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La plage privée

Bonjour ; je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivée au travail l’année dernière.

Je suis serveur sur une plage privée de la Côte d’Azur dont je tairai le nom. Je suis un Noir, je mesure 1,85 m, et plutôt sportif. Le boulot n’est pas facile mais il y a des bons côtés, comme sur toutes les plages, et surtout les privées : il y a pleins de filles en maillot…

Ce jour-là nous recevions un groupe d’une entreprise locale qui fêtait une bonne année de travail. Ils faisaient pas mal de bruit et l’alcool coulait à flots. Je leur ai apporté je ne sais plus combien de bouteilles et de cocktails. Ils étaient tous complètement bourrés et ils se mettaient à danser sur n’importe quoi en se caressant les uns les autres de manière très suggestive. Un groupe bien délire, quoi !

Il y avait dans le lot une petite blonde genre 35 ans et très bien conservée, de légères rondeurs comme on aime, un bon 95B et un sourire avec une bouche pulpeuse à vous faire bander n’importe qui. Au cours de l’après-midi je l’ai même surprise avec un gars du groupe ; allongés tous les deux sur les canapés et transats de la plage, ils s’amusaient à glisser leurs mains sous leurs maillots.

Derrière mon bar, je ne pouvais pas m’empêcher de durcir en voyant ce que faisait cette petite cochonne.

Ensuite, un des gars est venu me commander des boissons pour tout le groupe, et la petite blonde est venue aussi avec une autre de ses copines. On a discuté un bon moment en rigolant de tout, et les filles n’arrêtaient pas de me brancher gentiment sur le sexe. Le gars m’a alors demandé si on pouvait aller aux toilettes pour se parler tranquillement. Un peu étonné, j’y suis allé quand même. Le gars cherchait de quoi allumer un bédo ; et comme il lui manquait des feuilles, il cherchait partout. Je lui ai donné le paquet qu’il voulait et il m’a proposé de partager ; et là, la petite blonde est apparue dans les toilettes et voulut rentrer avec nous pour fumer aussi. On s’est un peu serré tous les trois, et le fait de se retrouver comme ça m’a beaucoup excité.

Le bédo tournait de bouche en bouche, et quand la blonde l’a pris, son pote a commencé à être de plus en plus sensuel. Il lui touchait les seins et les fesses à travers le maillot tout en lui suggérant de faire un plan à trois. Ni une ni deux, j’ai embrayé pour la caresser et l’embrasser dans le cou en lui faisant des avances, mais après avoir tiré deux taffs, elle est sortie en rigolant et en titubant un peu. Son pote est parti, mais quand j’allais repartir elle est revenue, seule. Je me suis dit qu’il ne fallait pas hésiter : je l’ai tirée par le bras dans les toilettes et j’ai fermé la porte. Je me suis retourné et nous nous sommes enlacés en nous roulant des pelles incroyables. Elle faisait tourner sa langue dans ma bouche comme si elle voulait me montrer son excitation ; j’étais tout dur, et la pression montait…

Je lui ai attrapé les seins que j’ai commencé à pétrir, puis j’ai tiré sur le haut de son maillot pour le défaire. Elle avait de gros seins naturels avec des tétons magnifiques qui se dressaient de manière incroyable. Ma bouche passait d’un sein à l’autre ; elle me tenait la tête avec les mains. Je sentais bien qu’elle était ivre et qu’elle ne se rendait peut-être pas compte de tout, mais physiquement cette fille m’attirait vraiment, comme si je ne pouvais pas faire autrement.

J’ai ensuite glissé une main dans son maillot à la recherche de son sexe. Une petite fente tout épilée et tout humide m’a accueilli. Je continuais de l’embrasser en cherchant l’entrée avec mes doigts. J’ai joué un peu avec son clitoris, et comme elle ondulait déjà du bassin, je suis descendu plus bas pour rentrer un doigt et puis deux dans sa fente complètement ouverte. Après plusieurs va-et-vient, je crois qu’elle a joui instantanément.

Je lui ai dit que je voulais la prendre mais elle m’a dit non avec des yeux un peu vitreux, elle préférait me sucer. Et elle m’a dit : « Mon mari adore ça, quand je suce des queues. » Alors j’ai sorti ma queue et elle s’est mise à genoux pour m’avaler le gland. Je lui tenais la tête pour qu’elle m’avale en entier. Ses va-et-vient étaient incroyables, elle me pompait comme jamais je ne l’avais été. Je revois sa bouche déformée par le passage de mon pénis qui est assez large, une main qui masturbe mon sexe et l’autre qui caresse mes bourses. Ah ! Quelle déesse de la fellation ! Je me suis dit « Putain, t’es en train de taper une cliente ! » À ce rythme-là je n’ai pas tenu bien longtemps ; j’ai voulu m’écarter pour éjaculer sur ses seins, mais elle m’a forcé à rester dans sa bouche pour tout avaler. C’était vraiment génial.

Je me suis rhabillé et me suis dirigé vers la sortie pour retourner travailler. Et là, j’ai croisé son pote de tout à l’heure qui revenait. Je l’ai salué, mais il m’a à peine vu. Il est rentré dans le WC et a refermé la porte. Je les ai entendus parler, puis rire, et des bruits d’embrassades se sont fait entendre. Je suis revenu sur mes pas pour aller derrière le WC.

Là, je dois vous fournir une précision importante : le patron de la plage – qui est un gros pervers – a trafiqué la bouche d’aération pour avoir un poste d’observation afin de mater les filles qui viennent aux toilettes.

Je me suis mis là, et j’ai vu ma petite blonde et son pote en train de s’embrasser à pleine bouche. Elle allait remettre ça ? Elle était infatigable ! Son pote tira sur les ficelles de son maillot qu’elle venait de remettre, et fut de nouveau nue. J’ai pris mon portable et j’ai commencé à filmer. Son copain lui disait : « Alors, tu veux la revoir ? Tu l’as pas vue assez la dernière fois… » Il a retourné la fille contre la cuvette et l’a obligée à se pencher. Il a sorti sa queue et l’a prise en levrette. Depuis mon poste, je voyais le visage de la fille en gros plan. Elle se mordait les lèvres sous les coups de reins du gars. Je voyais bien qu’elle kiffait à fond. Je me suis remis à bander. Tout en me masturbant, je les ai regardés baiser comme des chiens. Elle gémissait de petits « Oui, oui, ouf… ». Sa superbe poitrine généreuse se balançait d’avant en arrière. Ses cheveux masquaient son visage et la sueur coulait partout.

J’ai entendu le boss qui me cherchait, et j’ai dû arrêter de filmer.

Un quart d’heure après je suis revenu à mon poste pour voir s’ils avaient fini. Et là, quelle ne fut pas ma surprise de voir le même gars avec une autre des filles du groupe ! Une autre blonde était là, entièrement nue, qui le suçait. Elle n’était pas à genoux mais accroupie en suspension sur les jambes. Je me suis remis à filmer. Après une bonne pipe pour que le mec redevienne dur – ce qui me fit penser que la petite de tout à l’heure avait dû s’en prendre plein la chatte – il l’a retournée de la même manière sur la cuvette. Elle était beaucoup moins belle que ma belle suceuse de tout à l’heure, mais le mec avait décidé de la tirer quand même.

Il s’est enfoncé en elle d’un grand coup et l’a pilonnée comme un marteau-piqueur. C’était génial ; je voyais ses seins qui bougeaient d’avant en arrière à une cadence démesurée. Mais comme si elle en voulait encore plus, elle a poussé sur ses bras pour s’embrocher encore plus loin sur le pieu du mec. Après cinq bonnes minutes, le gars est ressorti et s’est présenté devant son anus. Il a glissé un doigt pour mouiller l’ensemble puis a présenté son gland. La garce a écarté ses fesses pour faciliter la manœuvre. D’un seul coup, il est rentré jusqu’à la garde. Elle a gémi en disant : « Vas-y, défonce-moi. S’il te plaît, défonce-moi le cul… »

Le gars l’a pilonnée un bon moment avant de sortir et de la retourner pour la prendre par les cheveux. Il a présenté sa queue devant sa bouche pour qu’elle le suce. Elle l’a ouverte et a commencé à le pomper énergiquement. Il lui a tout mis dedans, et elle a avalé au fur et à mesure.

Ensuite, je suis parti bosser et le groupe est reparti, mais souvent je regarde ma vidéo de ce jour-là et je me branle souvent en pensant à cette jolie cliente qui m’avait sucé comme une reine et que je me taperais bien en entier ce coup-ci.

Si tu pouvais lire ces lignes et que tu te reconnaisses, j’aimerais tellement qu’on puisse se revoir pour faire l’amour et baiser comme des fous.