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n° 17020Fiche technique34850 caractères34850
Temps de lecture estimé : 20 mn
14/09/15
Résumé:  Christine, très belle femme de 54 ans, sérieuse et pudique, pose habillée pour un photographe. La séance va évoluer progressivement et Christine va se libérer et prendre confiance en elle.
Critères:  fhh fagée cérébral voir exhib lingerie nopéné -couple
Auteur : Alex Burdin  (Alex, admiratif de mon épouse style bourgeoise sexy.)            Envoi mini-message

Série : Photothérapie

Chapitre 01 / 03
Habillée au début, une séance photo surprenante

Je m’appelle Alex et mon épouse Christine. Avec ses 54 ans, Christine est toujours très belle. Mince, élégante, soignée, c’est une très belle femme. Ce qui ne l’empêche pas de manquer de confiance en elle, et de ce fait, d’être assez pudique, alors qu’elle pourrait aisément se permettre de porter des tenues sexy sans être ridicule, tellement elle est belle. Elle ose rarement les jupes courtes qui dévoilent ses belles jambes et les tenues décolletées, malgré sa belle poitrine : ses seins ne sont pas gros, de taille moyenne, mais très fermes. Il n’y a guère qu’à la plage où elle fait exception, sa tenue étant systématiquement et quoi qu’il advienne : torse nu. Ses jolis seins, tout bronzés, sont vraiment merveilleux. En un mot, on peut dire de Christine qu’elle est du style « bourgeoise », inaccessible et presque hautaine. En plus d’être très bien faite, son visage fin met bien en évidence ses beaux yeux clairs. Ses cheveux longs, auburn, la rendent vraiment irrésistible.


Chez des amis, nous avons vu un portait de notre amie, en photographie, agrandi dans un très grand format sous verre. Nous avons trouvé cela très joli, Christine trouvait bien l’idée de faire de même. Mais je ne suis pas du tout spécialiste en matière de photographie, et nous n’avons pas le matériel adéquat qui permettrait de faire un agrandissement de si grande dimension. Nous avons donc décidé de trouver un photographe qui ferait une belle photo de Christine, beau souvenir que nous pourrions garder ensuite. Dans notre ville, nous avons regardé les vitrines des magasins de photo, rien ne nous a vraiment emballés : pas de photos d’art, principalement des photos très classiques de mariages ou autres événements, mais rien de bien original.


Mon épouse a un peu surfé sur Internet, et ainsi trouvé des propositions de photographes, amateurs, amateurs avertis ou semi-professionnels. En règle générale, ils mettent quelques-unes de leurs réalisations sur leur site. La plupart d’entre eux font des photos de nu, et je fais observer à ma belle Christine que ce serait peut-être une idée sympa de faire une photo géante d’elle toute nue. Elle me dit que non, l’idée lui plairait, pourquoi pas, à la seule condition que ce soit moi qui fasse la photo. Mais le constat est clair, nous ne sommes pas équipés pour faire des photos destinées à un agrandissement important. Je lui dis que c’est dommage, qu’elle serait superbe.


En éliminant différents photographes qui semblent ne faire que du nu, nous retenons un photographe qui se présente comme amateur averti. Sur les réalisations qu’il présente, il y a certes des nus, mais aussi des photos « textiles ». La prise de contact téléphonique précise pas mal de choses : Christine lui dit qu’elle a regardé son site, qu’elle ne souhaite pas de photos de nu, mais seulement un agrandissement géant, habillée. Nous nous mettons d’accord. Étant donné que notre salon est vaste et dispose de murs blancs, il pourra se déplacer chez nous. Un rendez-vous est pris.


La veille, Christine est allée chez le coiffeur. À son retour, je lui ai dit combien elle était belle, ce qui est vraiment une réalité évidente. Avant l’arrivée du photographe et sur ses conseils, elle s’est maquillée plus qu’à l’habitude.


Le photographe (Éric) arrive et installe son matériel qui me semble assez important : appareil avec un énorme objectif, un trépied, des sortes de parapluies pour la lumière, des spots, etc. Une fois tout installé, Éric demande à Christine de souligner un peu plus son maquillage. Christine porte un jean très moderne et un joli tee-shirt. Il est prévu de faire des essais avec différentes tenues.


Les prises de vues commencent, les sourires, les postures différentes, debout, assise, allongée sur le canapé, etc. Je trouve qu’Éric prend beaucoup de clichés, le but étant d’utiliser la meilleure prise de vue pour le grand agrandissement, les autres photos nous étant remises sur un CD en souvenir.

Au bout d’un moment, Éric propose à Christine de changer de tenue, en mettant par exemple une jupe à la place du jean. Elle fait mine de partir, et je lui dis :



Elle ne répond rien, je fais donc un aller et retour express à notre chambre pour ramener cette jolie petite jupe. Christine la prend, enlève son jean, dévoilant ainsi ses magnifiques jambes, ses cuisses bien galbées, et un superbe petit slip blanc fait de dentelle et tulle transparents. Spectacle magnifique, qui ne dure malheureusement que quelques secondes tant le changement de tenue est rapide. Avec sa classe naturelle, elle dépose le jean sur une chaise située loin à l’écart pour ne pas gêner les prises de vue puis enfile sa jupe.


La série de poses recommence. Sur les photos prises à ce moment, nous pouvons donc admirer les belles jambes de ma chérie. Puis Éric fait asseoir Christine sur un fauteuil ; la jupe, en remontant, dévoilant un peu plus ses cuisses.

Pour continuer, Éric propose de faire les photos avec un autre tee-shirt ou un corsage. Christine me dit alors :



Je lui réponds que je vais le chercher. Aller et retour rapide à la chambre ; lorsque je reviens, Christine est en train de faire passer son tee-shirt par-dessus sa tête. Soutien-gorge blanc assorti au slip, elle n’a donc sur elle que sa jupe courte et ce magnifique soutif blanc terriblement transparent : on voit très bien ses magnifiques seins au travers.


Comme à son habitude, Christine est très classe. Elle pose délicatement le tee-shirt sur le dossier de chaise (celle où elle avait déjà déposé son jean) puis enfile le corsage et le boutonne. J’apprécie ce changement de tenue, qui prend plus de temps que le précédent.

La série de photos reprend, debout, assise, etc. Elle accepte même de déboutonner le dernier bouton du haut, amplifiant ainsi l’effet décolleté : selon sa position, on voit un peu le soutien-gorge, je trouve cela très joli.

Les prises de vue continuent, et Éric propose un nouveau changement de tenue. Christine réfléchit et me dit :



Me voici donc parti pour aller chercher cette belle robe orange. Effectivement, j’adore cette robe. La teinte chatoyante est parfaitement assortie à ses longs cheveux auburn et à ses beaux yeux clairs, couleur noisette.

Lorsque je reviens au salon, Christine est en train de défaire le dernier bouton de son corsage. Elle l’enlève et le pose sur la chaise qui avait déjà accueilli jean et tee-shirt. Nous voyons donc à nouveau son beau soutien-gorge transparent. Puis, le plus naturellement du monde, elle dégrafe sa jupe, la fait glisser le long de ses belles jambes, l’enlève et la pose également sur la chaise. La voici donc vêtue simplement de ce magnifique ensemble soutien-gorge et slip blancs, en dentelle transparente. Magnifique, sublime, exceptionnelle.


Avec sa classe habituelle, elle est très naturelle. Elle bavarde même un peu, dans cette tenue si sexy. Quel spectacle exceptionnel : oui, on peut appeler cela un spectacle ! La transparence du soutien-gorge permet de voir parfaitement ses jolis petits seins, l’aréole apparaît nettement. Le slip transparent laisse clairement entrevoir le petit triangle pubien, minuscule et parfaitement entretenu. Le passage du pantalon à la jupe avait été furtif, le passage du tee-shirt au corsage avait été un peu moins rapide, mais cette fois elle reste un long moment ainsi, vêtue seulement de son magnifique soutien-gorge et de son ravissant petit slip, comme si c’était une tenue naturelle. Puis, à mon grand regret, elle enfile la robe.


À nouveau, il y a de nombreuses prises de vues, debout, assise, semi-allongée sur le canapé. À plusieurs reprises Éric vient vers Christine pour modifier la position d’un bras, d’une épaule. Par exemple, il lui prend le bras et le positionne autrement. Alors qu’elle est allongée sur le canapé, il modifie la position d’une cheville. Une fois, il prend la jambe et l’étend autrement. Pour une autre prise de vue, d’une main il prend la jambe, de l’autre main il prend la cuisse sous la robe pour faire ainsi plier le genou : cela a comme effet de remonter très haut la robe sur la cuisse. Pour une autre prise de vue, il lui demande de quitter la position allongée pour s’asseoir dans un fauteuil. Puis il remonte lui-même légèrement la robe sur les cuisses. Plusieurs photos sont ainsi faites.


Éric s’approche à nouveau de Christine et, cette fois, remonte beaucoup plus la robe : de ce fait, chacune de ses mains remonte sur les cuisses de Christine. Puis il déboutonne lui-même un bouton du haut de la robe et, plus tard, même un deuxième bouton.

Ainsi, de très nombreux clichés sont pris. Nous trouverons facilement la bonne photo permettant de réaliser un agrandissement.


Éric propose alors de réaliser d’autres photos, même non destinées à être choisies pour l’agrandissement, simplement comme souvenir personnel sur le CD qui nous sera remis. Christine remercie et accepte l’offre. Éric suggère alors que Christine opte pour une autre tenue et choisisse quelque chose de plus sexy. Christine dit :



Elle me répond qu’elle réfléchit, et, ce faisant, déboutonne les boutons restants de sa robe, la fait passer par-dessus sa tête et l’enlève. Elle la pose sur la chaise à l’écart où se trouvent déjà jean, tee-shirt, corsage et jupe. La voici à nouveau avec son magnifique slip blanc transparent et le superbe soutien-gorge assorti. Uniquement ces deux pièces transparentes sur elle. Elle a au maximum vingt ou trente grammes de vêtements sur elle pour masquer sa nudité. Elle se comporte tout à fait naturellement, comme si de rien n’était.


C’est dans cette tenue incroyable que la conversation commence : quelle tenue choisir ? Elle propose une jupe aux motifs imprimés, très mini, qu’elle porte régulièrement à la maison et parfois à l’extérieur dans certaines circonstances (vacances, etc.). Je lui suggère un corsage long, blanc et franchement translucide, corsage qu’elle n’a jamais osé porter en extérieur, mais qu’elle porte parfois pour mon plus grand bonheur lorsque nous sommes les deux. Toute cette discussion en présence d’Éric alors qu’elle n’a sur elle que ces deux petites pièces transparentes de lingerie.


Je me propose alors d’aller chercher ces vêtements dans notre chambre. Peu après, je reviens au salon avec la mini-jupe, mais pas le corsage que je n’ai pas trouvé. Alors Christine, sublime dans ses sous-vêtements, part ainsi, traverse le salon puis le couloir, et revient ainsi, toujours sublime, vêtue uniquement de son soutif et de son slip, un corsage à la main. Elle montre à Éric la jupe très courte et le corsage : celui-ci est très long, blanc, et composé d’une matière franchement translucide : pas transparent comme un rideau, mais franchement translucide, ce qui explique que Christine ne l’ait jamais porté en dehors de la maison. Éric dit qu’il pense que cela fera de jolies photos. Il y a au moins cinq minutes que Christine ne porte sur elle que ses sous-vêtements.


Elle met la mini-jupe, puis enfile le corsage. La jupe est très courte, le corsage est très long, ce qui fait que le corsage, par-dessus la jupe, arrive presque en bas de la jupe. Éric demande à Christine de faire passer le corsage dans la jupe. Elle est si belle ainsi : corsage translucide, le soutien-gorge est clairement visible par transparence. La jupe très courte met en valeur ses belles jambes et en partie ses cuisses.


La séance de photos commence alors. Christine me demande si je peux préparer du café afin de faire une pause. Je m’exécute. La séance de pose continue. Éric explique à Christine les positions qu’il souhaite. Mais aussi, souvent, il aide Christine à prendre la bonne posture et la touche souvent. Ainsi, il touche les cuisses pour une meilleure position de la jupe. Puis il défait un bouton du chemisier. Une autre fois, il écarte un peu plus le chemisier, mettant ainsi en valeur la bretelle du soutien-gorge sur l’épaule. Il me semble que sa main a effleuré le soutien-gorge, mais Christine n’a pas réagi. De nombreuses photos sont ainsi prises.

Éric suggère alors à Christine :



Christine est d’accord. Elle va près de la chaise (à l’opposé de la pièce) sur laquelle se trouvent déjà les autres vêtements changés et enlève sa mini-jupe imprimée. La voici maintenant avec seulement ce long corsage transparent par-dessus les sous-vêtements. Par transparence, le slip apparaît tout aussi nettement que le soutien-gorge. Christine est absolument sublime. De nombreuses photos sont prises.


Alors que Christine est allongée sur le divan, Éric lui touche franchement les cuisses pour remonter le corsage. Il remonte un peu plus le corsage jusqu’à ce que le slip devienne apparent. Puis il défait un bouton du chemisier : on peut donc deviner le soutien-gorge et le slip. Plus tard, il défait lui-même les deux boutons suivants, écarte largement le corsage côté gauche et dégage complètement l’épaule. Le bonnet gauche du soutien-gorge est totalement apparent. Ce faisant, la main du photographe est vraiment passée sur le sein, plus exactement sur le soutien-gorge. Après ce cliché, il remonte le corsage encore plus haut sur la cuisse, dévoilant ainsi entièrement le slip. Sa main est vraiment passée sur le haut de la cuisse et sur le slip ! Sur ce cliché, nous aurons donc le slip apparent, l’épaule gauche dégagée ainsi que le bonnet gauche du soutif.


Ensuite, Éric propose à Christine de se lever. Christine se met debout et le corsage redescend sur le haut des cuisses, masquant donc le slip qui n’apparaît plus que par transparence. Par contre, trois boutons du chemisier sont défaits et le corsage est largement ouvert sur le soutien-gorge. Quelques clichés sont pris, puis Éric s’approche de Christine et s’emploie à défaire d’autres boutons du chemisier. Il ne laisse que les boutons en dessous de la taille, mais au-dessus, tous les boutons sont ouverts. Malgré cela, chaque pan est resserré. Éric prend quelques clichés, puis revient vers Christine et ouvre carrément les pans du corsage. Dans cette opération, ses mains (je l’ai bien observé) sont vraiment passées sur le soutien-gorge. Christine n’a pas réagi.


Elle est très belle ainsi, le corsage largement ouvert jusqu’à la taille, le soutien-gorge apparent, le slip nettement visible par transparence. Quelques clichés sont pris, puis Éric revient vers Christine et dégrafe les autres boutons du bas du corsage. Ses mains sont passées sur le slip. Tous les boutons du chemisier sont maintenant ouverts. Éric prend des clichés alors que le corsage est resserré. Puis il revient vers Christine et ouvre largement les pans du corsage, du haut en bas. J’ai bien vu ses mains sur le corps de Christine. Il fait quelques clichés ainsi ; Christine est sublime dans cette tenue sexy et décontractée, les pans du corsage ouverts, laissant soutien-gorge et slip totalement apparents. C’est comme si elle posait en sous-vêtements, alors qu’elle avait bien dit qu’elle ne ferait pas de nu ni de lingerie.

Éric propose une autre tenue à Christine :



C’est alors que j’annonce que le café est prêt. J’apporte un plateau avec tasses et cafetière et installe le tout près du matériel d’Éric. Dans le même temps, Christine répond favorablement à la proposition d’Éric et entreprend d’enlever son corsage : cette opération ne dure qu’une demi-seconde, puisque tous les boutons sont déjà défaits ! En fait, elle n’a qu’à faire glisser le corsage sur elle. C’est donc dans le même temps qu’elle retire son corsage et que j’apporte le café. De ce fait, Christine ne va pas à l’autre bout de la pièce pour poser son corsage. Elle s’interrompt pour boire son café en même temps que nous, et pose donc son chemiser près du matériel d’Éric. Spectacle inouï : Christine, tout à fait à l’aise, en slip et soutien-gorge, prend le café avec nous et discute de tout et de rien, le plus naturellement du monde, comme si tout était normal. C’est vraiment incroyable, je la sens tout à fait à l’aise, alors qu’hier, si on lui avait proposé de rester ainsi de longues minutes en sous-vêtements devant le photographe, elle aurait refusé catégoriquement. De la même façon, elle aurait refusé de poser presque en sous-vêtements ! Et la voici ainsi, rayonnante et naturelle, alors qu’elle est terriblement sexy et désirable ainsi, à boire le café en sous-vêtements devant cet homme qu’elle n’avait jamais vu une heure auparavant.


Je ne sais pas quel âge a Éric. Peut-être quarante ans ? Malgré environ quinze ans de moins que Christine, je me demande ce qu’il se passe dans sa tête : reste-t-il professionnel jusqu’au bout ? Peut-être, malgré lui, pense-t-il que Christine est terriblement désirable ? Est-il à la limite de l’érection ? Pour ma part, j’avais ressenti une agréable sensation lorsque Christine avait quitté son jean pour mettre très vite sa jupe. Sensation encore plus agréable lorsqu’elle avait quitté le tee-shirt pour mettre un premier corsage. Et j’avais commencé à vraiment sentir une énorme sensation lorsqu’elle s’était mise une première fois en slip et soutien-gorge avant de mettre sa robe orange. Lorsqu’elle s’était mise une deuxième fois en sous-vêtements en enlevant sa robe, était resté longtemps dans cette tenue, et était même allée dans la chambre chercher son corsage, j’avais commencé à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Mais cette fois qu’elle est une troisième fois en sous-vêtements et boit ainsi son café en bavardant, je suis très serré dans mon pantalon.

Le café est bu. Éric dit à Christine :



Christine répond qu’elle est OK. Elle traverse la pièce et se dirige vers la chaise sur laquelle se trouvent jean, tee-shirt, corsage, jupe bleue, robe orange et mini-jupe aux motifs imprimés. Énorme silence dans la pièce. Plus aucun bruit. Deux paires d’yeux admirent cette sublime quinquagénaire qui marche ainsi en slip et soutien-gorge. La voici arrivée près de la chaise. Alors, elle se retourne. Nous pouvons admirer son beau dos tout bronzé. Elle passe les mains derrière le dos, dégrafe le soutien-gorge, le fait glisser doucement devant elle et le pose sur la chaise. Quel instant exceptionnel, même s’il ne doit durer que quelques secondes ! Elle est si belle ainsi, vue de dos, avec sur elle seulement ce petit slip blanc et transparent, laissant apparaître ses belles fesses bien fermes. Toujours en nous tournant le dos, elle dit :



Je n’ai pas le temps de lui proposer de le lui apporter car elle me devance et dit :



Et immédiatement elle se retourne, face à nous, magnifique, seins nus, avec comme unique vêtement son petit slip. C’est ainsi qu’elle traverse la pièce avec ses magnifiques seins bien fermes et tout bronzés en disant :



Aussitôt je réponds :



Éric ose même :



La beauté de Christine est indescriptible tant elle est immense. Ses seins ne tombent pas du tout. Au contraire, ils tiennent fermement, presque de façon arrogante tant ils sont fermes. Leur bronzage est total, sans aucune marque.


Christine arrive près du matériel d’Éric et enfile son corsage. Elle boutonne un à un les boutons. Par transparence, ses seins bronzés sont nettement visibles. La séance de photos reprend. Plusieurs clichés sont pris, montrant par transparence les beaux seins et le joli petit slip. Alors qu’elle est allongée sur le côté, Éric vient près de Christine et déboutonne les trois boutons du haut du corsage. Puis il en écarte un peu les pans, dévoilant ainsi la naissance des seins. Il remonte aussi le corsage sur le haut des cuisses : comme précédemment, le slip est directement apparent. Pour les poses suivantes, Éric revient vers Christine et défait le quatrième bouton du corsage. Il écarte un peu plus le corsage ; ce faisant, sa main est directement passée sur le sein gauche de Christine ! Son sein apparaît en grande partie sur les clichés !


Puis Éric propose à Christine de se mettre debout. Comme il l’avait fait précédemment, Éric s’approche de Christine et dégrafe tous les boutons du corsage. Il resserre les pans du corsage et prend quelques clichés. Puis il revient vers Christine et ouvre doucement les pans du chemisier. Ce faisant, ses mains sont vraiment passées sur les deux seins de Christine. Les pans du chemisier totalement ouvert ne masquent plus rien, et Christine apparaît donc en slip et seins nus. Elle n’a rien dit lorsque les mains d’Éric sont passées sur ses seins, et elle valide aussi cette pose !


Éric propose de prendre encore une dernière série de clichés. Il propose à Christine de refermer les boutons de son corsage et de retirer son slip afin de faire quelques jolies poses avec le corsage comme seul vêtement.



Christine obtempère : le corsage toujours ouvert, elle se dirige vers la chaise où se trouvent donc de nombreux vêtements. Elle nous tourne le dos, passe les mains sous le corsage, baisse son slip, l’enlève et le pose sur la chaise. Puis elle se retourne face à nous et s’emploie alors seulement à fermer les boutons du chemisier. J’ai rapidement entre-aperçu le microscopique triangle de poils pubiens. Elle laisse les deux boutons du haut ouverts. Par transparence, son corps apparaît complètement, ses seins bronzés, ainsi que le pubis. Des photos sont prises debout.


Éric suggère à Christine de s’installer sur le canapé : semi-assise, semi-allongée sur le côté. Nouvelles photos, puis il ouvre deux boutons de plus sur le haut du corsage : les seins sont ainsi apparents au moins à moitié. Par la suite, il remonte le corsage très haut sur la cuisse. Plus tard, il remonte encore plus le corsage : la hanche est entièrement découverte. Pour la photo suivante, Éric remonte encore plus le corsage qui se retrouve presque au niveau de la taille ! Ce faisant, ses mains sont passées sur les fesses de ma belle. Après la hanche, la fesse sera maintenant sur la photo, et seul un minuscule morceau de tissu masque comme il le peut le pubis de ma chérie.


Éric demande à Christine de se mettre debout. Le corsage redescend sur le haut des cuisses. Puis il lui demande de se retourner, et photographie donc Christine vue de dos. La transparence du tissu permet de voir nettement le dos tout bronzé et les fesses blanches, rarement exposées au soleil. Je fais remarquer à Christine sa beauté. Mais je lui dis aussi qu’elle pourrait envisager un bronzage intégral, en lui demandant :



Éric intervient :



Christine dégrafe donc tous les boutons de son chemisier, et Éric prend un ou deux clichés. Puis il demande à Christine, tout en restant de dos, d’écarter les pans de son corsage. Elle écarte donc son corsage, photographie très suggestive… Si elle était de face, elle serait nue ! Alors qu’hier encore elle réfutait toute pose de nu et même de lingerie ! Et voilà que, corsage ouvert, elle a posé en sous-vêtements, puis par la suite en slip et seins nus sans aucune protestation ! Voilà, la dernière photo, de dos, corsage complètement ouvert, est prise.

Éric remercie Christine pour sa patience et lui dit qu’il en a terminé, qu’elle aura de très jolies photos. Il lui dit :



Alors, sans rien changer, Christine traverse la pièce pour rejoindre la chaise où se trouvent ses vêtements, y compris le soutien-gorge et le slip. Elle arrive à la chaise et nous tourne donc le dos. Éric lui demande :



Alors Christine se retourne pour lui répondre :



Spectacle ahurissant : corsage complètement ouvert sur sa nudité, elle répond ainsi tout à fait naturellement. Bien que le chemisier ne soit pas trop ouvert, on voit entièrement ses seins, et le pubis est en grande partie visible. C’est ainsi que la conversation continue. Éric demande :



Toujours face à nous, Christine répond :



Et l’incroyable se produit : Christine laisse glisser sur elle le corsage qui était déjà déboutonné. Elle l’enlève et le pose sur la chaise. La voici entièrement nue, debout, face à nous ! C’est ainsi que la conversation continue. Christine reste toute nue et n’enfile pas ses vêtements. Éric lui demande :



Toujours debout et nue face à nous, Christine répond :



Éric lui demande si elle pense souhaiter poser à nouveau plus tard, en lingerie ou nue. Et Christine répond directement :



Christine est toujours toute nue. Elle enfile son slip, puis met son soutien-gorge. La pose est rapidement trouvée. Comme prévu, Éric prend un seul cliché. Avant qu’il ne propose à Christine de continuer, celle-ci le devance et lui dit :



Sans attendre de directives, elle enlève son soutien-gorge et le pose sur la chaise. C’est fou ce que ses seins sont beaux et fermes. La photo est prise. Éric demande à Christine :



Toujours en slip et seins nus, Christine répond :



À la question d’Éric de savoir si elle se sent prête pour le cliché n° 3, elle répond :



Éric acquiesce. Christine enlève donc son slip transparent et le pose sur sa chaise. La voici donc à nouveau entièrement nue, et c’est ainsi qu’elle traverse la pièce pour s’approcher d’Éric. Comme prévu, elle se tourne pour une photo de dos. Éric lui demande si ça va. Christine répond :



Un cliché de Christine, nue, est ainsi pris de dos. Éric dit :



Après une seconde au maximum de réflexion, Christine, généreuse, se retourne face à Éric, dans le plus simple appareil et dit :



Son pubis est parfaitement entretenu : minuscule triangle, très nettement épilé. Elle est ainsi offerte à l’objectif, entièrement nue, et je la sens assez détendue. Le cliché est pris.


Éric commence à ranger son matériel. Christine est comme dans un état second et ne cherche pas à se couvrir, ne serait-ce qu’en enfilant son slip ou son soutien-gorge ou les deux.



Pendant qu’Éric range son matériel, fait plusieurs voyages à sa voiture, elle reste ainsi, complètement nue. Alors qu’il s’apprêtait à nous saluer, elle lui dit :



Éric lui dit qu’il est d’accord, mais qu’il est certain qu’après une séance de lingerie elle assumera parfaitement une autre séance, nue. Et, toujours entièrement nue, elle salue Éric à son départ, le raccompagne à la porte d’entrée en lui disant « À très bientôt ! »


Plus que jamais, je me sentais tellement à l’étroit dans mon pantalon que j’ai cru qu’il allait craquer. Christine vient vers moi et me dit :



Cette séance a considérablement changé notre vie. Nous nous entendons bien et avions avant une vie privée correcte, mais plutôt classique. En ayant ainsi pris confiance en elle, son attitude a changé. Elle frôle fréquemment l’indécence, porte volontiers des tenues sexy. Ses décolletés et ses mini-jupes font certainement le plaisir de bien des yeux d’autres hommes. Et, dans l’intimité, elle a complètement changé, vraiment désinhibée.


Deux semaines après cette magnifique séance qui l’a transformée et lui a donné une confiance incroyable en elle, elle s’inquiète un peu et me dit :