n° 17009 | Fiche technique | 27031 caractères | 27031Temps de lecture estimé : 15 mn | 11/09/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Après une soirée coquine au Lion d'Or, Chloé et Sébastien suivent deux couples déjà libertins, eux. Les filles s'intéressent naturellement à Sébastien, et les garçons à Chloé. | ||||
Critères: fhh jeunes couple danser douche pénétratio sandwich jeu init | ||||
Auteur : OlivierK Envoi mini-message |
Il sourit. Il vient de frapper juste. Il faut dire qu’elles ont insisté, mes deux collègues : Sébastien est mignon, il aura du succès ; et moi aussi, je plairai beaucoup, avec mes airs de sainte-nitouche qui a envie, comme tout le monde, de voir si ailleurs l’herbe ne serait pas plus verte. Pas tout à fait faux, bien sûr, mais je suis sage pour ne pas faire trop de peine à Sébastien, l’amour de ma vie.
Il me dit de mettre ma courte jupe noire et mon corsage rouge. Pour lui, pantalon de toile gris clair et polo de lin blanc cassé. Il cite Victor Hugo, probité candide et lin blanc et précise que c’est pour que nous formions un beau couple et que nous soyons fiers l’un de l’autre. Nous arrivons au Lion d’Or peu après 22 heures. Nous déposons deux billets de 20 euros dans une assiette creuse et, devant quelques bouteilles de champagne et de scotch, Anaïs nous présente à l’assistance :
Alex et Anthony viennent me faire la bise, amicalement comme d’habitude. Les deux filles font la bise à Sébastien, amicalement elles aussi. Anthony me propose une flûte de champagne. Puis une seconde. Les autres couples nous saluent de loin. Bientôt nous prenons place sur des chaises, complétant ainsi l’arc de cercle formé par une dizaine de couples de nos âges, tous de vingt à vingt-cinq ans. Que de vrais couples, m’avait affirmé Clara, « car on ne fait pas appel aux filles de Dodo la saumure, nous ». Encore heureux, avais-je pensé. Mais j’en avais déduit que les jeux en question étaient sans doute moins innocents que ce qu’elle m’avait dit tout d’abord. Je n’avais pas jugé utile d’en informer Sébastien.
Un garçon grand, brun, l’air farouche, se campe devant nous et, en affectant un fort accent allemand :
Des bras se lèvent. Le garçon désigne une jeune femme :
Élodie est une fille brune aux yeux verts et aux cheveux en chignon. En jupe bleue et chemisier beige boutonné jusqu’au col, avec ses chaussures plates et ses socquettes blanches, elle a tout d’une écolière bien sage. Elle prend Jérôme par la main et le fait asseoir sur la chaise qui se trouve en face de nous. Il est vêtu d’un jean et d’une chemisette de toile. De sa main droite, Élodie caresse les cheveux du garçon, puis ses joues noircies par une barbe de trois ou quatre jours. Jérôme reste impassible. La fille se campe face à lui, caresse ses propres joues et descend ses mains sur ses seins puis sur ses cuisses. Elle déboutonne, lentement, le bouton du haut de son chemisier, puis le deuxième.
Elle feint de s’attaquer au troisième bouton mais se ravise. Elle relève sa jupe, dévoilant ainsi ses cuisses ainsi qu’une petite culotte rouge vif, et vient s’asseoir à califourchon sur les genoux de Jérôme, déboutonne sa chemisette, l’écarte et lui caresse les tétons. Puis elle y porte ses lèvres. Il ne réagit pas. Elle défait alors lentement tous les boutons de son chemisier, l’enlève, ôte aussi son soutien-gorge et colle sa poitrine sur celle de Jérôme. Puis se relève.
Jérôme regagne sa place, une belle bosse sous son jean, en effet. Élodie reste devant nous. Ses seins sont deux petites pommes ornées chacune d’une fraise des bois. Elle a manifestement préparé sa question car elle n’hésite pas :
Presque tous les bras se lèvent.
Il le fait. Élodie :
Elle rit et se tourne vers moi :
Je ne me reconnais pas. Je réponds à une question follement indiscrète devant des gens qui me sont pour la plupart inconnus. Et je suis déçue parce qu’Élodie cesse soudain de s’intéresser à moi. En effet, elle pose une nouvelle question à la cantonade :
Clara lève le bras.
Élodie reprend sa place, Clara la remplace en face de nous.
Quelques bras se lèvent. Clara désigne Anaïs.
Anaïs demande à Anthony de lui donner sa chemisette, ce qu’il fait aussitôt. Elle enlève corsage et soutien-gorge et les lui remet. C’est donc la poitrine nue qu’elle se dirige devant notre arc de cercle en brandissant la chemisette de son compagnon.
Au bout de quelques secondes, trois bras se lèvent.
Silence.
Il lève le bras.
Après tout, je les montre bien à la plage, mes seins. Ils sont d’ailleurs plus beaux que ceux de cette chipie d’Anaïs. Je me lève, pose mon corsage sur ma chaise, enlève mon joli soutien-gorge et rejoins Anaïs, qui pince doucement mon téton gauche.
Elle change de téton.
Rires. Sébastien ne m’avait jamais dit ça. Anaïs pince mon sein droit avec son pouce et son index gauche. Mais cette fois elle pince fort et je ne peux pas m’empêcher de grimacer. Elle me murmure que je suis trop douillette et s’adresse à Sébastien :
Et elle se dirige vers un lecteur de CD qui se trouve dans un coin de la salle. La voix de Brassens se fait entendre au bout de quelques secondes :
Margoton, la jeune bergère,
Trouvant dans l’herbe un petit chat
Qui venait de perdre sa mère,
L’adopta…
Elle entrouvre sa collerette
Et le couche contre son sein.
C’était tout c’qu’elle avait, pauvrette,
Comm’coussin…
Le chat, la prenant pour sa mère,
Se mit à téter tout de go…
Elle revient. Sébastien, sans autre forme de procès, pose ses lèvres sur son téton droit, longuement, puis sur le gauche, longuement aussi. Je n’aime pas du tout ça. Mais lui :
Tous les garçons lèvent le bras, bien sûr !
Et il se remet à sucer les tétons d’Anaïs. Qui vais-je choisir ? Je ne connais même pas les prénoms de la majorité de ces garçons. Je me dirige devant l’un d’eux qui a un joli sourire. Il se lève, pose sa bouche sur la pointe de mon sein droit, puis sur celle de mon sein gauche. Je sens mes tétons se gonfler. Je caresse ses cheveux blonds. Il recommence avec mon sein droit, change encore, tète longuement… Puis il me prend dans ses bras, pose ses lèvres sur les miennes que j’entrouvre aussitôt. Nos langues se rencontrent. C’est la première fois que j’embrasse un parfait inconnu !
Sébastien s’est éloigné d’Anaïs. Il nous regarde. Je suppose qu’il est jaloux, mais je n’en suis pas certaine.
J’hésite. Moi aussi je connais tonton Georges. La fessée ? Je verrais bien Sébastien fesser Anaïs en public… Mais non, je suis idiote, le troisième coup ne serait qu’une caresse. Alors vite, une question…
Anthony, le copain d’Anaïs, lève le bras.
Elle a en effet levé le bras elle aussi, redressant ainsi son sein gauche, ce qui le rend plus joli. Ils sont en effet un peu flasques, ses seins, contrairement aux miens, plus petits bien sûr mais fermes, eux.
Elle se dirige vers le lecteur de CD. Très vite, des blues se font entendre. Il s’agit des Blues pour flirter que nous avons écoutés un soir chez elle, mais sans flirter, car j’avais affirmé que Sébastien et moi nous nous aimions pour de bon et étions parfaitement fidèles.
Garçons et filles se dénudent la poitrine. Les hommes paraissent plus séduits par les seins non bronzés. Ils doivent en déduire qu’ils sont plus rarement exposés aux regards de chacun. Anaïs éteint les lumières. Des bras me saisissent, une poitrine de garçon se colle contre la mienne, des poils chatouillent mes tétons. Ce n’est pas Sébastien, qui s’est emparé de Clara quand on y voyait encore. Alors qui est-ce ? Nous dansons pendant quelques secondes, bientôt il colle sa joue contre la mienne. Il est rasé de près. Au bout de quelques minutes, ses lèvres cherchent les miennes. J’esquive son baiser, bien qu’il ne soit pas désagréable de sentir sa poitrine nue contre mes seins nus. Je le laisse d’ailleurs palper mes fesses tout à loisir…
J’attends dans le noir. Le garçon qui me prend dans ses bras n’est pas plus grand que moi. Il colle de plus en plus fortement son pubis contre le mien.
Je ne réponds pas. Il insiste :
Il vient en effet de les tripoter.
Je pense qu’il veut vérifier, car sa main tâtonne sous ma jupe. Je la repousse. Il n’insiste pas. J’écarte mon bas-ventre du sien. Ce garçon ne me plaît pas. Heureusement, il faut très vite changer de partenaire. Celui qui se présente caresse gentiment mes seins. Puis ses lèvres cherchent les miennes, que j’entrouvre, parce que je pense que c’est celui qui m’a embrassée tout à l’heure après m’avoir sucé les tétons. Sa main se glisse sous ma jupe. Il faudrait changer de partenaire mais il s’y refuse. Alors d’autres mains nous séparent, et une voix masculine dit qu’il ne faut pas tricher.
Un nouveau corps vient se coller contre moi, puis d’autres… Certains me demandent, à voix basse, si je suis Chloé, ou « la nouvelle ». Je ne réponds qu’à ceux qui ont retenu mon prénom. Ils affirment alors qu’ils bandent pour moi et me proposent de vérifier. Je tâte ou non, selon mon bon plaisir. Des braguettes sont d’ailleurs ouvertes. Un garçon rend ma main poisseuse, que j’essuie sur son pantalon de toile en lui tripotant les fesses. Un autre me dit que des chambres sont disponibles à l’étage et qu’on peut s’éclipser en douce. Je ne lui réponds pas.
Le suivant me reconnaît au parfum qu’il a eu soin de me conseiller de m’appliquer derrière l’oreille gauche.
Et il m’embrasse très tendrement. Je réfléchis. Ce parfum, ses interventions dès le début de la soirée, son « tu l’auras voulu » avant qu’on me demande de dénuder ma poitrine, les CD tout prêts… Sébastien savait ce qui allait se passer. Anaïs et lui ont tout prévu ! Ils couchent peut-être ensemble, d’ailleurs, et depuis longtemps si ça se trouve. Eh bien oui, je vais suivre le prochain garçon qui voudra m’entraîner à l’étage. Mais Anaïs rétablit la lumière :
Je remets mon joli soutien-gorge et mon chemisier. Sébastien me rejoint :
Il veut la retrouver. Bon. Nous suivons la voiture d’Alex. Anthony et Anaïs sont les premiers. Sébastien garde une main sur le volant mais glisse l’autre sous ma jupe.
J’ai craché cette réponse, par provocation. N’importe aurait fait l’affaire, tout à l’heure, bien sûr. Mais pas maintenant. Il se contente de rire. Anthony et Anaïs nous attendent devant l’ascenseur.
Dans leur salon :
Champagne, encore. Alex et Clara nous rejoignent. Tout de suite, Clara et Anthony s’embrassent.
Je regarde Sébastien. Il me sourit.
Après un passage par les toilettes, nous voilà très vite nus tous les six dans la salle de bain. La baignoire se remplit, Clara est sous la douche avec Anthony.
J’y vais. Anthony dirige le jet d’eau sur mes seins puis sur ma chatte.
Il bande comme un taureau. À genoux, Clara le suce.
Elle se relève.
Mais il n’attend pas et prend mes tétons entre ses lèvres. Puis nous sortons de la douche. Anaïs, Alex et Sébastien barbotent dans la baignoire.
Elle rit, puis :
La salle de bain est remplie de buée.
Les deux filles et Sébastien se lèvent. Nous nous essuyons.
Il bande très fort. Elles le prennent par la main et l’entraînent je ne sais où. Anthony rit :
Ils sont jeunes et beaux. Sébastien va faire l’amour avec leurs copines, il est normal que je le fasse avec eux ; je ne vais faire ma mijaurée, d’autant plus que j’en meurs d’envie…
Me voilà couchée sur le dos, entre eux deux. Ils m’embrassent, caressent mes seins et ma chatte. Se cèdent la place pour tour à tour la lécher et sucer mon clito. Je suçote leur gland, pas trop longtemps car ils me disent qu’ils ne veulent pas jouir de cette façon.
J’obéis. Ils quittent le lit tous les deux. L’un d’entre eux revient. Il est tout de suite en moi, sa bouche sur la mienne et ses mains sur mes seins. Il jouit très vite. Pas moi. Il s’en va. L’autre le remplace. Ses va-et-vient sont lents et vigoureux, il vient très profondément en moi, me quitte presque et rentre à nouveau. Mon Dieu, que c’est bon d’être baisée ainsi !
J’ouvre les yeux. En appui sur ses coudes, Anthony me regarde.
Il se déverse en moi pendant que je savoure mon bonheur. Nous reprenons notre souffle. Puis je vais dans la salle de bain ; le jet de la douche chasse le sperme mêlé à ma cyprine. Je suis tentée de pousser la porte de la chambre d’amis mais je ne le fais pas, je laisse Sébastien tranquille : ce soir il n’est pas à moi et moi pas à lui, mais à ces deux garçons qui m’attendent. Je les rejoins. Anthony va dans la salle de bain.
Anthony revient ; à son tour, c’est Alex qui va dans la salle de bain.
Son sexe est tout rabougri, propre comme un sou neuf. Alex revient. Il suffit que je les suce un peu pour que ces deux garçons bandent de nouveau. Ils me lèchent la chatte, taquinent mon clito.
Couché sur le dos, le sexe vertical, Alex m’attend. Je m’empale doucement. Cette fois il ne va pas jouir trop vite, je suppose. Quand il est bien fiché en moi, je m’incline ; ma bouche tombe sur la sienne, sa langue y pénètre. Mon troisième orifice est gentiment écarté, un doigt vient en assouplir le muscle, de la salive le lubrifier…
Surtout, ne pas se crisper… Je ne suis pas vierge de ce côté-là, Sébastien use aussi de cette porte étroite ; mais deux bites si près l’une de l’autre, voilà qui est tout à fait nouveau !
Après quelques mouvements de ma part, en harmonie avec les va-et-vient d’Anthony, les giclées simultanées en moi de mes deux amants me procurent une jouissance qui me fait crier que je les aime tous les deux.
Je ne sais plus si je l’aime encore. Je m’endors, épuisée, la main de l’un sur un sein, celle de l’autre sur ma chatte.
Un baiser me réveille. Sébastien me sourit :
Il est deux heures du matin. Nous nous rhabillons et nous rentrons chez nous. Sébastien me rejoint sous la douche. Il ne bande pas. Ces filles l’auront complètement vidé ! Nous nous couchons. Il ne me touche pas.
Quand je m’éveille, je vois qu’il me regarde.
Il avance une main timide vers mes seins. Je ne le repousse pas. Puis il y applique sa bouche. Un doigt frôle les lèvres de ma chatte. Quelques minutes plus tard, sa langue remplace le doigt.
Ça marche, en effet. Je n’aurais pas dû dire à ces deux garçons que je les aimais ; mais dans le feu de l’action on dit n’importe quoi. C’est Sébastien que j’aime.