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n° 17015Fiche technique15566 caractères15566
Temps de lecture estimé : 10 mn
13/09/15
Résumé:  Un fantasme interdit sur ma belle-soeur se concrétise.
Critères:  fh alliance grosseins intermast fellation pénétratio -occasion
Auteur : Sébastien.trufin            Envoi mini-message
Une nuit interdite

Cette histoire s’est déroulée il y a quelques mois.

Je vis avec ma compagne Héloïse depuis maintenant sept ans ; nous avons deux enfants qui ont 6 et 3 ans. On ne peut pas dire que ce soit l’amour fou entre nous, mais je pense que l’on a réussi à trouver un certain équilibre dans notre de vie de couple.


Physiquement, Héloïse n’est pas une bombe sexuelle, mais elle a des arguments à mettre en avant, et notamment une poitrine imposante qui fait son effet. Un beau 95E qui remplit les mains de n’importe quel honnête homme. Malheureusement, ma compagne est assez peu féminine et ne sait pas mettre ses atouts en valeur. Côté sexe, les relations journalières du début se sont peu à peu espacées, et dans les meilleurs périodes je peux espérer trois ou quatre rapports mensuels. Ce qui, vous l’aurez compris, me laisse sur ma faim, et que les masturbations occasionnelles peinent à combler. L’idée d’avoir une maîtresse a pris forme dans mon esprit, mais il n’a jusqu’à maintenant jamais été mis à exécution.


Tout a basculé en avril. Ma compagne – professeur dans un lycée – devait partir en voyage avec sa classe pendant deux semaines en Argentine. Le rassemblement avant le départ pour l’aéroport était à 4 heures du matin. Héloïse m’avait demandé si je pouvais la déposer en voiture car les transports sont encore à l’arrêt à cette heure. Pour garder les enfants pendant ma courte absence, elle avait demandé à sa sœur Justine de dormir à la maison.


Justine vivait dans le centre de Paris et dormait de temps à autre à la maison le week-end, surtout quand elle gardait les enfants le samedi soir pendant qu’Héloïse et moi sortions.

Justine était globalement moins jolie que sa sœur. Plus petite, quelques kilos en plus, un visage quelconque, une chevelure rousse imposante et peu entretenue ; bref, elle était célibataire depuis quelques années, et son physique n’était pas son principal atout. Mais Justine avait quand même une arme fatale : une paire de seins assez monstrueux. Dans l’absolu, ils n’étaient pas plus gros que ceux de ma femme, mais contrairement à elle, elle savait les mettre en valeur : elle arborait systématiquement des décolletés assez vertigineux pour réveiller les libidos les plus lymphatiques. Alors imaginez l’effet que cela pouvait faire sur une personne comme moi, à l’affût en permanence…


J’avais de temps à autre fantasmé sur Justine et imaginé des scénarios qui finissaient systématiquement par une baise frénétique et un orgasme commun. Mais je savais pertinemment au fond de moi que cela ne resterait qu’au stade du fantasme : la barrière familiale était là, et jamais je ne pourrais la lever. Néanmoins je ne me privais pas de la reluquer en douce, et elle me surprit plusieurs fois avec les yeux sur sa poitrine.


Le jour du départ de ma compagne arriva. Après l’avoir déposée et dit un dernier au revoir au point de rendez-vous convenu, je repris la direction de notre appartement. Arrivé chez moi vers 4 h 30, je suis rentré sans faire de bruit, et après un déshabillage rapide je regagnai ma chambre. Au bout de quelques minutes, dans un demi-sommeil, j’entendis ma fille m’appeler. Je sortis lentement du lit, saisis la lampe de poche, et alors que je m’apprêtais à ouvrir la porte de la chambre de ma fille, Justine en sortit. Enfin, pour être précis, j’aperçus d’abord dans le halo de ma lampe les deux énormes obus de Justine. Dans un premier temps, je ne pus décoller mon regard de ces deux masses.



Justine en profita pour s’échapper et regagner sa chambre. Je n’eus pas le temps de m’excuser, mais elle ressortit aussi vite vêtue d’un tee-shirt.

Nous discutâmes quelques instants d’Héloïse, et elle mit fin à la discussion en prétextant qu’elle devait se lever tôt, me rappelant qu’elle serait sûrement repartie à notre réveil. Elle s’approcha de moi, toujours dans la pénombre, et me fit la bise pour me dire bonne nuit et au revoir ; je crus sentir que sa bise était plus appuyée qu’à l’accoutumée. Mais avant que je ne puisse effectuer la moindre conclusion, elle referma la porte.


Je regagnai mon lit et m’aperçus qu’une érection déformait mon caleçon. Heureusement, la pénombre a suffisamment caché cette excroissance aux yeux de ma belle-sœur. En tout cas, je ne pus m’empêcher de saisir mon membre et de me masturber en repensant aux seins de Justine, ainsi que toutes les autres nuits de la semaine. Ce que j’avais vu allait beaucoup plus loin que mes espérances, et jamais je n’aurais pu imaginer la suite.


Le samedi suivant, ma belle-sœur m’envoya un texto pour me demander si tout se passait bien avec les enfants. Je la rassurai et en profitai pour lui dire que les enfants réclamaient leur tata, ce qui était en partie vrai ; mais c’était surtout moi qui souhaitais la revoir. Elle me proposa donc de passer en fin de journée.


L’après-midi et le début de soirée se passèrent normalement : petite sortie au parc, dîner dans la joie et la bonne humeur. Les enfants émirent l’idée d’aller à la piscine dimanche matin et demandèrent à leur tata de venir avec eux. J’objectai que tata avait peut-être autre chose à faire, mais Justine accepta l’invitation d’emblée. Elle emprunterait un maillot de bain à ma compagne et passerait la nuit ici comme elle le fait souvent.

Les enfants, un peu excités, allèrent se coucher plus tard que d’habitude, mais s’endormirent rapidement.


Je proposai à Justine de regarder un film. On tomba rapidement d’accord sur le dernier film primé à Cannes, que je venais de télécharger. On tenta de le regarder sur le grand écran dans le salon, mais un problème de compatibilité nous en empêcha.

Je lui proposai un autre film, ou sinon de le regarder dans notre chambre sur mon PC, allongés sur le lit. Elle accepta cette dernière proposition, et nous nous allongeâmes pour regarder ce film. Malheureusement ce film avait la particularité d’être non seulement long mais également d’avoir un rythme peu soutenu, si bien que Justine succomba rapidement au sommeil. Je tentai de garder les yeux ouverts le plus longtemps possible, mais les bras de Morphée m’attendaient impatiemment.


Je me réveillai au milieu de la nuit et me rendis compte que Justine était toujours à mes côtés. Je me levai du lit, retirai mes vêtements et me retrouvai en caleçon. J’hésitai quelques instants : était-il préférable de m’installer dans la chambre d’amis, là où Justine devait initialement dormir ? Devais-je la réveiller et lui indiquer le chemin de son lit ? Mais mon entrejambe reprit bientôt le dessus sur mon cerveau : j’allais pouvoir donner libre cours à mon imagination, et avec Justine à mes côtés, l’excitation serait à son comble. Et d’ailleurs, c’est elle qui squattait mon lit.


Je m’allongeai donc à ses côtés, et mon esprit commençait à imaginer des scénarios inavouables où les cris et les positions s’enchaînaient sans retenue quand soudain je la sentis bouger. Elle se leva du lit, se dirigea vers la porte et sortit sans faire de bruit. « Mince, c’est mort : elle va aller se coucher dans l’autre chambre. » pensai-je. J’entendis la chasse d’eau des toilettes fonctionner. Quelques minutes passèrent. Elle devait sûrement déplier la couverture de l’autre lit. Mon érection était retombée à son plus bas niveau, mais tout à coup la porte de ma chambre s’ouvrit. Dans la pénombre, je distinguai la masse de cheveux de Justine. Elle avait dû oublier quelque chose. Mais non : elle souleva la couette et se glissa à mes côtés.


Dans les premiers instants je retins mon souffle, ne bougeai pas un orteil, puis je me remis à respirer normalement, feignant de m’être endormi. Pourquoi était-elle revenue ? Je sentais qu’elle était à quelques centimètres de moi. Mon sexe était redevenu en quelques secondes aussi dur que de l’acier. Que faire ? Me jeter sur elle et passer pour un obsédé, ou pire un violeur ? Impossible. Il fallait que je tente quelque chose qui pourrait passer pour un geste distrait dans le cas d’un refus.


Je la sentis bouger et se mettre sur le côté. J’en profitai pour me tourner aussi et poser ma main sur sa hanche. Aucun tissu ne faisait obstacle entre ma main et sa peau. Elle était nue ? Mon cœur se mit au galop ; mon cerveau m’ordonnait de retirer cette main, et mon sexe de la laisser. Je m’attendais à tout instant qu’elle s’écarte et me vilipende, mais le contraire se produisit : un petit râle sortit de sa bouche et elle effectua un mouvement en arrière pour se coller contre moi. Mon sexe se retrouva collé contre ses fesses, ce qui redoubla sa vigueur.


Elle prit ma main et la colla contre sa poitrine. Son énorme paire de seins. Le processus était lancé ; il était impossible physiologiquement de faire marche arrière. Ma main se mit à palper son globe ; de nouveaux râles sortirent de sa bouche. Je me mis à la recherche de son téton que je trouvai sans peine : il était volumineux et dur. Elle commença à onduler du corps pour mieux sentir mon dard contre son cul. Mon caleçon déformé était le dernier rempart avant le geste fatal et libérateur. Après avoir pris la pleine mesure de ses mamelles, ma main descendit lentement vers sa toison. Aucun geste ne vint l’en empêcher. Sa touffe était épaisse et semblait peu entretenue. Les années de célibat forcé ne devaient pas l’encourager à l’entretenir.


Ma main descendit plus bas encore et mon majeur entra en contact avec sa fente. Sa chatte était déjà trempée. Un feulement sortit de sa bouche, ce qui m’encouragea à enfoncer mon doigt au fond de son trou humide. Puis mon doigt dégoulinant remonta jusqu’à son bouton. Un cri sortit de sa bouche. Délicatement, mon doigt alterna les douces caresses sur son clitoris et les pénétrations. Elle passa sa main derrière elle et essaya de descendre mon caleçon. Je l’aidai, et une fois enlevé elle plaqua son cul contre ma bite. Elle commença à me branler le chibre avec ses fesses.


Ces caresses durèrent plusieurs minutes ; l’excitation était à son comble. Je me demandais jusqu’où cela pourrait nous conduire. Pour ma part, je ne pouvais plus m’arrêter. J’approchai mon visage de son cou. En sentant mon souffle, elle se retourna et m’attrapa par la nuque. Elle plaqua ses lèvres contre les miennes et enfonça sa langue dans ma bouche. Un ballet de langues commença ; elle retenait et aspirait ma langue. Elle s’arrêta brusquement, me plaqua avec ses mains sur le matelas et me chevaucha. Elle colla sa moule contre mon dard et se mit à se frotter contre mon sexe. Elle chercha pendant quelques instants l’angle idéal pour que son clito entre en contact avec ma verge, puis elle commença les va-et-vient. Elle se branlait avec ma queue. Ceci ne dura que quelques dizaines de secondes. Son corps se crispa, elle se pencha en avant et enfouit sa tête dans l’oreiller. Malgré l’atténuation, elle poussa en cri puissant. Elle s’abandonna complètement sur moi. Son corps était trempé de sueur.


Elle resta ainsi quelques minutes. Je crus que la séance était terminée. Ma bite, qui était toujours au contact de sa chatte était toujours raide. Puis elle se releva et descendit plus bas. Elle saisit alors mon manche dans sa main et le dirigea vers sa bouche. Je sentis d’abord son souffle, puis de légers coups de langue sur mon gland. Elle entoura ce dernier avec sa langue, puis sans prévenir le goba. Elle s’occupa de mon gland quelques instants puis avala mon sexe tout entier. Elle enchaîna rapidement les va-et-vient sur ma hampe. Elle suçait divinement bien. Tellement bien que je dus l’interrompre sous peine de lui remplir la bouche avec ma semence. Je ne voulais pas jouir maintenant ; je voulais goûter sa chatte.


Toujours sans un mot, je la saisis par le bras et l’allongeai sur le lit. J’hésitais à allumer la lampe de chevet car je voulais contempler ce corps sur lequel j’avais longtemps fantasmé, mais je me dis que cela pouvait anéantir l’ambiance, et la culpabilité prendre le dessus sur l’envie au moment où nos regards se croiseraient. Je m’abstins donc et approchai mon visage de sa toison. Elle comprit tout de suite car elle écarta largement ses cuisses, m’attrapa par la nuque et m’offrit son abricot. Sa chatte n’était plus qu’un torrent de cyprine. Ma langue pénétra au plus profond de son trou et remonta jusqu’à son clito. Mon traitement fit rapidement son effet, et un deuxième long râle sortit de sa bouche. Elle me fit remonter à son niveau et me susurra à l’oreille : « Prends-moi… » Je n’eus pas le temps de réagir : elle prit ma bite et se l’enfonça dans le con.


Je la pénétrai profondément sans la moindre résistance. J’étais au fond d’elle, au fond de la chatte de ma belle-sœur. Je commençai à la limer lentement mais elle me saisit par les fesses et m’enjoignit de la besogner plus fortement, ce que je fis sans ménagement. Je lui labourais maintenant la chatte. Le plaisir monta rapidement. Trop rapidement. Je m’arrêtai pour laisser la tension retomber. « Vas-y ! » me dit-elle. Je me retirai et la retournai. Elle se redressa et me présenta son cul que je devinais large. Mon sexe trouva l’entrée sans peine. Cette levrette que j’avais tant fantasmée était maintenant devenue réalité !


Le souffle de Justine s’accéléra, et de petits cris sortaient de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu. Elle enfonça de nouveau sa tête dans l’oreiller pour atténuer le son. Je m’interrompis plusieurs fois juste avant l’explosion. Au bout d’un moment elle se retira, me bascula sur le dos et s’empala sur mon chibre. Mes deux mains trouvèrent ses deux gros seins. Elle me chevaucha avec une énergie folle. On n’entendait plus que le bruit de ses fesses qui claquaient contre ma verge. Je ne pouvais plus rien retenir. « Je viens… » lui dis-je. Et alors que je pensais qu’elle s’arrêterait, elle accéléra le mouvement. Je sentis mon jus sortir par saccades et lui remplir la chatte. Elle se mit à crier et s’écroula sur mon corps. On resta un moment dans cette position, mon sexe toujours en érection. Je pouvais sentir mon liquide ruisseler sur mes couilles. Elle se releva et bascula sur le côté.

Au bout de quelques minutes elle me dit :



Sur ce, elle s’endormit.


Le lendemain, elle retourna chez elle après la piscine.

Depuis, plus rien ne s’est passé entre nous. Elle a rencontré quelqu’un peu de temps après, mais quelques sourires complices me font penser que si l’occasion se représentait, elle succomberait à nouveau.