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n° 16987Fiche technique7790 caractères7790
Temps de lecture estimé : 5 mn
01/09/15
Résumé:  Plaisirs a trois.
Critères:  fhh hbi grossexe voir fmast fellation hsodo init -totalsexe -couple+h
Auteur : Martingale      
Plaisirs illicites

Poussé par une pulsion, j’avais décidé de m’inscrire sur un site échangiste bien connu. Pendant plusieurs jours j’ai recherché une femme seule à la recherche du plaisir partagé.


Je n’avais aucune réponse à des messages envoyés, et je pensais que c’était un site avec des annonces fictives. Jusqu’au jour où j’ai reçu un message d’une femme d’une quarantaine d’années, comme moi, avec en prime une photo d’elle et de son mari, nus tout les deux au bord d’une piscine. J’avais moi aussi posté une photo de moi, mais habillé, avec en cache des photos plus hot (il faut l’assentiment du propriétaire de l’annonce pour pouvoir admirer plus de photos, et surtout des photos plus dénudées).


Après avoir conversé via le net, on s’est aperçu que nous habitions dans le même village et que l’on s’était même croisé lors d’une fête locale. Elle me disait qu’elle était d’accord pour une première rencontre, mais qu’elle ne recevait qu’en présence de son mari. Nous avions donc convenu d’un rendez-vous chez eux le samedi après-midi.


J’avais la gorge nouée lorsque je me suis retrouvé devant leur portail. Je sonnai donc, et après avoir attendu quelques secondes, le portail s’ouvrit électriquement me faisant découvrir la fameuse piscine que j’avais vue auparavant sur les photos. Je frappai à la porte d’entrée ; mes mains étaient moites, et j’avais peur qu’ils s’en aperçoivent. Je les ai frottées sur les jambes de mon pantalon juste avant que la porte s’ouvre sur le mari. Il me fit entrer dans un petit couloir qui débouchait sur une immense pièce qui faisait office de salon. La femme était assise sur un tabouret de comptoir. Elle en descendit et me serra la main. Elle me proposa un verre que je m’empressai de boire, tellement ma gorge était sèche.


Annie (c’est son prénom) me présenta Alain, son mari. Ils sont libertins depuis quelques années et fréquentent des boîtes échangistes de temps en temps. Elle recherchait un homme bisexuel pour assouvir leurs fantasmes communs. J’avais bien eu une relation furtive avec un garçon lors de mon adolescence, mais pas au point de m’affirmer bisexuel confirmé.


Ils étaient tous les deux très mignons, et je me relâchai petit à petit au fur et à mesure que l’on avançait dans le temps. Alain semblait plus stressé que moi, au point qu’Annie lui demanda s’il voulait que je lui prodigue quelques massages pour le détendre. Voyant que j’hésitais à aller plus loin, elle se leva, embrassa Alain à pleine bouche tout en me regardant du coin de l’œil. Elle le déshabilla entièrement.


Ils étaient debout, et elle lui caressait la poitrine tout en pinçant ses mamelons, ce qui lui fit lâcher des soupirs de bien-être. Elle abaissa son visage sur son ventre jusqu’à effleurer le bout de son sexe. Alain avait un beau sexe d’une vingtaine de centimètres, dressé tout contre son ventre ; le bout dépassait la hauteur de son nombril.


Annie fit glisser sa joue sur le ventre d’Alain jusqu’à gober l’extrémité de la hampe. Elle se mit à genoux, et pendant que ses lèvres enserraient le sexe tendu, sa main le masturbait tout doucement. Elle arrêta tout mouvement pour se tourner vers moi et m’inviter à partager cette offrande. Je me mis à genoux contre elle, face aux attributs d’Alain qui me semblaient encore plus énormes vu de très près.


Annie reprit le sexe avec sa main pour le diriger dans sa bouche. J’étais à quelques centimètres de son visage, et je voyais apparaître puis disparaître cette colonne de chair dans son orifice buccal. De sa main droite, elle me prit par la nuque et posa mes lèvres sur les commissures des siennes. Je pouvais sentir la chair intime d’Alain glisser contre ma bouche. Annie voulait tout diriger; nous étions sous son emprise.


Elle sortit de sa bouche la queue de son mari qu’elle dirigea de sa main gauche, combiné à une pression plus forte sur ma nuque pour l’introduire entre mes lèvres. Dès les premiers va-et-vient, j’appréciai le goût de ce magnifique cadeau que ce couple était en train de m’offrir. Elle me l’arracha pour la reprendre dans son orifice humide. C’était devenu un jeu pour nous. On se disputait la verge turgescente d’Alain qui, à entendre ses gémissements, appréciait à sa juste valeur.


L’accélération des mouvements combinés de la main et de la bouche d’Annie faisait raidir tous les muscles d’Alain. Ses gémissements de plaisir étaient de plus en plus bruyants et rapprochés. D’un coup, Annie régurgita la verge de son homme et la fit pénétrer avec une certaine fermeté dans ma cavité buccale. Elle prit ma main et la posa sur la hampe. Je me mis à imprimer un mouvement de va-et-vient. J’étais très excité, et mon sexe me faisait mal, serré dans mon pantalon. Je sentais le souffle chaud d’Annie sur ma joue ; je pouvais même apercevoir l’excitation que ce spectacle lui procurait grâce à l’expression de son visage.


Je voulus lui rendre ce qui lui a appartenu depuis qu’elle est avec Alain, mais sa main contre ma nuque m’en empêchait. L’excitation de mon amant d’un jour était à son comble. D’une voix saccadée, il me prévint qu’il allait jouir tout en voulant extirper sa pompe à plaisir de mon intimité buccale. Étant moi aussi à l’orée de la jouissance, je chassai son geste d’un revers de ma main libre, et de l’autre accélérai le mouvement pour qu’il puisse enfin se libérer. Je sentis gonfler la queue entre mes dents, et simultanément un liquide chaud emplir ma bouche. Il n’en fallait pas plus pour que je jouisse à mon tour dans mon boxer. À mon grand étonnement, j’ai aimé le goût de sa semence et me mis à le sucer jusqu’au tarissement de cette source de jouissance. Je vis Annie jouir à son tour. Pendant que je m’occupais à donner du plaisir à son homme, elle se caressait tout en me regardant boire le plaisir d’Alain jusqu’à la dernière goutte.


Elle m’a avoué plus tard qu’Alain n’avait jamais joui dans sa bouche. Nous nous sommes revus assez souvent. Nous avons pratiqué la sodomie chacun notre tour. J’ai même pratiqué une fellation à Alain, lui assis sur la margelle de sa piscine, et moi dans la piscine entre ses jambes. Il ne fallait évidemment pas laisser s’écouler du sperme dans l’eau du bassin car Annie voulait absolument que son mari jouisse dans ma bouche à chaque fois que je lui pratiquais une fellation.


Elle aimait diriger nos ébats à trois, jusqu’à guider la queue de mon amant jusque dans mon fondement, le pousser au bout de l’excitation pour le faire ressortir et lui demander de jouir sur mon visage. Parfois, Annie m’invitait chez elle pendant que son mari travaillait, et nous faisions l’amour tout l’après-midi, ponctué de coups de téléphone de ce dernier. Il nous est arrivé aussi de le faire, Alain et moi, pendant qu’Annie travaillait. Nous étions très complices tout les trois.


Alain était dirigeant d’une entreprise de matériaux. Un jour, à sa grande stupéfaction, je suis allé lui demander un devis pour une construction. Je n’avais qu’une seule envie : lui donner du plaisir. Je me suis glissé sous son bureau, lui ai ouvert la braguette de son pantalon et lui ai fait une gâterie. Il était tellement excité par la situation qu’il ne m’a fallu que deux ou trois va-et-vient pour amorcer sa pompe à plaisir.


Depuis, nous nous sommes perdus de vue, mais je garde un excellent souvenir de ces aventures coquines.