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n° 17017Fiche technique10043 caractères10043
Temps de lecture estimé : 7 mn
13/09/15
Résumé:  Claudine veut se lancer dans le voyeurisme ; elle va vite se rendre compte que cela ne lui suffira pas.
Critères:  fhhh couleurs extracon extraoffre cocus inconnu nympho grossexe vacances plage collection exhib nudisme confession
Auteur : Claudine      Envoi mini-message
Ma passion : la queue

Salut ; moi, c est Claudine. J’ai 24 ans et j’habite à Montpellier dans un studio avec Serge, 23 ans. Je suis brune, 1,68 m pour 53 kg. J’ai un bon cul bien fourni, et j’avoue que je suis accro à la bite. J’ai une petite chatte avec des lèvres bien dessinées qui mouille directement à la vue d’une verge tendue.


Serge ne raffole pas spécialement de sexe, même s’il lui arrive d’avoir des poussées d’envie. Sa queue est de longueur moyenne – environ 16 cm –, mais c’est vrai que la Nature l’a gâté plus sur le diamètre, avec une épaisseur à te couper le souffle pendant la pénétration. C’est peut-être aussi grâce à ça que je prends mon pied à chaque coup de bite.


Serge ne me connaît pas si bien qu’il le croit, sinon il saurait que j’adore reluquer les sexes d’hommes, que ce soit dans les films pornos, les sites où les mecs montrent leur queue pour la comparer, ou encore même ceux qui urinent avec leur engin dehors. Il m’arrive parfois quand je suis toute seule dans une galerie marchande de faire mine de me tromper en entrant dans les toilettes pour hommes pour apercevoir le pénis de ceux qui utilisent l’urinoir, d’un peu loin pour ne pas recevoir de gouttes.


Pendant la saison estivale, on sort à pied en milieu d’après-midi pour aller sur la plage profiter du soleil. Un samedi matin, il y a deux semaines, Serge voulait prendre la voiture pour visiter une autre plage que nous ne connaissions pas avant. Arrivés vers 11 heures à 50 km du studio, on a trouvé une plage de sable fin pas très grande mais propre, et personne pour en profiter. On a décidé de s’y poser. Le calme, personne à l’horizon ; dommage qu’on ne la connaissait pas avant. Vers 13 heures, d’autres personnes ont commencé à arriver. Cela ne nous dérangeait pas plus. J’étais assise sous mon parasol avec mes lunettes de soleil sur les yeux quand, par curiosité, je jetai un coup d’œil discrètement sur le couple qui venait d’arriver.


Cela ne m’a pas étonnée lorsque j’ai vu que la nana enlevait son haut pour se dorer les seins. Par contre, je suis restée choquée quand j’ai vu que monsieur était entièrement nu, la quéquette en plein-air – de très petite taille d’ailleurs – à se pavaner le plus naturellement du monde pour préparer son petit coin de détente. Serge, qui faisait une sieste, n’avait pas vu la scène. Je décidai de le laisser dormir et de profiter de mon spectacle préféré. En tant que vraie passionnée par l’organe génital mâle, je n’allais pas laisser passer cette occasion de me rincer l’œil ! Je ne lâchais pas une miette de ses allées et venues, même s’il en avait une petite. Même si je les préfère longues et épaisses dans mon lit, cela ne m’a jamais empêchée de regarder les petites, les grosses, les noires, les blanches, de toutes les tailles et de toutes les ethnies.


Le monsieur nu s’assit, mettant fin à ma séance de voyeurisme. À peine m’étais-je remise à regarder les vagues que j’entendis des voix qui s’approchaient. Je ne me trompais pas : il y avait trois couples, dans la quarantaine, qui arrivaient vers nous. Ils s’installèrent devant nous, à quelques pas. Devant moi se passa soudain une mise a poil collective comme pas permis : les six personnes, et en même temps. Donc pareil, je profitai discrètement de ces trois verges mûres et expérimentées qui se balançaient contre leurs testicules en fonction de leurs mouvements. En même temps, une question automatique s’est posée dans ma tête : « Ne serait-ce pas une plage naturiste ? » Je ne pouvais en douter, après tous ces défilés de phallus.


Lorsque Serge se réveilla, il se frotta les yeux, croyant rêver. Je l’ai regardé avec un sourire narquois en le remerciant de nous avoir amenés ici. Nous profitions donc de tous ces sexes a l’air quand Serge, qui semblait gêné, me proposa une balade dans les sentiers qui bordent la plage. Alors que je me demandais pourquoi cette envie de fuite soudaine, je vis arriver à cinquante mètres deux nanas, la vingtaine passée, avec un mec ; mais alors un grand Black d’au moins 1 m 95 hyper musclé. J’ai tout de suite compris pourquoi Serge voulait soudain se balader : tous les pénis qui nous passaient sous le nez étaient plus ou moins de taille normale, mais là, avec le Black qui arrivait, à côté il allait ressentir comme l’effet d’avoir un petit sexe ; tout le monde sait que les Blacks sont bien membrés. Pour rester, j’allumai une cigarette en disant à Serge qu’après celle-ci nous irions nous promener un peu.


Connaissant les trois couples, l’étalon noir et les deux poufs sont venus s’installer devant nous. Là, mes yeux cachés derrière mes lunettes n’ont pas quitté le short du Black pour ne pas rater la mise à l’air de peut-être un grand serpent noir. Pas manqué, car quand je vis son engin, je fus hypnotisée par sa longueur, qui était au minimum de 25 cm au repos. Ce qui me choqua le plus, c’était le diamètre de cette vraie bite de cheval, pourtant au repos. Pour être sincère, ça me donnait des envies pas très saines.


Serge regardait les obus des deux starlettes pendant que je matais le Black. Des que j’eus fini ma clope, Serge se leva en secouant sa serviette pour me faire comprendre qu’on partait marcher un peu. Après à peine cinq minutes de marche dans un sentier perdu, Serge me saisit brutalement par derrière et me guida derrière un buisson. Là, il enleva le haut de mon deux-pièces et le bas ensuite. Je me laissai faire, excitée par tout ce que j’avais pu voir aujourd’hui. En un temps record il sortit sa bite déjà tendue et m’allongea sur la serviette de bain qu’il venait d’étendre au sol. Lorsqu’il pénétra ma chatte, elle mouillait déjà beaucoup, et donc c’est rentré tout seul. Après une bonne minute de va-et-vient violents, il s’allongea pour que je m’assoie sur sa verge.


De ma position, je voyais le chemin mais pas Serge ; j’aperçus deux silhouettes derrière les buissons. Je ne dis rien à Serge et me lançai dans une sorte d’exhibitionnisme pas prévu du tout. Je sentais que j’allais bientôt jouir quand les deux silhouettes se dégagèrent discrètement de derrière le buisson pour se mettre sur notre côté. À ce moment, Serge les vit et me regarda en me disant « Je sais ce que tu aimes, et je sais ce que tu veux. » Il releva sa tête et demanda aux deux hommes de venir regarder de plus près. Moi, encore plus excitée, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je leur demandai de sortir leur sexe et de se masturber devant nous pendant que nous baisions avec Serge. Les deux gars s’exécutèrent et sortirent deux misérables petits pénis pourtant bien tendus, mais petits et fins. Cela ne m’a pas empêchée de les regarder pendant que Serge me sautait par derrière. Après éjaculation des deux pervers, c’est Serge qui m’envoya à son tour un jet de sperme chaud au fond de ma chatte alors que je n avais pas encore joui.


Les deux mecs partis et Serge voulant se faire pardonner de me laisser avec l’orifice en chaleur extrême, il me demanda de l’attendre cinq minutes, précisant qu’il reviendrait vite. Aussitôt dit aussitôt fait, Serge revint rapidement. Je m’essuyais la chatte sans faire attention à lui pour lui montrer ma déception quand il me dit « Tiens, fais-toi plaisir avec lui ! » en poussant vers moi le grand Black de la plage qu’il était allé chercher. Sur le coup j’ai sursauté, mais le trac a vite pris le dessus.


Très entreprenant, le mec ne perdit pas de temps et sortit son énorme queue pour me la mettre sur les mains. Je ne me fis pas prier pour la tenir avec les deux mains et la branler tout en mettant son gros gland dans ma bouche. Quelle sensation ! J’étais passée du simple voyeurisme au candaulisme.


J’étais impressionnée par sa taille en érection, qui dépassait tout ce que j’avais pu imaginer jusqu’à ce jour-là. Une fois bien bandé, il s’allongea sur le sol, n’attendant plus que je m’empale sur ce monstre. Je ne cache pas que, bien qu’excitée, j’y suis allée très doucement ; cela a pris au moins cinq minutes juste pour faire pénétrer le gland : il fallait bien que j’habitue ma petite chatte à s’ouvrir plus grand pour laisser passer la grosse queue !


Une fois bien mouillée, je décidai d’en enfoncer un peu plus à chaque va-et-vient. Mon Dieu, qu’elle était bonne et spéciale, cette sensation d’avoir la chatte bien pleine ! Je n’ai pas pu me retenir de crier de jouissance, même si je n’avais enfoncé que la moitié de la queue, qui faisait au moins 33 cm en activité. Je sentais que j’allais jouir. Pour mon orgasme, il se releva, me tenant une jambe sur chaque bras et il me tira vers lui de sorte à en faire pénétrer le maximum. C’est dans cette position que j’ai joui comme jamais avant.


Serge attendait derrière le buisson pour ne pas me déstabiliser et me laisser prendre mon plaisir. C’était réussi. Enfin, pour moi, puisqu’il fallait maintenant faire éjaculer mon baiseur torride, ce que je décidai de faire avec ma bouche, ou du moins avec le peu qu’elle pouvait prendre de ce sexe. Le Black commençait à trembler ; je sentais qu’il allait gicler, puisque sa queue devenait très dure. Et pas raté : ce fut le feu d’artifice dans ma bouche ! Ce n’est qu’en recrachant que je vis la grande quantité de sperme qui était sortie de ses deux grosses boules bien fermes.


Nettoyés et revêtus, on se remit sur le sentier, moi avec Serge, et le Black bien monté de son côté comme si rien ne s’était passé. Un peu plus loin, j’ai dit à Serge que j’avais vraiment aimé, et que j’avais hâte de la prochaine fois.