Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16993Fiche technique24739 caractères24739
Temps de lecture estimé : 16 mn
03/09/15
Résumé:  Où je trouve ma femme avec un amant et s'ensuit une relation à trois où je me soumets totalement à eux.
Critères:  fhh hbi cocus hsoumis hdomine préservati fsodo hsodo confession portrait
Auteur : Jacherino  (Jacherino, candauliste bi et passionné d'érotisme)      
Je ne pouvais pas m'y attendre !

Non, vraiment rien ne me permettait de me douter de quoi que ce soit !


Ces derniers temps, les soirées étaient plutôt monotones, les journées aussi d’ailleurs. Non que le train-train nous engourdissait, mais nous n’étions vraiment pas sur la même longueur d’onde. J’en étais arrivé à avoir plus de relations masculines qu’avec ma chère et tendre.

Lorsque j’abordais le sujet de la "chose", je percevais immédiatement une lassitude, un rejet, une absence d’intérêt. Quand bien même ma femme me comblait de « Je t’aime », « Je préfère les fantasmes juste avec moi », de compliments déguisés ou déguisants, « Tu me satisfais largement » ; façon de flatter la bête et l’égo pour mieux éviter le "sujet". Vu nos prouesses récentes, je ne voyais pas ce que j’avais pu satisfaire.


Faisant partie d’associations et de diverses organisations, nous recevions pas mal ces derniers temps, mais elle restait en retrait, me laissant la part belle dans les relations avec nos convives. Je ne suis pourtant pas quelqu’un de très causant et attirant, mais elle faisait tout pour se faire oublier, alors qu’habituellement c’est elle qui anime et discute avec chacun.


Un après-midi, je rentrai d’une réunion et en arrivant, je vis une voiture garée chez nous. Hérine était à la maison, mais il n’était pas prévu de rendez-vous et, de plus, je ne connaissais pas cette voiture comme appartenant à l’une de nos relations.

Je suis rentré et je trouvai ma femme assise sur le canapé, en pleine conversation avec un homme, assez proche d’elle et un peu plus âgé que moi ; la soixantaine je dirais.



Le vide ! Que voulez-que je dise ? Même avec mon flegme et la distance que je mets entre les émotions et mes réactions, je suis resté coi.



Ma femme me sert un whisky bien tassé, sec et sans glace, comme j’aime et retourne s’asseoir quasiment collée contre lui. Ni une, ni deux, il passe son bras derrière ses hanches, sa main sur la cuisse de ma femme, et elle se tourne vers lui et l’embrasse. Je bois en restant interloqué, je ne sais même pas si je sens le goût du whisky.

Je sais que ça fait partie de mes fantasmes et que j’adore la voir ainsi, mais j’aimerais en savoir un peu plus quand même. Mais elle continue et je vois que lui y prend plaisir en lui caressant la cuisse, la serrant contre lui et, comme ils sont de profil, je vois leurs langues s’emmêler et se fouiller.


Je suis entre "bander mou" et "ducon". La situation a tout pour me plaire, mais j’ai été pris de court ! Une pointe de jalousie me taraude aussi. Le salaud ! Il a dragué ma femme et il se pointe pour faire connaissance du cocu. Et elle, vas-y que je te fais des compliments et que tu me suffis amplement et que j’ai besoin de rien d’autre que toi. Combien de fois ont-ils baisé comme des castors avant de me faire leur démonstration ?


Néanmoins, je ne peux le nier, la situation m’excite et, ajoutée à la jalousie, provoque un émoi certain dans mon pantalon. (Désolé, je ne mets jamais de slip, j’ai horreur de ça !) Je vois bien son bras qui la presse contre lui, au point que ses seins sont écrasés contre son pull et son torse. Je me rends compte que sous l’effet du baiser, ses cuisses se sont légèrement ouvertes et qu’elle s’abandonne complètement à cet homme. Il n’a rien de très séduisant, mais il est bien conservé et on sent qu’il s’entretient ; ce qui n’est pas pour me déplaire. Il semble directif et entreprenant, ce que j’aime aussi.


Bon, ils ne vont pas y passer la nuit ? Je veux bien mater et m’exciter progressivement, mais j’aimerais en savoir un peu plus. Hérine a dû le sentir puisqu’elle fait une pause et me dit :



Je ne peux qu’acquiescer !

Il la prend par la main et l’emmène dans notre lit. « Putain, il connaît la maison en plus… » Dès qu’ils sont entrés, elle s’approche de lui et recommence à l’embrasser. Lui la caresse, la touche, empoigne ses fesses, debout juste contre le lit. Il lui dit « Occupe-toi de moi ! » d’un ton qui ne laisse aucune alternative. Elle le déshabille, lui enlève son pull, sous lequel il ne porte rien, ouvre son pantalon pour le baisser et lui faire passer les pieds. Il est nu ! Comme moi, il ne porte rien dessous. Son sexe est encore à moitié bandé.


Il me fait signe d’approcher et j’obtempère. Quand je suis à proximité, il m’attire à lui alors que ma femme est toujours à genoux face à son sexe.



Et je vois ma femme que prend sa verge de la main et l’embouche.



Et se tournant vers moi, il m’embrasse. Je sens son haleine d’homme et sa langue s’engouffrer dans ma bouche. Je réponds à son baiser et l’enlace. J’adore cette sensation de sentir un homme, sa peau, son odeur, son désir et j’y réponds instantanément. Je ne me préoccupe plus d’Hérine, mais juste de sa bouche, de son dos, de ses fesses qu’il a fermes, de ses pectoraux où je sens les tétons pointer. Je les caresse, les pince et profite de toutes ses réactions, émotions et vibrations de son corps.


Je reprends mon souffle et regarde Hérine qui s’active sur son sexe, longuement, profondément et avec délicatesse. Je vois maintenant une belle queue, légèrement courbée vers le haut, bien rigide et plus épaisse et longue que la mienne. J’admire et j’aime que ma femme la suce, la lèche et profite comme moi des réactions de son corps à nos baisers. Elle qui, habituellement, n’est pas très portée sur la fellation, je la sens y prendre un plaisir souverain.



« Tiens, il me tutoie maintenant. »



On recommence, encore plus sensuellement, en se caressant et quand je lui fais des baisers dans le cou, il en profite pour me dire à l’oreille :



Je m’agenouille. Ma femme me regarde, l’air de dire « Tu vas voir comme je suis avec lui… » Elle guide sa queue vers ma bouche et me dit :



Je prends sa place et elle se relève.

Son sexe me remplit la bouche. Son gland est bien dessiné et large ; je ne peux m’empêcher d’imaginer et de désirer qu’il m’encule. Je l’enfonce progressivement dans ma gorge pour lui faire plaisir et je sens sa main qui appuie sur ma tête pour mieux l’enfoncer. J’étouffe un peu, mais je me sens à lui et je fais ce qu’il aime. Je fais ce que j’aime aussi : sucer et exciter un homme pour qu’il ait envie de moi. Je sens les tressaillements, les mouvements instinctifs de son bassin qui veut baiser ma bouche.


Je les entends s’embrasser. Il l’a déshabillée et je suis à la hauteur de la culotte de ma femme qui a une jambe appuyée contre moi et l’autre, le pied posé sur le lit. Il épouse la forme de sa culotte sur ses lèvres et je vois bien qu’elle est toute mouillée.



Elle se frotte sur sa main et je l’entends gémir doucement.



Il se penche vers moi et me dit :



Je hoche la tête parce que je ne veux pas lâcher sa queue et je descends la culotte de ma femme dont le fond est trempé.



Je porte la culotte à mon nez et je sens cette odeur suave et salée qui dénote qu’elle doit couler depuis un bon moment. Je la lèche un peu pour mieux en goûter la saveur. Mais le sexe de Philippe m’attire trop pour que je m’occupe de la culotte de ma femme.


Je regarde ses doigts ouvrir les lèvres de ma femme pour lui fouiller la chatte, faire rouler son clitoris et la pénétrer avec deux puis trois doigts bien épais et gluant de cyprine. Soudain, il se retire de ma bouche, emporte ma femme sur le lit. Elle s’allonge, cuisses ouvertes, la chatte luisante de mouille.

Il me dit :



Je m’agenouille, penché sur le lit, pour plonger la tête entre ses cuisses et lécher toute la mouille qui enduit ses lèvres, l’entrée de son vagin et ses cuisses. J’aime la lécher ; j’aime la préparer pour un mâle qui veut la baiser ; j’aime sentir que je l’offre à un homme et qu’elle va lui donner tout ce qu’il veut.


Elle relève les cuisses parce qu’elle sait qu’elle a coulé jusqu’entre ses fesses et qu’il n’aime pas ça. Elle m’offre son cul à lécher, à nettoyer et j’en profite pour l’exciter en la pénétrant légèrement de ma langue.

Pendant que je réalise ce doux nettoyage, il s’est mis derrière moi et il me caresse les fesses, me branle d’une main et me dit comment la lécher.



Et je sens ses doigts qui m’ouvrent les fesses et viennent préparer l’entrée de mon cul.



Je ne peux que hocher de la tête. J’ai envie de lui dire « Baise-moi, j’ai envie de ta queue, d’être ta salope et de sentir la bite qui fait jouir ma femme. »

Il est allé prendre le gel dans le tiroir de la commode et une capote qu’il enfile.



« Ah, le salaud, il connaît toutes ses envies. »

Je sens ses doigts qui m’écartent le cul, qui me pénètrent et m’enduisent de gel. Je m’ouvre tout seul, sans difficulté, tant j’ai envie de le sentir. Je l’entends enduire son sexe et ça m’excite encore plus. Je bande et j’ai envie de me branler pendant qu’il me prépare. Mais il attrape mes bras et me maintient les mains dans le dos.



Il présente son gland à l’entrée de mon cul et je n’ai qu’une seule envie, c’est qu’il me pénètre comme elle, que je sois sa salope et qu’il sente que je me donne à lui comme Hérine. Je veux qu’il sache qu’il dispose de deux salopes pour son plaisir et le nôtre.

Il me pénètre et je sens le gland que j’ai sucé et excité m’ouvrir encore plus. Il y a cette douleur qui me rappelle que je suis un homme et que j’aime me sentir rempli par un mâle et que cette douleur, ce sont les prémices à être enculé. J’aime cette douleur qui est de plus en plus fugace mais qui me rend salope.



Et il me baise, il m’encule. Ses coups sont longs et forts. Il me dit que je suis une bonne salope, un bon petit pédé, un parfait cocu enculé.

Je regarde Hérine. Je vois son regard mêlé d’amour et de perversité à me voir baisé par son amant. Elle se caresse devant moi, la chatte à dix centimètres de mes yeux. Elle a les cuisses grandes ouvertes et vient poser sa chatte sur ma bouche. Chaque coup de reins pousse ma langue dans son vagin, entre ses fesses, dans son cul.

Il ne s’arrête pas ! Il a lâché mes mains et j’écarte mes fesses pour mieux le sentir.



Et je sens les spasmes qui montent. Il me traite de tous les noms et rugit quand il lâche sa jouissance. Je sens sa queue gonfler et propulser son sperme dans mon cul. Je suis sa pute, sa salope et je l’ai fait jouir. J’en suis heureux et je le sens s’affaler sur mon dos, en sueur, comme moi quand je jouis dans Hérine. Je me sens sa femelle et j’aime ça.


_______________________



On s’est désemboité, on a repris notre souffle et on a pu faire connaissance sous la douche, pendant qu’Hérine se détendait sous la couette. Je n’ai même pas fait attention à savoir si elle avait joui sous mes yeux et ma langue. J’étais trop pris …


Donc, sous la douche, Philippe m’explique qu’il a rencontré ma femme à l’agence et qu’il n’a pu s’empêcher de la séduire. Sa couleur, son sourire, ses rondeurs l’ont enflammé et il s’est vu la courtiser comme un jeune homme. Il est veuf et n’avait pas rencontré de femmes qui lui plaisent depuis la mort de la sienne.


Il a toujours été dominant et a vite compris quelle était notre relation de couple. Hérine lui a fourni les compléments ; ma bisexualité et mes plaisirs candaulistes. Il me rassure sur son absence d’envie de recréer une vie de couple, mais qu’il aime beaucoup faire l’amour avec elle, pas simplement la baiser, mais vraiment faire l’amour.


Ils se connaissent depuis 4 ou 5 mois et se voient 2 à 3 fois par semaine. Il aime beaucoup qu’elle lui obéisse quand il lui demande de passer, prête et sans culotte, parce qu’il a besoin de décharger. Il aime aussi quand elle lui envoie un SMS un peu prude, demandant si elle peut venir prendre un thé entre midi et deux. Elle a rarement le temps de finir son thé …


On parle un peu pendant que je le savonne et lui caresse la queue, parce que j’en ai encore envie. Il me dit qu’il a toujours aimé les relations entre hommes et qu’il aurait plaisir à me revoir seul à seul. Ce à quoi je ne peux qu’acquiescer tant j’en ai envie. Il n’a jamais été sodomisé par un homme, mais seulement par une femme, et préfère les relations douces quand il est seul avec un homme ; ce qui me convient très bien.


On évacue toutes les gênes qui peuvent encore exister entre deux hommes qui viennent de baiser ensemble, et qui convoitent et font l’amour à la même femme. Nous retournons retrouver Hérine qui s’est, depuis, endormie sous la couette.


Je le laisse s’allonger près d’elle, au chaud et je devine sa main qui remonte le long de sa cuisse tandis qu’il vient l’embrasser. Elle adore cela qu’on la touche et la caresse dans un demi-sommeil. Je reste accroupi près du lit pour mieux les laisser profiter de l’instant.

Par-dessus la couette, je vois le mouvement de ses jambes qui s’ouvrent et offrent le passage à la main de Philippe. Il doit lui caresser la chatte, avoir les doigts déjà plein de mouille et sentir de sa langue l’excitation qui monte en elle. Déjà j’entends de petits gémissements qu’elle laisse échapper.

Je suis obligé de deviner, même si je préfèrerais voir. Elle a dû prendre sa queue en main et la caresser. Il l’embrasse de plus en plus frénétiquement.



J’écarte la couette et je découvre juste son bas-ventre pour me rendre compte qu’il bande déjà très fort et qu’Hérine le branle lentement en lui caressant le gland, les couilles et la hampe, avec affection. Je laisse sa main sur son membre et viens le prendre en bouche. Il sent le savon avec lequel je l’ai nettoyé et caressé.



Je m’exécute avec plaisir, y mettant d’autant plus d’ardeur que j’ai envie de sa queue et, en même temps, qu’il soit très excité pour jouir en elle. Sa queue est douce, son gland tendu et je le suce, le savoure, le lèche de haut en bas, lui gobant les couilles une par une tout en le caressant entre les cuisses. J’aime sa queue, elle est vivante et réagit à la moindre stimulation.

Pour le reste, je ne peux qu’imaginer ce qu’il fait puisque Hérine, frileuse, est toujours sous la couette. Mais elle gémit pendant qu’ils s’embrassent. Je semble ne plus exister pour l’instant. Elle est tout entière à lui, à ses caresses, à lui offrir son corps, sa bouche. Elle tient toujours sa queue et je fais des détours où je passe ma langue sur ses doigts pour qu’elle sente bien tout ce que je lui fais.

Puis, je me redresse et lui dis :



Hérine semble ravie de cette situation. Son amant et son mari sont de connivence et elle reçoit les bienfaits du risque qu’elle a pris de le ramener à la maison pour me le présenter.

Il la découvre de la couette et je peux admirer ma femme, cuisses largement ouvertes et offertes aux caresses de son amant. Philippe se relève un peu et vient se loger dans ce réceptacle accueillant. Il s’allonge sur elle, recommence à l’embrasser, ce à quoi elle répond avec avidité. Il ne bouge pas et je vois alors ma femme commencer une reptation vers le bas pour venir cherche le membre de Philippe. Elle se tortille jusqu’à venir positionner l’entrée de son vagin sur son gland. Il n’a plus qu’à pousser légèrement et je peux admirer sa queue s’enfoncer doucement sous les mouvements conjoints d’Hérine et de Philippe. Son gland a ouvert les lèvres et je suis la progression de cette belle queue dans son corps.



Je m’approche, m’allonge près d’elle et elle me prend la main.



Son regard est dans le vague et je la sens submergée de bonheur, de désir et de plaisir. Elle me serre la main et ne la lâche pas. Elle fait l’amour avec lui, les yeux dans les yeux, bouches en ventouse, les caresses se faisant douces, brûlantes, félines selon le plaisir de l’un et l’autre dans la pénétration. Je sais qu’elle jouit, en continu, depuis qu’elle me tient la main. Son regard est extatique, son ventre absorbe et sa cambrure appelle le martèlement de Philippe dans le fond de son vagin. Et il y va, le bougre !

Mais il veut assouvir sa domination et la fait se retourner à quatre pattes. Il glisse sa queue entre les fesses, caresse le cul de ma femme, puis opte pour une levrette classique.



Et il reprend sa pénétration, son mouvement de métronome et les coups de boutoir que je sais faire mal à mon épouse, mais qu’elle adore. Je sais ce qu’il a voulu dire : « Dis-moi quand tu auras envie que je te sodomise. »

Il lui tient les hanches ; elle, me tient la main et me regarde pour mieux me montrer l’intensité du plaisir et des émotions qu’elle éprouve.



Sachant comment elle s’ouvre quand elle est prête, je ne m’étonne pas de le voir sortir de son vagin et, dans le même élan, la sodomiser d’un trait, alors qu’elle lâche un « oui » de plaisir.



Je les laisse à leur corps-à-corps sauvage, tant les coups qu’il lui donne sont violents. Il la fesse en même temps et je vois à son regard qu’elle jouit encore et encore. Elle me montre qu’elle est sa salope et qu’elle aime cela, comme elle me le dit si souvent. Il l’encule encore et encore, et elle, elle le réclame de tout son corps, de ses mots, de ses invectives.

Puis il ressort, essuie son sexe avec une serviette et replonge dans sa chatte.

Il la brutalise, elle gémit, il l’écrase, elle réclame, il la pilonne, elle se cambre pour mieux éprouver la douleur et le plaisir. Et il jouit, comme avec moi, dans un rugissement. S’effondre, comme avec moi, sur elle.


Il leur faut quelques minutes pour récupérer, pendant qu’il l’embrasse dans le cou, sur le dos.

Ils se détachent et Hérine s’allonge pour reprendre ses esprits. Je vois qu’elle est repue de plaisir et de jouissance, mais je ne peux m’empêcher de venir m’abreuver de leur jouissance. Je me glisse entre ses cuisses et viens me délecter en lui léchant et nettoyant la chatte, du goût si particulier du mélange de sa cyprine et de son sperme. Elle me laisse faire, même si je connais ses réactions réfractaires quand elle a joui. Je la lèche et bois la semence du mâle qui l’a saillie. Je suis le cocu marquant son allégeance à l’amant qui fait l’amour à ma femme.

J’ai été baisé par lui, il a pris ma femme, je lui ai tout offert et j’ai envie qu’il la revoie et la fasse encore jouir. J’ai envie qu’elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme.

J’ai encore envie qu’il vienne me voir ou m’appelle pour qu’il puisse assouvir ses envies avec moi, en moi.


Nous nous sommes détendus, après cet après-midi d’amour et de plaisir, dans le canapé, en devisant sur nos envies respectives.

Ils se reverront quand l’un ou l’autre aura envie. Je reverrai Philippe ici ou chez lui, parfois peut-être avec Hérine. Il n’y a pas de règle, pas de prévisions, juste une envie de reproduire et de perpétuer l’envie de chacun aux plaisirs que nous avons connus ensemble.


Non, vraiment ce jour-là, je ne pouvais pas me douter…