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n° 17029Fiche technique54090 caractères54090
Temps de lecture estimé : 31 mn
18/09/15
Résumé:  Depuis quelques minutes, ma voiture roule tranquillement sur la petite départementale. Je ne suis pas en retard, mais pas trop en avance non plus. Il y a deux jours de cela, Denis m'avait demandé au téléphone si j'étais libre vendredi soir...
Critères:  fh fhh copains exhib lingerie fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich fsodo confession -totalsexe
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Invitation

Le présent texte est la réécriture d’un récit déjà publié. Influencé par un événement survenu entre-temps, il présente une autre vision des choses, un autre déroulement, d’où un changement des prénoms.




Depuis quelques minutes, ma voiture roule tranquillement sur la petite départementale. Je ne suis pas en retard, mais pas trop en avance non plus. Il y a deux jours de cela, Denis m’avait demandé au téléphone :



La vie est parfois curieuse. Denis était un camarade de classe au lycée, puis on s’était perdu de vue. J’ai repris contact avec lui, presque trente ans plus tard, quand il avait passé une annonce assez curieuse concernant une soirée « Soubrettes ». Le courant était tout de suite bien repassé. Mais au final, je me suis dégonflé, mon éducation ayant repris le dessus. Quand Denis, qui ne s’était pas offusqué de mon désistement, m’a montré les photos de la soirée, je me suis traité de crétin.


Depuis, nous nous appelons régulièrement au tél. Denis est nettement plus libéré que moi. De plus, il a eu la chance de mettre la main sur Naomie, sa seconde femme. Dommage qu’il soit passé avant moi ! J’ai pu admirer sa femme ainsi que certaines photos d’elle, de quoi me donner des regrets… mais aussi de l’espoir car je ne désespère pas d’avoir ma Naomie à moi !


Mon rêve à moi est assez banal : une mignonne petite femme, rien que pour moi, avec qui faire des tas de câlins ! Je ne suis pas trop difficile, mais je refuse à présent de me prendre la tête avec les femmes. Dans la catégorie « fantasmes & fantaisies », j’aimerais aussi que ma compagne porte de temps à autre de la belle lingerie, car je suis accro aux beaux bas tendus par des porte-jarretelles, avec des soutiens-gorge pigeonnants ! Avec des talons-aiguilles, il va de soi. Bref, qu’elle soit parfois ultra-féminine, comme les pin-up des années quarante-cinquante… C’est trop demander ? Pas tout le temps, juste une fois de temps en temps. D’après mon expérience, il semble que oui.


Et en prime, en matière de femmes, j’ai la sale manie d’attirer les cas spéciaux ! Ce qui m’a donné petit à petit, une certaine expérience mais un certain désenchantement. Je viens de rompre avec ma dernière petite amie, une folle fanatique du bio et du New Age. C’est sympa cinq minutes, mais sans plus ! Avec l’expérience chèrement acquise, j’ai appris à savoir dire « stop ».


Je viens juste d’arriver. Je sonne à la porte. C’est Naomie qui m’ouvre :



Et j’en profite pour l’embrasser, sur les joues seulement. Hélas. Ni trop grande, ni trop petite, mignonne avec des grands yeux sombres et une longue chevelure brune avec curieusement quelques reflets roux, très hollywoodiens !


C’est vrai qu’elle est magnifique avec son top croisé qui met bien en valeur le sillon séparant ses seins que je sais appétissants, avec sa jupe au-dessus du genou et à prime vue fendue sur le côté, avec ses jambes gainées, sa frimousse enjouée aux yeux qui aspirent irrésistiblement le regard ! Et j’en oublie ! Décidément, Denis a bien eu de la chance ! Et contrairement à beaucoup d’hommes, lui, il le sait parfaitement.


C’est justement lui qui s’adresse à moi :



Aussitôt, Naomie intervient :



Adossé au mur, Denis rit :



Et il sort de la pièce, me laissant avec sa femme qui me regarde consciencieusement de haut en bas pendant quelques secondes, avant de me proposer :



J’arrive sans trop de difficultés à entretenir la conversation, mais je reconnais que ce n’est pas toujours évident, surtout avec, face à moi, un joli décolleté qui se fait de plus en plus profond tandis sa mignonne propriétaire bouge ! Sans parler du fait que l’une de ses adorables jambes est bien dévoilée par l’échancrure friponne de la jupe. J’aime beaucoup ce spectacle, et même si j’ai pu le voir trente-six fois sur papier ou écran numérique, c’est nettement mieux en cent pour cent réel !


Soudain la voix de Denis retentit :



Je proteste faiblement. Ça l’amuse, puis s’adressant à Naomie, il lui demande, très naturellement :



À ma grande surprise, elle remonte sa jupe fendue, me laissant voir un bas attaché à un porte-jarretelles. J’adore le contraste entre la bande noire du bas et la chair blanche. Ça me fait indéniablement de l’effet ! Mais je n’étais pas au bout de mes peines (fort agréables néanmoins) !



Avec un large sourire, elle entrouvre son top croisé, et je découvre un adorable soutien-gorge pigeonnant en dentelle qui sépare ses deux seins bien maintenus ! Vu la finesse de l’attache entre les balconnets, je ne demande comment ça n’a pas déjà cédé ! Décidément, Naomie est une coquine ! Je le savais déjà mais il y a une grosse nuance entre le savoir et le voir, de le constater de ses yeux !


Tandis que je continue d’admirer ce que Naomie propose à mes yeux ravis, Denis vient se placer à côté de moi :



Je sens que ça promet de belles visions. Mais je ne m’attendais pas du tout à la suite immédiate, pas du tout. Durant ce temps, Naomie s’est emparée d’un coussin sur un canapé, puis elle s’approche de moi.



Elle jette le coussin à mes pieds. Je ne comprends pas. Je comprends encore moins quand elle s’agenouille dessus. Assez stupéfait, je bredouille :



Tandis que je m’interroge, Naomie ne perd pas de temps, elle a déjà ôté le gros bouton de mon pantalon. La fermeture-éclair abaissée, mon caleçon forme un chapiteau dans l’espace dégagé. Bien que très surpris par la tournure des événements, je me soulève légèrement afin de faire coulisser mon pantalon et mieux révéler ma tente ultra-tendue et fièrement pointée ! Taquine, elle joue des ongles à la limite de l’élastique, sur ma chair frémissante, s’aventurant parfois sous le tissu du caleçon. Se collant un peu plus contre moi, elle remarque :



Sans chichi, elle révèle petit à petit mon sexe au grand jour, le taquinant, caressant la tige palpitante, suivant les plis du bout des doigts, soupesant mes testicules, puis recommençant plusieurs fois ce petit manège très agréable !



L’instant d’après, ma queue disparaît dans une bouche chaude et suave à souhait ! Je soupire d’aise ! Décidément, Naomie est une bonne suceuse, elle s’est sans doute affirmée et affinée dans cette pratique au fur et à mesure des années, tel que je crois connaître mon ami, il a dû servir de test grandeur nature à sa femme ! Heureux homme ! Heureux mari ! Bien que je le soupçonne fortement d’avoir gentiment poussé sa femme sur cette voie… Et pas que sur celle-ci !


Soudain, sa bouche quitte ma tige :



Puis posément, elle capture à nouveau mon sexe luisant de sa salive pour entamer une fellation d’enfer ! Je savais que certaines personnes étaient douées quand elles sortaient le grand jeu, mais là, c’est démentiel ! Artistiquement, elle s’active plus encore, sa langue totalement vicieuse caresse mon gland virtuosement, tandis que ses lèvres enserrent mon pieu dans une succion extraordinaire. C’est… totalement fou comme sensation !



Je n’arrive plus à me retenir ! Aussitôt, dans un grand râle, j’éjacule dans sa bouche si chaude, je me vide sur sa langue qui s’empoisse de sperme, sa langue agile qui continue néanmoins de me caresser sensuellement, tandis qu’elle avale par petites gorgées.


Oh que j’adore qu’une femme avale, qu’elle me boive, qu’elle se remplisse de mon sperme, qu’il coule dans sa gorge pour aller ensuite se nicher au plus profond de son ventre !


C’est si bon…


Trop bon…




Restaurant



Tandis que je reprends peu à peu mes esprits, suite à cette bonne surprise que Naomie vient de m’offrir, j’entends Denis dire :



Une fois que j’ai récupéré, nous montons tous dans la voiture de Denis et cinq minutes plus tard, nous posons le pied dans le restaurant chinois. Pour ma part, je ne connais pas cet endroit, mais Denis m’en a dit du bien.


Vaste salle, déco un peu clinquante, peut-être aussi un peu bruyante mais avec visiblement un sacré buffet et une bonne odeur. Peut-être une adresse à retenir pour la suite, je le saurai après le dessert. Nous nous installons à une table, Naomie d’un côté et les hommes de l’autre, ce qui me permet de l’avoir face à moi et de jouir de son décolleté et parfois de la dentelle de sa lingerie. Soudain, m’arrachant à la contemplation, on me questionne :



Malgré moi, je rougis. Denis intervient :



Intrigué par tout ce que je vis depuis le début de cette soirée, je demande :



C’est Naomie qui répond :



Naomie a un grand sourire :



J’aimerais bien avoir la même aisance pour ce genre de choses que le couple qui est en face de moi. Mais mon éducation rigide et traditionnelle ne m’a pas trop aidé à être aussi libre. Sans parler de ma première femme et des quelques-unes qui ont suivi. Je vais finir par croire que je tire les mauvais numéros à chaque fois !


Ou bien c’est moi qui me vautre, ou bien Naomie et Denis sont des exceptions. Il faudra que je me penche sérieusement sur le choix à faire entre ces deux propositions. Mais pour l’instant, profitons de l’invitation.


C’est Naomie qui m’explique comment ça fonctionne, les plats conseillés, les moins conseillés en fonction de la sensibilité de mon estomac aux épices. Une parfaite hôtesse. Ceci étant, je la regarde nettement plus, elle, que les plats du buffet… De plus, je la soupçonne de s’arranger pour m’offrir la bonne vue dans son échancrure. Elle le remarque facilement :



Nous revenons à table, nous discutons de tout et de rien. Parfois, j’ai quelques difficultés à bien garder le fil de la conversation car Naomie me fait du pied et s’amuse même à venir me taquiner l’entrejambe avec ses orteils agiles ! Franchement, je n’aurais jamais cru vivre ce genre de situation !


Alors que Denis est parti se resservir au buffet, Naomie me lance :



Voyant Denis revenir, je me lève pour aller me confectionner un wok. C’est impressionnant, ces flammes qui jaillissent des brûleurs. Idem pour la dextérité du cuisinier. En parlant de dextérité, je ne peux m’empêcher de songer à celle des orteils de Naomie… Je reviens à notre table, j’ajuste ma serviette sur mes genoux. Nous continuons la conversation, qui est vraiment éclectique. Peu après, je sens un pied soyeux entre mes cuisses et, avec un grand amusement, je décèle un certain étonnement chez ma voisine. En effet, me doutant de ce qui risquait de se produire, alors que j’ajustais ma serviette, j’en ai profité pour sortir mon service trois pièces.


Mais ça ne traumatise pas plus que ça Naomie qui se fait un plaisir de taquiner, de caresser ma verge qui ne demande que ça. Oui, c’est très bon, malgré le lieu et la situation !



Denis se met à rire ; il se tourne vers moi :



Naomie intervient :



Denis s’adresse à nouveau à moi :



Puis le repas a continué de cette façon, ma gêne disparaissant peu à peu. Le plus dur a été quand même de devoir remballer le matériel à chaque fois que je souhaitais me resservir au buffet ! Et caser un machin trop dur dans son caleçon, ce n’est pas évident !




Couple plus un



Aussitôt revenu chez lui, ses chaussures abandonnées dans le couloir, Denis s’installe illico sur le canapé, ayant au passage ôté son pantalon et son caleçon :



Et elle s’agenouille, plongeant la tête entre les jambes de son mari. Denis pousse un soupir de soulagement. Moi, je reste debout à l’entrée du salon, je ne sais pas trop bien ce que je dois faire : Rester ? Partir ?



Béat, Denis me regarde en souriant, sa bite toujours aussi bien choyée par les bons soins de sa femme très dévouée et pompière :



Un tantinet gêné, je m’approche un peu :



Projetant son bassin encore plus en avant afin que Naomie l’engloutisse complètement, Denis soupire :



Je ne réponds rien tandis que, délicatement, il caresse les cheveux de sa femme. J’avise un pouf rouge, je m’assieds dessus. Ôtant momentanément la tige de chair de sa bouche, Naomie répond pour moi :



Amusé, Denis se tourne vers moi :



Naomie se relève du tapis, abandonnant la privauté qu’elle offrait à son mari. Elle laisse tomber au sol sa jupe, puis elle vient se planter face à moi. J’attrape quelques sueurs froides, doublées d’un sacré coup de chaud devant le spectacle qu’elle m’offre : bas, porte-jarretelles et chatte offerte. Elle questionne :



Elle se dresse devant moi, sur la pointe des pieds, de part et d’autre de mes jambes, posant presque son sexe odorant sur mon menton. Devant cette invite explicite, je me fais un plaisir d’embrasser son pubis, avant d’aller glisser impudiquement ma langue dans sa fente humide à la recherche d’un petit bouton rose. De temps en temps, je me retire pour mieux admirer ses lèvres toutes lisses, si goûteuses. Puis je replonge avec délectation !


Elle gémit doucement, j’active un peu plus mes lècheries intimes, elle plonge ses doigts dans mes cheveux, se laissant aller à mes caresses. Soudain son mari se plaque dans son dos, tandis qu’il lui agrippe les seins. Il grogne :



À prime vue, il se frotte éhontément contre ses fesses, lui malaxant allègrement les seins tout en l’embrassant dans le cou ! Coincée entre ma bouche et le corps de son homme, Naomie se laisse aller sans pudeur, poussant son sexe humide vers ma figure afin que je la satisfasse au mieux. Elle laisse échapper ci et là quelques soupirs…


D’après ce que je crois comprendre, son homme s’est introduit dans son vagin détrempé et commence à lui faire son affaire. C’est étrange de savoir qu’un sexe d’homme occupe le vagin de la femme dont on taquine le clitoris !


Denis entre et sort plusieurs fois. J’en profite pour accentuer ma torture. Naomie semble apprécier alors je m’applique encore plus. Soudain, elle murmure :



Elle proteste mais ça ne l’empêche absolument pas d’écarter ses fesses de ses mains, cul projeté à présent en arrière, ce qui m’oblige à aller chercher ma divine friandise en nichant plus loin encore ma tête ! J’entends alors un double cri, un petit ton de surprise, un grave grognement de satisfaction d’être là où on veut être…



Tandis que je la lèche, je sens distinctement les coups de butoir que lui inflige son mari. Étrange sensation que d’avoir sous la langue la chatte détrempée d’une belle enculée ! Je me décoince plus vite que ne le supposaient mes hôtes !



Naomie vibre, elle crie, elle jouit comme une folle sous notre double assaut. Elle jouit comme un feu d’artifices, tremblements convulsifs, frissonnements vifs et spasmes épuisants, A-t-elle joui le plus sous ma langue ou sous la vile perforation de ses entrailles ? Ou des deux en même temps ? Je ne le saurai jamais puisque je n’oserai pas poser la question… Du moins, pas tout de suite !




Deux, c’est mieux qu’un



Après l’effort, le réconfort d’un verre. La soirée est épique ; en à peine quelques heures, j’ai déjà pu vivre bien des choses, et je crois que ce n’est pas fini ! Alors que Denis s’est absenté, Naomie met quelque chose dans ma main. Je regarde, c’est un préservatif. Sereinement, me regardant dans les yeux, elle dit :



Je m’exécute… Il y a pourtant quelque chose que je ne comprends pas bien. Soit pour mettre un préservatif pour une pénétration, mais Naomie ne m’a-t-elle pas fait une belle fellation tout à l’heure en avalant mon sperme ? Je renonce à comprendre…


Peu après, nous sommes dans le salon, Denis est assis sur le canapé, il lutine sa femme qui est debout devant lui, ses lèvres qui embrassent le ventre offert, ses mains avides sur les seins faits pour être cueillis. Moi, j’embrasse Naomie dans le cou, caressant ses hanches. Oui, partager la même femme, c’est très excitant !


Je caresse les jambes de Naomie tandis que mes lèvres descendent le long de sa colonne vertébrale. Avec délectation, je m’attarde dans le creux de ses reins, puis je dévale lentement vers deux monts et leur étroite vallée. Quelles belles fesses que voici ! Je les couvre de baisers de plus en plus appuyés !



Soudain, ayant lancé son alerte, chutant en arrière, Denis entraîne Naomie avec lui. Elle pousse un petit cri de surprise. Il se couche sur le dos tout en l’enlaçant fermement, tandis qu’elle se vautre sur lui de toute sa longueur, présentant à ma vue son mignon cul aux fesses accueillantes. J’apprécie énormément ces courbes offertes à mon regard !


J’ai à nouveau sous mon nez et sous mes mains, un splendide popotin qui n’attend que moi ! Tandis que je capture son beau cul que j’écarte pour mieux l’admirer, son sombre tunnel s’entrouvre, légèrement luisant. Ça me procure un singulier frisson ! Oui, c’est là que tout à l’heure que Denis s’est oublié… Une envie irrésistible s’empare de moi : je veux aussi plonger de la sorte en elle afin de la remplir !


La température augmente singulièrement ! J’ai une envie folle de posséder cette femme de toutes les façons possibles et imaginables ! Sans parler de celles qui seraient acrobatiques ou risquées pour ma physionomie ! Je constate avec une certaine stupéfaction que la convoitise la plus sauvage et primaire cohabite très bien avec l’inclination la plus pure. Oui, j’adorerais jouer le preux chevalier défenseur de ma Dame adorée et vénérée, mais en même temps, j’ai la volonté folle de l’accaparer pour moi seul, qu’elle soit ma chose, l’unique objet de ma concupiscence débridée !


J’aimerais réaliser tous les fantasmes avec elle ! Tous, les uns après les autres, sans en oublier aucun. Adorables, gracieux ou sales, peu importe ! Lumière ou ténèbres, je prends du moment que je la prenne, elle !


Toujours allongé sur Denis, Naomie ploie sous notre double assaut, moi qui me plaque contre ses fesses, son dos ; elle écrasant ses seins sur un autre torse, deux hommes aux bites dures qui cherchent chacune leur chemin en elle. Lascive, elle ondule contre nos deux corps, entre nos deux corps robustes, minaudant, comme fragile face à notre double désir d’elle.



Synchronisé, excités, nous trouvons chacun de notre côté l’accès étroit qui nous permet d’aller plus loin encore dans la possession de ce magnifique corps qui nous est offert ! Pour ma part, c’est avec une délectation sans nom que je fraye ma voie entre ses fesses toutes rondes et douces. Juste un petit ajustement du bout des doigts pour bien pointer l’entrée convoitée, puis sans vergogne, je pousse mon avantage, tandis que Denis en fait de même par-devant ! Qu’il est étrange pour moi de sentir à travers une mince paroi une autre queue la mienne dans ce corps que j’adore et que je possède !


Fébrile, je commence à pistonner cette femme que je convoite tant, lui faire sentir ma présence, ma force, ma virilité ! Avec un immense plaisir, je constate que, aidé par un certain lubrifiant naturel déjà présent, ma tige s’enfonce petit à petit dans ses profondeurs obscures et étroites ! Puis vient le moment excitant de mes couilles qui viennent s’aplatir contre son cul écartelé, ce plaisir ultime d’être au fond des choses, d’y être complètement calé, de tout posséder !


De son côté, Denis n’est pas en reste pour tenter, lui-aussi de s’enfoncer au plus lointain dans la caverne humide et chaude de sa femme ! Il le fait avec maintes puissantes secousses, grognant bruyamment tandis qu’il assène d’offensifs coups de rein.


Sous notre double agression, Naomie gémit, se tord, refuse, réclame !



Naomie est totalement défoncée, écartelée, élargie, ouverte à fond à ces queues qui plongent férocement en elle, cette double queue qui la prend sans vergogne, devant comme derrière, puis qui jouit de tout son saoul à la fois dans ses profondeurs interdites et sa grotte rosée ! Je rugis mon plaisir, j’expulse tout mon sperme en elle, me vider encore et encore, la remplir pour la faire déborder de partout !


C’est alors qu’elle crie son plaisir, une longue plainte, comblée intégralement par ses portes d’ébène et de jade, mélange de douleur de ses chairs déchirées, de sain plaisir, de fine souffrance, de royal ravissement…




Dans les mêmes draps



Après nos exploits, nous récupérons dans la cuisine, verre ou tasse en main. C’est alors que j’apprends qu’il est hors de question que je reparte ce soir et que Naomie me veut dans son lit. Au moins, c’est direct !



Assez étonné, je me tourne vers Denis :



C’est ainsi que quelques minutes plus tard, je serre la main de mon hôte, en étant à l’entrée de sa chambre. La situation me semble assez curieuse. Il me tape sur l’épaule :



Et il s’éloigne dans le couloir. Je referme la porte derrière moi, Naomie est déjà sous la couette jusqu’au menton, à moitié assise, plein de coussins dans son dos et sa tête. Sous l’œil vigilant de ma compagne de nuit, j’enlève tout, puis je me glisse à côté d’elle, me collant contre elle. Je constate avec satisfaction qu’elle est restée en lingerie, elle sait que j’adore ça ! D’ailleurs, si elle l’ignorait encore, mon sexe bien raide le lui ferait vite comprendre…


Je laisse aller mes mains sur son corps, elle en fait de même. Nos corps s’appellent l’un l’autre, nous commençons à glisser petit à petit vers une position plus allongée. Alors que nous sommes l’un contre l’autre, ses seins contre ma poitrine, elle entame la conversation :



Elle redresse un peu, ses seins presque sous mon menton :



J’en profite pour poser mon menton sur son sein, c’est très doux ! Imperturbable, elle répond :



Je ne demande que ça ! Je la caresse juste à la frontière entre tissu et peau, j’adore ce contraste, j’en suis positivement fou, d’autant plus fou que la femme qui porte cette lingerie aime en porter et que je sais que je ne me contenterai pas que de regarder !


Naomie laisse faire quelques instants puis elle me regarde droit dans les yeux :



M’attirant plus encore à elle, Naomie s’esclaffe joyeusement :



J’ai carrément mon nez entre ses seins, j’hume son décolleté. Mes mains sont aux anges, ma bouche aussi, au contact de sa peau douce et chaude ! Elle met ses doigts dans mes cheveux, Je dégrafe son soutien-gorge, elle se laisse faire. Maintenant, je possède ses deux seins, et j’en profite tandis qu’elle se laisse toujours tripatouiller. Elle réagit néanmoins verbalement :



Elle me sourit, elle me repousse gentiment. Je quitte à regret ses seins, mais je sais que très bientôt, j’aurai l’immense plaisir de les retrouver. Sous mes yeux très intéressés, elle ôte son porte-jarretelles, me laissant diverses autres courbes bien intéressantes, sans parler d’un certain nid douillet ! Elle constate :



Sans hésiter, elle capture entre ses doigts mon sexe dur :



Pour toute réponse, j’enlève la couette pour mieux voir sa main s’activer autour de ma queue. J’adore voir ses doigts si fins faire leur va-et-vient lascif et dévergondé ! Dévergondé, c’est le terme que je cherchais depuis un certain temps. Oui, c’est une femme un tantinet dévergondée et qui adore la lingerie qu’il me fallait. Elle existe, elle s’appelle Naomie, mais elle est déjà mariée, et je la vois mal quitter Denis pour mes beaux yeux !



Je la regarde intensément :



Je fais la grimace :



Je me jette à l’eau ; pas facile à dire quand même :



Avec délicatesse mais fermement, elle me branle. Je comprends vite de Naomie a une certaine expérience dans la chose, sachant presser, relâcher, accélérer ou ralentir au bon moment. Moi, j’essaye de retarder le moment où je n’en pourrais plus. Hélas pour moi, il arrive trop vite. Alors je lui demande d’arrêter, de s’allonger.


Tandis que je me positionne, elle commence à se masturber, ses doigts agiles jouent avec ses lèvres, son petit bouton. Après avoir admiré le beau spectacle, je la chevauche, agenouillé par-dessus son corps, ma queue pointée vers ses seins, son cou, son visage. À peine me suis-je masturbé deux-trois fois, que je me sens partir ! S’il y a d’autres fois, il faudra que je les retarde au maximum pour profiter à fond de cette magnifique femme, de cette magnifique dévergondée qui a tant à me faire découvrir !



Pas la peine de le dire deux ! Une première salve s’aplatit presque dans le creux de son cou. J’essaye de rectifier le tir, tant bien que mal. La suivante va s’échouer sur un téton, l’enrobant puis dégoulinant, laissant sur son sein des traînées du plus bel effet. La troisième s’écrase entre ses seins pour ruisseler vers le cou, rejoindre la première salve. J’entends Naomie jouir elle-aussi, dans plein de petits cris disloqués. Après, je ne sais plus bien, ma jouissance brouille mes sens et ma mémoire…


Toujours est-il que ma queue ruisselante est maintenant bien au chaud dans la bouche de Naomie, que c’est divin, à la limite parfois de la douleur tant c’est bon, extra ! Mais je suis pleinement heureux d’avoir baisé de la sorte !


Quelques moments plus tard, je suis nettoyé. Je flotte, totalement satisfait. Bien blotti contre elle, mon torse contre son dos, un bras sous sa tête, sa main cueillant un sein appétissant, l’autre ceinturant son ventre doux, ma queue toute neuve entre ses cuisses fraîches, tout comme Naomie, je m’endors bien vite.




Réveil dans un autre monde



J’ouvre les yeux. Intrigué, je ne reconnais pas les lieux. C’est alors que je réalise que je suis chez Naomie et Denis. Je tourne la tête : non, je n’ai pas rêvé, j’ai bien passé la nuit avec Naomie, elle est là, à côté de moi, en train de dormir.


Je me redresse sur les coudes, c’est vrai que c’est beau, une femme qui dort juste à ses côtés. Ça faisait un certain temps que je n’avais plus eu cette sensation. Longtemps, trop longtemps. C’est alors que je réalise que je n’avais pas éprouvé ce genre de sensation avec mes dernières petites amies. Il est vrai que c’était plutôt pour l’hygiène que pour les sentiments…



Sans faire de chichi, comme si elle l’avait toujours fait, elle vient se blottir contre moi ; j’en profite pour caresser son dos, de savourer la douceur de sa peau, puis, m’enhardissant un peu plus, je câline l’arrondi de ses délicieuses fesses. Un tel réveil, c’est agréable. Je resterai bien des heures ainsi…



Et sans attendre ma réponse, elle chasse le drap et dévoile ainsi ma verge bien droite.



C’est une vive satisfaction que je sens ses lèvres chaudes se refermer sur mon pieu de chair ! Et elle entame une autre fellation d’enfer dont je me souviendrai longtemps ! Déjà que l’apéritif d’hier, c’était quelque chose de dantesque, le petit déj’ qu’elle m’offre actuellement, ce n’est pas triste non plus ! Et puis, un réveil de la sorte, ça ne se refuse pas.


Donc je me laisse agréablement faire !


Elle joue avec mon sexe, comme s’il s’agissait une vraie sucette, elle le déguste, le savoure, le suce, naturellement. Ça me change terriblement de mes ex qui le faisaient juste pour me faire plaisir et encore. Non, là, Naomie y va de bon cœur et on devine sans problème qu’elle aime.


Alors qu’elle reprend un peu son souffle, la bouche grande ouverte au-dessus de ma bite toujours bien dressée, je me dégage, puis je me jette sur elle. Elle esquisse un petit cri de surprise :



Je la plaque sur le lit. Ça me fait quelque chose quand je me rends compte qu’elle a gardé en effet ses bas toute la nuit. Une femme nue aux jambes gainées, ça fait un sacrée effet ! Alors sans plus attendre, je me couche sur elle, cherchant à introduire ma queue bien dure dans son antre bien détrempé ! Mais elle n’ouvre pas les jambes…



Fébrile, je m’empare d’un petit sachet posé sur mon chevet. Je crois que j’ai battu mon record de pose. Puis armé de mon bout de plastique, je retourne au charbon. Ludique, elle déclame, jambes ouvertes :



Je plonge en elle avec délectation ! Elle ne se débat pas pour autant, tandis que je me fais une joie de la pistonner. Elle lance même ses bras autour de mon cou :



Je me déchaîne, la pistonnant à fond, cette allumeuse qui m’excite tant ! Je ne fais pas dans le détail, trop préoccuper à lui faire son affaire, là, maintenant, sans chichi. Et le pire, c’est qu’elle aime visiblement ça ! Elle pousse des tas de petits cris, s’agrippant encore plus autour de mon cou, levant bien haut les jambes pour que je plonge encore plus loin en elle !



Je ne réponds pas, j’essaye de me pas me laisser aller tout de suite, afin de profiter le plus longtemps possible de cette adorable vicieuse ! Cette catin joue lascivement du bassin, pivotant autour ma queue qui la perfore sans relâche ; l’impression est trop forte, trop puissante ! C’est comme si je n’avais aucun préservatif, comme si ma chair était bien en elle. Échaudé comme je suis, je ne résiste pas bien longtemps et dans des formidables coups de rein, je me plante en elle pour expulser un maximum de sperme afin de la remplir, bestialement, férocement ! C’est bien l’une des premières fois que je me vide autant comme si j’avais des litres de foutre à évacuer, pour que ma pute adorée déborde de toutes parts !


La bestialité, ça a aussi franchement du bon, surtout avec une femme qui aime jouer le jeu !




Les jours suivants



Les jours suivants furent pour moi une série de découvertes et de redécouvertes. La plupart des choses que je croyais ne plus revivre ou que je croyais ne pas concrétiser le furent avec une simplicité et un naturel désarmants. Je me faisais tout un monde de certains fantasmes, je constate que c’est passé comme une lettre à la poste.


Noamie à croquer en lingerie et mes doigts qui se baladent partout ? Faire l’amour pour un oui ou pour un non, n’importe où ? Tester trente-six positions, acrobatiques ou pas ? Elle, juste en T-shirt dans ma voiture, se laissant tripatouiller ? Sa bouche qui m’offre un peu partout des sucettes d’anthologie ? Ses mains qui s’égarent très souvent ? Des repas, nus tous les deux ? Je pourrais allonger la liste encore longtemps… très longtemps…


Mon actuel problème est que je suis passé de rien à tout, ou presque. Vous avez faim depuis très longtemps ; éventuellement, vous ne mangez que des trucs fades en petite quantité, et puis, d’un coup comme ça, paf, on vous met sous le nez un extraordinaire gâteau onctueux, en vous disant : servez-vous, mangez tout !


Eh bien, c’est mon cas avec Naomie !


L’inconvénient est que je ne vis pas avec elle, du moins pas tous les jours. D’ailleurs, elle m’a bien mis les points sur le i :



Un peu dépité, je soupire :



Mais bon, la place est bonne, même si je dois la partager. Et je ne peux quand même pas trucider son mari ! Je reconnais que je trouverai difficilement une autre femme comme Naomie, du moins pour l’instant. Je peux toujours rêver de dénicher son clone quelque part, mais j’ai des doutes que ce soit faisable rapidement. Je pense même que Naomie est le genre d’occasion qui ne traverse votre vie qu’une seule et unique fois. Et qu’il ne faut pas trop chercher à comprendre : on monte dans le train ou bien on reste sur le quai de la gare. Inutile de courir après ce train, une fois qu’il est parti, et inutile d’attendre le suivant, il risque de ne jamais s’arrêter, ou pire de venir…


Mais l’espoir fait vivre…




Fin de ce récit mais pas de mon histoire



Depuis quelques jours, j’ai l’immense satisfaction de remplir Naomie de mon sperme, de pouvoir lui en mettre partout, par tous les trous ! Ce n’est pas très élégant de le dire ainsi, mais c’est jouissif de le faire !


En effet, j’ai passé mon test et celui-ci est négatif, je suis clean. Et comme je ne vais pas farfouiller trop ailleurs et que quand je le fais, je le fais moyennant des précautions, de ce fait, je n’ai plus besoin de plastique avec ma Noamie adorée !


Le plastique, c’est peut-être fantastique, mais le rien du tout, c’est extra doux ! (air connu)


Honnêtement, je préférerais nettement avoir ma Naomie à moi, plutôt que de devoir l’emprunter à Denis. Mais il vaut mieux être deux (ou plus) sur un bon coup que seul sur un mauvais. Et puis, en attendant, je parfais mon éducation avec ma chère prof attitrée, d’autant qu’elle en a beaucoup à m’apprendre. Idem pour Denis. Décidément, je constate que j’ai du rattrapage sur la planche et plein de trous dans mon éducation. Mais comme je suis assidu, je pense que d’ici quelques temps, mes lacunes seront comblées. Après il me faudra quand même vérifier si j’ai bien tout retenu ! Donc, je ne suis pas près de déserter les bras de Naomie !


Ce qui est une bonne chose !


Le temps passe, les jours, les semaines, les mois. J’apprends vite, surtout avec pareille maîtresse dans les deux sens du terme. Naomie ne se séparera jamais de Denis, je l’ai compris, et Denis le sait très bien. Moi, je suis son petit grain de folie, son amant, voire son jouet. Mais je sais aussi qu’on peut se lasser des jouets. Rien n’est assuré, il faut savoir se renouveler, surprendre. La routine tue très facilement un couple, c’est une autre leçon que j’ai retenue, il faut savoir être en alerte.


Ces derniers temps, je sors beaucoup, j’ai pris de l’assurance, ça me manquait. Depuis peu de temps, je fréquente Édith, une charmante femme qui a divers points communs avec Naomie, Aussi bien d’un point de vue physique que par certaines façons de faire, de réagir. Par contre, elle est moins délurée. Je dirais même qu’elle ressemble beaucoup à qui j’étais avant de croiser la route de mon actuelle maîtresse adorée.


Quelque chose me dit que je vais beaucoup m’amuser à faire avec elle ce qu’a fait pour moi ma sensuelle Naomie !