n° 16992 | Fiche technique | 12738 caractères | 12738Temps de lecture estimé : 8 mn | 03/09/15 |
Résumé: Après avoir fait le mur je me suis exhibé, puis une belle rencontre me laissera un souvenir inoubliable. | ||||
Critères: hh inconnu jardin toilettes exhib intermast fellation hsodo init confession -inithh -hhomo -exhib -lieuxpubl | ||||
Auteur : Peter260 Envoi mini-message |
Une petite aventure qui m’est arrivée pendant mon service militaire au début des années 80, période où l’on pouvait s’aimer avec insouciance. J’avais vingt ans et n’étais pas encore sûr de mon orientation sexuelle ; aujourd’hui j’ai cinquante ans, et toujours pas de certitude. Je crois que j’aime faire l’amour, et peu importe le sexe du partenaire.
Donc j’étais incorporé depuis quelques semaines et j’avais eu largement le temps de repérer les endroits festifs sexuellement parlant. Il y avait un joli petit parc avec des toilettes aux abords de celui-ci, qui attirait la nuit venue beaucoup d’hommes, et parfois des couples en recherche de sensations fortes. C’était un lieu que je fréquentais assez souvent. Étant de nature exhibitionniste, j’avais trouvé le moyen de satisfaire mes fantaisies, dont une consistait à me promener totalement nu dans ce parc ; j’y ai pris beaucoup de plaisir.
Donc par une douce nuit du mois de juin où j’étais normalement bloqué à la caserne, une irrépressible envie de m’exhiber me poussa à faire le mur. J’avais enfilé le survêtement bleu que l’armée m’avait fourni, mais sans tee-shirt ni caleçon dessous (plus pratique à enlever), un petit sac à dos avec à l’intérieur une bouteille d’eau, des mouchoirs et un tube de vaseline.
J’avais remarqué un grand lampadaire en béton le long du mur d’enceinte, et il ne me fut pas difficile en escaladant un muret de me laisser glisser le long de celui-ci. Une fois dehors, je me dirigeai vers ce parc qui, bien que fermé la nuit par un grand portail en fer forgé, disposait de deux autres portillons d’un mètre soixante de hauteur : autant dire un jeu d’enfant pour quelqu’un qui venait de franchir un mur de quatre mètres.
Une fois à l’intérieur, je me déshabillai et commençai à arpenter les allées qui n’étaient éclairées que par la lune et une faible luminosité produite par les lampadaires entourant le parc. La douceur de la nuit, la crainte d’être surpris faisaient monter en moi une étrange excitation. J’avais pour seul habit mon sac dans lequel j’avais rangé mon survêtement. Je me caressais allègrement tout en me rapprochant des toilettes qui se trouvaient accolées à la clôture du parc. Il y avait des buissons, des bosquets, tout ce qu’il fallait pour se dissimuler, ce que je fis pour épier toutes les personnes qui se présentaient.
Un homme d’une quarantaine d’années sortit des WC et alla s’asseoir sur un banc. Le pantalon baissé à mi-cuisses, il se masturbait quand un autre homme vint s’asseoir à côté de lui : il empoigna sans un mot cette queue qui avait pris une belle dimension. J’étais idéalement placé, à moins de trois mètres, caché par la végétation ; j’essayais de faire le moins de bruit possible tout en me branlant frénétiquement.
L’homme arrêta sa branlette pour sucer ce dard qui n’espérait que cela, et j’entendis l’un des deux proposer d’aller chez lui ; l’autre acquiesça et ils partirent, me laissant seul. J’aurais aimé les accompagner pour moi aussi les branler et les sucer. Comme il semblait ne plus y avoir grand-monde, je continuai d’errer dans les sombres allées avec ma queue prête à exploser dans la main droite alors que mon autre main caressait mon anus, insérant mon majeur que j’avais lubrifié de salive – douce sensation – quand soudain à quelques mètres devant moi, une silhouette qui se dirigeait dans ma direction. Gros moment de panique, et trop tard pour me cacher !
Arrivé à ma hauteur, je vis un homme plutôt costaud avec une moustache qui me salua et fit quelques pas pour s’asseoir sur un banc. Moi, encore en panique, je me rhabillai en toute hâte et pris la direction du portillon. Le fait d’être vêtu fit redescendre mon rythme cardiaque et je retrouvai mes esprits ; la peur panique disparut.
Je regardai derrière moi pour voir l’homme se lever ; il semblait me suivre, et je dois dire que cela commençait à m’exciter… J’allais vite me rendre compte si je me faisais des idées. Je sautai le portillon pour me retrouver dans une rue déserte, chose assez normale à une heure du matin, et je commençais à marcher tout en regardant derrière moi quand je vis l’homme franchir la grille et retomber sur le sol avec souplesse. Cette fois, plus aucun doute : il me suivait.
Je pris la première à droite puis la première à gauche ; il était toujours à une vingtaine de mètres derrière moi. Il ne paraissait pas agressif, avait une allure plutôt sportive, et hormis la moustache que je n’apprécie pas plus que cela, c’était un bel homme d’une trentaine d’années. Alors je décidai de prendre les choses en main.
J’avais remarqué lors de mes balades nocturnes un immeuble en construction, et nous étions à quelques pâtés de maisons de ce chantier. Je pris la décision de l’y attirer. Je pris une rue à gauche, accélérant le pas, puis une à droite et me voici devant cet immeuble. J’entrai sans difficulté : il n’y avait ni portes ni fenêtres ; certaines pièces étaient totalement dans le noir.
Je regardai vers l’extérieur et vis mon poursuivant passer devant l’immeuble et scruter l’intérieur, mais il ne m’avait pas vu entrer et il continua sa route. Je suis sorti rapidement sur le trottoir en faisant du bruit sur la barrière afin d’attirer son attention, et effectivement l’homme se retourna et se dirigea vers moi. J’entrai à nouveau dans le chantier, et dans une pièce sombre que j’éclairai avec mon briquet je me déshabillai totalement pour la seconde fois de la soirée et déposai mes affaires au sol, car étonnamment les pièces étaient propres ; à peine un peu de poussière (il y a encore des ouvriers consciencieux) puis je me dirigeai vers l’entrée à la rencontre de mon inconnu.
Il attendait de l’autre côté de la rue et semblait chercher ma présence. Moi, j’étais nu, la queue à la main, mais un peu trop dans la pénombre. Alors je décidai d’allumer une cigarette pour signaler ma présence, ce qui marcha à merveille car il traversa timidement la rue pour se planter devant l’immeuble, mais sans oser entrer. Afin de le rassurer et ne plus jouer au chat et à la souris, je sortis de la pénombre pour aller jusqu’à lui.
Quand il me vit, il n’hésita plus : il s’approcha et m’enlaça. Agrippant mes fesses, il se colla contre moi et chercha ma bouche que je lui refusais ; alors il m’embrassa dans le cou d’une telle manière que tout mon corps tressaillit. Ses mains étaient partout, malaxant mes fesses, branlant ma queue. Il me serrait contre lui et je pouvais mesurer sa grande force. Je le tirai vers l’intérieur de l’immeuble pour ne pas être surpris par un éventuel promeneur et je défis son ceinturon, déboutonnant son pantalon qui glissa jusqu’aux chevilles. Enfin je m’agenouillai pour embrasser à travers le tissu son sexe que je devinais de belle taille. Il sentait bon, et ses caresses m’avaient mis en transe.
Je fis glisser doucement son slip tout en posant des baisers partant du nombril pour descendre vers sa queue qui jaillit. Je l’ai prise en main passant ma langue sur toute la longueur de la hampe, puis j’ai léché ses grosses bourses peu poilues pour enfin l’engloutir avec avidité. Je me délectais de sa si belle tige en faisant des va-et-vient ; cela devait être agréable car il grognait de plaisir, plaquant ses mains sur ma tête afin de me donner un rythme que je m’efforçais de tenir.
J’avais maintenant l’envie de l’avoir en moi, et je lui demandai s’il voulait me prendre. Il n’eut pas besoin de réflexion pour donner une réponse que je connaissais à l’avance. Il était très excité et ôta son pantalon et son slip qui étaient toujours sur ses chevilles. J’en profitai pour récupérer mon tube de vaseline et me badigeonnai la rondelle. Un doigt, puis deux dans mon anus pour être sûr d’être prêt à l’accueillir, j’étais au comble de mon excitation.
Je me remis à genoux pour le sucer et le lubrifier avec ma salive, puis je me suis levé et lui ai présenté mes fesses. Il approcha sa queue de ma rondelle puis poussa d’un coup brusque. Une violente douleur m’envahit. Je me suis écarté en lui demandant de faire attention et d’y aller doucement ; il était tout penaud, ne sachant comment s’excuser. Pour lui montrer que je ne lui en voulais pas, je repris sa bite en main et l’ai caressée tout doucement ; il était dur comme du bois. Je l’ai lubrifiée avec un peu de vaseline et me suis par la même occasion enduit l’anus.
La douleur ayant disparu, je me suis à nouveau retourné en lui demandant de me laisser faire. J’ai attrapé sa bite pour la guider à l’entrée de mon orifice puis, en me reculant doucement, son membre fut englouti centimètre par centimètre sans la moindre douleur ; bien au contraire, un plaisir immense m’envahit. Il était tout au fond de moi, son ventre touchait mes fesses et je le sentais se contracter, n’osant pas bouger. Alors je commençai un léger va-et-vient qui me procura une chaleur au creux des reins, divine sensation. Étant légèrement penché en avant, je me suis complètement relevé, et ce faisant un plaisir incroyable m’envahit comme si on avait appuyé sur un bouton.
Il m’enlaça avec force tout en m’embrassant dans le cou. À ce moment-là, si j’avais pu, je l’aurais galoché. J’avais l’impression qu’on ne faisait qu’un, idéalement emboîtés l’un dans l’autre ; il me pénétrait doucement, mais de toute la longueur de sa queue. Son souffle puissant m’indiqua qu’il était au bord de la jouissance. J’ai attrapé ses fesses pour bloquer ses mouvements ; il s’enfonça jusqu’à la garde et resta ainsi de longues et bonnes minutes, m’étreignant toujours avec vigueur. Sa main droite saisit ma queue prête à exploser et il commença à me branler. Comme j’étais à deux doigts d’éjaculer, j’ai retiré sa main et j’ai recommencé à onduler du bassin ; j’étais en extase.
Il se remit à faire des va-et-vient de plus en plus rapides ; mon ventre était en feu, mais un feu de joie et de plaisir. Il mordillait ma nuque et pinçait mes tétons à la limite du supportable. Comme j’étais dans un état second, tout se mélangeait : le plaisir, la crainte, la douleur… Cet homme qui m’empalait sans plus aucune retenue, ses gémissements qui se mêlaient aux miens me donnaient envie de hurler quand soudain il me pencha en avant. Je pris appui au mur devant moi, et là il me mit de véritables coups de boutoir, s’enfonçant toujours plus loin dans mes reins. Sa queue ressortait presque entièrement de mon cul pour mieux y replonger ; il fallait qu’il vienne car mon anus allait se consumer !
Avec ma main, j’essayai d’attraper ses testicules mais il prenait tellement de recul avant de me perforer à nouveau que je les sentais uniquement quand mes fesses claquaient sur son ventre. Soudain, il se colla au plus profond de moi, me releva et m’étreignit avec une telle force que j’ai compris qu’il était sur le point de jouir. À peine ai-je eu le temps de lui demander de se retirer que j’ai senti les soubresauts qui accompagnent l’éjaculation. Quel bonheur… Je me branlais frénétiquement et j’explosai littéralement, mon anus se contractant autour de sa queue qui n’en finissait pas de me remplir.
Nous sommes restés quelques minutes toujours l’un dans l’autre à reprendre notre souffle, puis il s’est retiré en me disant qu’il n’avait jamais joui aussi fort. J’étais flatté, et pour le remercier je me suis remis à ses genoux pour remettre en bouche (après l’avoir essuyée avec un mouchoir) cette queue qui m’avait donné tant de plaisir. Elle était devenue molle, mais cela ne m’empêcha pas de lécher les dernières gouttes de sperme qui perlaient ; sa semence avait un goût très agréable. Après l’avoir totalement nettoyée avec ma bouche, nous nous sommes rhabillés.
Il m’a proposé de venir chez lui la semaine suivante en me disant qu’il pouvait faire venir un ami si cela m’intéressait. Ma réponse fut évasive, et je n’ai jamais revu cet homme. Par contre, j’ai souvent repensé, même 25 ans plus tard, à cette soirée où j’ai atteint un degré de plaisir rarement égalé.