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n° 16962Fiche technique34983 caractères34983
Temps de lecture estimé : 20 mn
15/08/15
Résumé:  Sans vraiment en être totalement responsable, un sexagénaire se retrouve avec trois petites amies en même temps.
Critères:  fffh hagé fagée grosseins groscul campagne collection exhib lingerie fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo confession humour
Auteur : XXL
Il n'est jamais trop tard pour mal faire



C’était au tour d’Annick de nous inviter. Chaque fois qu’ils revenaient du Sud, son mari et elle, on se faisait une petite bouffe, une fois chez l’un, une fois chez l’autre. Les Lafarge faisaient partie de nos amis intimes depuis belle lurette, même après avoir opéré un tri draconien de nos connaissances, mon épouse et moi. En effet, il y a quelques années on avait pris la décision de divorcer, à l’amiable, en se partageant le montant de la vente de notre maison, mais les potentiels acheteurs voulaient nous arnaquer en faisant des propositions financières indécentes. Bref, complètement anéantis par ces petits cons prétentieux et impolis qui visitaient et ne faisaient que critiquer notre demeure, contraints et forcés, mon épouse et moi avons décidé de continuer à vivre dans notre maison, en cohabitation intelligente si possible, mais en gardant une indépendance totale pour notre vie privée. Depuis trois ans que cela durait, nos proches et nos amis avaient été mis au courant de notre situation et continuaient quand même à nous inviter, presque comme si rien n’était.


Je m’entendais très bien avec Annick. Elle était un peu fofolle, iconoclaste, totalement imprévisible et possédait un caractère bien trempé qui rebutait beaucoup de gens. Un jour mon épouse m’avait divulgué une confidence d’Annick : elle me considérait comme son grand frère, celui qu’elle avait rêvé d’avoir !

Pour moi, ma copine n’était pas du tout une petite sœur : d’abord j’aimais bien son visage très typé des pays de l’Est, des yeux bleu-clair, des cheveux mi-longs, blonds, séparés par une raie centrale, et surtout pas très grande ; elle avait une croupe somptueuse. Un cul énorme sculpté dans deux sphères majestueuses et fermes que j’avais découvert lors de vacances communes dans une station balnéaire espagnole. J’avais pas mal fantasmé alors : je la prenais en levrette, et elle hurlait de plaisir…


La réalité était tout autre, Annick était amoureuse de Paul, son mari, et elle m’aurait défiguré avec ses ongles si je m’étais permis le moindre petit geste déplacé à l’encontre de son postérieur hollywoodien. Je n’ai jamais compris pourquoi elle était amoureuse de Paul, son époux. C’était un mec gentil et attentionné, mais sans aucune personnalité réelle. C’était il y longtemps ; aujourd’hui, on avait tous la petite soixantaine et Annick ne faisait plus partie de mon univers érotique. La pauvre avait pris quelques rides disgracieuses autour du cou et… une grosse dizaine de kilos ! Le bourrelet inélégant qui la ceinturait était en passe de faire sauter le bouton qui fermait son jean blanc avant la fin de la journée.


L’autre couple, invité également, était en retard.

Après un tour de leur potager, histoire de passer le temps, je rentrai faire un petit pipi car j’avais entendu deux portières claquer devant la propriété. Annick était debout devant le siège des WC et s’essuyait le minou avec une lingette humide. Son jean tire-bouchonnait sur ses chevilles, surmonté d’une culotte roulé en boule. Elle se plia en deux pour remonter la lingerie, un peu gênée de la situation.



Sa foufoune était bien peu excitante : une simple fente sur le renflement du pubis sur lequel s’implantait une toison blonde et courte. Le pire, c’est quand je la vis remonter sa petite culotte : d’abord elle n’était pas vraiment petite, sa culotte : au moins du 50 à la taille, et confectionnée dans un tissu élastique, une espèce de culotte-gaine horrible chargée de contenir sa surcharge pondérale.


J’ai attendu mon tour et, en me lavant les mains dans la salle de bain voisine ; j’ai eu la curiosité malsaine de vérifier si toutes les culottes d’Annick étaient du même acabit ! Dans un tiroir étaient rangées, empilées sur deux tas, ces horribles culottes-gaines. Seule originalité, je constatai, en les soulevant une par une, qu’elles étaient de couleurs différentes. Et puis je découvris, tout en dessous de la dernière pile, un string mauve, avec son minuscule triangle de tissu transparent et sa ficelle. Cela devait valoir le déplacement : l’énorme cul d’Annick avec ses deux fesses monstrueuses séparées par la ficelle étroite. Ma copine ne devait porter cette tenue que pour agrémenter l’accomplissement du devoir conjugal, je suppose. Ce qui me sembla le plus étonnant, c’est qu’Annick ait pu trouver sa taille en string !


Solange, l’invitée en retard, était en train de remonter les bretelles de son mari quand je pénétrai dans le salon. Comme d’habitude, c’est au dernier moment, quand il ne pouvait plus retarder l’échéance que, dans l’urgence, il devait régler les problèmes dont il avait la responsabilité : en l’occurrence, changer un joint du robinet d’arrivée d’eau de la machine à laver, qui fuyait depuis deux semaines. Il avait rendu l’âme quand Solange l’avait ouvert pour lancer un lavage avant le départ.


Solange avait fait un petit effort dans son look, depuis l’année dernière où on avait aussi partagé un repas chez nos amis. « La grande » – comme l’appelait son époux – portait certes toujours un chemisier blanc et une jupe droite gris foncé, mais elle avait laissé pousser une mèche sur le côté droit de son visage, apportant un plus insolite à une coiffure brune où des cheveux raides et coupés très court frisaient la banalité. Le chemisier, légèrement translucide, laissait entrevoir les broderies d’un soutien-gorge renforcé. Solange avait des seins opulents et lourds, et ne semblait pas désirer les mettre en valeur outre mesure. Le plus insolite, c’était ses bas – ou ses collants – vert foncé. Quelle drôle d’idée d’avoir choisi cette couleur !


Annick n’appréciait pas vraiment Solange, mais Paul et le mari de Solange étaient des amis. Collègues de travail depuis longtemps, ils avaient les mêmes passions, la pêche et le football.

Mon épouse et Annick eurent droit au visionnage des photos des deux bambins et du nouvel appartement de la fille de Solange, ingénieur chez Airbus, en Allemagne. Elle attendait d’ailleurs un heureux événement pour la fin du mois.


Les deux collectionneurs étaient sur Internet sur un site de cailloux. Je cassais des coques de pistaches pour l’apéro. Annick et mon épouse, assises et serrées sur un petit canapé, visionnaient l’écran du smartphone que Solange leur passait et dont elle commentait les images, accroupie à côté du divan. Le kyste qui enlaidissait son visage du côté droit, près de la commissure des lèvres, semblait avoir grossi depuis notre dernière rencontre. Le devant de sa jupe était remonté sur ses jambes, découvrant ainsi de gros genoux. L’arrière de la jupe grise traînait sur le sol. Inconsciente de sa position indécente, Solange continuait à commenter les images qui défilaient sur le smartphone. Finalement, c’était des bas qu’elle portait car j’aperçus la lisière de l’un deux sur une de ses cuisses. Solange changea de position car elle avait des fourmis dans un pied. Là, c’était encore mieux : je découvris sa petite culotte ; elle était jaune abricot. Décidément, elle aimait bien les alliances tranchées de couleurs. Le tissu synthétique devait être fin car son minou était parfaitement moulé dedans. Les deux renflements étaient parfaitement visibles ainsi que l’emplacement de la fente, au milieu, qui semblait aspirer le tissu entre les deux protubérances latérales.



Deux semaines passèrent ; la famille Lafarge était au Canet jusqu’en septembre. Mon épouse passait quelques jours chez une cousine que je n’aimais pas du tout. J’avais pris le prétexte de finir mes plantations dans le jardin pour m’éviter la cousine. C’était l’Amérique ! Seul maître à bord, et sans aucune contrainte …


Il se faisait 17 heures ; il ne me restait qu’à planter mes échalotes et tondre la pelouse. Je faisais une pause cigarette quand la tête de Claire apparut au-dessus du petit mur qui séparait nos jardins.



Le tee-shirt trempé de sueur, le vieux jean déchiré et les bottes crottées, je suis donc passé par la petite porte du garage, un peu inquiet quand même.

C’était Solange, qui m’expliqua, entre deux larmes, le dernier coup de son mari : monsieur avait encore attendu le dernier jour pour confirmer la réservation de leurs billets TGV. Ils devaient s’occuper des enfants avant et pendant l’accouchement et l’hospitalisation de leur fille, à Stuttgart. Le seul problème, c’est que leur ordinateur refusait de s’allumer et que leur voisin – dont il aurait pu éventuellement utiliser le PC – était en vacances. J’étais donc quasiment son dernier recours, à moins de faire 70 km pour aller chez son frère.



Bien que je n’aie plus eu de relations sexuelles depuis belle lurette, je me suis montré grand seigneur :



Elle semblait horriblement vexée, la grande Solange.



Solange chaussa ses lunettes et, boudeuse, me précéda dans l’escalier qui menait à mon bureau et aux chambres, avec son dossier réservation, sa carte bleue et son smartphone. Sa fille, au courant de la situation, ne manquerait pas de s’informer de l’évolution du mini-drame qui se jouait. Son pantalon ne lui allait pas du tout car il accentuait la platitude de ses fesses et la largeur de ses hanches. En plus, il était trop court et dévoilait des chevilles fortes.


Au sortir de la douche, en caleçon, j’allai prendre un jean dans mon armoire située dans la chambre d’amis. Solange m’y attendait, toujours aussi boudeuse. Elle avait enlevé son sweat rouge, gardé son pantalon et son soutif renforcé.



Je n’avais rien à répondre. Elle était vraiment susceptible, la dame. Je me suis donc placé derrière Solange et j’ai dégrafé la lingerie avant d’en faire glisser les bretelles. Je suis resté en place puisqu’il n’y avait qu’à passer mes bras sous ses aisselles pour empoigner les gros nichons. Certes, les seins n’étaient plus du tout arrogants sans le soutif, mais plutôt affaissés. Je pris quand même plaisir à les empoigner et les pétrir. Une main seule ne suffisait pas à les contenir entièrement. Je suis passé devant pour faire face à miss-gros-nichons et empoigner successivement chaque mamelle, à deux mains, en agrémentant les caresses de quelques coups de langue sur les aréoles. Histoire de garder un bon souvenir, je me suis reculé de deux pas et j’ai demandé à Solange de faire bouger ses grosses mamelles, en balancier, de gauche à droite. Elle ne m’accorda que quelques secondes de spectacle, mais j’en avais eu pour mon argent !


Solange était tellement angoissée pour ses billets de TGV qu’elle renfila son sweat sans prendre la peine de remettre son soutif, avant de me suivre dans mon bureau et de me donner les références du site de billetterie. Du coup, c’est seulement vêtu de mon caleçon que j’allumai le PC.

Les billets étaient déjà en train de s’imprimer. Aucun problème sur le site, j’aurai le temps de tondre ma pelouse, super !


Solange vérifia le contenu de chacun des billets, minutieusement, au bord des larmes. Elle semblait libérée de ses angoisses et m’étreignit dans ses bras longuement en sanglotant. Elle essuya ses larmes avec un petit mouchoir et avoua que tout son corps restait crispé. Elle me montra même que ses mains tremblaient encore.



Le temps de fermer la porte de la chambre d’amis pour avoir un peu plus d’intimité, de fermer à moitié le volet, Solange était pratiquement nue.

Je la trouvai très sensuelle, pliée en deux, le visage tourné vers moi, faisant glisser sa petite culotte léopard sur ses chevilles avec un sourire qui exprimait une espèce de gratitude. Toujours avec le même sourire, elle s’accroupit devant moi, baissa mon caleçon jusqu’à mi-cuisses et engloutit mon pénis. Elle me suça très méthodiquement, prenant son temps, s’arrêtant de temps en temps pour s’essuyer les lèvres d’un revers de main et pour me demander si j’étais satisfait. Une splendide érection récompensa la brave Solange.


Comme je n’étais pas un goujat, que sa foufoune était bien dodue et qu’une belle touffe brune l’agrémentait, je me suis mis à genoux et j’ai goûté le minou en noyant mes doigts dans sa toison. Il y avait une odeur de muguet ; ce n’était certainement que la Soupline parfumée du lavage, mais bon, c’était agréable quand même. Bien entendu, c’est à ce moment que sa fille appela. Et bla-bla et bla-bla… Curieusement, j’ai repensé à la tonte de ma pelouse, alors j’ai un tantinet précipité les choses. Alors que Solange n’en finissait pas de raconter ses déboires, je me suis mis sur le côté et je lui ai enfilé l’index et le majeur dans la fente, en douceur mais bien profondément avant d’entamer une séquence de ça-va-ça-vient, les deux doigts dans la foufoune.


Très surprise d’abord, elle m’a laissé faire. Elle a commencé ensuite à fermer les yeux de temps en temps pour savourer, puis sa respiration s’est accélérée car sa glotte jouait à l’ascenseur. Elle s’est arrangée pour mettre fin à la conversation en disant qu’elle rappellerait. Sa main libre qui ne tenait pas le smartphone s’est posée sur le haut de sa chatte et elle m’a accompagné. Elle ne faisait pas semblant, Solange : visiblement, elle avait une certaine expérience de ce genre de petite gâterie ! Quand elle commença à pousser de petits cris aigus, je n’ai pas résisté à l’envie de lui mettre un doigt dans le trou de balle en me servant de l’autre main disponible. Mon stratagème pour écourter la séance avait réussi : madame n’avait certainement pas eu d’orgasme, mais en tous cas elle avait joui. Solange s’essuya le minou avec son slip qui se trouvait à portée de la main avant de s’asseoir sur le lit et de m’inviter à conclure notre petite idylle. J’ai saisi ses chevilles avant de soulever ses jambes en les écartant, prêt au largage d’une petite giclée de spermatozoïdes. La fente était bien ouverte, et la rondelle – légèrement dilatée – s’était humidifiée. Certainement inquiète par ces trois secondes d’inactivé que je consacrais à mon voyeurisme naturel, Solange lâcha une phrase qui me surprit énormément :



C’est lors de notre petite toilette intime dans la salle de bain que je lui posai la question qui me travaillait :



Je n’en revenais pas ; mais bon, à soixante balais, plus rien ne m’étonne désormais.


Avant de ré-agrafer le soutif, je lui ai demandé de faire bouger ses mamelles une dernière fois, puis je lui ai donné un de mes caleçons car j’avais décidé de confisquer sa petite culotte léopard imbibée de ses odeurs intimes et de Soupline au muguet. Solange m’a demandé le secret absolu sur notre brève aventure extraconjugale. Elle ne m’a pas proposé de renouveler cette parenthèse sensuelle, moi non plus. Je l’ai fait rougir jusqu’aux oreilles quand je lui ai dit que c’était une experte de la fellation, avant de lui faire la bise du départ.


Malgré une abstinence sexuelle prolongée, tout était de nouveau en état de marche. J’avais totalement repris confiance en moi, peut-être trop !

Quand un copain de mon frère m’avertit que son épouse allait passer chez moi pour me ramener la tronçonneuse qu’il avait empruntée, je me suis réjoui d’avance. C’était dans la poche ; trop facile, même. Son épouse avait un visage ingrat, mais elle avait des rondeurs alléchantes placées aux bons endroits ; mais surtout, son mari s’étant fait opérer de la prostate il y a quelques années, madame devait être en manque. Un petit coup de bite, juste pour se faire plaisir, ni vu ni connu.

Je pris une des plus belles humiliations de ma carrière :



J’avais déjà subi le même genre de mésaventure quand, pour nos vingt ans, on partit en vacances, mes copains et moi, en camping. On avait dragué des filles et je crus, naïvement, qu’en choisissant la plus moche, elle se montrerait très reconnaissante. Que nenni : je fus le seul du groupe à ne pas baiser !


Quand, quelque temps après, Annick monta dans ma voiture, sur le parking de l’aérodrome, elle fut presque agressive :



J’avais vu qu’elle était bronzée, mais sa perte de poids ne m’avait pas frappé.

Annick revenait du Sud pour un bref séjour de deux jours. La maison de ses parents avait enfin trouvé preneur et elle revenait pour signer les papiers chez le notaire, avec sa sœur et l’acheteur. Je servais de taxi. Sur la route, elle m’apprit que Solange était de nouveau grand-mère et que cette dernière l’avait informée longuement de l’épisode des billets de TGV. C’est juste avant d’arriver chez elle qu’Annick m’apostropha :



Un peu estomaqué puis énervé, d’abord par la brutalité des propos, ensuite par cette inquisition à mon égard, je sentais mon agressivité monter. « De quoi je me mêle, ma grosse ? » était au bord de mes lèvres. Je me suis dégonflé, pas par lâcheté, mais en souvenir de notre amitié. Peut-être que j’aurais quand même dû dire quelque chose car, devant mon mutisme, Annick en remit une couche :



J’ai juré : ça ne me coûtait rien, et ça lui faisait plaisir.

Il était 18 h ; je préparais deux apéros, dans son salon, pendant qu’elle était partie se rafraîchir dans la salle de bain. Il fallait qu’on mette au point l’organisation pour le lendemain.



Je tournais le dos à l’entrée du salon pour remplir nos verres ; je me suis retourné. Annick se trouvait dans l’encadrement de la porte du salon. Elle était en pantoufles roses et ne portait que des bas noirs et le string violet…


Au pied de l’escalier qui menait aux chambres, elle me demanda d’enlever mes grosses chaussures à semelle crantée car elle avait ciré les marches et ne tenait pas à recommencer. Du coup, j’en ai profité pour enlever également les chaussettes et le jean en commençant à déboutonner ma chemise en la suivant, avec un peu de recul dans la montée de l’escalier.


Quel cul ! Les deux sphères magiques, tant convoitées il y une dizaine d’années, me narguaient. Alors qu’il ne restait que deux marches à monter à Annick, je lui ai ordonné de s’arrêter séance tenante, de s’accrocher au rebord du palier car ça risquait de remuer : je n’y tenais plus. J’ai baissé son string et je lui demandé de soulever ses chevilles pour l’en débarrasser. Le temps d’ôter mon caleçon et de me frotter la queue entre ses grosses fesses, et j’étais opérationnel. Pour me faciliter la tâche, elle a monté la jambe droite d’une marche, a écarté les cuisses pour permettre à sa petite main potelée de se saisir de mon pénis entre ses fesses et de le guider vers sa fente.



Cette promotion inattendue ne m’enchantait pas vraiment, mais bon…


Pour fêter la vente de la maison, Annick, maintenant un peu plus fortunée, m’invita au resto. Toute la nuit j’avais réfléchi à mon nouveau statut d’amant que m’avait attribué ma copine.

J’avais d’abord été fier et euphorique ; en plus, ça m’arrangeait de ne plus avoir à chercher de partenaire pour combler des pulsions momentanées. Mais bon, ce n’était que sexuel ; on verrait à l’usage !

En attendant de la conduire à la gare TGV pour son retour vers le Roussillon, je me suis allongé sur son canapé, attendant qu’elle finisse d’envoyer ses textos à son fils et à son mari.



C’est l’appel que j’entendis, quelques minutes plus tard, à moitié assoupi.

Annick était nue et me tournait le dos. Elle trempait son index dans une tasse à café posée sur la table à côté d’un rouleau de Sopalin et d’une bouteille d’huile d’olive, puis sa main plongea entre ses cuisses où son index entra en action.



Quelque peu surpris, j’eus beau lui expliquer que, d’abord cela ne faisait pas partie de mes fantasmes et qu’ensuite j’étais novice dans cette pratique, rien n’y fit ! De toute façon, la préparation était quasiment terminée, et au moins je ne mourrais pas idiot (dixit Annick). Alors, comme m’y invitait ma copine en inclinant le buste et en tendant les bras pour s’appuyer sur une chaise tout en écartant largement les cuisses, j’ai moi aussi trempé un index poilu dans la tasse et j’ai lubrifié son trou de balle, mais en passant côté face.


Pour Annick, ce fut tout un cérémonial qui dénotait une pratique courante…

Elle fit d’abord pivoter un fauteuil du salon avant d’y déposer un coussin supplémentaire. Ensuite elle me demanda de l’aider à déplacer la table basse qui trônait entre le canapé et les fauteuils et puis, fouillant dans un tiroir, elle sortit un préservatif qu’elle me donna, pour respecter une hygiène élémentaire. Après une fellation rapide mais vigoureuse et alors que j’enfilais ma protection en silicone, la copine s’installa et je ne pus que constater le professionnalisme de mon amante autoproclamée.


Elle posa son ventre sur l’accoudoir du fauteuil qu’elle avait fait pivoter, laissa sa jambe gauche au sol mais leva l’autre jambe, la plia et posa son pied déchaussé sur la table basse qu’elle avait judicieusement disposée à côté du fauteuil. Finalement elle posa la tête de profil sur le coussin du fauteuil, enlaçant ce dernier avec ses bras avant d’écarter encore plus ses grosses fesses. Spectacle grandiose s’il en était : deux fesses énormes et fermes qui dévoilaient la foufoune dodue émergeant de l’ouverture béante, un trou du cul brillant d’huile qui commençait juste à suinter doucement. Quel cul !


Ma première sodomie ne m’a pas laissé un souvenir inoubliable ; mon pénis était trop emprisonné dans ce conduit étroit. Mais bon, c’était l’envie de me faire plaisir qui comptait.


Puis vint la semaine où mon épouse et moi étions invités chez Annick et son mari, près du Canet.

Annick et moi, on s’envoyait en l’air tous les jours – ou plutôt tous les matins – avant que nos conjoints respectifs, lève-tard tous les deux, ne daignent ouvrir un œil ! Annick, peinée de mon manque d’enthousiasme pour la pénétration par la petite entrée de service, insista pour que je refasse un second essai, mais il ne fut pas plus convaincant.

Le jour du départ, Annick ne manqua pas de me rappeler que je lui devais désormais une fidélité absolue.


Fin août, ma voisine adorable de quatre-vingt-six ans nous quitta. Pour l’enterrement, mon pantalon et la chemise prévus pour ce genre d’événement étaient lavés mais pas repassés ; et pour cause : c’était ma voisine qui le faisait d’habitude. Je devais assumer seul puisque mon épouse participait à un voyage culturel de plusieurs jours en Autriche. Pris à la gorge, je sollicitai l’aide de la grande Solange ; elle me devait bien ça.

Curieusement, elle me fixa une heure précise, justement le créneau horaire où son mari serait absent, mais je ne pris conscience de ce piège qu’après qu’elle voulut que je paie ses services en nature.


Le temps étant splendide, Solange m’entraîna dans le salon de jardin au milieu de la pelouse où elle se déshabilla joyeusement, me laissant encore dégrafer son soutif. Elle fit balader ses gros nichons dans l’espace sans que je le lui demande, et on engagea les hostilités champêtres.


Après un travail consciencieux, Solange venait d’obtenir une fort belle érection de mon pénis quand, toute excitée, elle bondit chercher son smartphone pour me photographier, tout nu avec la queue bien raide et parallèle au sol. Je lui rendis la pareille en l’immortalisant dans deux ou trois poses scabreuses, les jambes bien ouvertes et la foufoune poilue bien exposée. Solange, toute guillerette, s’allongea sur le dos sur la table de salon du jardinet et s’arrima par les mains aux bords de la table. J’avais passé mes bras derrière l’articulation de ses genoux et, les mains agrippées à ses mamelles, je l’enfilais avec fougue. Je n’avais aucune mauvaise conscience, ni envers Annick, et encore moins envers son mari, cocu encore une fois.


La grande Solange, après avoir repris son souffle, descendit précipitamment de la table, fit quelques pas dans la pelouse, me tourna le dos, fléchit les jambes et commença à faire pipi. J’observais la scène, par derrière. Un petit filet s’échappa d’abord avant de céder la place à un jet puissant.

Solange hurla quand elle m’aperçut, face à elle, la visant avec mon smartphone. L’envie était si pressante que j’eus le temps de prendre deux photos en toute sérénité. Pour me faire pardonner, je dus quand même concéder à lui payer le resto la semaine qui suivit.


Je n’avais jamais eu de petite amie, même depuis notre décision avec mon épouse de continuer à vivre ensemble, mais en cohabitation. Évidemment, dans mes rêves les plus extravagants, j’avais pris en levrette plusieurs fois la pharmacienne et je l’avais fait hurler de plaisir. Une de mes collaboratrices m’avait supplié de la sodomiser dans mon bureau, et toutes les dames baisables de ma rue et des rues adjacentes étaient passées à la casserole et en redemandaient !


Pendant les mois qui suivirent, je pris la précaution de gérer cette nouvelle situation : avoir deux petites amies exigeait un peu de logistique. Sur mon agenda, la grande Solange figurait sous le patronyme, très poétique, de G.N. : Gros Nichons. Bien entendu, Annick était devenue G.C.


Avec G.C., les relations étaient teintées de sentiment. Au printemps, quand son mari partait taquiner le goujon toute la journée, je la sortais au resto avant de forniquer. La classe, quoi ! Un bémol quand même : Annick était d’une jalousie maladive à mon encontre. Au moindre regard appuyé sur une dame au resto ou ailleurs, elle poussait sa grosse colère, allant même jusqu’à invectiver la pauvre dame qui m’avait souri.


G.N., elle, était surtout portée sur la petite baise sympa, une fois de temps en temps, pour rattraper tardivement le manque d’enthousiasme de son époux pour les choses du sexe, d’après elle dû à une éducation stricte de parents rigoureux.

J’ai cru un moment que ma vie sexuelle était devenue un long fleuve tranquille ! Il était temps, à bientôt soixante-quatre ans…


J’ai vite déchanté. Quand Annick rentra du Sud, fin octobre, pour s’installer trois mois et passer les fêtes avec ses petits-enfants, je fus sur les genoux. Honorer ces dames, chacune au moins deux fois par semaine, n’était pas une sinécure. Je n’étais plus un jeune homme, et ce qui aurait dû être que partie de plaisir se transforma en galère.

C’est dans cette période éreintante que mon frère aîné me téléphona un soir :



Ma belle-sœur, Mathilde, avait le même âge que mon frère, c’est à dire qu’elle allait sur ses soixante-dix ans. Elle n’était pas très futée, un peu mémé, mais super sympa. Son visage avait mal supporté le poids des années : beaucoup de petites rides et, autour du cou, deux rides plus profondes. Par contre, ses jambes étaient restées parfaites et elle n’avait aucun problème avec ses dents d’origine dont elle était assez fière.


Le lendemain, à 10 h 30, je sonnai chez Mathilde. Elle était encore en pyjama. De couleur jaune, le vêtement avait connu des jours meilleurs. Dès qu’elle ouvrit la bouche pour m’informer qu’elle avait deviné le but de ma visite, une forte odeur de Bourbon inonda son haleine. Elle m’entraîna vers leur véranda. Mathilde avait changé sa façon de se coiffer et, en la suivant, j’aperçus entre ses cheveux teintés de gris et coiffés maintenant en boucles ondulées, quelques infimes portions disséminées de cuir chevelu. La belle-sœur perdait des cheveux et camouflait le phénomène par une coiffure plus sophistiquée.


Elle en avait gros sur la patate, l’épouse trompée, qui en profita d’ailleurs pour vider son sac. Il n’y eut aucune négociation possible. C’est Mathilde qui fixa ses conditions, et c’était à prendre ou à laisser ! D’abord mon frère subirait la quarantaine encore au moins un trimestre ; et comme Mathilde voulait rendre la monnaie de sa pièce – et au centuple – à son mari qui l’avait humiliée, devinez qui elle choisit pour cocufier à son tour son époux volage ? Bibi, bien évidemment… Pas par un désir passionnel soudain, non : c’était parce qu’elle m’avait sous la main et que ça lui évitait de chercher sur le net un éventuel amant. En plus, la première séance, c’était maintenant !


Mathilde enleva son pantalon de pyjama alors que je déboutonnais ma chemise. Son minou était très étrange : complètement imberbe, deux protubérances encerclaient la fente sur toute sa longueur. Cela me fit penser à deux gigantesques gousses de petits pois, qui se terminaient par deux excroissances arrondies qui pendouillaient entre ses cuisses maigrelettes.


Contraint et forcé, je l’intégrai dans mon agenda. Après G.N. et G.C., il y avait désormais M.C. pour Mammy Cochonne ; car elle l’était !