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n° 17012Fiche technique27454 caractères27454
Temps de lecture estimé : 16 mn
12/09/15
Résumé:  Ma femme aime se faire bronzer dans le jardin ou sur la terrasse, ce qui est son strict droit. Ce samedi matin, en bikini, elle s'installe sur la terrasse, à l'abri des regards.
Critères:  fh fellation cunnilingu anulingus fsodo -couple
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Bronzette & brochettes

Juste un petit texte estival sans prétention, pour le fun.



Ma femme aime se faire bronzer dans le jardin ou sur la terrasse, ce qui est son strict droit. Ce samedi matin, en bikini, elle s’installe sur la terrasse, à l’abri des regards. Karine vient de disposer son transat tandis que j’installe le parasol. Puis, la bouteille d’eau à portée de main, elle s’allonge avec un livre, la tête à l’ombre :



Je me penche sur elle, l’embrassant entre les seins. C’est un peu huileux aussi à cet endroit !



Je m’éloigne un peu, elle m’interpelle :



Je soupire, prêt à rentrer dans la maison :



Et je rentre dans la fraîcheur de la maison. Je me demande bien pourquoi ma femme bronze en deux-pièces, je sais très bien que dans un quart d’heure elle aura ôté le haut pour révéler ses mignons petits seins, et qu’un quart d’heure plus tard elle sera totalement nue, sauf une paire de lunettes de soleil sur le bout du nez !


Il me suffit d’attendre pour avoir droit à un beau spectacle. Ce que je vais me faire un plaisir de faire. Pour passer le temps, je m’occupe de la salade de tomates, les découpant à ma façon, très finement (ce qui exalte mieux les saveurs), puis faisant la vinaigrette à l’ancienne, à la main (ce qui est meilleur que toutes ces saloperies toutes faites). J’ajoute bien sûr un peu d’échalotes pour faire bon poids, ce qu’il faut d’herbes aromatiques. Quant aux brochettes, je m’en occupe ensuite…


L’heure tourne. Je vais faire un petit tour sur la terrasse pour vérifier si ma chère femme a les seins à l’air. J’aurais parié, j’aurais gagné ! En effet, livre en main, elle offre sa poitrine au soleil et à mes yeux. J’installe le barbecue dans un coin, ayant fait attention au sens du vent. Soudain, j’entends derrière moi :



Et je pars dans la maison ; il n’est pas encore temps de lancer le feu. Ma chère femme n’a pas perdu son acidité, elle est toujours la grande spécialiste des petites remarques acerbes, qu’elle lance souvent, comme ça, par pur plaisir, sans réaliser que ça peut vexer son entourage. L’année dernière, à sa grande stupéfaction, Marine – une de ses meilleures copines – a explosé sous une remarque de trop :



Et elle était partie en claquant la porte, sous les yeux éberlués de ma femme. Plus tard, à tête reposée, je lui ai expliqué calmement qu’il vaut mieux éviter les allusions répétées aux baleines, aux éléphants, aux cachalots envers une copine de longue date qui fait tout son possible pour perdre un peu de poids et qui sort d’un gros problème sentimental.


Depuis, Karine s’est un peu modérée.


Après avoir lu quelques pages d’un livre, je décide que c’est l’heure de mettre en route le barbecue. J’embarque au passage la bouteille d’alcool à brûler, ça me facilitera la tâche. Quand j’arrive sur la terrasse, Karine est évidemment toute nue. Je me fais un plaisir de bien la zieuter quand je passe près d’elle avec mon sac de charbon. Elle ne bouge pas d’un cil, mais je suis prêt à parier qu’elle n’est pas mécontente que je joue les voyeurs.


Lui tournant le dos, je m’occupe d’allumer le tout, aidé par quelques branchettes glanées ci et là. Je pense que là, c’est bon, et qu’en revenant dans quelques minutes ce sera idéal.



Je m’approche d’elle :



Prestement, je m’accroupis pour déposer un baiser appuyé sur son pubis, juste au-dessus de sa petite touffe. Elle s’exclame :



Et je repars dans la maison ; je ne pense pas qu’elle ait pu voir que je commençais à bander. Réservons ça pour un peu plus tard ! Pour l’instant, j’ai des brochettes à préparer, ainsi que quelques saucisses. C’est vite fait. Muni de mon plat, je retourne sur la terrasse ; ça commence à braiser. Plus que quelques minutes avant de poser tout ça sur la grille.



Abandonnant le barbecue, je passe derrière elle :



Et impudiquement, je pose mon sexe sur ses lèvres. Elle ne frémit même pas :



Ne surtout pas se vexer avec elle !



Ce qui ne l’empêche pas d’ouvrir la bouche et d’accueillir ma fière queue entre ses lèvres, puis de commencer une délicieuse sucette.


J’aurais plutôt cru qu’elle m’aurait éjecté, mais non ! Je constate avec un immense plaisir que je suis bien au chaud dans sa bouche et qu’elle cajole de la langue mon gland frémissant ! Je me laisse faire, c’est très bon ! C’est encore meilleur quand je sens des doigts câliner mes bourses, jouer avec mes boules. Oh que oui, c’est une bonne surprise ! Il va falloir que je sois un peu plus directif, les prochaines fois, et lui présenter sans façon ma bite à sucer lors d’autres occasions…


Je ferme les yeux ; le soleil chauffe ma peau, ma femme me chauffe, tout va pour le mieux. Soudain, un changement de brise apporte à mes narines une certaine odeur. Encore quelques instants, juste quelques instants. Puis à regret, je me décide :



Je pose les brochettes et les saucisses sur le barbecue :



Je m’approche d’elle, puis sans chichis j’écarte ses jambes pour venir nicher mes lèvres sur sa fente déjà humide. Elle se laisse faire, totalement, étant grande ouverte. Je ne me fais pas prier de lui offrir à son tour un petit plaisir. La langue s’aventure délicatement dans ses plis, taquinant divers endroits sensibles, dont un en particulier.

Plus haut, Karine ronronne, telle une chatte, ce qu’elle est d’ailleurs doublement… Elle s’abandonne à mes insidieuses caresses, sans retenue, sans honte, gémissant sous ma langue…


Soudain elle agrippe ma tête et la plaque sur son sexe affamé. Je comprends illico le message et je m’emploie à assouvir sa faim ! Il ne faut pas bien longtemps pour qu’elle jouisse dans une débauche de cris et de cyprine que je me fais un plaisir de déguster comme il se doit !


J’adore entendre ma femme jouir, ses cris désordonnés, voir et ressentir ses tremblements, ses sursauts !


Petit à petit, elle s’apaise tandis que, délicatement, je cueille ses dernières saveurs, faisant attention de te pas trop aller titiller plus haut, son clitoris étant devenu ultra-sensible.



Ah, on dirait que ma femme souhaite remettre le couvert ! Je retourne les brochettes et les saucisses. Puis me tournant vers elle, je dis :



Puis se relevant à moitié, un air très lubrique sur le visage, elle demande innocemment :



Je m’approche doucement d’elle :



Elle me dévisage, les yeux plissés. Elle cherche quelque chose de percutant à répondre, puis elle y renonce, se contentant d’un simple « Pervers ! » tandis qu’elle se retourne sur le ventre, offrant à ma vue ses belles fesses dorées. Bien sûr, je ne me fais pas prier pour aller embrasser son mignon cul présenté à mes lèvres avides.


J’adore m’occuper de ses deux belles rotondités, de ses deux hémisphères si jouissifs. C’est si charnu, lisse et rond, sans parler de la proximité avec des choses et des endroits que la morale n’aime pas trop étaler sur la place publique.



Pour toute réponse, je lui donne une petite fessée qui fait vibrer agréablement ses deux masses, tel un gâteau gélatineux. Puis je me lève prestement pour aller regarder de plus près le barbecue. Par prudence, je remonte la grille afin de l’éloigner des braises.



Elle tourne la tête vers moi, haussant les sourcils. Quand elle me voit revenir vers elle, elle a un petit sourire, puis elle replonge dans les pages de son livre. Il va falloir que je fasse vite. Quoique je peux la mettre en appétit afin que notre sieste soit crapuleuse à souhait, voire même notre repas…


Tout en caressant ses belles fesses de mes mains câlines, ma langue commence à s’aventurer dans son sillon. Je descends petit à petit, lentement, sûrement… Karine se détend, se décontracte, c’est palpable. J’arrive bientôt vers un petit puits ourlé que je taquine de la pointe de ma langue. Après quelques agaceries, j’ai le contentement de voir que le petit puits s’entrouvre un peu, s’offrant plus encore à ma caresse.


Je constate avec satisfaction que Karine en veut encore car elle commence à taquiner ses lèvres humectées de ses fins doigts. Je la laisse jouer avec sa porte de jade tandis je m’occupe du bout de la langue de sa porte d’ébène.


Elle respire de plus en plus fort, pousse de longs soupirs entrecoupés de faibles gémissements. Ses doigts s’activent de plus en plus, détrempés de cyprine que je recueille parfois de la pointe de ma langue pour venir en maculer son anus entrouvert.


Ses fesses ondulent de plus en plus. Me relevant un peu, je cueille sa cyprine dégoulinante pour m’en badigeonner le gland. Je respire un grand coup. Je répartis mes deux jambes de part et d’autre du transat et du beau popotin offert, puis je darde ma queue vers son petit trou sombre. Mon gland gluant de cyprine épouse la cuvette mouillée de son anus. Puis, ma tige fermement en main, je pousse mon avantage en elle. Elle sursaute un peu :



Elle ne répond rien, tendant un peu plus ses fesses. Je sais qu’elle ne déteste pas ce que ça soit un peu cru entre nous. Un peu, mais pas de trop : je commence à la connaître. Mais aujourd’hui, j’ai envie de sortir de la bienséance classique, et je la sens réceptive…


Je m’enfonce un peu plus en elle ; mon gland vient de disparaître dans ses chairs :



Je m’enfonce un peu plus encore :



Ses doigts s’agitent de plus en plus, elle plonge la tête dans le matelas du transat tandis que je coulisse en elle, d’abord lentement, précautionneusement, puis de plus en plus vite, sadiquement. Je décide de porter l’estocade :



En de vastes mouvements, je m’enfonce en elle sans vergogne, venant écraser mes couilles sur la peau douce de ses fesses, pour presque ressortir l’instant d’après. Je suis étonné de la facilité avec laquelle je plonge en elle, du coulissement de ma bite dans ses entrailles. Mais c’est follement jouissif de la prendre bestialement !


Karine se masturbe frénétiquement tandis que je la pistonne furieusement. Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps à cette furia, à cette cavalcade épique ! Mes sens se brouillent peu à peu. Je me sens décoller, partir au lointain, dépasser les nuages !


Un dernier coup de reins et la vague jaillit ; elle fuse partout, envahissante, éclaboussante, débordante ! Je reste rivé dans les profondeurs de ma femme, la remplissant de ma semence, la possédant, elle toute à moi !



Il n’y a pas à dire, mais la sodomie, c’est extrêmement stimulant ! Pouvoir jouir comme un dingue dans les entrailles interdites et profondes de sa femme, c’est totalement divin ! Je comprends mieux pourquoi beaucoup de religions interdisent cette pratique… Je resterais bien toute une éternité à éclater ainsi ce cul magnifique, à le remplir tel un fleuve impétueux jusqu’à ce qu’il déborde encore et encore, sans fin !




--oOo--




Après ces petites folies de nos corps, je reprends mes esprits et, un peu chancelant, je m’occupe à nouveau du barbecue tandis que ma femme reste allongée sur le ventre, ses belles fesses bien en évidence. Suintant le long de son sillon, mon sperme s’échappe petit à petit de son puits sombre que j’ai honteusement visité, et je reconnais que ce spectacle de nos récentes turpitudes est très agréable à voir… Il faudra que je prenne une photo ! Ce que je fais quelques instants plus tard avant d’être un peu plus sérieux et de songer à nos estomacs.


Moins de dix minutes plus tard, tout est OK. Je pose sur la table tout ce qu’il faut pour le repas. Puis, toujours uniquement habillé de mon tee-shirt, je m’assieds, commençant à répartir la viande dans les deux assiettes. Une bonne minute plus tard, ma femme daigne se lever de son transat ; elle s’approche de la table. La voir onduler nue en s’approchant de moi réveille aussitôt une certaine partie molle de mon anatomie !


Un peu ensommeillée, debout juste à côté de moi, elle s’étonne que nos deux assiettes soient si proches. Sans lui laisser le temps de réagir ni de m’échapper, je la capture et je l’assieds de force sur mes genoux. C’est alors qu’elle constate sur ses fesses nues que je n’ai rien mis pour couvrir mon sexe bien érigé ! Elle me gronde :



M’emparant d’elle de mes deux bras fermes et musclés, la soulevant un peu, je la positionne sans forcer sur ma queue bien raide. Celle-ci s’enfonce sans problème, comme dans une onctueuse motte de beurre chaud, car visiblement, ma femme est en condition et en émoi, plus bas… Ce qui arrange bien mes vicieuses affaires !


C’est vachement bon ! Même si cet adverbe est désuet. Je soupire d’aise, et j’évite de trop bouger car je serais bien capable d’éjaculer sur le champ des litres et des litres de sperme ! C’est tout au moins l’impression que j’ai, car j’ai quand même conscience de la réalité qui est nettement plus proche du dé à coudre que du jéroboam…



Elle, ça l’amuse, je le vois bien sur son visage ! Vicieusement, elle remue du bassin afin de contempler ma réaction. Je fais du mieux que je peux, mais elle comprend sans problème que je fais un gros effort sur moi-même !



Et ça la fait rire !


J’apprécie beaucoup ce repas, ma femme toute nue assise sur mes genoux, et plus précisément empalée sur mon poteau de chair. Comme ils sont à bonne hauteur, j’en profite pour croquer doucement ses tétons tout durs, une friandise dont je ne me lasse pas depuis des années ! Elle se laisse faire, pointant éhontément ses seins vers ma bouche qui ne demande que ça. Parfois, elle s’amuse à remuer lascivement du bassin, ondulant autour de mon sexe bien planté en elle.


Nous finissons nos assiettes, toujours rivés l’un à l’autre. C’est une expérience qu’il faudra renouveler ! Karine me demande à brûle-pourpoint :



Mettant ses bras autour de mon cou, elle se gausse :



Je secoue la tête :



Et elle commence à se trémousser sur moi, se frottant ignoblement contre moi, ses seins nus sur mon tee-shirt, ses lèvres contre les miennes. Ma tige de chair est soumise à une folle sensualité provenant de son antre chaud et humide. Vicieuse, Karine tressaille sur moi, s’agite, se balance, se secoue, ma queue maltraitée s’enfonçant plus encore. Je sens que je ne vais pas résister malgré mes efforts désespérés. J’ai beau songer à n’importe quoi d’autre, la chaleur de son corps, sa douceur et sa perversité sont les plus fortes. Je serre les dents, tentant de retarder l’échéance !



Sans bien comprendre comment j’ai pu faire, mon tee-shirt valse sur la table, je lui saisis voracement un sein à pleine main, tandis que je dévore ses lèvres. Mon autre main s’agrippe à sa hanche toute fraîche. Je donne des coups de bassin désordonnés pour m’enfoncer mieux en elle, pour sentir sa chaleur, sa moiteur, son intimité.


C’est alors que j’explose ! Une vaste vague s’extirpe de moi, allant envahir l’intimité de ma femme, venant la submerger, la faire déborder. Je me sens tel un gigantesque jet d’eau, une pompe à incendie qui éclate, qui explose !


C’est avec une inouïe délectation que je sens fuser d’autres salves. Oui, je veux remplir ma femme, complètement, absolument ! Puis une immense fatigue s’abat sur moi, me laissant pantelant, brisé, vidé.

Oui, totalement vidé, comme si je n’étais plus qu’une simple écorce sans chair à l’intérieur…



Après un dernier baiser sur mes lèvres, Karine se lève. Mon sexe poisseux coulisse hors de son intimité et retombe amorphe sur une de mes cuisses. Je respire bruyamment. Sa chatte est toute détrempée, dégoulinante, visqueuse de mon sperme qui s’échappe lentement d’elle. Ce qui offre un certain spectacle !



À ma grande surprise, elle se penche sur moi, avale le bout de mon sexe ramolli et le suçote sans façon quelques secondes. Bien qu’au début, ma bite avachie ne réagisse pas, petit à petit elle se rigidifie. Je suis moi-même assez étonné, et de l’initiative de Karine, et de ma rapide remise en forme !

Soudain, Karine se redresse, fière d’elle, les lèvres luisantes :



Et avec lenteur, ondoyant du bassin, elle s’éloigne de moi, allant, je suppose, dans la salle de bain se nettoyer. J’attends qu’elle en ait fini pour faire de même. Pour l’instant, je récupère. Je comprends mieux pourquoi les hommes décèdent avant les femmes ! C’est de leur faire l’amour, et de se vider de la sorte !


Je soupire abondamment ; décidément, je ne comprends pas bien les femmes, voire même pas du tout ! Elles disent oui, elles disent non, font les effarouchées pour se comporter en vicieuses finies dix secondes plus tard…


Néanmoins, j’espère que j’aurai l’occasion de refaire souvent ces prochains jours des brochettes au barbecue !