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Temps de lecture estimé : 8 mn
26/08/15
Résumé:  Dix jours de classe de découverte, il faut trouver de quoi se mettre sous la dent.
Critères:  fh hplusag couleurs grossexe douche ffontaine fellation -f+prof
Auteur : Adam Green  (auteur)      Envoi mini-message
Mona Fontaine

Dix jours de classe découverte ! Oui, dix jours à accompagner des mômes qui, pour certains, n’avaient jamais vu la mer. Le ghetto à la plage, sacrée bonne idée ; et moi dans tout ça ?


Je m’attendais au pire. Dix jours d’abstinence. J’avais quelques espoirs. Ces espoirs s’appelaient animatrices. Et j’ai très vite déchanté. La première avait 19 ans, jolie, oui, mais aucun sex-appeal. La deuxième était visiblement en couple avec un autre animateur. Les deux autres avaient la barbe et s’appelaient Soulaymane et Abdoulah. Mignons quoi qu’un peu gros, ils n’étaient pas du tout mon style…


J’ai eu recours aux hautes technologies de l’amour, adopte un mec.


J’ai fini par trouver Mona, 23 ans, Perpignan. Elle est arrivée sur ma page Facebook. Deux trois photos, un torse bien dessiné, ça fait toujours son effet même si c’est ringard à mort ! Je lui ai vite proposé de passer me voir dans ma prison dorée. Elle n’a pas tout suite accepté. Elle voulait des assurances : c’est quoi ton nom de famille ? Tu travailles où ? Je vais te googueuliser la gueule, tu vas voir…


Une fois que madame la commissaire a recoupé ses infos sur moi, elle était partante… J’ai commencé à recevoir des photos d’elle en soutif, en culotte et je lui ai répondu par une photo de mon chibre. Un classique des années 2000. Là encore, elle était suspicieuse, l’inconnue, elle me croyait pas… « C’est pas le tien ! » Une petite conversation « Skype » a rétabli la vérité virtuelle. Conclusion : j’avais une grosse queue et elle voulait bien venir.


Elle est arrivée à 22 heures, juste avant le coucher du soleil, en plein ramadan, avec sa bouteille de blanc sous le bras. Sa petite voiture était pleine de cadavres de cigarettes, filtres en tout genre, chupa-chups et bouteilles de verre qui jonchaient les tapis de sol. Clairement, on n’allait pas baiser dans cette décharge…

Après une balade en bord de mer sous un vent de 100 km/h, on s’est réfugiés dans le centre de vacances. On a bu la bouteille sous l’œil circonspect des animateurs qui se demandaient bien qui était cette jolie fille avec le prof… Elle était belle et sentait bien meilleur que sa caisse. Des seins lourds pointaient sous son débardeur, une jolie bouche de suceuse, de belles jambes aussi… J’allais m’amuser. J’aime tellement les filles arabes, je vis pour les entendre geindre.


Une fois la bouteille terminée, on est allés dans ma chambre ou, devrais-je dire, ma cellule. Un lit d’enfant, une table en formica… que même Emmaüs, ils en voudraient pas ! Un lino d’un bleu douteux, une douche, des chiottes (attention ne pas confondre) et pas de fenêtre.


J’avais astiqué comme un dingue pour elle. Je voulais que ça soit propre au moins. J’avais installé un deuxième matelas. Les deux au sol, côte à côte, pour un peu de tendresse et surtout pour ne pas entendre les lattes sauter une à une. Ma collègue et amie était derrière ce mur en papier qui séparait les deux chambres.


Elle passe le pas de la porte. Je l’embrasse sur la nuque, elle se retourne et s’agenouille. C’est l’heure de l’inspection… Je baisse mon fute, je n’ai pas de caleçon quand je sais que je vais baiser. Elle prend ma queue directement dans sa bouche, et commence à sucer avec gourmandise. Au bout de quatre ou cinq va-et-vient elle se retire et dit : « elle est énorme ! ». Je sais qu’elle exagère mais ça fait plaisir à entendre. Je pose ma main sur sa tête et la pousse à continuer. Ses lèvres chaudes et sa langue mouillée font glisser mon sexe jusqu’à sa gorge. Elle essaie de l’enfoncer… quelques centimètres encore et je ne verrai plus ma queue. J’aime qu’elle se donne ainsi, la petite étudiante…. rien n’y fait, elle ne la gobera pas entièrement. L’important c’est de participer !


Je n’ai qu’une envie à présent, c’est de découvrir son corps et de lui lécher le clitoris. Je l’imagine bien gonflé de désir trônant au-dessus d’une chatte trempée… je la dessape. Ses seins sont énormes. C’est trop pour moi. Mais peu importe, à ce moment-là, j’aime tout chez elle, je prends tout et veux tout prendre.


Malheur ! Elle a ses règles, mes velléités de cunnilingus s’envolent à présent. Cet aveu ne me refroidit pas. Après tout, une femme ne va pas s’empêcher de jouir une semaine par mois ! Et puis, il est trop tard pour faire marche-arrière.


Direction la douche. L’eau chaude coule sur son corps de femme. Sa peau dorée me fait craquer. Ses cheveux noirs sont trempés. J’ai envie de les saisir… Je suis derrière elle. Je pose une main sur sa fesse droite… je prends du gel douche et savonne consciencieusement son cul d’arabe. Elle me l’avait interdit lors de nos échanges de SMS mais je ne peux m’empêcher de passer un doigt sur son anus avant de m’arrêter sur son sexe, huileux déjà. Je le fais mousser, plie mes genoux, j’embrasse son cul en savonnant sa chatte à pleines mains… La capote est sur le rebord du lavabo, je n’ai qu’à tendre la main. Sous les trombes d’eau je l’enfile. Je cambre Mona, qui n’est plus qu’une paire de fesses, un long dos fin coiffé de mèches noires. Elle sait que ce qu’elle a eu peine à mettre dans sa petite bouche va dans quelques instants se fourrer en elle. « Doucement, me dit-elle ». Mon gland écarte ses petites lèvres et toute ma bite glisse en elle… Elle fléchit les genoux au premier coup de bite. « Oh ! » Ça fait cinq mois qu’elle a pas baisé. On entend déjà les clapotis de mes reins contre son cul. Je tourne le robinet, je la veux bouillante. Une buée se dégage dans la minuscule salle de bain. Je l’ébouillante en la martelant déjà. J’ignore si elle râle de plaisir ou de douleur car je ne vois bientôt plus rien. Je baise une chatte anonyme…


La capote, sous l’eau ça a ses limites. J’éteins la douche. Elle se relève, sort de la douche en suffoquant. Elle s’allonge sur mon lit et s’offre à moi…


Elle est si belle, paraît si jeune et si fragile… « Prends-moi doucement, s’il te plaît ». Je vais patiemment en elle, trop même. La capote mouillée, les règles, elle qui me retient en serrant ses cuisses… je débande, me ramollis. Elle le sent, elle le dit, la connasse : « Elle est molle ! » Point de meilleure façon de faire définitivement débander un mec. Je recouvre des forces, pense fort à la mère de famille à qui j’ai déchiré le cul dans ma salle de classe, ça me redonne du courage, je pense à Aniya et ses gorges profondes, des images crues, très crues… je rebande. Pas assez pour elle, « mais elle est molle ! » répète-elle. Enlève-moi cette capote de merde !


Là, je dois dire que je suis soufflé. Ça fait combien de temps que je n’ai pas senti la chair onctueuse d’une chatte arabe. Senti le liquide autour de mon gland. Peau à peau. Mon cerveau tourne à toute allure : elle n’a pas baisé depuis cinq mois. Avant, elle a eu un mec puis, un coup d’un soir, son meilleur pote. Elle est soft. Et moi ? Je ne baise qu’avec capote sauf avec la femme qui a pris mon cœur il y a quelques mois. Puis-je reprendre un risque pour un coup d’un soir ? Qu’est-ce que je dirai à mon amoureuse une fois que ma queue aura touché le sang de sa chatte ? Je vais risquer tout ça pour toi, Mona ? Toi, à la voiture dégueulasse ! Toi qui as fait une heure de route pour prendre un grand coup de bite par un mec de neuf ans ton aîné ! Mon esprit s’interroge mais ce sont mes couilles qui répondent. Ça fait huit jours que je n’ai pas entendu ces petits cris de plaisirs qui sont ma raison de vivre. Ça finira dans le sperme et le sang, comme dans tous les grands romans.


Je reviens sur elle, serre sa bouche dans ma main… tu veux ? Tu vas prendre cher. Et je pénètre sa chair avec un délice indicible. Elle vibre fort la petite. J’embrasse sa bouche, j’aime regarder les yeux amandes de mon amante. Elle aime beaucoup, ça faisait si longtemps. Mon sexe se gonfle dans ce liquide de plaisir et de sang. Elle mouille énormément, m’avait prévenu de ce travers qui est pour moi une faveur. Je continue, la lime avec tendresse alternant les coups prolongés et d’autres secs qui transpercent sa chatte inondée. Je lèche ses seins lourds qu’elle devrait aimer autant que moi…


Elle reprend sa fâcheuse manie. Serre les cuisses pour me retenir. Pourquoi tu fais ça Mona ? J’ai peur de me pisser dessus. Là, elle m’a déclaré la guerre et déclenché ma ferveur. Je m’en fous, je veux que tu fondes, Mona. Lâche tout, lui glissé-je à l’oreille… Mes paroles l’excitent. Je sens déjà ses lèvres baver de plus en plus. Je me mets sur le dos. Elle regarde mon sexe maintenant turgescent, brillant, huileux. Une bonne bite de pornostar. Empale-toi sur moi ma jolie…


Elle s’exécute, entre en transe, sa lèvre inférieure pincée. Elle a le cul trempé de sa sève. Elle inonde mes couilles de son liquide chaud. Inonde-moi Mona. Inonde-moi, putain ! Elle n’en peut plus de mes mots, de ma queue au fond de son ventre. Ses mouvements sont lents et patauds, elle n’ose pas trop bouger par peur de gicler ce qu’elle pense être de la pisse. Mais c’est autre chose, je le sens bien. Ni du sang ni de la pisse, une sacrée dose de cyprine qui remue dans sa chatte. Mon index se pose sur son clito. Lâche-toi Mona, je veux que tu m’inondes, que tu trempes mon lit ! Je veux la flaque sur mes draps. Mes chuchotements la font fondre. Elle met sa main sur ma bouche pour me faire taire. Mon index titille de plus en plus vite son clito en réponse. Elle veut fuir pour ne pas se sentir toute con quand elle aura expulsé son jus d’orgeat. Je la retiens par les fesses. Son cul est trempé de plaisir. Si elle me l’avait pas interdit, j’en aurais profité pour l’enculer sans capote…


Elle se dégage, je la plaque sur le dos, je suis sur elle. Tu es prisonnière et tu vas gicler. Je lui mords l’oreille et lui chuchote les pires saloperies qui font redoubler son plaisir, à chaque mot que je prononce, c’est un petit jet de jus qui sort de ses cuisses. Je suis tout contre elle, ma queue entière nage dans sa piscine de jouissance. Je bouge à peine. Ce sont mes mots maintenant qui la font chavirer. Elle ne se démène plus, elle a lâché prise, et ça coule, coule encore. Elle ferme les yeux et lâche son orgasme liquide sur mes draps. Pas un jet, une flaque qui s’écoule entre ses spasmes. Les yeux fermés, elle veut sentir mon sperme, je jouis en elle, le blanc crème se mêle à son ruisseau de plaisir. Elle me serre dans les bras comme on aime un mari.


J’embrasse sa bouche chaude, caresse ses cheveux mouillées, pose ma tête sur son ventre. Il est minuit, j’ai encore toute la nuit à passer avec ma fontaine de jouvence.