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25/08/15
Résumé:  Rencontre au mariage d'un ami.
Critères:  hh inconnu campagne intermast facial anulingus préservati hdanus hsodo confession -hhomo
Auteur : Franck 6  (Homme marié de 35 ans aimant les plaisirs entre hommes)      
Le mariage

Comme chaque année, l’été est propice aux mariages et 2015 ne fait pas exception. C’est donc après les vacances et en famille que je pars célébrer l’union de deux amis. Elle, elle n’est pas très jolie, assez austère, bref je ne la porte pas dans mon cœur. C’est le marié qui est un bon copain, surtout. C’est lui que je suçais quand nous étions au collège. Lui qui fut le premier à me donner sa bouche et à me faire découvrir les plaisirs de la fellation. Lui enfin, dont j’ai abondamment bu le foutre et à qui je pensais quand je me branlais, avec un, deux voire trois doigts dans mon fondement.


J’ai aujourd’hui 35 ans, je suis marié, j’ai des enfants mais j’avoue que j’ai toujours la nostalgie de ces moments où nous étions obligés d’être discrets, pendant lesquels j’ai connu mes jouissances les plus intenses et surtout pendant lesquels j’ai vraiment perdu l’esprit. C’est en suçant un homme qu’on se laisse aller, car on doit faire tomber les inhibitions, oublier les codes de la société quand on est hétéro, pour se laisser aller au plaisir de prendre en bouche un sexe d’homme.


Quand nous étions nus l’un à côté de l’autre, nos sexes tendus, quand je me jetais sur sa queue, d’un coup plus rien autour n’existait que son souffle, le goût de son vit dur dans ma bouche, les soubresauts de sa queue contre mon palais. Je l’ai supplié plusieurs fois de m’enculer mais jamais il n’a voulu. Je me contentais donc de sa semence et des quatre ou cinq petites fois où il a daigné me pomper, sans jamais aller plus loin. J’étais un peu sa chienne dans ses moments-là, mais lui ne voulait pas se l’admettre, il était hétéro ! Il aurait pu me baiser comme il le voulait, partout, dans toutes les positions, je n’étais que salope quand nous nous branlions ensemble.


Bref, aujourd’hui il se marie. Depuis dix ans, toutes les fêtes dans lesquelles nous sommes sans nos femmes, il évite soigneusement de dormir avec moi, sachant que je lui prodiguerais sûrement des plaisirs qu’il s’interdit.


La journée se passe à merveille, sous un beau soleil, et tous mes amis proches sont présents. L’ambiance est bonne, malgré la mariée qui est trop à cheval sur les horaires, ce qui lui vaudra plus tard, quelques petites moqueries pendant les animations. Pour trouver notre table, pendant le vin d’honneur, on a des cartes et on doit retrouver une personne qui nous donnera le nom de la table à laquelle nous devons nous asseoir. Ce jeu est sympa, permet de rencontrer les gens autour de nous avec qui nous n’aurions jamais parlé sinon. Mon « binôme » est un ami du marié, venant de la même école, je l’avais aperçu à l’enterrement de vie de garçon mais sans trop lui parler. Il s’appelle Nico, est grand, blond, assez sympa, bien bâti, mignon en somme. Pendant que nous discutons, le marié vient nous voir :



Il se penche vers moi pour chuchoter :



Je suis estomaqué. Je savais qu’il en avait parlé à sa femme, ce qui explique peut-être pourquoi elle ne m’aime pas trop, mais à un de ses potes ! Voyant mon air surpris et un peu énervé, il me chuchote à nouveau :



On reparle maintenant normalement et nous essayons de faire attention.



Heureusement que nous sommes assez éloignés de nos premiers « voisins » car niveau discrétion, c’est assez raté.



Le repas est servi, nous passons à table, je le vois car il est à la table en face, nous échangeons régulièrement des regards et j’avoue que mon sexe commence à me démanger. Je sors pour aller uriner avec un ami et je le vois qui se joint à nous. Dans la pénombre, il se met à ma droite tandis que mon pote est à gauche et finit rapidement. Nous sommes donc tous les deux dehors, à l’écart, la bite à la main. Je regarde derrière moi, personne, et surtout nous sommes cachés derrière un bâtiment. Je me masturbe lentement et lui montre ma queue bandée.



Il regarde derrière et sans prévenir se penche et prend mon gland dans sa bouche. Il me suce doucement quelques secondes puis se relève.



Il me laisse là en plan, je bande à fond, j’ai envie de sa bouche. Je me rhabille et retourne à table. La soirée avance, nous dansons maintenant, les petits sont couchés, et vers 3 h, ma femme m’annonce qu’elle va avec une copine dormir dans le gîte et que je dois bien profiter de la soirée avec les potes. Je l’embrasse et à peine est-elle partie que je scrute la salle et le coin fumeur, éclairé, pour voir où est Nico mais il n’est nulle part. Déçu, je pense qu’il est parti se coucher. Je danse encore, sors avec des amis fumeurs quand je le vois revenir. Je suis à la fois soulagé et tendu, je ne sais pas trop comment agir. Il vient discuter avec nous, un ami parti uriner longuement revient en se faisant chambrer : « tu t’es perdu, etc. » mais l’alcool aidant, chacun a perdu la notion du temps et je compte bien tirer parti de ce fait.



J’attends quelques secondes, voir si quelqu’un veut venir et réponds, voyant tout le monde refuser :



On se dirige donc vers un coin sombre et je vois Nico pisser, je suis à ses côtés, j’urine, je regarde sa bite. Mais surprise, il la range et s’en va, enfin il fait quelques mètres et revient :



Il s’approche de moi, ressort son sexe de son pantalon, et prend le mien dans sa main. Je l’imite et nous voilà debout en train de nous branler mutuellement. J’adore ces moments où chacun prend du plaisir en scrutant nerveusement si quelqu’un peut venir. La chance que nous avons, c’est que nous voyons sans souci le début du chemin bien éclairé et qu’au contraire, nous sommes dans la pénombre complète. J’ai dans la main un sexe de taille normale, environ 15/16 cm, assez large mais je ne le vois pas bien. Au bout de quelques secondes, je l’entends dire :



Et joignant le geste à la parole, il se baisse et prend mon gland entre ses lèvres, lèche doucement mon prépuce, embrasse ma queue et finalement l’engloutit et commence ses allers-retours. Il sort un mouchoir, l’étale par terre et s’agenouille dessus reprenant de plus belle son affaire. Je suis aux anges, il suce comme un dieu. Je prends sa tête entre mes mains et baise sans retenue sa bouche.



Je regarde le chemin en lui bourrant la bouche et finalement, je lui remplis la gorge avec mon foutre chaud. Il me regarde et avale tout, nettoie ma queue et se relève. Il se penche pour reprendre son mouchoir mais je lui dis :



Il sourit et me regarde genre, « ok, tu veux jouer à ça ». Je m’agenouille alors et prends son sexe qui est toujours sorti et bien dur. Je m’applique et tourne ma langue autour de son gland, soulève sa queue et viens bouffer ses belles couilles qui me semblent bien pleines, je vais sûrement recevoir une belle quantité de foutre dans la bouche. J’ai hâte, ça fait tellement longtemps ! Et voilà que je retrouve cette sensation, le fait de me sentir chienne, prêt à tout pour faire jouir cette queue. J’enfourne cette belle bite et alterne les allers-retours rapides et lents, lui fais une gorge profonde pendant laquelle je l’entends souffler très fort. Je le suce tout en le branlant, accélérant la cadence.



Ces mots chuchotés me galvanisent et je continue jusqu’à sentir les soubresauts annonciateurs de l’éjaculation. Je ferme les yeux et profite pleinement du moment pendant que son foutre jaillit dans ma gorge. Il déverse une belle dose de sperme que j’avale au fur et à mesure. Je nettoie ensuite sa bite qui ramollit. Je me relève, lui tends son mouchoir et le remercie. Il sort un mégot de joint qu’il allume.



Nous fumons tranquillement quand deux amis arrivent :



Nous retournons à la salle. Nico dragouille une fille, les gens vont petit à petit se coucher. Le jour ne va plus tarder, je suis crevé. Nico vient me voir et m’annonce qu’il va aller se coucher dans son gîte. Je lui dis que je l’accompagne. Je salue les derniers fêtards qui ne savent plus trop où ils habitent. Mon gîte est à quinze minutes de marche, celui de Nico est sur la route et nous profitons du trajet pour faire un peu plus connaissance car comme il l’a si bien dit : « À part ta queue et ta bouche, je connais pas grand-chose de toi ». Arrivé devant son gîte, il me dit :



Un silence se crée, j’ai envie de sa bouche, de son sexe, bref je le veux. Autour de nous, tout est calme, nous sommes au bord d’une petite route bordant des champs et la campagne.



Nous trouvons un petit chemin et nous passons entre deux champs, dans ce qui semble être un chemin de rando. Bref, quelques centaines de mètres et nous sommes cachés. Sans attendre il se plaque contre moi, m’embrasse et sa main se plaque directement sur mon paquet



Et sans attendre, il se met à genoux et ouvre mon pantalon, faisant sortir mon sexe qu’il enfourne fougueusement. Il me suce avec passion.



Et il reprend de plus belle comme une belle salope qu’il est maintenant.

Je nage dans le bonheur, le seul bruit que l’on entend est celui de sa bouche sur ma bite, le plaisir monte mais je ne veux pas encore jouir. Je lui dis mais il me répond :



Je suis son conseil et pour la deuxième fois de la soirée, il boit mon foutre en me regardant droit dans les yeux. Il se relève, enlève son pantalon, son caleçon et ses chaussettes, grimpe sur une souche :



Je m’approche, enlève le bas également et me jette sur sa queue que je pompe avec entrain. Je suis une chienne en chaleur qui a besoin de son jus. Tout en le suçant, je caresse ses couilles avec ma main et il écarte légèrement les jambes. J’en profite pour aller explorer un peu plus loin et petit à petit, je caresse ses fesses, l’endroit sensible entre ses couilles et son anus puis je passe ma main dans sa raie. Sa queue sursaute lors de ce passage, que je réitère de suite, laissant traîner mon index sur son petit œillet. Je le suce toujours mais mon esprit est entièrement tourné vers mon doigt qui tourne autour de cet orifice qui se détend petit à petit laissant bientôt entrer ma première phalange, puis tout le doigt. Je commence un va-et-vient doux dans son antre et bientôt je laisse sa bite pour seulement le doigter, en le regardant droit dans les yeux. Il a la bouche ouverte, les yeux mi-clos.



Il obtempère, et je remets mon doigt en place dans son trou, puis un deuxième. Il se met entièrement nu et je l’imite rapidement. Je ne tiens plus et colle ma langue dans sa raie et je lèche sans retenue ce cul imberbe, rebondi, magnifique. Je malaxe ses couilles pendant la feuille de rose. Il gémit, se tortille et bientôt supplie :



Je prends un préservatif, je l’enfile et présente mon gland. Mais je fais durer le plaisir, je ne pousse pas, reste à l’entrée. Il essaye de reculer, de s’empaler sur ma queue tendue, mais je remonte mon sexe qui frotte sa raie.



Il est à ma merci.



Je passe devant lui et lui présente ma queue qu’il gobe sans retenue.



Il suce tout en écartant ses fesses. Je lui baise la bouche, enfonçant à nouveau deux doigts dans son cul.



Je passe derrière lui et m’enfonce doucement mais sans m’arrêter dans ses entrailles. Il gémit et doucement je commence les allers-retours qui se font de plus en plus amples.



J’accélère alors franchement le rythme et je fais claquer mes couilles sur ses fesses, son bassin avance à chaque coup de rein et ses cris étouffés redoublent :



Il ne répond pas mais ses gémissements sont maintenant plus prononcés, et je pense qu’on nous entend de loin maintenant. Je continue à un rythme élevé et lui prends le sexe que je branle. Rapidement, il inonde mes doigts de foutre épais, la jouissance le terrasse et il tombe à plat ventre à côté de la souche. Je suis sur lui, et je continue à le pilonner, il tourne la tête et ses yeux sont plein de bonheur et son sourire montre le pied qu’il vient de prendre. Ce regard me chamboule et je sens le jus venir, je ralentis un peu :



Je reprends donc de plus belles et quelques secondes suffisent pour que je remplisse la capote. Je m’effondre sur lui, je me retire et nous nous embrassons fougueusement à même le sol. Il est sur moi, j’écarte les jambes et sens son sexe mou passer sur mon anus. Je le prends et passe son gland sur mon trou, doucement, le regardant dans les yeux. Je le veux en moi. Mais la fatigue est trop grande et nous n’arrivons plus à bander. Au bout de longues minutes, nous nous relevons, nous rhabillons, fumons un dernier joint et allons chacun nous coucher.


Le lendemain, c’est avec difficulté que je maîtrisais l’envie d’aller l’emmener dans les fourrés pour le prendre à nouveau. Nous partîmes chacun de notre côté, le soir. Sylvain lui a filé mon numéro, alors j’espère bientôt le revoir.