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n° 16990Fiche technique15423 caractères15423
Temps de lecture estimé : 10 mn
02/09/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Mon épouse me relate une rencontre qu'elle a faite dans le cadre de son travail et qui comble mes attentes candaulistes.
Critères:  fh couplus extracon cocus travail fsoumise noculotte fellation anulingus pénétratio fsodo confession
Auteur : Jacherino  (Jacherino, candauliste bi et passionné d'érotisme)      
Retour du travail

Mon épouse m’a réservé une petite surprise, hier, en rentrant du travail. Elle, d’habitude si réservée, prévoyante et soucieuse de l’hygiène, m’a étonné quand je l’ai vue arriver avec un regard que je ne lui connaissais pas ! Sa robe, sans être collante, ne laissait pas apparaître de marque d’élastique, alors que le matin même, si !


Notre fille étant là, je laissai passer la soirée et prétextai un coup de fatigue pour proposer d’aller nous coucher un peu plus tôt. Elle m’accompagna, se mit au lit sans prendre de douche et sans pyjama, contrairement à ses habitudes. J’éteignis, sachant que l’absence de lumière est propice aux confidences pour elle. Je la laissai se détendre et se mettre à son aise, avant de lui demander :



Je devais restituer un contrat signé à un client, en fin d’après-midi. J’ai donc quitté le travail un peu plus tôt, comme c’est sur le chemin pour rentrer et je suis allée déposer l’enveloppe chez le client. Je ne le connaissais pas et j’avais un peu de mal à trouver son adresse, alors je l’ai appelé pour qu’il m’indique le chemin. C’était un peu compliqué et quand je suis arrivée, il m’attendait à l’entrée de sa propriété. Il m’a proposé d’entrer, ce que j’ai refusé en lui expliquant que je rentrais, mais il a insisté en me disant qu’il avait un autre besoin et qu’ainsi je pourrai lui faire un devis.



Me laissait-elle sur ma faim pour faire durer le plaisir ?


Il m’a fait visiter sa maison, sa demeure devrais-je dire, qu’il habite seul. Il m’a montré une salle avec plusieurs tableaux et gravures qu’il voulait protéger et m’a dit que c’était l’objet du devis. J’ai commencé à noter les quantités, le lieu et j’ai bien senti qu’il me suivait de très près. Lorsque je me suis penchée sur l’un tableau pour voir quelle en était la signature, il a accompagné mon mouvement en posant sa main sur ma hanche en prétextant qu’il pensait que j’allais tomber. Il n’est pas particulièrement attirant, c’est un monsieur d’un certain âge, bien conservé, mais sa main sur ma hanche m’a fait de l’effet et j’ai mis quelques secondes à réagir, en lui disant que tout allait bien, mais en retirant mollement son appui. Il a dû le comprendre et lorsque j’ai continué le relevé, il était encore plus proche et n’hésitait pas à me montrer un détail, une enluminure ou un autre élément important, tout en se penchant avec moi, me frôlant ou me prenant la main pour me faire apprécier une texture ou la qualité d’un encadrement. Sa prévenance et son contact répété m’ont émoustillée.

En descendant dans le salon pour discuter des modalités, il m’a proposé une coupe de champagne. Ce que je n’ai pu refuser ; tu sais bien que c’est le seul alcool que je supporte. Il m’a servie et s’est assis à côté de moi sur un canapé où nous avons abordé tous les détails du contrat. À ce moment, j’ai pensé à toi, me disant que tu pouvais appeler au bureau et ne pas me trouver et que, comme j’avais éteint mon portable, tu ne pourrais me joindre.



Il l’a bien senti parce qu’après avoir servi une seconde coupe, alors que j’avais les mains occupées par la coupe et mon stylo que je tenais toujours, il en profité, en me disant « Vous me donnez une envie irrésistible ! » pour venir me caresser la poitrine et en se penchant vers moi, il a posé ses lèvres sur les miennes sans que je sache réagir ou dire non. Sentant mon consentement, il a continué à m’embrasser et j’ai ouvert la bouche pour sentir sa langue et son goût. Ses mains se sont faites plus fermes sur mes seins et il a vite ouvert mon chemiser pour venir me caresser de plus près. Sa bouche avait un goût de champagne et de fraîcheur très agréable. Je savais qu’on n’en resterait pas là et je me suis dit intérieurement qu’on en avait le temps. J’en avais envie et je savais, puisque tu me l’avais déjà proposé, que je pouvais disposer d’un plaisir et d’une envie soudains.

Je me suis laissée aller dans le canapé et il m’a débarrassée de ma coupe et de mon stylo, s’est rassis tout contre moi et a repris ses baisers tout en me caressant de partout. Ses mains glissaient sur ma peau et me retiraient toutes mes dernières barrières. Il me parlait doucement, me disant qu’en me voyant arriver, il avait eu immédiatement un désir fou et qu’il ne savait pas comment me séduire et me retenir. Qu’il était heureux que je sois là et que je n’aie pas refusé ses avances.

Je me suis vite retrouvée les seins nus, dressés sous le traitement attentif de sa langue et la jupe retroussée jusqu’à la taille, les cuisses largement ouvertes sous les assauts de sa main. Avant que je n’aie pu faire quoi que ce soit, sa main a bien senti que ma chatte coulait d’envies de caresses, de coups de langue et de doigts inquisiteurs. Sentant que j’étais à sa merci, il s’est relevé pour se déshabiller et vérifier ainsi mon consentement. Nu, j’ai pu constater qu’il était encore très bien de sa personne et que son sexe, déjà bien rigide, n’avait rien à envier à quelqu’un de plus jeune.



Le buste nu et la jupe retroussée comme la dernière des traînées, il m’a allongée sur le canapé. Tu sais comme j’aime cette sensation, quand un homme a envie de moi et qu’il n’attend que de pouvoir me baiser et de se vider en moi. Là, j’étais aux anges ; c’est comme s’il anticipait tous mes désirs. Je me suis laissé faire et il a plongé la tête entre mes cuisses en me prenant les mains pour me maintenir. Sa bouche était vorace, sa langue une véritable inquisitrice. Il m’a ouverte doucement et a exploré le moindre détail de ma chatte, buvant et essuyant la moindre goutte de ma mouille, écartant mes fesses pour connaître ma réactivité à l’approche de petit cul, puis, sentant qu’il n’y avait pas de réticence, il est revenu pour prendre en bouche la totalité de ma chatte et extraire mon clitoris, qu’il a aspiré et agacé avec sa langue et ses dents.

J’ai pensé à toi ; il me mangeait la chatte comme toi et je me suis même demandé si vous n’étiez pas de connivence pour qu’il connaisse aussi bien tous mes points faibles. Me tenant les mains, il pouvait mesurer son efficacité à chacune de mes réactions, contractions et tensions. Il m’a fait jouir je ne sais plus combien de fois, c’était presque en continu au point que je ne sache plus le temps que cela a duré.

Je lui ai imposé une pause pour me remettre de mes émotions. Il s’est allongé près de moi et m’a caressée doucement, partout, avec douceur, recherche et en explorant le moindre recoin de mon corps. Il m’a demandé si cela m’arrivait souvent de rencontrer des clients comme lui, ce à quoi je lui ai répondu que c’était la première fois. (Histoire de le conforter dans son rôle de mâle). Et jouant la surprise en regardant mon alliance, il m’a demandé si j’étais attendue. Je lui ai expliqué que tu savais que cela pouvait se produire, que je n’en profitais pas mais que j’étais attendue avec une certaine latitude de temps. Rassuré et me sentant réceptive, il a repris ses caresses de façon plus précise. Il s’est relevé tout en touchant les lèvres de ma chatte et il m’a offert son sexe à sucer. Même si je ne suis pas très friande de cela, j’ai eu plaisir à le prendre dans ma bouche, à le lécher en le regardant avec le regard que tu connais, pour mieux l’exciter. Il me parlait et me caressait la tête, appuyant parfois pour que je le prenne mieux et plus profondément ; me disant qu’il avait envie de moi, qu’il voulait me prendre et que je sente son "dard" au plus profond de moi, qu’il n’avait pas touché une femme depuis très très longtemps, mais que je lui avais fait un effet tel qu’il n’avait pas pu résister au désir de me baiser. Ces mots m’ont encore plus mise en émoi. J’avais envie de le sentir, d’ouvrir les cuisses pour qu’il vienne y plonger son "dard" comme il disait et que je le sente m’investir jusqu’à me faire mal.

Tout en me caressant, il m’a dit « Ne crains rien, je n’ai aucune maladie et je fais des tests réguliers, mais le latex a un effet rédhibitoire sur moi. » J’ai eu peur sur le coup, mais j’ai repensé à ce que tu m’avais dit qu’il te plairait de sentir le sperme d’un autre homme sur et dans ma chatte. Je sais qu’il y a toujours un risque, mais j’étais dans un tel désir de le sentir en moi que je lui fais "oui" de la tête. Il n’y tenait plus et m’a dit « Donne-moi ta chatte ! » comme un ordre auquel, du reste, je n’avais aucune envie de me soustraire. Je l’ai regardé de mon regard d’envie et me suis allongée en ouvrant largement les cuisses. Je lui ai dit « Viens ! »

Il s’est littéralement jeté sur moi. J’ai eu juste le temps d’attraper son sexe pour me caresser avec le gland et l’enduire de ma mouille pour qu’il me pénètre plus facilement. Il a été doux et je sentais qu’il savourait la découverte progressive de mon vagin, qu’il écoutait les soubresauts de mon bassin qui allait à sa rencontre tellement j’étais avide de l’avoir en moi. Il m’a prise entièrement et j’ai senti son sexe palpiter en moi. Puis il m’a baisée et je me sentais salope. Je cherchais ses coups de reins pour mieux le sentir au fond de moi ; je le dévisageais pour l’inciter à me prendre encore plus.

Je voyais qu’il jouissait de son plaisir de mâle à baiser une femme noire, offerte à son sexe et dont la chatte toute rose semblait avide de sa queue. Il s’est affalé sur moi pour mieux me posséder et je le caressais, lui flattais les fesses et l’accrochais à moi avec mes jambes en tenaille. Il me disait des mots doux, son désir, son plaisir à me sentir totalement offerte et à la chance que j’avais de pouvoir assumer mes envies et d’avoir la liberté de les vivre. Sous son étreinte, je sentais qu’il me baisait et j’ai pris beaucoup de plaisir à me sentir "sa" salope et à me rendre "pute" comme il en avait envie.

Tu sais que je ne jouis pas avec un autre homme, mais là j’étais à deux doigts. À un moment, il s’est dégagé, m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Le canapé n’étant pas grand, je me suis mise à genoux contre le dossier, lui offrant mes fesses. Il a flatté ma croupe en me disant que j’étais une belle salope et qu’il allait profiter de moi le plus possible. Passant entre mes fesses, il a fouillé ma chatte qui coulait, excité mon clitoris déjà décapuchonné et dur, enduit ses doigts de ma mouille en me pénétrant et est venu masser mon petit cul pour le lubrifier. Je sentais qu’il me pénétrait doucement et venait rechercher de la cyprine pour m’ouvrir en douceur.

Se penchant sur moi, il m’a dit « Tu veux ? » Je savais bien de quoi il avait envie et m’étant mise dans une situation de salope, je ne me voyais pas lui dire « Ah non, c’est réservé à mon mari. » Et puis, j’en avais aussi très envie. Je voulais et je désirais qu’il aille jusqu’au bout de mon envie d’être une salope qui s’assume et qui commet l’adultère en assouvissant ses désirs profonds. Alors, je lui ai dit « Oui, encule-moi. »

Il a dirigé sa queue vers mon cul, j’ai écarté mes fesses pour qu’il voie que je lui étais totalement soumise et il m’a enculée doucement, sans arrêt et est allé au plus profond, là où j’aime que ça me fasse mal. Ensuite seulement, il a commencé à me prendre doucement, puis plus fort au gré de mes gémissements et de mes encouragements. Je lui disais « T’aimes ça, mon salaud, enculer une petite Noire avec ta grosse queue ! Vas-y, encule-moi, j’aime être ta salope et que tu me baises pour te vider les couilles. Oh oui, continue ! Plus fort ! »

J’ai tout fait pour qu’il me satisfasse et qu’il jouisse de moi. J’ai joui en continu pendant tout le temps où il m’a prise. Il me tenait par les hanches, venait me malaxer les seins jusqu’à me faire mal et me prenait la chatte avec ses doigts, me caressait comme si une langue me léchait les lèvres et le clitoris pendant qu’il m’enculait. Il a dû me baiser comme ça pendant au moins 20 minutes et j’ai senti qu’il allait jouir. J’ai repensé à toi à ce moment-là et je me suis retirée un instant, pour qu’il reprenne ma chatte et qu’il jouisse dedans. Malgré la surprise, il a éjaculé une quantité de sperme incroyable. J’ai cru qu’il n’allait jamais s’arrêter. Son sexe allait et venait en moi, à chaque mouvement je sentais un spasme et je l’entendais râler de plaisir. Il s’est affalé sur mon dos, épuisé et son sexe encore en moi et m’a dit « Merci. »

Après un temps de repos où nous avons discuté de choses et d’autres, je me suis rhabillée et au moment de remettre ma culotte, il me l’a prise en me disant que j’avais un gage pour l’avoir surpris au moment de jouir et que si je voulais la récupérer, il faudrait que je vienne avec le devis…



Et écartant les draps, je me mis entre ses cuisses pour sentir l’odeur du mâle qui avait joui au plus profond de mon épouse. Elle me dit :



Autant dire que la nuit fut courte…