Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16998Fiche technique12969 caractères12969
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/09/15
Résumé:  Vacances sur la plage en Espagne avec Valérie. Un inconnu vient mater ma compagne...
Critères:  fhh grossexe vacances plage voir exhib nudisme fellation
Auteur : Benji            Envoi mini-message
Surprise à la plage

Cette expérience se déroule pendant l’été 2008 en Espagne. Fraîchement divorcé et habitant en terre bordelaise, j’avais noué une relation, après quelques expériences sans lendemain, avec une jolie petite brunette de deux ans mon aînée et répondant au doux nom de Valérie. Étant naturistes tous les deux, nous avions décidé de prendre une semaine de vacances ensemble en Espagne.


Nous étions donc sur une plage naturiste lorsque nous avons remarqué qu’un homme seul était venu installer sa serviette à quelques mètres des nôtres, et plus particulièrement pile dans l’axe des jambes de ma copine. En allant me baigner, j’ai dû reconnaître que s’il n’avait pas forcement un physique de rêve, il était particulièrement gâté par la Nature, le trouvant malgré tout un peu gonflé, ce que je ne manquai pas de révéler à Valérie en revenant m’allonger près d’elle.


Cela a eu le don de réveiller chez elle une envie irrépressible de jouer avec cet homme. Profitant de mon éloignement pour une nouvelle baignade, elle s’est relevée et là, assise face à notre mateur qui a donc pu profiter du spectacle de ses seins épanouis, elle a délibérément insinué un doigt dans sa chatte tout en fixant sans équivoque son spectateur et en promenant sa langue sur ses lèvres gourmandes. Je voyais la scène depuis le rivage et commençais à trouver la situation assez excitante, et au niveau de mon bas-ventre une légère érection commençait à se développer. Notre hidalgo a alors discrètement commencé à se masturber sans rien perdre du show qu’elle lui offrait.


En revenant à ma serviette, en essayant de masquer tant bien que mal mon émotion, j’ai alors pu constater la dimension de son engin, et m’en suis ouvert à Valérie qui, ravie de son petit jeu, s’est contentée de me sourire avec cette expression dans les yeux dont seules l’excitation et l’envie d’aller plus loin étaient responsables. Je pus d’ailleurs le constater en passant rapidement ma main sur sa chatte qui était effectivement trempée. Je décidai donc de laisser mon doigt flirter avec son clitoris, et Valérie commença à s’animer sous ce traitement un peu particulier ; mais je dus arrêter rapidement, un ballon de plage venant de rentrer dans notre périmètre de "sécurité".


Nous décidâmes donc, afin de pouvoir satisfaire la jolie Valérie qui ne comptait pas en rester là, de déménager et de remonter dans la crique afin de pouvoir être un peu plus tranquilles, le fond de cette crique n’étant pas encore occupé par qui que ce soit.


Je pus reprendre alors le petit jeu de mes doigts sur la chatte affamée de ma jolie sirène. Ayant, à cause de cette interruption inopinée, quelque peu négligé notre complice, je vis celui-ci arriver avec parasol et serviettes et se positionner comme auparavant, mais encore un peu plus près, à 5 mètres de nous, ou plus exactement son visage exactement dans l’axe du compas de ma partenaire. Valérie, que je sentais enthousiaste, et moi n’ayant rien fait manifestement pour mettre un terme à cette situation, vîmes donc d’un œil bienveillant notre voyeur reprendre ses activités, à savoir caresser doucement sa hampe délicieusement érigée au creux de sa main en matant sans plus de gêne notre petit manège et en murmurant à notre seule intention des « Si, si, si » très significatifs.


Deux de mes doigts effectuaient maintenant de doux va-et-vient dans la chatte détrempée de ma compagne, et je sentis rapidement monter le plaisir de celle-ci qui, les yeux fixés sur la queue énorme qui s’agitait à quelques mètres seulement, se passait la langue sur les lèvres à l’attention de notre complice tout en mimant un semblant de fellation. Elle ne put alors retenir un petit cri de jouissance soulevé par un orgasme particulièrement intense apaisant la tension emmagasinée au cours de cette journée si particulière. Notre hidalgo, quelque peu décontenancé par la jouissance si rapide et violente de Valérie, cessa de se caresser mais continua à nous regarder, attendant visiblement quelque chose…


Excité comme jamais par cette situation, j’en discutai rapidement avec Valérie afin de réfléchir à la suite à donner à cette petite exhibition. Devant mon comportement étonnamment permissif, celle-ci décida de jouer le tout pour le tout. Elle me dit alors avec un sourire coquin que je ne lui connaissais pas :



Nous nous sommes sommairement rhabillés – elle juste une petite robe blanche minimaliste et des sandales – et nous avons plié nos affaires afin de remonter vers la voiture. Nous avons vu notre voisin en faire autant, enfilant à la hâte un short ample et une chemisette.


En remontant, profitant d’un petit belvédère situé un peu en retrait du chemin, nous nous sommes arrêtés pour profiter de la vue sur ce magnifique havre de paix. Accoudés à la rambarde étroite, nous avons sans surprise senti une présence à nos côtés, ou, pour être exact, aux côtés de la jolie Valérie qui, quelque peu mutine, laissa traîner sa main dans l’espace vide, côté opposé au mien. Notre homme se rapprocha encore un peu de nous, et devant mon mutisme, je vis la main de Valérie frôler le short dans un premier temps puis venir prendre la mesure de ce que ses yeux avait vu un peu plus bas. Malgré tout, un « Oh ! » de surprise se dessina alors sur ses lèvres et elle ne résista pas à l’envie d’en savoir un peu plus sur ce phénomène de la Nature, et je vis donc sa main glisser naturellement à l’intérieur du short et se refermer enfin sur cette bite impressionnante (je pense qu’elle en avait envie depuis qu’elle l’avait vue).


Moi, habituellement d’un naturel assez jaloux, je la laissais faire, habité d’une excitation jamais ressentie jusqu’alors. Elle entreprit alors quelques mouvements de haut en bas sur sa hampe, mais l’endroit manquant d’intimité. Valérie fit comprendre à notre nouvel ami de remonter jusqu’aux voitures.


Arrivés sur le parking, et nos voitures respectives étant proches, je vis ma compagne faire asseoir Federico (il nous apprit son prénom un peu plus tard) sur le siège conducteur de son 4x4, les jambes pendant dans le vide. Là, ne voyant toujours aucune objection de ma part et, je dois l’avouer, à ma grande surprise, pour mon plus grand plaisir elle prit définitivement l’initiative : elle abaissa le short de Federico et, comme au ralenti, j’ai alors vu la main de ma chérie s’avancer vers la tige de chair tendue. Mon cœur s’est mis à battre très fort quand ses doigts se sont repliés dessus. Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Notre ami a grogné de contentement.



Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de ma compagne. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait : sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu, et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer.



Excitée par nos encouragements, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation.


D’un coup de reins, l’homme a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma compagne. Pendant même un bref instant, il les a effleurées comme je pus le constater car un fil de méat sans doute s’étirait maintenant entre ses lèvres et son gland… Sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria :



Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma chérie, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l’acier. Le spectacle de ma femme agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitaient au plus au point. À un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda :



Semblant comprendre la demande de Valérie, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre ses lèvres humides. Le cœur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chérie !


Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa compagne, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair !


Plus rien n’existait maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforçait d’enfoncer le plus possible de cette belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que le plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforçait d’en avaler le plus possible dans un bruit de succion de plus en plus sonore.

Tout en me masturbant frénétiquement, je l’encourageai de la voix.



Libérant les fines bretelles de sa petite robe, il avait empoigné ses seins et les tripotait doucement ; il caressait ses tétons dressés. À mon tour j’ai éprouvé le besoin de la toucher. J’ai glissé ma main sous sa robe maintenant retroussée, jusqu’à sa chatte brûlante. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros sucre d’orge tendu.


Moi aussi, je m’enflammai, du coup. Je criai presque :



Et je la branlai frénétiquement. Elle m’écouta, elle suça, elle pompa, elle avala les grosses boules velues. Elle s’interrompait par moment pour me souffler :



Lorsqu’il commença à gémir, je savais qu’il n’allait pas tarder à jouir. Mais Valérie ne s’en soucia guère et continua de le sucer comme si de rien n’était, puis soudain elle se recula un peu et lui montra sa langue. Elle était belle, ma femme, à cet instant précis, même si c’était un autre homme qui en profitait. Sa jouissance arriva d’un coup. Plusieurs jets de sperme arrivèrent directement dans la bouche de ma femme, ce qui lui déclencha un nouvel orgasme. Je vis à son air ravi qu’elle ne s’attendait pas à une telle quantité. Il lui mettait la dose ; j’avais rarement vu ça. On aurait dit qu’il urinait. Elle avalait au fur et à mesure tant bien que mal et faillit s’étouffer plusieurs fois. Au bout de quelques secondes, elle reprit enfin son souffle et nettoya consciencieusement le chibre de notre hôte, puis le mien qui n’avait pas résisté a un tel spectacle.


Puis, me saisissant par la tête, elle m’embrassa goulûment, mêlant dans ma bouche des relents de sperme inconnu.


C’est alors qu’elle me chuchota à l’oreille, et je compris qu’elle n’était pas le moins du monde rassasiée et qu’elle était encore prête a bien des facéties :



Mais ça, c’est une autre histoire !