, descend vers mon ventre, continue vers mes cuisses qu’il caresse en remontant vers ma petite culotte.


Ses doigts s’insinuent sous le tissu, glissent vers ma fente. J’appréhende le moment où ses doigts vont le renseigner sur mon état d’excitation extrême mais l’envie qu’il me touche est la plus forte. J’ouvre instinctivement mes cuisses dans une invite sans équivoque. Ses doigts atteignent rapidement mon sexe, mes lèvres, glissent dans ma fente. Je défaille, mon ventre me fait mal, une folle envie de me sentir pénétrée me submerge. Je n’ai jamais autant mouillé de ma vie. Un de ses doigts glisse vers l’entrée de ma vulve, il va me pénétrer, oui, oui, fais-le, prends-moi. Je me retiens de crier. Tout mon corps est tendu à l’extrême, dans l’attente de ce premier attouchement intime. Il est dans l’entrée, ressort, se fait attendre, avance, ressort, caresse mon bouton, insiste puis revient dans l’entrée puis, s’enfonce enfin en moi.


Mon cœur bat la chamade. Je fonds comme la première fois qu’un garçon m’a pénétrée de son doigt maladroit. Mes cuisses tremblent, l’esprit embrumé, je ne m’appartiens déjà plus. J’entends comme dans un rêve les sons qui sortent de ma gorge. Je gémis doucement, je m’accroche à lui tandis que deux de ses doigts coulissent dans mon fourreau en émettant des bruits obscènes. Il me murmure des mots d’amour à l’oreille. Il est doux. Je suis prête à lui appartenir.



J’ai envie de lui appartenir tout entière. J’ouvre mes cuisses au maximum. Je tire sur mes genoux pour m’offrir à ses caresses.



Je sens ses doigts à l’intérieur de mon ventre, il me baise doucement, frotte l’intérieur de mon fourreau ce qui provoque une légère gêne que je n’avais jamais éprouvée jusqu’à présent. Son pouce caresse mon bouton, le fait rouler tout en douceur. Des spasmes de plus en plus forts me serrent le ventre, irradient mes reins, mon bas-ventre. La gêne a disparu pour faire place à un plaisir diffus, inconnu, profond. Ça me prend aux tripes, ça m’affole. Mon amant accentue sa caresse, ses doigts ne font plus des allers-retours en moi mais bougent de bas en haut tandis qu’il continue à bouger le bout de ses doigts dans mon ventre. Je ne me contrôle plus. Ces cris qui envahissent la pièce, ce sont les miens. C’est ma propre voix que j’entends résonner dans la pièce, dans ma tête aussi. Un puissant orgasme me submerge, j’ai l’impression d’uriner tellement la jouissance est forte, j’appuie désespérément ma main sur ma bouche pour essayer d’atténuer les cris qui sortent de ma gorge sans succès.



Je donne de la voix, je jouis, jouis encore et encore. L’homme me fait jouir à la force de ses doigts en me maintenant au sommet de la vague. Ça ne s’arrête pas. Je prends peur, ma vue se trouble, s’assombrit, je perds pied et m’affaisse, inconsciente, inerte.


Quand j’ouvre les yeux, il est là, allongé à côté de moi. Il me sourit en me caressant doucement. Ses mains courent sur ma peau, mon ventre, mes seins. Mon excitation est toujours là. Un rapide coup d’œil vers son bas-ventre me permet de voir qu’il n’a rien perdu de sa superbe. Je vois sa hampe magnifique fièrement dressée contre son ventre. Le chibre est énorme. C’est mon premier Black, la couleur noire rend cette verge encore plus impressionnante.


Je me penche vers elle, il me laisse faire. Je tends ma langue à la rencontre du chibre qui frémit à son contact. Son odeur musquée m’envahit les narines. Un filet de mouille coule du méat. Je pose mes lèvres en corolle autour de la hampe pour l’aspirer, la goûter. Mon amant semble apprécier l’initiative. Il me caresse les cheveux en gémissant doucement. J’essaie de le prendre en bouche mais il est vraiment trop gros pour la mienne aussi, je me contente de sucer et lécher le pourtour du gland. La hampe est tellement grande que je peux la tenir à deux mains tout en la caressant. Je palpe les bourses à l’échelle du sexe d’ébène. Mes doigts n’arrivent même pas à en faire le tour. Une folle envie de l’avoir en moi m’envahit. Je mouille comme une folle, ça me coule sur les cuisses, je n’en reviens pas moi-même.


L’homme n’est pas inactif. Une des mains a de nouveau pris possession de mon sexe. Un de ses doigts s’occupe de mon bouton qui n’en peut plus de grossir. Il me fait vibrer comme s’il me connaissait depuis toujours. Je me donne, je suis sa chose, un instrument de musique entre les mains d’un virtuose. Je n’en peux plus, je sens qu’une nouvelle jouissance se prépare, j’ai trop envie de sa queue en moi :



Je me redresse, l’attire entre mes jambes que j’ouvre au maximum puis je m’allonge dans l’attente d’appartenir à un autre homme que le mien.

Il me sourit. S’avance pour se positionner entre mes cuisses. Les yeux fixés sur la hampe qui se balance contre son ventre, je le vois enfin la prendre en main pour la poser dans l’entrée de ma vulve qui se contracte dans un spasme à son contact. Je me sais inondée ce qui facilitera la pénétration. J’appréhende quand même le moment où il va s’enfoncer en moi en écartant mes chairs pour lui permettre de me posséder entièrement.


Je me soulève un peu pour mieux voir l’énorme chibre entrer en moi. Nos regards se croisent, encore un sourire rassurant. C’est le moment. Il pose ses mains sur mes cuisses avant de s’y appuyer et, avancer son bassin lentement en tournant. Je sens mes chairs s’ouvrir pour accueillir l’intrus. Il est puissant, dur comme du bois, rien ne pourra l’arrêter maintenant. Il s’enfonce inexorablement. C’est énorme. Le ventre me brûle, je cherche l’air, je souffle, m’accroche à ses bras tandis que nos regards s’accrochent à nouveau. Il s’arrête. Je respire, m’essuie le front nerveusement.

Waouhhhhhhhhhhh. J’ai chaud partout.



Sans plus attendre, l’homme me saisit aux fesses, se retire lentement avant de m’empaler jusqu’à buter sur ma matrice. Je gémis sous l’impact. Je ne sais plus si j’ai mal ou si c’est du plaisir. Seule cette énorme sensation dans mon ventre, entre mes cuisses. J’adore me sentir remplie aussi pleinement. Il s’arrête quelques secondes, juste le temps pour moi de me rendre compte qu’une bonne partie de son sexe n’a pas pu entrer en moi alors que je sens son gland buter tout au fond de mon ventre. Il se retire doucement, lentement, très lentement, se met en mouvement. Ça y est. Il me possède, il m’enfile, coulisse dans mon fourreau avec une facilité déconcertante. Je passe mes mains sous mes genoux pour les ramener sur ma poitrine. Il s’enfonce dans ma chatte puissamment. Je gémis, je râle, ma tête roule de gauche à droite, je ne suis plus qu’une femelle possédée par un mâle. Mon ventre me fait mal, des spasmes incontrôlés me labourent les reins tandis que l’homme m’a maintenant fermement saisie aux hanches. Il me donne de puissants coups de reins, m’arrachant à chaque fois que son chibre s’enfonce en moi, des cris de plaisir et de douleur mêlés. Je vais devenir folle. Le plaisir est démentiel. Je crie, hurle presque, sentir cette barre de chair me piner ainsi me rend dingue. Je me mets à l’insulter, je ne maîtrise plus rien.



Sentiment, sensation impossible à décrire. Les mots ne suffisent pas. Le plaisir à l’état brut. Je jouis à répétition, les orgasmes se succèdent à une cadence infernale. Je perds connaissance encore une fois. C’est trop, beaucoup trop. Comment va réagir mon homme en me voyant me faire prendre et hurler de plaisir comme une chienne en chaleur.


Je ne sais combien de temps s’est écoulé lorsque je refais surface. Mon amant est maintenant sur mon dos. Il m’a retournée pour me positionner à plat-ventre. Il m’a enfilée par derrière. Je sens son chibre me pourfendre, m’ouvrir en deux. Il me complimente sur ma capacité à jouir à répétition, chose que j’ignorais totalement jusqu’à maintenant. Il me dit que je suis magnifique, certainement la plus belle femme qu’il ait eue depuis qu’il exerce ce métier d’escort-boy.


Il me besogne encore et encore, me donne un, deux, trois, je ne sais plus combien d’orgasmes avant que je ne sombre encore dans le néant. Je le sens jouir en moi comme dans un rêve, ça me coule entre les jambes, ça déborde de partout. Je suis pleine de lui. Il rugit en m’expédiant dans le ventre sa semence d’étalon, de bête de sexe.


Nous restons un long moment accouplés, repus de plaisir. Il me câline en amant attentionné. Dans ma tête je repense à tout ce qui s’est passé depuis que j’ai accueilli cet homme dans ma maison, me demandant finalement si mon homme va vraiment apprécier mon cadeau, lui qui me pousse depuis tant d’années à m’offrir à un autre mâle.