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n° 16965Fiche technique14609 caractères14609
Temps de lecture estimé : 9 mn
17/08/15
Résumé:  Une partie de cartes à trois qui dégénère, un mari timide, une femme sublime et coincée.
Critères:  fhh fépilée lunettes facial cunnilingu fdanus fsodo confession
Auteur : DuranDuran            Envoi mini-message
La belle Gaelle

Gaëlle n’est pas une femme agréable. Ses collègues vivent mal son air hautain permanent parce qu’elle dirige d’une poigne d’acier son institut de formation. Sa famille évite de la voir car la politesse feinte qu’elle affiche en leur compagnie ne dissimule pas longtemps le dédain qu’elle éprouve pour leurs modestes conditions.


Gaëlle est orgueilleuse. Gaëlle est belle. Toujours excessivement soignée, elle porte ses quarante ans avec élégance et distinction. Taille étroite, fesses musclées naturellement, poitrine généreuse et arrogante, la peau diaphane et naturellement poudrée, ses cheveux courts, châtains foncés, ondulent légèrement, révélant des reflets cuivrés. Elle intensifie un sourire irrésistible et carnassier par un rouge à lèvres cerise intense.


Très souvent en tailleur au-dessus du genou, noir, cintré, sur des chemises de soie ivoire, ses seuls bijoux sont un collier de perles de Tahiti et des anneaux de gitane finement ciselés aux oreilles. Été comme hiver, ses longues jambes sont toujours gainées de bas gris clair perlé. Toujours haut perchée sur des talons vertigineux, ses chaussures ou ses bottes sont travaillées dans le cuir le plus rare. Son seul défaut : son mari.


Elle l’a connu quand ils étaient étudiants en droit, et les résultats de Philippe laissaient augurer une carrière brillante au barreau d’une grande métropole. Elle l’épousa et ils conçurent précipitamment deux filles qui dès le collège, rejoignirent une pension privée très cotée. Philippe l’a déçue dès le départ. Cela est-il dû à ses extravagantes facilités scolaires, le fait d’avoir épousé une très jolie femme, d’être père si jeune, mais il se laissa rapidement aller à la facilité. Il fréquentait souvent une bande de copains, très fêtards, insouciants, branchés filles, football et fiesta… Gaëlle l’acceptait de moins en moins bien et leurs rapports se tendirent. Gaëlle progressait vivement dans sa froide carrière, s’occupait de ses filles, et supportait Philippe afin de respecter les conventions de sa caste. Sexuellement, elle ne lui accordait que le minimum syndical, et chaque fois, en lui montrant bien qu’elle faisait un effort.


Vingt ans passèrent ainsi, chacun ayant ses habitudes, Gaëlle de plus en plus seule dans sa haute tour d’ivoire, Philippe tutoyant la médiocrité, et fréquentant de moins en moins souvent sa bande de copains, sauf peut-être Arnaud, son ami d’enfance.



Philippe et Arnaud sont en train de prendre une bière au salon, devant un match. Il est vingt heures et ils entendent les talons de Gaëlle claquer dans le couloir.



Arnaud ne se démonte pas !



Arnaud l’avait atteint dans son orgueil de femme dominante. Après une courte phase de négociation, elle accepta de se mettre autour de la table basse. Arnaud expliquait les règles. Il avait une vue plongeante sur les très belles jambes élégamment serrées de Gaëlle.



Sans réponse de Gaëlle, il distribua les cartes. Elle sortit ses lunettes de leur étui, les mit, et s’installa sur le canapé. Son silence valut consentement.



Le silence de Gaëlle lança la partie.

Philippe avait beaucoup de chance, heureusement pour lui car il jouait comme un pied. Gaëlle était concentrée à l’extrême et les petites fossettes de part et d’autre de ses lèvres trahissaient son intérêt pour le jeu. Dans un premier temps, Arnaud la fit gagner, afin de la ferrer. Puis, il fit parler son expérience et commença à dominer outrageusement la partie. Gaëlle, absorbée, avait légèrement décroisé ses jambes et Arnaud distinguait maintenant la chair blanche des cuisses en haut des bas gris perle, et tout au fond de la fourche, la lueur claire d’une culotte satinée. Faisait-elle cela inconsciemment ou était-ce une ruse perfide pour le troubler ? pensait-il.


Philippe avait abandonné. Épuisé. Les parties s’enchaînaient. Gaëlle devait maintenant cinq mille Euros à Arnaud.



La tension était à son maximum. Sans parler du sexe d’Arnaud qui était en érection continue depuis un bon moment, troublé par le charme sidérant des cuisses de son adversaire. Il abattit ses cartes et Gaëlle fut obligée de constater sa défaite.



Philippe s’énerve.



Philippe regarde Gaëlle. Il a sa mine de chien battu. Elle semble sur une autre planète, enfoncée sur le canapé. Le silence est lourd.



C’est la première fois que Philippe entend sa belle épouse parler ainsi. Sa tête tourne. Arnaud s’approche de Gaëlle et baisse son pantalon. Il bande. Gaëlle saisit son sexe trapu de l’air dégoûté qu’elle sait si bien prendre, et gobe le début du gland en fermant les yeux. Quelques secondes après, elle recule sur le canapé.



Elle attrape la bite toujours tendue face à son beau visage, crache sur le gland et l’enfourne jusqu’au fond du gosier. Elle pose ses mains aux ongles délicats sur les fesses d’Arnaud et lui imprime des mouvements de va-et-vient violents. Son rouge à lèvres contraste violemment avec le rose pâle de la grosse verge qu’elle engloutit.

Philippe est vert de honte. Arnaud est aux anges.



Toujours en léchant, elle regarde Arnaud d’un œil mauvais, et finalement, lentement, écarte ses jambes. Son mari s’approche timidement, passe un doigt sur la culotte de satin, dessinant le creux des lèvres, et n’ayant aucune réaction violente de sa femme, glisse l’index sous l’élastique.



Gaëlle s’est un peu redressée pour faciliter le travail de son mari. Il est maintenant à genoux devant elle, assise sur le bord du canapé, les cuisses grandes ouvertes, un talon sur l’accoudoir laissant bailler d’une manière obscène ses grandes lèvres parfaitement épilées. Philippe la lèche goulûment, comme s’il voulait la dévorer. Arnaud joue avec sa queue et tapote les joues, le nez, le menton de la belle qui cherche à la gober.



Gaëlle ne proteste plus et se positionne en prenant bien soin de se cambrer au maximum et de remonter sa jupe noire sur ses hanches. Arnaud, d’une langue experte, s’applique sur son trou du cul en lui écartant les fesses. Gaëlle tremble de plaisir et avale la queue de son mari, qu’elle n’a plus sucé depuis quelques années. Le sexe de Philippe est plus long mais beaucoup plus fin que celui d’Arnaud. Il ne tarde pas à jouir dans la bouche carmin de sa femme. Elle avale le sperme gluant sans s’arrêter de pomper. Arnaud, quant à lui, est passé à la vitesse supérieure. L’anus de Gaëlle a commencé à se dilater sous les coups de langue, et maintenant il est visité par un, puis deux puis trois doigts qui pistonnent sans relâche.



Philippe n’en revient pas ! Sa femme se comporte comme une vulgaire pute ! Et cela l’excite énormément… Arnaud ne se fait pas prier. Sa bite force un peu, mais il s’enfonce rapidement jusqu’aux couilles. Elle écarte ses fesses de ses douces mains pour accentuer la pénétration animale, pendant que son mari, ne perdant pas une miette de la sodomie, a libéré ses seins de la chemise de soie et du soutien-gorge, et triture les mamelons de sa femme.


L’enculage est long, précis, brutal, et à chaque butée, Gaëlle étouffe un cri, un râle.



Elle ne répond pas à son mari, mais se tourne vers Arnaud avec son sourire carnassier, le menton taché du sperme de son mari.



Arnaud sort de son cul, laissant un trou béant, et s’amuse à entrer plusieurs fois en bélier. Gaëlle crie son plaisir, ses seins sont torturés par son mari qui bande à nouveau. La pièce sent le foutre, la chaleur bestiale. Gaëlle, qui ne transpire jamais est en nage et sa peau d’albâtre luit comme la lune.



Elle se lève brutalement du canapé, et s’accroupit dans une position indécente devant les deux hommes en rut. D’une main, elle se fourre des doigts dans la chatte, et de l’autre elle s’enfonce le majeur dans l’anus, surprise et un peu effrayée par la dilatation extrême de ce dernier. Les deux bites sont devant son visage et dans un synchronisme quasi parfait, giclent de longues traînées crémeuses sur sa bouche ouverte, son nez, ses lunettes. Elle aspire ce qu’elle peut en agitant ses doigts frénétiquement dans ses deux trous. Puis elle s’écroule sur le canapé…



Philippe est parti dormir chez son ami Arnaud. Ils n’ont rien dit. Au petit matin, il est revenu chez lui avec des croissants et des fleurs. Un petit mot sur le frigo : « je suis partie travailler. À ce soir ! ».


Dans la matinée, Gaëlle a reçu un coup de téléphone d’Arnaud. Elle s’est levée, a réajusté son tailleur et a fermé la porte de son bureau.