Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16947Fiche technique14867 caractères14867
Temps de lecture estimé : 10 mn
06/08/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  J'ai envie de mon mari. Je ne compte pas attendre qu'il rentre du boulot sans ne rien faire.
Critères:  fh couple travail amour fellation tutu -couple
Auteur : Geekyluv            Envoi mini-message
Ce soir je travaille tard

Je sors du boulot contente. Je dois retrouver Marie pour aller au ciné après dîner, je profite qu’en cette période de vacances scolaires, les filles sont chez ma mère. Et en rentrant, je compte bien profiter de toi, mon homme, qui est rentré hier de déplacement professionnel. Toi qui râles que je n’ai pas assez souvent envie de toi, tu devrais être content. Et vu que l’on va rentrer tard, je suis sûre que tu ne t’y attends pas. D’un autre côté, tu dois être encore tout décalé. Tu t’es endormi à 19 h 30 hier soir.


Je me pose tranquillement en arrivant à la maison et je me dis que tu ne devrais pas tarder. Je nous ferai à dîner vite fait et je te laisserai te reposer un peu et profiter d’être de retour à la maison pour jouer sur ton ordinateur en attendant que je rentre. Quoique… Marie m’appelle. Elle vient de récupérer son fils chez la nounou et il a de la fièvre, elle veut remettre à plus tard la séance ciné. Qu’à cela ne tienne, on aura plus de temps pour nous. C’était sans compter sur le SMS qui a suivi dix minutes plus tard :


« Vu que tu sors, ce soir je travaille tard. J’ai envie de rattraper quelques trucs. Je serai rentré avant la fin de ta séance ».


SU – PER ! Pas de ciné, pas de soirée coquine avec mon homme. Et vu que tu bosses, tu ne vas pas être en bien meilleure forme qu’hier. Encore une soirée comme les dix précédentes à m’occuper seule. Et les filles qui rentrent dans deux jours. Le seul point positif est que je n’aurai pas à faire à dîner. J’attrape un reste de pâtes et une tranche de jambon dans le frigo. Je prends au passage la bouteille de vin que je bois doucement depuis que tu es parti et je vais me caler devant mon PC, à regarder un épisode de série.


Trois épisodes et un grand verre de vin plus tard (je n’allais pas laisser un fond), tu n’es toujours pas là. D’un autre côté, il n’est que 20 h. Je commence à avoir envie de toi. Je relis les quelques échanges coquins que l’on a eus par écrit ces dernier jours. Rien de palpitant, quelques allusions. Les tiennes rarement très fines, comme d’habitude. Mais j’ai envie de toi. J’ai envie de te sentir contre moi, tes mains qui me caressent, tes lèvres sur ma peau. Et puis j’ai envie de te faire plaisir. Ta collègue Sarah est sur Facebook. Je vais me plaindre auprès d’elle que tu bosses encore alors que je suis seule à la maison et que tu viens tout juste de rentrer. « Tu n’as qu’à aller le chercher ! » dit-elle en rigolant. A priori tu étais déçu que je sorte ce soir. Eh ben tiens, cela me donne une idée. Tu aimes que je te surprenne, voyons s’il y a matière. J’attrape mon téléphone et commence à tapoter :


« Ça bosse dur, mon chéri ? »

« Oui, il n’y a plus personne alors je profite d’être tranquille pour bien avancer. »


Parfait, tu es seul. C’est ce que j’espérais.


« Ok. Nous, la séance commence. Je t’embrasse. Vivement qu’on rentre, tu me manques. »


Avec ça, tu vas s’exciter tout seul. Tant mieux. Je vais aller te chercher comme me le conseillait Sarah. Je file prendre une douche tout en réfléchissant à ce que je vais bien pouvoir faire. M’habiller sexy bien sûr. Ce matin j’ai mis un des ensembles que tu préfères, mais je peux peut-être faire mieux. Une robe, il fait bon et tu me gonfles assez à vouloir voir mes jambes.

Ah mince, comment je rentre dans ton bureau ? Avant de passer sous l’eau, je file demander cela à Sarah :



Elle me donne le digicode. Je file sous la douche et la remercie.


Je suis tout excitée du coup. Je vais pouvoir vraiment te surprendre. Je ne pensais pas avoir ce genre de pensées mais peut-être que je pourrais te faire du bien au bureau. Je voulais juste t’embêter, qu’on s’embrasse. Mais pourquoi ne pas faire plus ? Ça te fera des souvenirs ensuite. Je me rends compte que j’ai descendu la main entre mes cuisses et que je me caresse lentement en pensant à tout cela. Oui, je vais y aller, je vais t’exciter et je vais m’occuper de toi au bureau. Je ne me vois vraiment pas m’exhiber mais si on est que tous les deux, une petite pipe ça devrait être vite fait après deux semaines sans se voir.


Je finis vite fait de me doucher. Je me sèche en vitesse, enfile un ensemble string/soutif noirs. Je passe une robe. Allez, si je veux que ce soit efficace, j’ajoute des bas auto-fixant. Un peu de parfum, de gloss sur les lèvres. J’attrape mon sac à main, mes clés de voiture, enfile ma paire de talons et me voilà partie. Je me dépêche, il ne faudrait pas que tu partes maintenant.


En dix minutes je suis sur le parking de ton bureau. Je commence à me demander si c’était vraiment une bonne idée. Mes talons claquent sur le sol. Je déteste ces chaussures, c’est bien pour t’allumer ! Je croise quelqu’un qui sors de l’immeuble voisin. Une autre entreprise. Heureusement, j’aurais du mal à justifier à un de tes collègues ce que je fais là, habillée quasiment en tenue de soirée à 20 h passées. Je passe la porte d’entrée, merci Sarah. Je monte au deuxième étage. Je suis devant la porte de votre bureau.

Que j’ai l’air conne !

Je fais quoi ?

Allez, je vais frapper, et quand tu ouvriras, je me jetterai à ton cou, t’embrasserai et puis je te sucerai le plus rapidement possible.


Toc. Toc. Toc. … Tu n’es plus là ?


Des bruits de pas. J’ai dû attendre dix secondes mais cela me semble être une éternité. Tu m’ouvres. Le couloir est sombre, tu ne me distingues pas vraiment. J’avance dans l’open-space éclairé et là, tu es très étonné de me voir. Mais je ne te laisse le temps d’exprimer qu’un « ma chérie ! » étonné avant que mes lèvres ne se collent au tiennes.


Pour une fois, c’est ma langue qui force l’entrée de ta bouche et non l’inverse. Je te serre dans mes bras. Et avant que tu ne reprennes tes esprits, je te murmure entre deux souffles :



En te disant cela, je glisse ma main entre nous et t’agrippe l’entrejambe.



Tu sembles mal à l’aise que je sois là mais je m’en moque. Il n’y a personne. Trop de lumière à mon goût pour que je me comporte de façon aussi coquine, mais tant pis. Je suis déjà à genoux, ta ceinture est défaite et j’attaque ton bouton. La porte se referme seulement. Vos amortisseurs sont durs. J’ouvre ton pantalon, mets mes mains sur tes hanches et descends ton pantalon et ton caleçon jusqu’à tes genoux. Ils finissent leur course tout seul. Je me jette sur ta queue. Elle est déjà bien gonflée, tu devais penser à moi quand même, mon cochon. Ça y est, tu gémis de plaisir. Tu ne diras rien. J’avais peur que tes mots me refroidissent, me sortent de ce qui n’est encore dans ma tête qu’un fantasme. J’ai du mal à réaliser que je suis là, dans votre bureau, à genoux en train de te tailler une pipe. Mais j’aime te faire plaisir et je sais que tu aimes cela.


Je sens ta queue grossir dans ma bouche. Je commence aussi à réaliser où l’on est, ce qu’on fait. Tu éteins la lumière. Mon dieu, on est toujours juste devant la porte. J’y suis vraiment allé fort !

Entre deux coups de langue, je te remercie. Je sais que tu le fais pour moi, je n’aime pas qu’on me voie faire ce genre de choses, même quand c’est toi. Je te dis que je t’aime pour me donner du courage et je t’engloutis. Tu es maintenant bien en forme. Cela commence à être dur de te prendre en entier en bouche. Ta main passe dans mes cheveux, caresse ma joue, tu me relèves le menton et on se regarde. Tu continues à le soulever et te penches en avant. On s’embrasse. J’attrape tes hanches et tourne sur moi-même. Tu manques de tomber avec ton pantalon aux chevilles mais tu m’aides à te mettre dos contre la porte. Je peux m’appuyer sur toi maintenant. Je te suce avec plus de force, plus d’entrain. Tu commences à souffler plus fort. J’agrippe tes fesses d’une main pendant que l’autre tient ta queue dans ma bouche, la branle lentement. Que j’aime ton petit cul ! Qu’il m’a manqué ! Puis je passe ma main sous ta bite, je te caresse. Tu as l’air d’avoir les couilles bien pleines. Tu vas bien me remplir la bouche si je continue. J’en ai envie. J’ai envie de t’exciter.


Mes mains lâchent ta queue. Seule ma bouche va-et-vient dessus. Je la lustre du mieux que je peux. Elle commence à faire des soubresauts. Tu es à ma merci. Je me cambre le plus possible et remonte ma robe. Tu as une vue imprenable sur mon cul, coupé en deux par mon string. Et mes bas doivent te faire plaisir également. Je sais que cela t’excite de me voir ainsi. Ça m’excite aussi. Je dois être humide. Je glisse un doigt entre mes cuisses. Mon string est trempé ! Toi, tu te penches en avant pour caresser mes fesses. Ce n’est pas pratique pour te sucer. Coquin, tu dois faire cela pour retarder ton plaisir. Tu tires sur mon string, il me rentre dans le cul. C’est désagréable. Jamais tu ne comprendras ! Je me relève et t’embrasse. Je défais ta chemise. J’ai envie de t’exciter d’avantage. Je lèche et suce tes tétons pendant que je remets mon string en place. Tu me dis que tu as envie de moi. Tu me plaques face au mur, m’embrasses la nuque. Je sens ta queue tendue au maximum qui vient taper contre mes fesses. J’ai envie que tu me prennes. Mais pas ici, pas contre un mur comme une pute.



En deux coups de pieds, tu as enlevé tes chaussures, ton pantalon et ton caleçon. Tu m’entraînes vers la salle de réunion voisine. Elle est grande, encore plus sombre que votre bureau. Le lampadaire qui l’éclairait depuis la fenêtre ne rayonne plus beaucoup ici. Tu tiens mes bras dans mon dos et tu les relèves pour que je pose ma poitrine sur la table. Tu continues de les relever pour me soumettre. Je te sens t’agenouiller derrière moi. D’une main tu me tiens les mains à la limite du supportable et de l’autre tu descends mon string sur mes chevilles et engouffres ta bouche entre mes cuisses. Je sens ton souffle et ta langue me laper rapidement. J’ai envie de toi !



Tu ne te fais pas prier et te relèves. Tu guides ton chibre en moi. Ça y est ! Je suis prise. Je ne voulais pas être prise contre un mur, je n’ai pas l’impression d’être mieux traitée comme cela, tête contre la table, les bras dans le dos m’empêchant de bouger et toi qui me besognes. Mais que c’est bon !


J’essaye de ne pas gémir trop fort, au cas où il resterait quelqu’un dans les parages mais je ne peux être totalement silencieuse. Tu me dis que tu ne vas pas tenir longtemps. Ce n’est pas grave, j’ai eu ce que j’étais venu chercher. Je te dis de jouir. Ta main me claque les fesses, me les caresses. Tu accélères tes mouvements. Ton pouce vient se poser sur mon petit trou.



Tu enlèves ton doigt. Tu lâches mes mains et agrippes mes hanches. Tu me mets de sacrés coups de bassin. Je te connais, tu vas jouir. Tu n’en es pas loin et plus, tu accélères. Plus tu me prends fort, plus ton orgasme approche.



À force cela m’amuse. Cette négociation qui se termine toujours pareil. Je te sens au bord de l’orgasme. Je te repousse d’un coup de bassin en arrière et me retourne à genoux devant toi. J’agrippe ta bite. Elle est énorme, prête à exploser. Et je te branle rapidement en te regardant dans les yeux.



Ça y est. Tu commences à gémir, à grogner. Ton sexe palpite. D’une main je le branle rapidement, de l’autre j’agrippe ma robe et mon soutif, je les tire vers le bas et je dirige ton jet vers ma peau ainsi mise à nue. Tu essayes de me défier du regard mais c’est trop fort pour toi. Tu n’as pas dû beaucoup te faire plaisir pendant qu’on ne s’est pas vu. Tu fermes les yeux et m’inondes le sein de ton sperme. Cela me rend heureuse, fière. J’aime te faire plaisir. Je continue à te branler lentement, le temps que tu reviennes à toi.


Dès que tu reviens à toi je me relève, t’embrasse et je file.



J’attrape mon sac à côté de la porte. Ton pantalon est là, témoin de notre passion. En arrivant à la voiture, je t’envoie un SMS :


« Dépêche-toi de rentrer, je t’attend au lit :p »


Je regarde l’horloge au tableau de bord. Cela fait vingt minutes que je suis arrivée.


Arrivée à la maison, tu m’as répondu :


« Je suis juste derrière toi. Prépare ton petit cul ;) »


Et pour une fois, je vais prendre la peine de t’écouter. Je glisse mon plug en moi avant de filer me brosser les dents. Qui sait, avec ta conduite, tu risquerais d’être là en moins de trois minutes…