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n° 17004Fiche technique24718 caractères24718
Temps de lecture estimé : 15 mn
08/09/15
Résumé:  Marié a une jeune chinoise plus jeune que lui, Thierry incite son épouse à rencontrer un autre homme, un certain Jacques, médecin en Bourgogne.
Critères:  fhh hplusag asie init -cocucont cunnilingus
Auteur : Britlo      

Série : Lan

Chapitre 01 / 04
Nous faisons connaissance avec Jacques

J’ai connu Lan lors de mon expatriation en Chine, charmante jeune femme au très beau visage, elle m’avait tapé dans l’œil dès notre première rencontre. Je venais de divorcer et avais signé deux ans pour travailler sur un chantier en Chine. J’avais connu Lan qui travaillait à la réception de l’hôtel où je vivais à l’époque. Je suis tombé directement amoureux de cette fille, qui avait la particularité d’être extrêmement douce. Elle s’occupait de moi comme jamais une femme européenne ne l’avait fait.


Six mois après notre première rencontre nous étions mariés et nous sommes rentrés en France à la fin de ma mission. Lan, douce, timide et réservée était mince, elle avait un physique avantageux, un très beau visage, un corps que je trouvais magnifique et très bien proportionné, des seins petits mais très fermes et réagissant à la moindre caresse. De plus, Lan adorait faire l’amour, ce qui pour moi était nouveau, je n’avais jamais connu une femme avec autant de désirs. J’étais aux anges.


Elle venait d’avoir trente-quatre ans, moi j’en avais déjà quarante-cinq, quand nous nous sommes interrogés sur notre vie de couple. Nous étions mariés depuis déjà cinq ans. Nos interrogations principales tournaient autour de notre vie de couple mais aussi de notre vie amoureuse et d’une lassitude dont on avait peur tous les deux. Sincèrement je crois que cette crainte était plus forte chez moi que chez elle.

Nous organisions des week-ends amoureux une à deux fois dans l’année, cette occasion nous permettait de faire du tourisme culturel mais aussi nous permettait de nous retrouver dans des hôtels chics ou de belles maisons d’hôtes. Nous en profitions aussi pour réaliser des soirées amoureuses « préparées » entre nous où je lui demandais de se faire belle avant d’aller au restaurant et de passer ensuite une soirée très coquine.


C’est pendant ces week-ends que nous avons progressé ensemble, elle s’est d’abord parée de sous-vêtements en dentelle très sexy et classes, avec porte-jarretelles, nuisettes transparentes et autres dessous chics. De plus, je lui ai acheté son premier sextoy ressemblant à un sexe d’homme. J’ai commencé aussi à lui mettre un bandeau sur les yeux, et tous ces articles de jeux ont augmenté progressivement notre plaisir.


C’est lors d’un de ces week-end que tout a basculé, alors qu’elle était allongée sur le dos, je m’approchai à genoux d’elle tout en lui caressant ses parties intimes avec le sextoy. Elle me prit alors dans sa bouche, elle aimait manger mon sexe. Elle y prenait grand soin en le dégustant savoureusement en le léchant parcelle par parcelle. Elle faisait réellement cela à merveille. C’est à ce moment-là (je ne sais toujours pas pourquoi) que je lui ai parlé d’un autre homme (tout à fait imaginaire) qui nous regardait faire l’amour ; en fait qui la regardait surtout elle, et là quel tableau ! Il ne lui restait que ses bas et porte-jarretelles noirs, elle avait les cuisses ouvertes et le vibro caressait gentiment son sexe.


Je lui dis que l’homme la regardait et qu’il trouvait que son corps était magnifique, qu’il avait un tableau érotique en face de lui très, très beau, qu’il avait aussi très envie de la toucher de la caresser, voire de la cajoler. Je lui caressai alors en même temps les seins et lui demandai de bien bomber sa poitrine et de les montrer à notre complice imaginaire mais aussi de bien ouvrir ses cuisses. Je sentis chez elle un frisson, elle accentua son application à sucer, je crois que mes évocations l’avait excitée.


En effet, dès que je me mis à la toucher, alors qu’elle continuait à me sucer, je l’ai sentie réagir vivement à ces caresses, ce qui chez moi provoqua l’envie de continuer de lui parler. Je lui ai alors indiqué que notre complice virtuel s’apprêtait à lui toucher les seins – d’ailleurs ce n’était plus moi qui lui touchait cette partie du corps, mais lui – qu’il profitait de sa beauté et de son corps doux et plaisant à caresser. Ma main continuait ses manœuvres et je sentais mon amour de plus en plus excitée. Je pris de nouveau la parole en lui indiquant que l’homme avait sorti son sexe tout dur de son caleçon tout en poursuivant de lui titiller son clitoris avec doigts. Je la sentis encore plus vibrer à cette évocation. Alors le coup fatal tomba lorsque je lui indiquais que notre complice la complimentait sur sa manière de me sucer et aussi qu’il voulait qu’elle le prenne à son tour dans sa bouche… J’ai eu à peine dit ce dernier mot qu’un orgasme terrible l’envahissait, son corps montrait des secousses de jouissance importantes, jamais je ne l’avais vu avoir un tel orgasme.


Cet épisode fut le départ de nouvelles discussions à propos de notre plaisir et de nos fantasmes. Elle m’avoua que l’un d’eux revenait souvent dans ses pensées et ça, depuis de nombreuses années. Il s’agissait de « faire l’amour avec deux hommes ». Je lui ai tout de suite indiqué que je n’étais pas contre le fait de réaliser son fantasme, que je l’aimais beaucoup et que de la voir prendre du plaisir, accentuait mon amour pour elle. Je n’étais pas jaloux a priori si je maîtrisais la situation et que nous aurions choisi ensemble le complice. Elle m’indiqua que c’était pour elle un pur fantasme, qu’elle n’avait pas pensé le réaliser vraiment, que cela n’était pas envisageable. Je crois que son éduction chinoise ne lui avait jamais permis d’imaginer même la réalisation d’un tel acte. Lan est une femme bcbg, discrète, timide et très bonne mère de famille.


Nous avons continué nos rapports sexuels en les basant sur des jeux où je faisais intervenir un complice virtuel, je sentais qu’elle aimait beaucoup cela. Ainsi un jour, je lui proposai de rencontrer un autre homme avec moi, mais qu’il n’y avait rien d’obligatoire, juste un essai, une rencontre afin de ressentir si elle pouvait réaliser cette aventure. Elle accepta enfin juste de discuter avec lui, à la rigueur sur internet. C’était une avancée colossale pour moi. Ainsi je me mis en quête de trouver le complice idéal, un homme sérieux, bcbg, classe, respectueux et de bonne éducation.


C’est ainsi que j’ai mis quelques annonces sur des sites de rencontres coquines, les réponses ne tardèrent pas et une particulièrement m’attira. C’était un médecin pratiquant à côté d’Auxerre, il avait cinquante-sept ans et recherchait une femme ou un couple pour s’amuser et passer de bons moments dans la discrétion, en effet cet homme était marié. J’avais aussi une certaine appréhension et pour moi le fait qu’il soit plus âgé que nous deux était plutôt rassurant. Nous avons dialogué sur internet et par Skype. Les premiers contacts, courtois, nous ont amenés à continuer et très naturellement, je lui ai permis aussi de dialoguer avec Lan. Ce qui m’a étonné, c’est que leurs échanges sont restés très, très softs. Ils n’ont jamais, ni l’un ni l’autre, abordé le sujet principal pour lequel ils dialoguaient ensemble. Pourtant, seul avec moi sur Skype, Jacques abordait le sujet et montrait qu’il avait bien envie de s’occuper de Lan.


Nous rencontrâmes Jacques à Paris dans un café de Saint-Germain. Lan s’était apprêtée pour l’occasion malgré qu’elle réfutât donner de l’importance à cette rencontre. Elle s’était vêtue d’une robe colorée sans manche et d’escarpins, elle était très jolie et faisait même ce jour-là détourner les yeux de certains hommes. Nous arrivâmes au lieu du rendez-vous, je reconnus Jacques et nous nous installâmes à une table du café. Je fis les présentations, Lan était déjà rouge comme une pivoine. Nous avions convenu que nous n’aborderions pas le sujet de notre rencontre ce jour-là, nous devions juste discuter et apprendre à se connaître, pour une meilleure entrée en matière.


Jacques, le docteur, était très courtois et semblait intelligent. Il n’était pas très beau mais laissait paraître une certaine classe que pouvait – je le pensais – apprécier Lan. Physiquement, il était châtain sans trop de cheveux blanc, pas très grand, il portait des lunettes et était plutôt bien portant comme le montrait un ventre prédominant.


Nous discutâmes pendant une heure environ de tout et de rien, Jacques était plutôt à l’aise et monopolisait la conversation. Je m’aperçus très rapidement que Lan lui plaisait beaucoup et qu’il tentait gentiment de la rassurer sur l’homme qu’il était. C’était une bonne stratégie, elle finit par sourire à certain de ses propos, je le trouvais aussi charmant et sympathique. Nous nous quittâmes en nous promettant de nous revoir, je l’espérais aussi vivement car je pensais qu’il pouvait être vraiment l’homme de la situation.


Le soir même à la maison, nous reparlâmes de cette rencontre. J’étais véritablement en faveur de Jacques, qui m’avait laissé une très bonne impression. Lan, quant à elle, était assez réservée, elle trouvait Jacques pas très beau, un peu vieux et pensait qu’elle serait gênée de la situation. Je mis alors dans la balance l’éducation de Jacques, sa classe et sa prestance, et je poussai vivement en faveur de la candidature de Jacques. Il ne tarda pas d’ailleurs à se manifester par email afin de savoir comment Lan l’avait perçu. Je le réconfortai tout de suite en lui répondant que je tentais de forcer la décision de Lan en sa faveur, qu’il était pour moi un parfait complice. D’ailleurs nos conversations sur Skype avaient bien confirmé mon avis sur lui et qu’il serait le complice idéal pour jouer avec Lan.


Il nous proposa de le visiter à Auxerre un week-end. Il travaillait le samedi après-midi et son épouse devait partir à la fin du mois de novembre chez une amie passer le week-end à Lyon. Il pouvait ainsi même nous héberger si nous le souhaitions. Je fis passer l’invitation à Lan qui, encore une fois, tergiversa en disant que ce n’était pas raisonnable, qu’allait-il se passer ? Elle pensait qu’elle serait gênée et très intimidée. Je pris sur moi et lui indiquai que c’était l’occasion rêvée, Jacques était quelqu’un de très bien et nous ne pouvions pas mieux tomber. De toute manière, Jacques avait indiqué dans son invitation que rien n’était obligatoire et que nous pouvions venir pour une simple visite amicale. Cela finit de rassurer Lan qui accepta son invitation, toutefois nous avions prévu de repartir le samedi soir après dîner.


Nous partîmes le fameux samedi en début d’après-midi pour rejoindre Auxerre où Jacques nous attendait chez lui, dans sa maison qui était aussi son lieu de travail. Lorsque nous arrivâmes, nous découvrîmes une très belle demeure bourgeoise du début du XXe siècle, son cabinet médical se trouvait dans une aile restaurée de la bâtisse. Son assistante médicale était encore là, elle nous fit patienter quelques instants, avant que notre docteur vienne nous accueillir dans la salle d’attente, il nous fit alors entrer dans son cabinet. Il embrassa Lan par deux bises de bienvenue et me serra fortement la main. Il nous indiqua qu’il avait encore quelques patients, qu’il allait donc nous faire conduire par son assistante dans une chambre d’amis avec une salle de bain attenante, que nous pouvions si nous le souhaitions nous restaurer et faire ce qui nous plaisait.


J’indiquai quand même à Jacques que Lan avait été prise de migraine en venant et que cela se répétait souvent ces temps-ci. Lan indiqua qu’il n’y avait rien de grave, mais Jacques insista pour ausculter Lan et de prendre son pouls et sa tension.



Tout de suite, il vint à côté d’elle en lui prenant la main pour la faire se lever et l’amener vers la table d’auscultation. Ce jour-là, Lan n’avait pas voulu s’habiller de manière trop provocante, malgré mon insistance. Elle avait un chemisier classique avec une jupe étroite, le tout complété par des bas Dim-up et des dessous en dentelle noire assez jolis. Avant de s’allonger, il lui demanda juste de déboutonner son chemisier afin qu’il puisse passer le stéthoscope. Lan ne disait rien, elle s’exécutait mais je la sentais très intimidée, elle finit par s’allonger sur la table d’auscultation. De manière très professionnelle, Jacques vint alors lui faire les manipulations usuelles en pareil cas pour un médecin, tout en lui écartant les deux pans de son chemisier pour une vérification de routine concernant le foie. Je sentais qu’il prenait son temps à tâter la jolie et douce peau de Lan et à découvrir sa poitrine, encore cachée par un soutien-gorge en dentelle noire de très belle qualité.


Il demanda à Lan de s’étendre, de ne pas être nerveuse comme cela. Elle avait un peu de tension, il fut d’ailleurs obligé de s’y prendre à deux fois pour lui lire la tension. Il finit son examen avec son stéthoscope en écoutant son cœur battre. Il avait passé le capteur sous le soutien-gorge. Je sentais Lan un peu gênée mais je m’approchai d’elle en lui prenant la main pendant que le médecin l’auscultait. Une fois terminé avec son stéthoscope, il continua à lui masser les épaules et à la frictionner. Lan n’osait rien dire et se laissait faire. Il la complimenta aussi sur sa peau, lui dit qu’elle était magnifique et indiqua que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi belle femme que Lan.


Tout en continuant de la complimenter – elle était toujours allongée –, il commença gentiment à passer ses mains sur le soutien-gorge. Lan ne bronchait pas, comme tétanisée elle se laissait faire. Jacques lui parlait gentiment, il lui indiquait qu’elle avait une peau merveilleusement douce, sa peau satinée d’asiatique tranchait d’ailleurs avec la peau des mains de Jacques où les premières taches de vieillesse apparaissaient. Tout en lui parlant calmement, ses mains ne restaient pas inactives, il avait réussi à bien écarter les deux pans du chemiser, à baisser les bretelles du soutien-gorge, et il commençait à lui masser doucement le haut de ses seins directement à même la peau. Elle le regardait et l’écoutait pendant que je lui tenais toujours une main comme pour la rassurer, mais elle ne faisait rien pour stopper la progression des mains de Jacques qui s’enhardissaient.


Maintenant, il malaxait les seins de Lan – le soutien-gorge était arrivé sur son ventre – il les pétrissait gentiment en s’arrêtant sur le bout. Je la sentis alors avoir son premier frisson. Jacques la complimenta encore sur sa façon de s’être habillée pour venir le voir, qu’il la trouvait magnifique. Tout d’un coup, Lan me regarda avec insistance comme pour me demander « que dois-je faire ? » Je compris son regard, je posai alors directement mes lèvres sur les siennes, c’était ma manière d’acquiescer ce qui se passait. Jacques n’était pas dupe, une de ses mains avait quitté les seins de Lan pour aller se poser sur le haut d’un genou. Je finis alors d’embrasser Lan en lui disant gentiment :



Jacques en profita pour remonter doucement la jupe de Lan, jusqu’à faire apparaître le haut de ses bas auto-fixant. Je continuais à tenir une main de Lan pendant que de l’autre, je lui caressais doucement le visage. Son souffle s’était accéléré, elle fermait aussi les yeux. Je sentais que Jacques était comblé de pouvoir caresser Lan et de la découvrir petit à petit. Il la félicitait toujours sur sa beauté et disait qu’il avait de la chance, que beaucoup d’hommes auraient souhaité être à sa place, que c’était un honneur pour lui de pouvoir découvrir Lan et ses charmes. Ses mains d’ailleurs s’enhardissaient, je sentis que l’apparition de son string le décontenançait, il faut dire que la jupe retroussée, les bas auto-fixant et le string noir en dentelle était d’un très bel effet érotique.


Tout de suite, sa main vint chercher le string en dentelle qui ne résista pas longtemps. La main entière se glissa sous l’étoffe et les doigts se mirent à explorer le nid douillet sans vergogne. Lan émit son premier petit cri alors que Jacques s’exclamait :



Il quitta alors sa position, sur le côté de Lan, pour venir se mettre plus près de ses jambes et pour la libérer complètement de son string en lui remontant également sa jupe sur le ventre. Il commença alors à lui écarter les jambes et lui fit poser ses pieds sur deux petits étriers qui se situaient sur les côtés de la table d’auscultation. Il se positionna entre ses jambes et vint lui embrasser le ventre et l’intérieur des cuisses. Ce spectacle ne me laissait pas indifférent, je bandais comme jamais.


Lan fermait les yeux, elle se délectait des caresses de Jacques si près de son entrejambe. Sans pouvoir résister longtemps, sa bouche et sa langue vinrent découvrir la saveur de sa petite chatte fraîchement taillée pour l’occasion, elle était très agréable de toute manière car elle avait très peu de poils, des lèvres à son anus il n’y avait aucune trace de pilosité.


Lan fut alors comme électrisée, Jacques avait pris position et lui prodiguait un cunnilingus comme s’il n’avait pas mangé de petite chatte depuis des lustres (ce qui d’ailleurs était peut-être le cas). Je vins alors embrasser Lan pour éteindre ses gémissements, elle m’embrassa comme jamais, on aurait dit une affamée. La jouissance ne tarda d’ailleurs pas, Jacques ne lui laissait aucun répit, et j’entendais les clapotements de sa langue dans la chatte de mon épouse. Lan n’en pouvait plus, une longue convulsion accompagna sa jouissance. C’est alors que le téléphone retentit pour rappeler au docteur qu’il n’avait pas terminé sa journée.


Jacques quitta alors brusquement le champ de bataille et partit à son bureau pour répondre à l’appel téléphonique. Lan se remettait, elle aussi, d’un orgasme fabuleux (selon ses dires après coup). Jacques nous indiqua alors qu’il devait recevoir un nouveau patient, qu’il n’en avait plus pour longtemps et que nous devions aller avec sa secrétaire qui nous accompagnerait jusqu’à la chambre d’hôte. Il nous indiqua également qu’il nous avait préparé un festin pour ce soir que nous allions passer une super soirée. Malicieusement, il demanda à Lan de prendre ses aises et de profiter de sa demeure.


La secrétaire nous fît visiter la maison de Jacques qui était une admirable demeure bourgeoise, avec pas moins de huit chambres. Elle nous laissa alors dans la nôtre qui était très bien décorée. Je pense que ce genre d’endroit allait permettre à Lan de se sentir bien et à l’aise. Elle aimait la propreté en général, les choses soignées et bien rangées. De ce côté-là, il n’y avait rien à redire chez Jacques. Elle prit tout de suite une douche dans la salle d’eau attenante à notre chambre. Je la suivis et nous nous retrouvâmes dans le lit de notre chambre. Nous nous embrassâmes, sans parler de ce qui venait de se passer. Après cette forte émotion, Lan ne tarda pas à s’endormir pour une sieste des plus récupératrice. Allongé sur le lit, je repensais alors à ce qui venait de se passer, me remémorer cet épisode m’excita de nouveau et j’avais vraiment hâte d’arriver à la soirée qui nous attendait.


Lan se réveilla vers 18 h 30. Je lui indiquai qu’elle ne devait pas tarder de s’apprêter et que j’étais prêt à lui préparer ses affaires. À son réveil, elle n’avait plus tout à fait la même humeur et me dit qu’elle resterait juste manger, qu’ensuite nous devrions repartir et que nous étions un peu fou d’avoir accepté une telle invitation. Je crois que la honte l’avait un peu envahie, le naturel de son éducation refaisant surface, je tentai alors de la rassurer, d’indiquer qu’on était là ensemble pour s’amuser et prendre du plaisir, aussi que rien n’était obligatoire, que Jacques était un gentleman qu’il n’abuserait pas de la situation.


Je réussis à la calmer petit à petit, et l’invitai à prendre une douche qui lui ferait le plus grand bien. Je sortis alors ses affaires avec une nouvelle série de dessous, comprenant un ensemble magnifique en dentelle noire, soutien-gorge plus string et un porte-jarretelles accompagné de bas nylon noir classique du plus bel effet. Je lui préparai aussi une robe Kenzo sans manche qui se fermait à l’aide d’une fermeture éclair discrète dans le dos, et pour finir des escarpins avec des talons qui lui permettait de gagner bien sept à huit centimètres.


Elle ne dit rien et s’habilla alors que j’entendis Jacques rentrer de son cabinet médical, sa journée étant terminée. Je descendis alors au salon où il s’apprêtait à allumer un feu dans la cheminée, ce qui était de circonstance. Il m’indiqua tout de suite qu’il était très heureux de notre venue, qu’il avait vraiment apprécié cette entrée en matière. Il m’avoua qu’il trouvait Lan adorable et qu’il espérait pouvoir encore s’amuser avec elle. Il me remercia encore de lui avoir fait confiance et me demanda comment Lan avait réagi après coup. Je lui expliquai qu’elle semblait un peu regretter et qu’après sa sieste, elle était dans un autre état d’esprit. Il me dit de ne pas m’inquiéter qu’il allait de nouveau la mettre gentiment en confiance et que nous allions passer une superbe soirée. Je n’étais pas aussi certain que lui qui semblait sûr de lui.


À 19 h 30, je partis la chercher dans la chambre. Elle me répéta encore qu’elle partirait juste après le dîner, que l’expérience était terminée et que cela ne lui plaisait plus. Elle trouvait Jacques sympathique mais un peu malsain et pervers (ce sont les mots qu’elle utilisa), je tentai alors de la rassurer juste avant de le rejoindre au salon.

Jacques nous attendait avec une coupe de champagne dans chaque main qu’il nous offrit en complimentant Lan sur sa tenue, elle acquiesça avec un sourire coincé. Jacques ouvrit la conversation en parlant de ses futures vacances et nous avançâmes gentiment dans la soirée sans une allusion à ce qui s’était passé dans l’après-midi au cabinet médical. Vint alors l’heure de passer à table, Jacques alla chercher les plats dans sa cuisine qu’il avait commandés à un traiteur de la région. Le feu crépitait, les volets et rideaux étaient fermés, une ambiance feutrée régnait dans ce salon bourgeois. En nous déplaçant vers la table, Lan me dit qu’elle ne se sentait pas très bien et qu’elle souhaitait partir juste après le dîner. Je commençai alors à douter, et que nous allions devoir effectivement partir une fois le dessert mangé.


Le repas fut divin. Jacques avait fait de son mieux et nous nous régalâmes tout le long du repas, entrecoupé de discussions qui n’abordèrent jamais le sujet pour lequel nous étions chez Jacques. Lan souriait quand même à certains propos de Jacques qui nous racontait des anecdotes médicales. À la fin du repas, Jacques eut alors l’idée de faire une photo de nous trois devant le gâteau pour garder un souvenir. Je trouvais l’idée très bonne et je partis chercher notre appareil dans la chambre qui se situait à l’autre bout de la demeure. Lan resta un moment seule alors que Jacques allait chercher le dessert. Je mis un certain temps à trouver l’appareil photo, je redescendis disons une dizaine de minutes plus tard par l’escalier qui aboutissait directement dans la salle à manger.


En descendant les deux premières marches, quelle ne fut pas ma surprise… !



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