n° 17026 | Fiche technique | 16831 caractères | 16831Temps de lecture estimé : 10 mn | 17/09/15 |
Résumé: Grâce à une stagiaire, la DAF d'une entreprise découvre les goûts sexuels de son directeur. | ||||
Critères: ffh fplusag jeunes collègues caférestau lingerie odeurs fmast nopéné portrait | ||||
Auteur : P-hpassage Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Porte-jarretelles day Chapitre 01 / 07 | Épisode suivant |
Nicole entend un cri venir du bureau de son boss.
« Mais que font-ils ? » se dit-elle. Eléanore, jeune avocate stagiaire, est dans le bureau de son directeur depuis maintenant plus de 10 minutes. Et la porte est fermée. D’habitude, il laisse la porte de son bureau ouverte.
Quelques instants plus tard… un, puis deux gémissements se font entendre. Puis plus rien.
Nicole se replonge dans son travail. Directrice administratif et financier de cette PME importante, elle est efficace, s’entend très bien avec son directeur que tout le personnel de l’entreprise appelle "le boss". La quarantaine avancée, les cheveux bruns coiffés en éternel chignon, elle est respectée pour son savoir-faire et son excellente communication. Pour se sortir des tracasseries administratives imposées par un État trop présent, elle a obtenu l’aide d’une jeune avocate en stage dans l’entreprise. Mère de deux enfants, séparée de son mari, fervente croyante, elle ne manque pas d’assister à la messe chaque dimanche.
Quelques minutes plus tard, la stagiaire sort du bureau du boss. Soupçonneuse, Nicole remarque qu’elle a le visage rouge. Eléanore lui sourit, mais sans s’attarder, elle file rejoindre son bureau.
« J’aimerais bien avoir son âge… » se dit Nicole. Eléanore, tout juste 21 ans, avec déjà des formes de femme, porte une petite jupe serrée, un peu courte au goût de Nicole, les jambes gainées d’un collant noir, perchée sur de hauts escarpins, alors qu’elle-même ne porte que des chaussures à petits talons. La poitrine, bien en chair, est moulée par un chemisier blanc très ajusté.
Nicole ne pense pas au sexe, ne cherche jamais à séduire. Réussir dans le monde professionnel, élever correctement ses enfants, voilà qui suffit à sa vie. Du moins c’est ce qu’elle tente de se persuader… car au fond d’elle, une petite voix ne manque pas de lui rappeler de temps en temps que sa vie est triste, ennuyeuse, sans surprise.
C’est le boss, monsieur Picard, qui l’appelle.
Lorsque Nicole entre dans le bureau du boss, une odeur inhabituelle lui titille les narines. Il y fait une chaleur torride, et cette odeur, comme celle qu’il y a dans une salle de réunion lorsqu’une équipe de plusieurs personnes y a passé plusieurs heures ; mais il y a quelque chose en plus dans cette odeur qu’elle n’arrive pas à déterminer.
Deux mouchoirs chiffonnés traînent sur le bureau. Le nœud de cravate du boss est défait, des taches de transpiration maculent sa chemise. Le plateau du bureau, d’habitude impeccablement rangé, est dans un état de foutoir invraisemblable, dossiers éparpillés ; une règle, un stylo et une chemise jonchent le sol.
« Que s’est-il passé dans cette pièce ? » pense-t-elle tandis que son directeur lui tend les papiers qu’il a signés. Puis il se lève et ouvre la fenêtre pour aérer la pièce.
La nuit suivante, Nicole se réveille, en nage. Elle découvre sa culotte inondée ; une tache orne le drap à l’endroit où reposaient ses hanches. Elle se souvient d’un rêve érotique qu’elle vient d’avoir, un rêve dans lequel un évènement obscène se produisait… Pour chasser ce souvenir dont elle a un peu honte, elle se lève pour changer de culotte et étendre une serviette éponge propre sur son drap.
Le lendemain, en milieu de matinée, Nicole veut en avoir le cœur net. Saisissant son combiné, elle appelle la jeune stagiaire :
Une heure plus tard, les deux femmes sont assises dans une brasserie, à une table au fond de la salle joliment décorée.
La commande prise, Eléanore demande :
Nicole commande deux kirs royaux. Après deux ou trois gorgées avalées, Nicole décide d’attaquer Eléanore sur le sujet qui la préoccupe.
Eléanore saisit sa flûte et avale une gorgée. Puis en baissant les yeux :
Nicole cambre les reins, les yeux au ciel. « Mon Dieu, elle a reçu une fessée par mon boss, dans son bureau, et elle a aimé ça ! Elle est complètement folle ! » Elle se rue sur sa flûte et l’avale d’un seul trait.
On leur apporte un grand plat de langoustines grillées à la plancha.
Eléanore, se rendant compte du trouble de Nicole – et contente de son petit effet – décide d’en rajouter :
Nicole est effarée… Comment un directeur de société, au comportement impeccable envers son personnel, peut avoir une idée tellement… perverse ?
Eléanore éclate de rire :
Nicole réplique en rougissant :
Nicole se replonge en silence dans son assiette, arrachant une patte de langoustine, la brisant pour en extraire la chair délicate. La tenant délicatement entre deux doigts, elle la porte à sa bouche et la suce. Levant les yeux, elle voit Eléanore la fixer d’un regard brillant. Se rendant compte que son geste peut paraître obscène, elle rougit encore, mal à l’aise, se dandinant sur son siège. « Mon Dieu, cette conversation est inconvenante… »
Tentant de reprendre son self-control, Nicole réplique un peu sèchement :
Quelques secondes de silence, pendant lesquelles Nicole regarde son assiette, puis Eléanore reprend :
Nicole prend maintenant garde à ne plus lécher ses doigts ni les pinces du crustacé. « Plus de gestes obscènes ; je dois faire plus attention. »
La tête lui tourne un peu ; elle a l’impression de flotter. Les deux verres de vin blanc, le sujet de leur conversation, le regard de cette stagiaire effrontée, tout cela contribue à la troubler. Malgré elle, elle ne peut s’empêcher de s’imaginer en bas et porte-jarretelles au bureau.
« Mon Dieu, que va-t-elle encore me raconter ? »
Nicole ouvre la bouche, effarée par ce qu’elle vient d’entendre ; elle baisse la tête, le regard dans son assiette. Son boss est donc un pervers ! L’homme avec qui elle travaille depuis maintenant six ans, qu’elle croyait connaître, qui a toujours été correct.
Choquée est un faible mot. Elle se sent mal à l’aise : cette petite salope… Le mot « salope » vient de traverser son esprit. Effarée elle sent sa culotte coller à son sexe. « Mon Dieu, faite qu’elle se taise ! » Pour se donner une contenance, elle saisit son verre et avale deux gorgées de vin. Une bouffée de transpiration mouille son chemisier, qui colle au dossier de la chaise.
Les yeux rivés dans ceux de Nicole, elle explique :
Nicole n’en peut plus ; la conversation prend une tournure complètement obscène, plus que déplacée ! « Ce sont deux pervers, deux obsédés ! Cette petite salope ! Mon Dieu, encore ce mot : salope. Pourquoi me vient-il toujours à l’esprit ? »
Le serveur s’approche, retire les assiettes vides et leur tend la carte des desserts.
Nicole voudrait être aussi folle que ne l’est la jeune stagiaire. Mais comment l’être ? Plus de vingt ans les séparent, et leur personnalité est si… différente ! Malgré leur conversation scandaleuse, bien qu’elle soit choquée par les termes employés par Eléanore, Nicole a envie que cela continue, bizarrement.
Quelques minutes plus tard, le serveur leur apporte les desserts. Nicole, qui avait commandé un café, découvre le contenu de l’assiette d’Eléanore. Elle aurait dû s’en douter : ce dessert consiste en une banane entourée de deux boules de glace, le tout recouvert de crème chantilly. Eléanore remarque le trouble de Nicole. La regardant fixement, elle lance :
Eléanore éclate de rire et se rue sur son dessert. Après quelques bouchées, elle reprend, insiste :
Nicole l’interrompt :
Elle éprouve un besoin urgent d’uriner. Baissant son pantalon pour s’asseoir sur la cuvette, elle comprend pourquoi la culotte colle à sa vulve : elle est trempée ! « Mon Dieu, c’est cette conversation, tous ces mots que cette petite salope… une… salope… J’ai… j’ai besoin de… de me toucher ! »
Assise sur le siège, le dos cambré, en nage malgré la fraîcheur du lieu, elle glisse une main vers sa chatte et se masturbe furieusement.