n° 16951 | Fiche technique | 8080 caractères | 8080Temps de lecture estimé : 6 mn | 08/08/15 |
Résumé: Les premiers pas vers l'infidélité d'une femme délaissée. | ||||
Critères: fh fagée extracon inconnu forêt fellation pénétratio confession -extraconj | ||||
Auteur : Angelalamore (Femme mariée, rêveuse et aimant l'amour) Envoi mini-message |
Voilà presque trente ans que je suis en couple avec Mario. Nous avons une fille qui a quitté la maison, mariée, une petite-fille. Mis à part quelques petites sauteries quand j’étais jeune, je n’ai jamais trompé mon homme ; seulement, voilà …
Depuis que mon mari et moi vivions seuls, la routine de la vie avait fini par m’apporter l’ennui ; de plus, j’avais l’impression que nous étions devenus un peu étrangers l’un pour l’autre. On ne se parlait plus beaucoup, et souvent nous nous disputions pour un oui ou un non.
Et un jour, alors que je surfais sur Internet sur un site de partage bien connu, un correspondant que je ne connaissais pas mais qui était une relation d’une relation m’a contactée. Au début, un peu surprise, je suis restée sur mes gardes ; mais au fur et à mesure que nous faisions connaissance, je me suis laissée aller : ça faisait du bien de communiquer avec quelqu’un qui semblait s’intéresser à moi.
En fait, cet homme me connaissait de vue car il venait souvent acheter des timbres au bureau de poste où je travaille et, visiblement, il avait flashé sur moi.
Quelques jours durant, nous avons échangé sur la vie, nos goûts et nos envies. Nous avions tous deux beaucoup de choses en commun : il était marié et s’ennuyait aussi dans son couple, il avait le même âge que moi, etc.
De fil en aiguille, nous avons fini par parler de sexe ; naturellement, l’envie est vite montée et j’ai carrément pété les plombs. Je lui ai raconté combien j’aimais la baise et que je ne savais pas dire non à une bonne queue, etc. Ça l’a bien émoustillé, et il a pensé que le moment de nous rencontrer était venu.
Nous nous sommes rencontrés à midi, un vendredi, pendant la pause-déjeuner car il n’habite pas très loin de mon lieu de travail. Il est venu me rejoindre dans ma voiture, derrière la poste. À peine assis à côté de moi, il m’attrapa derrière la tête et m’embrassa à pleine bouche. J’étais surprise et même un peu affolée, mais je me laissais faire ; c’était tellement bon de sentir sa langue dans ma bouche : j’avais l’impression d’avoir vingt ans. Après coup, Olivier (nous allons l’appeler comme ça) s’excusa de sa fougue et me promit qu’il ne recommencerait jamais cela car nous aurions pu être surpris, et il ne tenait pas à mettre son couple en danger.
Ensuite, nous avons un peu discuté et sommes convenus d’un rendez-vous pour le lundi dans un endroit discret, en forêt. C’était le mois de juillet, et il faisait chaud ; de plus, c’était super excitant…
Le lundi, comme convenu, nous nous sommes retrouvés en forêt ; c’est une forêt aménagée avec des aires de pique-nique. Nous étions apparemment tout seul à ce moment.
Je me suis assise sur un banc pour fumer une cigarette ; Olivier vint se mettre devant moi, ouvrit sa braguette et fit descendre son pantalon et son boxer sur ses cuisses. Je me retrouvai avec son sexe devant le nez.
Je ne me fis pas prier et l’engloutis goulûment dans ma bouche. Je me sentais excitée, libre et salope.
La peur de se faire surprendre ajoutait à mon excitation ; j’étais trempée comme jamais. Je lui suçai la bite en lui triturant les couilles avec ma main, tant et si bien qu’il finit par jouir dans ma bouche. Je reçus le nectar dans ma gorge avec bonheur.
Comme une voiture arrivait, nous décidâmes de nous arrêter là pour aujourd’hui. Mais dès le lendemain, nous nous sommes revus en forêt à nouveau, mais cette fois nous nous sommes enfoncés dans les fourrés, loin des chemins.
Cette fois-ci, il me caressa les fesses et les cuisses en m’embrassant et finit par me mettre un doigt dans la chatte. Je n’en pouvais plus. Ensuite, il me déshabilla et je me retrouvai nue, offerte à son regard, un peu perdue mais chaude et excitée d’être dans cette situation : nue en forêt, et en plein jour !
Je m’accroupis et entrepris de le sucer, lentement, avec gourmandise; je sentais sa queue grossir dans ma bouche, et ça me faisait mouiller de plus belle. Après un certain temps, il me releva et me retourna contre un arbre. Il me caressa à nouveau la chatte et sentit combien j’étais mouillée… Tout en me parlant, il m’empala d’un coup. Je reçus sa queue avec bonheur et je tendis le cul le plus possible pour mieux la sentir. Il me laboura à grands coups avant de jouir comme une bête. J’étais pantelante de plaisir, le cul offert et dégoulinant.
Je mis un certain temps à retrouver mes esprits ; j’étais heureuse, mais en même temps un sentiment de malaise commençait à m’envahir. Il fallait que je rentre chez moi, et l’image de Mario, qui n’était au courant de rien, commença à danser dans ma tête. Le poids de la culpabilité commençait peut-être à peser sur mes épaules ?
Quoiqu’il en soit, le plaisir était trop fort et nous décidâmes, Olivier et moi, de nous revoir à nouveau le lendemain, mais cette fois chez un ami à lui qui était en déplacement et dont il gardait l’appartement. En effet, la météo prévoyait de la pluie pour le mercredi ; heureusement qu’il y avait un plan B…
Une fois rendus à l’appartement, nous avons discuté en prenant un café puis il s’approcha de moi et m’embrassa. Il se mit à me peloter et s’attarda sur mes fesses qu’il trouvait énormément à son goût. Il me tourna vers la table et me fit me pencher en avant sur celle-ci. Je me retrouvai le visage collé à la table, les fesses tendues et offertes. Je me sentais encore une fois super excitée d’être dans cette position, le cul ouvert, la chatte trempée…
Olivier entreprit de me doigter un peu et de me caresser l’anus par la même occasion. Soudain, il se mit à me fesser ; je sursautai d’abord, puis me laissai faire. Il me dit que j’étais une vilaine fille et que je méritais une punition. Quand j’eus le cul bien rouge après quelques claques retentissantes, il s’introduisit brutalement en moi et commença à me baiser bien fort comme une belle salope. La table grinçait sous les coups, et mon cul s’ouvrait au maximum pour mieux le sentir ; c’était un pur moment de jouissance. Quand il finit par jouir à son tour, ce fut un régal pour moi de sentir sa semence se répandre en moi.
Dans les jours qui suivirent, je n’ai pas revu mon amant, puisqu’il faut l’appeler ainsi, et pour cause !
Comme je commençais à le craindre déjà, je culpabilisais à présent vis-à-vis de mon mari. En plus, pour arranger les choses, Mario était plutôt gentil et prévenant avec moi ces derniers temps, ce qui ne faisait qu’augmenter mes remords.
Un soir, à la faveur d’un câlin, j’entrepris de lui dire la vérité. Sa réaction fut étonnante, tant il prit cela avec calme et philosophie.
Il continua à me surprendre en me proposant même d’enregistrer mes ébats avec mon amant afin de voir si cela pourrait lui plaire. Il m’avoua dans la foulée que ça l’excitait de m’imaginer en train de baiser avec un autre. Franchement, j’étais interloquée mais j’acceptai. Que pouvais-je dire ?
Je redonnai donc rendez-vous à Olivier pour le jour suivant à l’appartement de son ami. Je fis comme mon mari l’avait décidé, et quand ce dernier écouta l’enregistrement de mes ébats, sa décision fut sans appel : je devais rompre immédiatement avec Olivier : pour mon mari, il était inconcevable de me partager avec un autre. Ses fantasmes devaient rester tels quels, car la réalité était trop dure à supporter.
J’avoue que cela fut difficile pour moi, mais je fis ce que Mario avait décidé. Et aujourd’hui, je ne le regrette pas car cette infidélité nous a révélé à nous-mêmes, et l’amour que nous éprouvons l’un pour l’autre renaît aujourd’hui de ses cendres.