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n° 16985Fiche technique31407 caractères31407
Temps de lecture estimé : 19 mn
01/09/15
Résumé:  Un kiné rentre chez lui après une longue journée de travail. Il fait la rencontre d'une nouvelle voisine...
Critères:  f fh inconnu voisins médical douche revede voir fmast fellation cunnilingu exercice
Auteur : Shortstory's            Envoi mini-message
I had a dream...




Je me redresse et le regarde droit dans les yeux.



M. R* se tint donc tranquille jusqu’à la fin de la séance. Le pauvre, il avait été victime d’un accident de voiture qui lui avait broyé les jambes. Après six mois dans le plâtre, le médecin lui avait prescrit une quinzaine de séances dans notre cabinet de kinésithérapeutes.



Je le regarde sortir du cabinet sans dire un mot. Mais quel connard lubrique, celui-là ! Certes, le pauvre est à plaindre à cause de son accident, mais d’un autre côté il a cette fâcheuse tendance à toujours draguer tout ce qui bouge, sans parler du fait d’essayer de le fourrer. Mes deux collègues du cabinet l’avaient eu avant moi et avaient eu droit au même numéro, mais en plus poussé, ce qui leur avait fait le mettre à la porte.

Je m’en sors mieux que les deux autres pour une simple raison.

Je repense alors au premier jour où il avait fini dans mon cabinet.


La séance avait commencé normalement. Nullement impressionné par mon mètre quatre-vingt-cinq, il s’était installé tranquillement sur la table. À un moment donné, je lui tournais le dos et il en profita pour me mettre une main aux fesses.

Action : je me retournai pour lui coller une grosse claque dans sa gueule.

Réaction : je lui avais alors fait une clé de bras en lui expliquant que s’il recommençait, je lui pétais le poignet et lui faisais bouffer ses couilles.

Traitement efficace puisqu’il n’a jamais plus voulu retenter l’expérience, mis à part ses petites piques verbales.

En général, je suis plutôt du genre calme et posé, mais le harcèlement sous toutes ses formes a la manie de me faire sortir de mes gonds. Heureusement, c’était le dernier client de la journée.


Je ferme la porte d’entrée à clé, verrouille la caisse, éteins les lumières et sors par la porte arrière du cabinet en fermant à double tour derrière moi. C’est une belle fin d’après-midi pour un mois d’avril. Le soleil illumine la ville par ses rayons dorés. L’air est doux et bon à respirer. Bonus ultime, on entend même quelques oiseaux chanter… Ouais, bon, je vais pas rester sur place à m’extasier du temps qu’il fait.


Avant de rentrer chez moi, je prends le temps de faire un tour dans le parc situé juste en face du cabinet. Après quelques minutes de marche, je m’assois sur un banc pour m’adonner à un jeu : regarder les gens qui passent devant moi et essayer de deviner à leur démarche, à leur posture, les traumas et accidents qui avaient bien pu leur arriver.


Tout en allumant une clope, je pose mon regard sur un premier sujet : homme brun, dans les un mètre soixante-quinze, probablement âgé de 20 ans. Sa démarche laisse voir une légère boiterie de la jambe droite. En le regardant plus attentivement, je parviens à déterminer qu’elle provient de la cheville. Une entorse mal soignée, causée par… une chute à vélo, un trébuchement sur une pierre… Ah ! Un skateboard ! Concentré sur sa démarche, je n’avais même pas remarqué qu’il en portait un dans son sac à dos. Il avait probablement dû faire une chute, se tordre la cheville, mais trop impatient, comme la plupart des gens, il n’avait pas attendu la fin de sa rééducation avant de reprendre le skate. Crétin.


Mon regard se pose ensuite sur une femme, cheveux tirant sur le gris, au moins la soixantaine. Démarche lente, douloureuse à en juger par les grimaces de son visage à chaque pas effectué. Début d’arthrose. C’est le début du rappel du créateur, ma vieille.


J’allais me lever et quitter mon observatoire, ayant fini ma cigarette, lorsque mon regard se posa sur une joggeuse. Dans les un mètre soixante-cinq, cheveux de couleur noir ébène, ses foulées ne sont pas de même amplitude. Visiblement, sa jambe gauche pousse plus fort que sa jambe droite. Probablement l’influence d’une discipline sportive quelconque. Cependant, il y a dans le mouvement de ses épaules une légère gêne qui traduit un trauma, et apparemment pas si ancien que ça car lorsqu’elle passe devant moi et que je peux voir son dos, je constate des égratignures sur son épaule droite. Chute de hauteur, vu les lésions apparentes.


Résumons : plus de force dans la jambe gauche, chute de hauteur… Ça y est, j’y suis ! Elle fait de l’équitation. Vas-y tranquille si tu veux récupérer, ma jolie… D’ailleurs, c’est vrai qu’elle est foutrement jolie. Une chevelure tressée en une longue natte, un dos musclé, des hanches qui s’élargissent sur une belle paire de fesses, rondes et musclées comme je les aime… ça fait rêver quand même, un cul pareil. Dommage, j’ai pas pris le temps de la regarder de face.


Je ferme les yeux un instant ; la journée a vraiment été longue et fatigante. Juste deux minutes…


Lorsque je les ouvre de nouveau, je regarde l’heure : il est plus de 19 h. Merde, je me suis endormi et ça fait plus d’une heure que je suis là, comme un con, assis sur mon banc. Je me lève et finis de faire le tour du parc, espérant recroiser ce joli postérieur un peu plus loin, mais ce n’est pas le cas. Je décide donc de rentrer chez moi. De retour sur le parking devant le cabinet, je m’approche de ma 500 CB. Je sors le casque de la malle, l’enfile sur ma tête, enfourche ma bécane et la démarre.



J’enclenche la première et me mets en route pour rentrer chez moi. Même si je n’habite qu’à vingt minutes du travail, ce court trajet – en particulier par un soir comme celui d’aujourd’hui – me permet toujours de pouvoir décompresser avant d’arriver à la maison.


En arrivant devant l’immeuble, je me gare sur ma place attribuée et coupe le moteur. Dans le hall, j’en profite pour voir si j’ai pas un peu de courrier, quand tout à coup j’entends des voix s’élever dans les étages supérieurs. Tiens, on dirait que ça se prend la tête, là-haut. Ça annonce un début de soirée pourrie en perspective. Presque à contrecœur, je monte les escaliers pour rejoindre le deuxième étage. Arrivé au palier, je m’arrête un instant pour essayer d’entendre quel était le sujet de dispute. De toute évidence, cela vient du troisième car j’arrive à entendre la conversation sans trop de peine.




Ben voyons ! Une nouvelle voisine, qui à peine arrivée va s’envoyer en l’air avec son déménageur pour baptiser son nouvel appartement. Y en a qui perdent pas de temps quand même. Je fouille dans ma poche pour attraper mes clés et m’avance vers ma porte. J’allais ouvrir quand j’entends du remue-ménage au-dessus de ma tête.




Tiens, voilà qui est intéressant : continuer à utiliser le vouvoiement quand on insulte une personne, pensé-je en moi-même.



« Toi, mon salaud, si t’es bien en train de faire ce que je crois que t’es en train de faire, on va pas être potes. » Je sprinte vers les escaliers pour grimper au troisième et arrive dans le couloir. L’homme, un mec bedonnant, toisant dans les un mètre quatre-vingts, tentait avec force de coincer une petite femme aux cheveux noirs tressés en une longue natte… Mais c’est la joggeuse du parc ! Je m’approche en m’éclaircissant bruyamment la gorge. L’homme se retourne pour me dévisager.



Il se retourne vers la femme, qu’il n’avait toujours pas lâchée, et tente de lui arracher son débardeur trempée de sueur. Je parcours l’espace qui nous sépare en quelques enjambées, l’attrape par l’épaule et lui envoie mon poing dans la gueule. Le gaillard, quoiqu’un peu sonné, réplique en m’envoyant une de ses grosses paluches dans la tempe. Merde, c’est vrai qu’il est plutôt costaud, le type ; et véloce avec ça. Changement de tactique. Je l’attrape par le col et l’envoie dans le couloir en tendant la jambe.

L’homme s’étale de tout son long par terre, et avant qu’il ait eu le temps de se relever, je me jette sur lui pour l’immobiliser.



L’homme acquiesce péniblement. Je me relève et le regarde détaler comme un lapin. Je me retourne alors vers la jeune femme. Elle est appuyée contre le mur, le regard dans le vide.



Pas de réponse. Choc post-traumatique, me dis-je. Je m’approche d’elle et pose la main sur son épaule. Le contact lui fait l’effet d’une décharge électrique et elle s’écarte brusquement en me regardant, terrifiée.




Et elle fond en larmes. « Allons bon, voilà que ça pleure. Allez, fais ta B.A. du jour, mon petit Jérôme. »



Elle lève ses yeux pleins de larmes, me fixe de son regard noisette et se jette contre moi. Je la prends doucement dans mes bras et la berce doucement, jusqu’à ce qu’elle se calme. Au bout d’un moment, elle réussit à se reprendre et s’écarte de moi.



Elle me regarde sans vraiment comprendre là où je veux en venir ; puis, réalisant qu’elle est toujours en tenue de sport, me fait un sourire timide. « Non mais elle me fait quoi là ? Avec un sourire pareil, on se jette sur vous ma jolie ! »



Elle se redresse et fait un pas en direction de sa porte, chancelle et manque de s’étaler. Je la rattrape au vol par les épaules, passe un bras autour de sa taille pour la maintenir sur ses pieds.



On descend donc à l’étage de mon logement. J’ouvre et la fait entrer. Mouais, pas une si bonne idée que ça, en fin de compte. L’appartement est en bordel : des fringues sur un siège, la bouteille de whisky qui est sur la table basse, un emballage de pizza à côté…

Je me retourne vers mon invitée de fortune et lui dis avec un sourire gêné :



Ouf !



Le temps que j’aille chercher tout ça, lorsque je reviens, je la trouve au même endroit où je l’ai laissée.



Je vais dans la cuisine nous chercher deux verres. Lorsque je reviens, je la vois en train de feuilleter un magazine d’équipements médicaux. En m’entendant approcher, elle se retourne et me demande :



On se met à parler de tout et de rien en vidant peu à peu la bouteille de whisky. Elle me raconte qu’elle est monitrice d’équitation, qu’elle a trouvé un boulot dans le coin, d’où le déménagement. Au bout d’un moment, elle se lève, un peu hésitante à cause de l’alcool.



« Houlà, on se calme, Jéjé. Tiens, je pensais pas que c’était possible de rougir aussi vite. »



Sur ce je me lève (c’est vrai qu’on a pas mal bu quand même) et lui indique la salle de bain. Je retourne au salon, me vautre sur le canapé. J’ai la tête qui tourne un peu. Je ferme les yeux. La journée aura été décidément bien longue…


Des bruits bizarres provenant de la salle de bain me font rouvrir les yeux. On dirait des gémissements. Je me lève et me dirige vers la salle de bain. La porte est entrouverte. De là où je suis, je peux la voir dans la baignoire.


Elle est nue, allongée et elle… Putain, j’y crois pas : elle est en train de se soulager à l’aide du jet du pommeau de douche ! « Bon, ben tant qu’à être là, autant profiter du spectacle. » Elle a les yeux fermés, sa bouche entrouverte laisse échapper des petits gémissements, sa main gauche qui s’active sur ses seins… « Attends un peu, ils étaient pas aussi gros tout à l’heure. La brassière. Ouaip. Ça maintient en place, c’est vrai, mais ça prive les autres d’une belle vue. Quelle égoïste, celle-là alors. »


Sa main droite tient le pommeau au niveau de son entrejambe. Elle le descend au niveau de l’entrée de son vagin. La sensation procurée par le jet lui fait cambrer le bassin en direction du pommeau. Elle ouvre les yeux, regarde dans le miroir. Je me recule précipitamment. « Merde, j’espère qu’elle m’a pas grillé. » J’attends un peu, puis risque un regard par l’ouverture. Elle est toujours là. C’est bon, elle a rien remarqué. Elle cherche à faire varier la pression du jet en tournant le pommeau. Vu ses mouvements de bassin, on dirait bien qu’elle a trouvé.


Je commence à me sentir à l’étroit dans mon jean. J’ai une chaudasse, que je connais à peine, qui se roule la bille dans ma salle de bain, et moi je suis en train de la mater avec une trique d’un autre monde. Elle se met alors à gémir de plus en plus fort. « Attends, si tu crois que tu vas pouvoir te faire mousser dans ma baignoire ce soir alors que moi j’ai rien eu à me mettre sous la dent depuis des semaines, tu te mets le doigt dans la… dans l’œil, ma petite ! » Je retourne dans le salon et lui demande d’une voie forte :



Bruits d’éclaboussures.




Ça non plus, ça m’étonne pas. Je m’installe à nouveau sur le canapé et me ressers un verre pour essayer de me détendre en attendant qu’elle arrive. Ça fait un bail que j’ai pas eu l’occasion de mater en douce une nana en train de se faire du bien. Je souris en pensant à ce que je viens de faire : interrompre une nana alors qu’elle est en plein élan pour se faire jouir, voilà qui me paraît être une bonne définition pour « salopard ».


Moins de quinze minutes plus tard, la voilà qui arrive dans le salon, l’air quelque peu renfrogné (héhé !), habillée avec le tee-shirt et le de pantalon survêt’ que je lui ai passés.




Au moment où je me lève, elle me retient par le bras. Je me retourne pour la regarder. Elle a ce petit sourire timide et les joues légèrement roses. Ses yeux noisette me fixent intensément.




« Merde, elle m’a vu ! »



Là, je crois que c’est moi qui dois être rouge comme une pivoine.




« Sans déconner ? Elle veut que je la fasse jouir ? Là ? Maintenant ? Bon, ben… Ce que femme veut… » Je m’approche d’elle et tends les mains pour l’attraper et pouvoir l’embrasser. Elle me repousse en me disant :




Je m’agenouille devant elle et lui retire son (mon) survêt’. Je regarde un peu de quoi elle a l’air. Elle a de belles jambes, musclées et épilées. Je pose alors mes mains sur ses genoux, lui écarte les cuisses et découvre sa petite caverne aux plaisirs. Lèvres épilées, petit ticket de métro bien taillé. Et effectivement, je constate qu’elle est encore bien excitée. Elle me regarde.




Elle m’attrape la tête avec ses mains et me la plaque directement sur son mont de Vénus. Je suis un peu abasourdi ; mais bon, comme elle l’a dit, au boulot. Je commence par lui embrasser doucement sa toison, puis descends entre ses jambes. Je dépose quelques baisers sur ses cuisses, en alternant entre la droite et la gauche, tout en me rapprochant de la terre promise. Enfin, quand je dis « terre », je devrais plutôt parler de marécage !


Lorsque mes lèvres rencontrent enfin les siennes, je la sens se raidir un peu et l’entends pousser un râle. Je sors ma langue et fais tout le tour pour finir par trouver son petit bouton. Je m’applique alors à le titiller du bout de la langue en alternant caresses appuyées, effleurages, en faire le tour avec des mouvements circulaires. Je fais remonter une de mes mains jusqu’à l’entrée de sa grotte et commence à tâter l’entrée du bout d’un doigt. Tout en continuant ma danse buccale, j’insère mon index, qui rentre sans aucun problème. J’entame un va-et-vient, lent au début, puis de plus en plus vite. Elle ondule du bassin contre mon visage. Visiblement, je suis sur la bonne voie. « Allez, c’est pas le moment d’être radin : pour un doigt inséré, le suivant est offert par la maison. »


J’introduis mon majeur qui vient prêter doigt-fort à l’autre. Je caresse la paroi supérieure avec la pulpe de mes doigts en les repliant. Résultat, elle se met à gémir. Comme elle est mignonne… Avec mon autre main, je lui caresse le haut de la cuisse, puis la fais remonter jusqu’à son ventre. Elle m’attrape alors par l’avant-bras.




Je retourne à la tâche. Cette fois-ci, j’y mets trois doigts et m’applique à la pénétrer consciencieusement. Ma langue, quant à elle, retourne s’occuper de son petit bourgeon.

J’augmente alors le rythme de mon va-et-vient. Elle se cambre soudain, attrape ma tête et me plaque fort contre elle au moment où elle jouit, puis s’affale sur le canapé. Je me redresse et la regarde en souriant.




Je me lève et, ni une ni deux, elle me défait la ceinture. Sans perdre de temps, elle attrape mon jean sur les côtés et me le descend aux chevilles, entraînant mon caleçon au passage. Elle marque un temps d’arrêt devant mon membre en érection. Elle lève les yeux et croise mon regard. La vache ! Je crois que j’ai déjà vu le même regard dans les yeux d’un chien affamé qui a un steak sous le nez.


Sans me lâcher du regard, elle s’avance, sort la langue et effleure mon gland. Décharge électrique. Elle attrape alors ma queue entre son pouce et son index et la redresse presque à la verticale. Sa langue revient trouver le sommet de ma verge et descend le long de ma hampe jusqu’à mes bourses. Je tressaille lorsqu’elle gobe une de mes boules. Elle m’empoigne alors et entame un va-et-vient assez rapide. Toujours sans me quitter des yeux, elle joint l’action de sa bouche à celle de sa main en englobant le sommet de ses lèvres. Je sens sa langue qui fait des cercles. Je ferme les yeux pour savourer les sensations. Quand je les ouvre, elle me fixe toujours de son regard affamé. Elle me lâche de sa main et s’applique alors à me pomper goulûment. Qu’est-ce que c’est bon ! Je sens la sève qui monte.



Elle continue néanmoins son action. Je ferme les yeux. Je sens que ça monte, ça monte, ça monte… Puis plus rien. J’ouvre les yeux. Elle est toujours là, à me regarder, avec un grand sourire narquois, fière de m’avoir coupé dans mon élan.




Je me jette sur elle mais elle m’a vu venir et m’esquive en roulant sur le côté. J’attends juste un peu que la pression redescende et ensuite… Let’s play, shall we ? Je la poursuis autour du canapé, le pantalon toujours sur les chevilles. Enfin elle finit par s’arrêter et se met à quatre pattes sur le tapis.



J’éructe de bonheur. Je me débarrasse de mes fringues en les envoyant valser dans la pièce. Je m’agenouille derrière elle et contemple son cul. M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E ! Sans perdre de temps, je l’empale d’un coup sur mon membre.

Je m’applique alors à aller et venir en elle, variant entre rapidité et profondeur. Elle tourne alors la tête vers moi.



CLAC !


Je viens de lui administrer une fessée tellement forte qu’on pourrait relever mes empreintes digitales sur son cul. Je m’emploie alors à la défoncer méticuleusement.




Je me retire d’elle, me relève, la mets sur ses pieds et l’entraîne vers la porte d’entrée. Là, je la soulève par le cul et la plaque contre la porte. Elle m’entoure la taille de ses jambes au moment où je m’enfonce de nouveau en elle et entreprends de la labourer comme elle le mérite.




Je la perfore de plus en plus vite, de plus en plus fort, si bien qu’un de mes pieds glisse sur le carrelage et nous fais chuter. Et merde !


J’ouvre les yeux. Je suis au bas de mon canapé, toujours habillé. Est-ce que je viens de rêver ? Et merde, je me suis endormi, et c’est en tombant que je me suis réveillé. C’est alors que j’entends des bruits bizarres provenant de la salle de bain. On dirait des gémissements. Je souris.