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n° 16949Fiche technique42412 caractères42412
Temps de lecture estimé : 25 mn
07/08/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Pendant le stage de mon homme, je suis invité chez mon beau-frère et sa copine. La soirée dégénère en plan cul de manière délicieuse.
Critères:  fhh hbi alliance hépilé hsoumis fdomine hdomine humilié(e) exhib hféminisé fmast rasage fellation cunnilingu fist hdanus hgode hsodo sm attache fouetfesse -hhomo -hsoumisaf
Auteur : Paradishommes            Envoi mini-message
Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine

Bonjour, je me présente : je m’appelle Mickael, je suis gay, et cela fait huit ans que je vis en couple avec mon homme, Kevin (les prénoms sont fictifs). Il y a deux mois, mon chéri m’avait prévenu qu’il devrait s’absenter quelques jours pour un séminaire dans le cadre de son travail. C’est la première fois depuis que nous vivons en couple que je me retrouve seul si longtemps. Il m’avait un peu rassuré avant son départ qu’une petite semaine, ce n’était pas la fin du monde, me disait-il. Que si je me sentais seul, son frère et sa copine seront toujours contents de me recevoir.


C’est vrai que le frère de mon chéri, Luc, est un beau mâle viril avec une vrai gueule de mec. La première fois que je l’ai vu, j’ai flashé sur son corps parfait ; bref un physique à vous faire craquer. Mais bon, hétéro et en couple, on peut toujours rêver… Il est très ouvert en termes de sexe, et me voyant seul, je le sens assez chaud pour me proposer un plan cul. Il n’a aucun interdit, mais toujours taquin pour nous titiller son frère et moi par des moqueries : « Alors les petits pédés ? Ça va toujours… l’un dans l’autre ? » Ou bien : « Vous avez une ouverture ? »


J’avais même dit à mon chéri :



Alors là, c’est vrai, je fantasme depuis longtemps sur mon beauf… Et mon chéri m’autorisait à draguer Kevin, et ce n’est pas Marie qui trouverait à redire, perverse comme elle est.

Elle est atypique, et tous les deux forment un beau couple. De taille moyenne, rousse aux cheveux très courts, à la garçonne, menue mais bien gaulée, comme Luc. Une croupe à faire bander un hétéro. Toujours en jean et débardeur ample, sans jamais de soutif, dévoilant de temps à autre le galbe d’un sein. Sa poitrine, sans être opulente, doit être comme deux belles poires, et l’on devine leurs pointes en permanence durcies à travers le tissu. Très provocatrice, elle aime allumer. C’est vrai qu’elle est mimi, avec tout plein de tatouages qui lui donnent cet air rebelle, voire sauvageonne. Une tigresse prête à mordre ou à griffer. Ce doit-être ça qui plaît à Luc.


Sans connaître réellement ses goûts en matière de sexe, je l’ai déjà vue chez elle au lit avec des copines, toutes deux à poil à se rouler de vraies pelles alors que Luc regardait un match de foot à la télé. Je la devine aussi assez libérée pour draguer un homme qui lui plaît sans que Luc s’en offense. D’ailleurs, le salaud ne se gêne pas lorsque Marie invite une copine chez eux : il lui fait du rentre-dedans sous le regard complice de sa chérie. Je suis sûr qu’ils ont dû faire des plans culs de toutes sortes.


Donc, voilà le décor. Cela faisait deux jours que mon homme était absent et je reçois un SMS de Marie :


« Passe à la maison, ce soir, on se fera une bouffe. 19 heures, le temps de prendre l’apéro, ça va ? »



Ravi de passer une soirée avec eux, je lui réponds :


« Ça marche pour 19 heures. Bises, à ce soir. »


Je commençais à trouver les journées un peu longues sans Kevin ; déjà quatre soirées devant la télé, j’en avais un peu marre. Sur le plan sexe, nous avons toujours été très libres. Des aventures de temps à autre, mais cela reste des aventures sans lendemain. Lorsqu’un beau garçon croise la route de l’un ou l’autre, nous ne refusons pas un bon coup pour une nuit. Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir… Mais même en manque de sexe, je n’avais pas le goût d’aller traîner dans des endroits fréquentés par la communauté gay pour d’éventuelles rencontres.

Je dis « ces endroits gay », mais bien souvent ils ne sont pas toujours fréquentés que par des gays ; des hétéros y viennent parfois incognito, ou alors par erreur diront certains « Ah, je ne savais pas… » Bande de menteurs et d’hypocrites ! Combien rêvent d’une bonne queue à sucer ou carrément pour se faire prendre ? Je n’ai jamais vu dans ces endroits un hétéro s’offusquer en prenant une main au cul, bien au contraire.


Cela me remémore une soirée torride dans un bar homo. J’avais surpris le manège d’un habitué qui avait repéré un jeune hétéro de 18-20 ans. Le salaud se frottait ouvertement à lui, et le jeune ne semblait pas insensible. Quelques mots au creux de l’oreille et ils se dirigèrent vers un recoin sombre et discret. J’ai attendu quelques minutes et je suis allé fureter discrètement. Connaissant bien les lieux, je me suis approché doucement pour espérer mater un plan hot. J’avais déjà surpris ce genre de scène, et cela m’avait terriblement excité. Le jeunot était déjà à genoux à pomper la belle bite qui se dressait face à lui. Me voyant, il parut affolé de s’être fait surprendre et tentait de se relever ; il m’a fallu le rassurer rapidement en plaçant mes mains sur ses épaules pour qu’il reste à genoux et finisse sa pipe. Pour le mettre en confiance, je m’étais accroupi derrière lui pour lui caresser le sexe à travers son pantalon. Le salaud était tellement excité qu’il le dégrafa aussitôt pour le baisser jusqu’aux chevilles.


Pendant qu’il pompait toujours cette queue, j’ai passé ma main entre ses jambes qu’il tentait d’écarter et je l’ai branlé. De temps à autre mon majeur passait sur sa rondelle, et à chaque fois je l’entendais geindre en remuant ses fesses. Pendant qu’il suçait, je m’occupais de lui en lui débitant des tas de cochonneries à l’oreille :



J’avais à peine fini ma phrase que le pompé donnait un violent coup de reins en éjaculant copieusement.


Le jeune hétéro était en transe ; s’aidant de ses deux mains, il branlait cette bite comme pour lui vider complètement les couilles. À son tour, je le sentais prêt à exploser, et sans cesser ma masturbation, il gicla tout son jus sur ma main. Le pompé s’était déjà rhabillé ; puis, claquant une bise à son bienfaiteur, il retourna tranquillement au bar. Je caressais les fesses du jeunot en badigeonnant sa raie de son propre foutre. Le salaud était aux anges. Il me remercia timidement, presque honteusement, et comme son amant il se rhabilla pour non pas rejoindre le bar, mais plutôt pour fuir l’établissement en toute discrétion. Ah, les hétéros, que de bons souvenirs !


Alors, cette soirée à trois avec un hétéro qui m’excite et Marie qui, comme je le pense, ne doit pas être la dernière à vouloir explorer de nouveaux horizons… Je devais mettre au point une stratégie afin de déclencher une réaction en chaîne pour arriver à un plan cul.


18 heures ; fin du boulot. Le temps de passer à la maison pour me préparer, c’est à dire une bonne douche, changer de fringues. J’ai gravé un CD de musique avec une compil’ de vieux tubes des années 60. Ils sont l’un comme l’autre incollables sur ce sujet : mon plan devrait fonctionner à merveille. Je passe chez le caviste du coin choisir une bonne bouteille. Connaissant leurs goûts en matière d’alcool, j’opte pour un vieux whisky de quinze ans d’âge.


19 heures et quelques, me voilà devant chez eux. Je me gare devant le portail. Je rentre dans la cour sans prendre la peine de sonner, et c’est Luc qui, ayant reconnu le bruit de la voiture, m’accueille devant la porte d’entrée.



Le salaud ne manque jamais d’humour ; s’il savait comme j’en rêve, qu’il m’introduise… « Toi, tu ne perds rien pour attendre ! » je me dis. Puis, plaçant sa main sur son entrejambe et se caressant la bite, il m’allume davantage :



Je passe devant lui et il en profite pour me mettre une main au cul comme pour jouer à me provoquer.



Je me cambre comme une invite, lui tendant la bouteille et le CD en ironisant :



J’arrive dans la cuisine. Marie, de dos, est devant ses fourneaux, et mille-et-une saveurs d’épices remplissent la pièce. Vêtue d’un short – disons plutôt des restes d’un short – déchiré de partout mais hyper sexy, découvrant la moitié de ses fesses, et d’un tablier, je présume, car cela me permet d’admirer son dos dénudé et bronzé. M’entendant arriver, elle se retourne de trois-quarts, mettant en valeur sa chute de reins ; elle m’adresse un clin d’œil, puis se dirige vers moi pour m’embrasser.



Me faisant face, je découvre son tablier sur lequel est imprimé le corps d’un homme nu avec des pectoraux parfaits et le sexe dressé. C’est très excitant de voir ce corps d’apollon parfaitement dessiné avec la tête de Marie.



Naturellement, Marie retire son tablier pour n’être vêtue que de son mini simili-short avec la fermeture Éclair ouverte en grand, laissant s’exhiber la naissance de son pubis qui semble rasé.



Je contemple la multitude de tatouages que cette nana a sur le corps. Sur le côté gauche, le corps nu d’une nymphe semble soupeser et caresser son sein, et la langue de la nymphette tatouée sur le sein semble lui sucer la pointe. De l’autre côté, la même chose, mais version homme. Deux piercings transpercent ses pointes, faisant dresser ses bouts bandés. Grand moment où le silence se fait… Vision troublante d’une femelle impudique en chaleur.



Elle se met sur la pointe des pieds pour me faire la bise, et à travers ma chemisette je sens ses deux seins se frotter contre moi. La salope veut vraiment m’allumer, mais ce soir c’est plutôt son mâle qui m’excite.

Luc nous rejoint et assiste à la scène.



Luc connaît bien Marie. Il sait qu’elle veut du cul, qu’elle est très excitée que l’on soit là tous les trois réunis, et que la soirée ne fait que commencer. Il faut juste un déclic pour que l’ambiance devienne torride. Il s’approche de sa chérie, passe derrière elle et se colle contre ses fesses. Puis il glisse sa main par l’ouverture de son short, me regardant droit dans les yeux.



Marie, les yeux mi-clos, me cherche de regard pour m’allumer davantage, se laissant caresser la fente, très excitée se sachant exhibée ainsi. Ses deux mains disparaissent dans son dos pour se glisser sur le paquet de son chéri et astiquer son sexe tendu.

Dans ma tête, je ne veux pas brûler les étapes au risque que mon plan tombe à l’eau. Je veux mener la danse. Alors je romps le charme de l’instant.



Marie, qui n’est pas la dernière pour lever le coude, préfère tout de même y ajouter du Coca. Luc et moi, sec, comme à son habitude.



J’en profite pour mettre ma compil’ de musique en leur expliquant les règles du jeu. Juste un quiz : qui chante telle ou telle chanson, et en quelle année.



Tous les deux à l’unisson :



Le jeu commence par une chanson de Johnny Hallyday : Sang pour sang, de 1999. Je connais ma belle-sœur, et je sais que déjà à l’intro elle a reconnu et le titre et le chanteur ; reste l’année. Je sais qu’elle est fan de Johnny ; mais l’année ? Tout en sirotant son apéro, elle nous annonce :



Luc intervient :



Marie parcourt rapidement les titres et lance une chanson. Pendant les vingt premières secondes, je fais mine de chercher ; Luc en profite pour remplir les verres.



Marie esquisse un sourire :



La partie se déroule gentiment, l’alcool aidant. Nous reprenons les chansons qui défilent sur la chaîne. Marie n’a pas fait d’erreur ; Luc et moi en avons déjà fait deux, et j’attends la fin proche avec délectation. Luc remplit les verres dès que leur niveau baisse. Marie chante et danse à chaque titre. Son déhanchement mime l’acte d’amour ; elle frotte son entrejambe sur tout ce qui se trouve à sa portée, que ce soit un fauteuil, un coussin ou son homme. Elle semble électrisée par ses sens. Comme une chienne, elle est en chaleur et veut du cul ; elle veut baiser et se faire baiser. Luc, qui la connaît parfaitement, le sait. Il sait qu’il faut la laisser faire selon ses pulsions. Lui aussi est terriblement excité. La preuve, il se caresse la tige à travers son jean. Et lui aussi, à son tour m’excite sans le savoir. Je mate du coin de l’œil la bosse du pantalon. « L’enfoiré, pourvu qu’il s’occupe de moi aussi… » Je ne crois pas si bien dire… C’est Marie, un peu pompette, qui reprend la main du jeu :



Je reconnais instantanément le chanteur Mika dans un titre très chaud, Boum boum boum. Il ne me manque plus qu’à jouer les idiots en annonçant une date erronée.



Marie saute de joie en criant :



Je sais ma belle-sœur assez salope pour élaborer un scénario très hot, et je m’en remets à sa perversité.



Je suis Marie, excité par le sort qu’elle me réserve. Arrivés dans la salle de bain, elle change d’attitude. Est-ce un jeu, ou bien ses pulsions de dominatrice s’enflamment ?



Le moment que j’attendais tant est enfin arrivé. Je vais devenir sa chose, et j’espère ainsi qu’elle m’offrira à son amant. Je joue le jeu en répondant timidement :



Maladroitement, je commence par mon sweat, puis mon jean glisse jusqu’à mes pieds. Elle plaque violemment sa main sur mon sexe en enserrant ma colonne.



Je m’exécute, l’air effarouché comme une jeune pucelle. Je ne peux pas masquer plus longtemps mon érection à être dominé par une femelle en rut.



Je ne reconnais plus Marie, mais je suis au paradis. Pendant que je m’exhibe devant elle en me branlant et en écartant mes cuisses, elle se déshabille lentement. La fente de son sexe rasé brille de son jus. Elle s’enfonce entièrement une main dans la chatte.



Elle me présente sa main engluée de mouille qu’il me faut lécher. Son jus salé m’électrise ; j’obéis à cette salope en rut. Je m’enivre de l’odeur de pisse que dégage ce liquide aphrodisiaque. Ma queue est tendue à l’extrême ; ce n’est pas la femelle qui m’excite, mais le traitement qu’elle me fait subir, la soumission qu’elle m’inflige.



Elle passe sa langue sur ses doigts et se délecte de sa mouille. Je continue de m’astiquer, mais je sens que c’est inutile, tellement je bande.



La queue à l’horizontale, j’enjambe la baignoire. Une fois couché, Marie se place au-dessus de moi jambes écartées ; j’ai sa chatte ruisselante à quelques centimètres de mon visage. La salope s’ouvre la fente, et un jet d’urine vient m’inonder.



Son urine, douce et tiède, s’écoule sur moi. J’ouvre la bouche et goûte ce délicieux nectar ; je ferme les yeux pour humer ce parfum aphrodisiaque. Cette punition est d’une intensité inimaginable. Je ne peux résister à l’envie de boire à la source : je plaque mon visage sur sa chatte, et sa pisse me souille entièrement. Marie est elle aussi électrisée par cette douche dorée qu’elle m’offre. Elle tarde à reprendre ses esprits mais retrouve vite son ton autoritaire :



Je commence à entrevoir mon avenir, et il me semble radieux. Ma maîtresse prend une bombe de crème épilatoire en spray et me recouvre de mousse du cou jusqu’aux pieds, n’épargnant que la tête. Produit efficace, car au bout de quarante-cinq secondes je ressens une chaleur intense sur tout le corps.



Après cinq bonnes minutes, Marie, toujours nue devant moi, me rince avec le jet de la douche. Ma peau encore rougie est hyper-douce. Plus un poil nulle part. Mes jambes lisses sont très douces, mon sexe et mes couilles n’ont plus de poils. Je passe une main sur mon cul pour constater que lui aussi est très doux.

Luc s’impatiente dans le salon :



La demande crue de Luc me provoque une érection car je la prends pour moi. Je sais à présent que la soirée sera chaude pour mon petit cul, et Marie me prépare pour assouvir ses désirs, mais aussi pour regarder son mec s’envoyer un petit pédé. Et ce petit pédé était très impatient. Quel beau programme !



Marie m’essuie délicatement comme une jeune fille, insistant sur certaines parties de mon corps.



J’obéis.



Je m’exécute. La salope passe son doigt sur ma rondelle et pousse légèrement pour l’introduire.



Je me cambre davantage, et de mes deux mains j’écarte mes fesses pour lui offrir ce qu’elle désire. Elle s’enduit le doigt d’une crème dont j’ignore les effets.



Je suis en feu, la crème me brûle l’anus. Une salope en chaleur me défonce le cul et je me cambre pour mieux m’offrir. Son doigt me pénètre lentement. Elle m’enfonce son majeur dans le fondement ; au début avec douceur, puis violemment. J’ai le trou en feu ; plus elle me dilate l’anus, plus je me donne à elle.



J’ai juste le temps de la voir prendre dans un tiroir un plug anal d’un bon diamètre. Après l’avoir humidifié avec sa salive, la chienne retire son doigt pour me l’enfoncer dans ma rondelle sans ménagement.



En m’asseyant, je m’empale sur ce plug, ce qui maintient mon sexe à son apogée.



Marie me talque entièrement le corps, ce qui rend ma peau encore plus douce puis, méticuleuse, elle place sa trousse de maquillage sur une petite tablette à côté de moi et commence à me féminiser. Fond de teint, fard à paupières, mascara, gloss. Je suis là, assis, nu sur ce tabouret avec un plug dans l’anus. Après dix bonnes minutes de maquillage, Marie m’autorise à me regarder dans la glace.


Je suis stupéfait de ma transformation : mon visage est devenu celui d’une belle jeune femme très sensuelle. Le fard à paupières tout comme le mascara me donne un regard envoûtant et mystérieux. Le gloss d’un rouge pourpre donne à mes lèvres un goût irrésistible de fruit défendu. Je suis là, devant ce miroir à admirer son travail. Mes cheveux courts avec mon maquillage me font étrangement penser à Liza Minnelli, un regard intense avec ses grands yeux et un visage à la fois pétillant mais aussi mystérieux. Je suis ravi de mon apparence. Marie m’observe du coin de l’œil, satisfaite de son boulot et contente de me voir ému à ce point.



Marie quitte la pièce pendant quelques minutes pour revenir avec un paquet de fringues. Toujours de dos, je ne peux voir ce qu’elle manigance. Je la sens se mettre à genoux derrière moi ; elle me demande de lever une jambe, ce que je fais sans attendre. Un contact doux et soyeux glisse sur mon mollet puis sur ma cuisse. Je baisse la tête pour me rendre compte qu’elle m’enfile un bas de soie noire jusqu’en haut de la cuisse. Elle me présente une paire de talons aiguilles et me chausse le premier pied.



J’obéis en levant l’autre jambe afin qu’elle m’enfile le second bas et la deuxième chaussure. Puis elle se relève et me ceinture la taille d’un délicieux porte-jarretelles en dentelle noire. Elle accroche les bas au porte-jarretelles en flattant mon sexe toujours en érection.



Toujours docile à ma maîtresse, je m’exécute sans broncher, ravi d’être sa chose. La salope me passe une guêpière en dentelle noire avec de nombreux lacets rouges. Avec mes bas et cette guêpière, j’ai un aspect très coquin, surtout avec ma queue toujours en érection.



La salope tire tellement fort sur les ficelles que j’ai l’impression de me comprimer de l’intérieur. Je sens effectivement mon cul se cambrer ; quant à mon buste, faut pas rêver, mes seins ne gonflent pas, mais sous la pression du carcan, je sens bien qu’ils ne demandent qu’à s’en échapper. Je ne peux qu’admirer mon décolleté provocateur. Je suis très excité par ce spectacle. Marie le sait bien car elle n’arrête pas de me caresser les fesses.



Sa main caresse mes fesses. Alors, comme une invite, je me penche légèrement en avant. Ma maîtresse comprend instantanément le message. Elle s’assied sur le tabouret et me culbute sur ses genoux.



Quelle offrande ! Elle commence à me fesser doucement, puis ses mains claquent mon cul toujours surchauffé. Quelle délectation, quelle récompense… Merci, Marie. Les coups pleuvent, j’ai la peau du cul brûlante. Elle doit se délecter du spectacle que je lui offre, couché sur ses genoux, en guêpière, porte-jarretelles et bas noirs, l’anus empalé par un plug et mon sexe brûlant contre sa cuisse.



Elle m’éjecte de ses genoux et je manque de tomber au sol. Je me relève comme je peux, et les coups redoublent d’intensité. Marie frappe partout : les fesses, les cuisses ; je reçois des gifles… Je bande tellement que mon sexe est plaqué contre mon ventre, droit comme un i. Elle s’en rend compte et passe sa main entre mes jambes pour attraper mon sexe par derrière. Elle tire tellement fort que j’ai juste le temps de m’agripper à la baignoire ; j’ai les deux pieds qui décollent du sol. Ma queue tendue au maximum me fait extrêmement mal, mais la douleur est exquise. Quelques gouttes de précum coulent de mon prépuce pour finir sur la main de Marie. Elle se rend rapidement compte de mon degré d’excitation et décide de stopper net mon plaisir.



Elle passe sur mon sexe un cockring double enserrant mon membre mais aussi mes couilles toutes lisses ; l’effet est surprenant. Marie y accroche une laisse ; je bande comme jamais. Je suis entièrement soumis à ma maîtresse. Me tirant par la queue avec sa laisse, elle contemple son œuvre. Talons aiguilles qui me font creuser les reins, bas noirs et porte-jarretelles, guêpière, et maquillé comme une prostituée, le sexe toujours à l’horizontale et les fesses en feu avec un plug qui me dilate.



Et c’est ainsi vêtu qu’elle me guide dans le salon où Luc nous attend, la queue à la main. Mon entrée ne passe pas inaperçue. Il y a une heure à peine je disparaissais dans la salle de bain avec Marie pour réapparaître transformé. Je joue la jeune fille effarouchée. Marie me place devant Luc. Je découvre la bite de mon beau-frère avec sur le bout du gland un magnifique piercing prince Albert tout chromé de bonne taille ; un délice lorsqu’on vous pénètre avec ça. Marie me demande de rester face à Luc. Le salaud se délecte du spectacle. Il me mate en se branlant doucement. Il tend juste sa main pour caresser mes jambes gainées de soie noire. Il continue son exploration et caresse mes fesses brûlantes encore rougies par la fessée. Marie lui tend la laisse où le cockring emprisonne mon sexe et mes couilles ; il s’en saisit et me tire lentement vers lui. Moi debout, lui assis, ma bite arrive à quelques centimètres de son visage.

Il se remet dans le fond du canapé et invite Marie à s’empaler sur sa queue.



Sans se faire prier, la salope chevauche Luc, tous les deux face à moi. Luc écarte bien ses cuisses, obligeant Marie à écarter elle aussi les jambes. Je suis aux premières loges, et je contemple son membre. Son gland garni de son prince Albert pénètre doucement dans la chatte de Marie qui est excitée comme jamais. Sa colonne de chair disparaît à chaque assaut pour ressortir luisante de mouille. Elle lèche la paume de sa main pour humidifier sa vulve. Je ne sais pas si elle mouille sa fente ou bien si elle se régale de son jus ; la pute ne me quitte pas des yeux. Je suis debout, le sexe tendu et les mains attachées dans le dos, selon leur plaisir. Pendant qu’elle se fait pilonner la chatte, elle invite son amant à lui prendre les seins et faire rouler les pointes. Le salaud ne doit pas y aller de main morte car Marie laisse échapper un cri sous la douleur, mais des râles de plaisir prennent le dessus.



Elle sait qu’en lui bouffant le minou je passerai ma langue sur la tige de son amant, et je peux enfin goûter cette bite tant désirée. Quelle récompense ! Je me mets à genoux entre leurs cuisses écartées et je pointe ma langue sur sa vulve et ce membre qui la fouraille. Je bois la mouille de Marie qui coule le long de cette colonne de chair ; ma langue descend jusqu’aux couilles de Luc. Je m’enivre de son odeur de mâle en rut, je gobe ses burnes l’une après l’autre, jouant avec. Je sens qu’il accélère la cadence, soulevant Marie par les hanches et la lâchant aussitôt pour l’empaler plus profondément. Marie, sentant la jouissance de son mâle arriver, attrape sa bite et me la donne à pomper. J’engloutis entièrement son sexe et je m’applique à recevoir sa semence.


Les mains toujours liées derrière le dos, j’avale giclée après giclée ce délicieux nectar. Je sens sa semence couler le long de son prince Albert. Ma langue récupère tout. Je pompe, j’avale, je m’en délecte. J’ai trop envie de jouir à mon tour ; je me redresse, et debout, la bite tendue, j’éjacule sur son sexe, je me frotte contre lui. Je bande comme un âne. Je me remets à genoux et je le suce à nouveau afin de le nettoyer de son foutre mélangé au mien ; un vrai délice. Marie n’arrête pas de se masturber devant ce spectacle que nous lui offrons. Marc, de ses deux mains, me prend la tête et m’oblige à lui faire une gorge profonde ; le salaud me baise par la bouche. Il jouit une deuxième fois. Je n’arrive plus à déglutir tellement sa quantité de foutre est abondante, mais j’aime ça et je veux tout, je veux le vider totalement. Nous restons une bonne minute comme ça ; je le suce jusqu’à ce que sa queue débande dans ma bouche, mais ma langue refuse de la laisser partir, jouant avec son piercing. J’aspire encore et encore, je hume l’odeur âcre et salée de ce liquide blanchâtre aux parfums aphrodisiaques.

C’est Luc le premier qui reprend ses esprits.



Me soulevant jusqu’à lui, il me roule une pelle d’enfer. Toujours attaché, je ne peux que me coucher sur lui ; nos corps et nos queues se frottent, nous reprenons tous deux assez vite de la vigueur, et Marie contribue à réactiver nos sens. Elle défait mes liens, puis elle retire mon plug avec douceur ; j’ai la sensation d’avoir l’anus dilaté. Luc me prend par la taille, et je m’installe à califourchon sur ses genoux. Nos lèvres toujours scellées, nous mélangeons notre salive et nos langues sensuellement. Je me redresse face à lui, ma queue contre son torse ; cette vision m’excite terriblement. Marie n’est pas en reste : je sens ses mains coller le gland de son chéri contre ma rondelle. Je sens le froid de l’acier de son piercing sur mon anus.



J’ondule du bassin pour lui montrer ma soumission.



Je me penche légèrement contre lui et il s’introduit en moi. Le plaisir est intense. Il s’enfonce délicieusement, centimètre par centimètre. J’ai la sensation d’être rempli, mais mon amant continue sa progression. C’est une colonne de chair qui me visite ; nous bandons tous les deux de ce plaisir indescriptible. Ma queue tendue face à lui et la sienne dans mon anus, le salaud n’arrête toujours pas de me dilater. J’ai l’impression que son gland touche le fond ; je n’ai pas le temps de réagir que Luc m’agrippe par les épaules m’encule jusqu’à la garde. Je sens la chaleur de ses grosses couilles contre ma raie. Ça y est, je suis sa femme, sa femelle. Il peut faire de moi ce qu’il veut ; je suis sa chose, il me possède complètement. Marie a extrait mes seins de la guêpière et me pince les pointes. Je hurle de douleur et de plaisir :



Luc me soulève et me relâche frénétiquement sur cette bite qui me défonce. Il me besogne ainsi pendant dix bonnes minutes, je suis en feu. Marie, toujours derrière moi, me pince les tétons, me gifle sur le corps et le visage en me fessant de temps à autre, et moi je bande de plaisir.

Luc se fige en s’arc-boutant en moi. Immobile, je sens sa queue se raidir et une chaleur m’envahir. Les soubresauts de sa bite déversent dans mon cul un torrent de foutre ; le salaud m’inonde de sa crème. Nous restons ainsi quelques instants. C’est Luc qui émerge le premier :



Là, c’est Marie qui répond :



Puis, s’adressant à Luc :



Mais ça, c’est une autre histoire…