n° 17036 | Fiche technique | 57043 caractères | 57043Temps de lecture estimé : 32 mn | 22/09/15 |
Résumé: Lors d'une randonnée en montagne, un couple est contraint de partager un gîte avec un groupe de militaires. | ||||
Critères: fhhh couplus inconnu uniforme forêt anniversai hmast préservati partouze gangbang yeuxbandés | ||||
Auteur : Cristal Envoi mini-message |
La dernière montée vers le col est très pénible. Les pierres qui tapissent le sentier pentu roulent sous le pied et rendent la progression difficile. Exténués après une ascension sous un soleil de plomb, Aline et Christophe atteignent enfin le refuge de « La pierre tournante ».
La cabane est entourée de grands sapins dont les branches sombres tombent vers le sol, comme pour exprimer une grande lassitude face à la rigueur du climat alpin. Le soleil de fin d’après-midi illumine la façade en pierre du refuge où ils vont passer la nuit. Nos deux randonneurs poussent la porte qui grince en s’ouvrant. Ils découvrent une pièce équipée d’une grande table, de bancs, d’une cheminée et d’un couchage sommaire constitué d’un très grand plateau de bois sur lequel sont étendus des matelas.
Aline succombe immédiatement à l’appel irrésistible des matelas :
Christophe ouvre un paquet de gâteaux secs et remplit deux verres d’eau qu’il lui propose d’aller déguster à l’extérieur. Aline fait la moue quelques secondes puis, en maugréant, elle abandonne à regret le matelas sur lequel elle était vautrée. Elle le rejoint devant la cabane et, avant que le soleil ne disparaisse, ils étendent leurs vêtements trempés de sueur pour les faire sécher.
Peu rassuré par la couleur du ciel où des nuages noirs menaçants s’amoncèlent, Christophe propose à Aline :
Ils ont eu tellement chaud durant leur ascension que la fraîcheur de l’eau n’est finalement pas un obstacle mais en est presque agréable. Christophe s’est mis à poil pour se rincer en s’aspergeant d’eau avec une casserole sûrement oubliée là par un randonneur.
Quelques minutes plus tard, elle se dirige à son tour vers le ruisseau. Après avoir trempé son doigt dans l’onde fraîche, elle hésite, tergiverse, puis finit par ôter ses vêtements. Tout en admirant le panorama offert par la vallée, elle s’asperge à son tour avec la casserole, en poussant des petits cris de surprise quand l’eau glacée ruisselle sur son corps frissonnant.
Soudain, elle entend une pierre rouler et se retourne brusquement dans la direction empruntée par son mari pour aller chercher du bois.
Comme sorti du néant, un groupe de militaires l’observe d’un air goguenard, en train de se geler. Surprise, elle lâche la casserole qui fait un grand bruit en cognant le sol caillouteux, puis elle saisit vivement sa serviette dont elle se drape maladroitement afin de soustraire son corps nu aux regards indiscrets.
Le visage d’Aline vire au rouge pivoine et elle s’en veut de bredouiller en retour :
Avec un sourire ironique, les cinq soldats se dirigent en file indienne vers le refuge, non sans la déshabiller des yeux lorsqu’ils passent à côté d’elle. Elle reste plantée là quelques dizaines de secondes, les regardant défiler devant elle, déconcertée. Après ce court instant de détresse, l’image de leurs deux sacs à dos déballés sur la table du refuge lui revient à l’esprit et elle décide de retourner immédiatement à la cabane. En se rhabillant, Aline adresse une pensée désespérée à Christophe : « Dépêche-toi de revenir ! » et se dirige d’un pas pressé vers le refuge. Dans sa précipitation, elle oublie son téléphone qu’elle avait posé sur une grosse pierre.
Lorsqu’elle pénètre à son tour dans le refuge, les soldats ont soigneusement aligné leurs sacs contre un mur et sont penchés sur une carte dépliée sur la table.
Se retournant vers Aline, il s’adresse à elle sur un ton malicieux :
À peine remise de son embarras, Aline lui répond, bredouillant de plus belle :
Les derniers mots d’Aline les fait sourire. Elle vient de trahir son inquiétude et l’un des gars en profite pour la taquiner :
Le chef les rappelle à l’ordre d’un ton autoritaire :
Il poursuit, s’adressant à Aline :
Exécutant l’ordre immédiatement, ils quittent tous le refuge pour aller se rafraîchir dans l’eau glacée du petit ruisseau. Aline vérifie rapidement qu’il ne manque rien à leurs affaires et reste sur le seuil, impatiente quant au retour de son mari.
Elle entend au loin les soldats s’apostropher en criant et devine qu’ils s’arrosent d’eau froide. Mais comme Christophe ne revient toujours pas, elle commence à s’inquiéter. Cinq minutes plus tard, alors que les cris des militaires ont cessé, elle entend au loin la sonnerie de son téléphone :
Elle n’ose pas aller le récupérer, mais en même temps elle voudrait prévenir son mari pour lui dire qu’elle n’est pas seule et qu’ils vont devoir supporter la compagnie d’un groupe de militaires. Elle aurait tant aimé qu’ils passent la nuit tous les deux, seuls dans ce gîte perdu dans la montagne, seuls ce soir pour son anniversaire…
C’est vrai, Christophe avait bien eu une super idée : il était arrivé un soir, en rentrant du travail, un large sourire aux lèvres et une carte IGN à la main. Il avait pris Aline dans les bras et d’une voix langoureuse lui a susurré à l’oreille :
Elle lui avait sauté au cou et l’avait couvert de baisers.
Son téléphone sonne à nouveau, la sortant de sa rêverie… Elle hésite encore, elle voudrait bien aller le récupérer mais elle appréhende de se retrouver seule au milieu de ces types… quoique… Une idée coquine lui chatouille les neurones et vient à bout de ses hésitations : « C’est peut-être Christophe qui demande du secours… avec un argument pareil, je dois y aller et… j’en profiterai pour jeter un coup d’œil aux militaires en train de se laver ! Oui, c’est ça, je vais faire comme ça ! »
Elle se dirige vers le ruisseau mais la sonnerie s’arrête. Dépitée, elle s’apprête à faire demi-tour lorsqu’un militaire se précipite en courant vers elle, nu comme un ver et en se cachant maladroitement le sexe de sa main. Il lui tend le portable qui sonne à nouveau :
Aline le récupère et sent une forte chaleur monter à ses joues car, tout en décrochant, elle ne peut s’empêcher de détailler l’anatomie de l’homme qui se trouve devant elle et bégaye :
Elle se met un peu à l’écart et répond à voix basse avec un débit de paroles saccadé :
« Lui, c’est un cochon, mais moi, j’ai hyper chaud… » pense Aline en raccrochant. Elle reste quelques secondes comme hypnotisée par les mouvements des corps musclés qui se trouvent maintenant devant ses yeux. Toute à son émotion, elle n’avait pas remarqué qu’elle continuait à se rapprocher du ruisseau alors qu’elle parlait avec son mari. Comme elle se retrouve devant les militaires nus qui font des étirements pour atténuer les effets de la marche, elle tourne très rapidement la tête pour ne pas être prise en flagrant délit de voyeurisme. Elle ne voudrait pas que sa curiosité soit perçue comme une provocation et repart rapidement vers la cabane, les laissant à leur gymnastique.
Mais, l’image émouvante de ces corps nus ne disparaît de ses pensées…
Quelques minutes plus tard, elle entend des voix se rapprocher. Christophe apparaît, les bras seulement chargés de quelques morceaux de bois échangeant quelques mots avec les cinq hommes qui reviennent, eux, du ruisseau.
Christophe pose les branches sur le sol de la cabane et, lorsque son regard croise celui d’Aline, il lui trouve un air bizarre, un mélange d’anxiété mais également d’autre chose. Il s’adresse aux militaires :
Chacun s’éloigne, partant dans des directions différentes alors que le tonnerre se met à gronder de manière menaçante. Aline, seule avec Christophe, en profite pour lui raconter son aventure tandis qu’ils ramassent des brindilles. Il lui confie en retour, qu’étant prévenu de la présence des militaires, il s’était approché d’eux sans faire de bruit et avait surpris leurs discussions qu’il lui rapporte avec délectation :
Surfant sur l’occasion qui lui est offerte, Christophe poursuit :
Sa phrase est interrompue par un violent claquement de tonnerre. Aline pousse un cri et s’accroche à Christophe. Le vent se lève et de grosses gouttes s’écrasent sur le sol. Des éclairs zèbrent le ciel d’encre et, soudain, une pluie diluvienne prend de court les ramasseurs de bois. Ils rejoignent le gîte en courant, après avoir enveloppé les brindilles dans leur veste pour les abriter.
Aline et Christophe sont les premiers à rejoindre le refuge, trempés jusqu’aux os. Ils allument un petit feu et les quelques chandelles laissées là par les visiteurs successifs. Les flammes dispensent une lumière vacillante dans la pièce et ils rajoutent dans l’âtre les quelques branches ramassées par Christophe.
Ils se déshabillent rapidement. Aline vient à peine d’enfiler son tee-shirt sec quand la porte s’ouvre brusquement sur une obscurité zébrée d’éclairs. Un à un, les bras chargés de branches, les cinq militaires pénètrent dans la pièce, trempés, car ils ont eux aussi utilisé leurs vestes pour protéger les branches de la pluie.
Le regard des militaires converge immédiatement vers Aline qui s’était assise, recroquevillée en enserrant ses genoux de ses bras. Échangeant entre eux des coups d’œil interrogatifs, ils se déshabillent aussitôt, ne conservant que leur slip kaki. Ils se rapprochent du feu mais aussi de Christophe et d’Aline, dont ils détaillent l’anatomie avec un intérêt mal dissimulé. La chaleur de l’âtre ne réchauffe que très lentement leur peau mouillée par la pluie glacée. Un des militaires brise le silence seulement troublé par les crépitements du feu :
Le chef les regarde d’un air compatissant et finit par répondre :
Exprimant leur satisfaction avec un grand sourire, les militaires sortent de petites gourdes de leurs sacs. L’un d’entre eux tend deux verres à Aline et Christophe en leur disant :
Le soldat semble n’avoir pas entendu ces derniers mots et il leur tend à nouveau les deux verres bien remplis. Aline et Christophe y trempent tout d’abord timidement les lèvres pour goûter, puis se sentent obligés d’imiter les autres qui ont déjà avalé d’un seul trait le contenu de leur gobelet et les fixent avec attention. Le breuvage leur brûle la gorge, ils toussent tous les deux ce qui déclenche l’hilarité générale.
Le chef se tourne vers eux et s’approche, une gourde à la main. Il remplit à nouveau leurs verres en disant :
Le mélange alcoolisé a diffusé dans leur estomac vide une bouffée de chaleur qui finit par les envelopper complètement. Les cinq militaires lèvent tous leur verre et le tendent vers Aline et Christophe en criant :
Aline chuchote à l’oreille de son mari :
Les militaires vident tous leur verre d’un trait. Visiblement déçu, leur chef s’adresse énergiquement à Aline et Christophe qui ne boivent pas :
Aline et Christophe s’exécutent tout en grimaçant, car le breuvage brûle un peu leur estomac.
Le feu diffuse maintenant une chaleur vive qui donne à leurs joues des couleurs écarlates.
Christophe, sentant ses idées s’embrumer rapidement, demande alors aux militaires :
À l’extérieur, l’orage gronde, les nuages déversent un déluge d’eau sur le toit en ardoise.
À l’intérieur, l’alcool réchauffe l’atmosphère et fait monter le ton des conversations.
Le mouvement accentue la tension du tissu sur sa poitrine et met en évidence les pointes de ses seins qui commencent à se dresser sous le tissu du tee-shirt.
Avec un plaisir inavouable, Christophe intercepte aussitôt les regards brillants voire carnassiers qui scrutent la poitrine d’Aline tandis qu’un homme remplit à nouveau leurs verres. Il la prend par le bras et l’entraîne à l’écart :
Mais, lorsqu’Aline lui répond, il se dit qu’il est peut-être déjà trop tard.
La nouvelle tournée étant servie, le chef lève son verre…
Les militaires lui répondent en chœur :
Aline lève son verre et s’écrie à son tour, pour la plus grande joie de son auditoire :
Tous se mettent à rire, et Aline reprend :
Le liquide brûlant inonde sa poitrine et Aline sent son visage s’empourprer pour devenir écarlate. Elle ne sait pas si c’est la chaleur du feu, l’alcool, l’excitation ou bien les trois qui lui provoquent cette bouffée de chaleur…
Ses pensées sont terriblement embrouillées ! Elle a l’impression de vivre exactement les fantasmes qu’elle partage avec Christophe… ça l’excite, mais elle est trop saoule pour se poser des questions. « Après-tout, pense-t-elle, c’est l’occasion de savoir ça leur plaît vraiment. »
Elle a l’impression de naviguer dans un brouillard qui s’épaissit de minute en minute. Elle sent aussi avec acuité les pointes de ses seins se tendre sous les regards alcoolisés de ses admirateurs. Christophe n’est guère plus lucide, mais, tout comme Aline l’a deviné, il imagine avec un trouble sentiment de culpabilité que la tournure des évènements risque fort d’évoluer, ce qui lui déclenche immédiatement un début d’érection. Si bien que lorsqu’un militaire s’écrie « On va faire un jeu ! On va voir si la sirène du ruisseau est capable de reconnaître son mari ! » il échange avec Aline un regard faussement fataliste tandis que les militaires répondent tous en cœur « Ouais ! », et l’un d’entre eux ajoute sur un ton un peu égrillard « Un jeu avec des gages ! »
Tous les regards se tournent alors vers le couple pour guetter une éventuelle réaction de refus… qui, à leur grande satisfaction, ne vient pas puisque, fantasme oblige, ni Christophe ni Aline ne s’y opposent ! Aline a juste le temps de croiser le regard émoustillé de Christophe alors qu’un militaire vient lui nouer un tissu autour de la tête, ne lui laissant plus le loisir de se rétracter. Elle pensait quand même être plus inquiète que ça, mais le courage donné par l’alcool lui a donné des ailes.
Guidée par un militaire, Aline s’approche des trois hommes qui tendent leurs mains vers elle. L’homme lui prend les mains et les met en contact avec celles du premier candidat. Elle saisit successivement les mains en détaillant du bout de ses doigts les paumes, les phalanges, les ongles, la pilosité au dos… Au fur et à mesure de ses auscultations, des ondes sensuelles remontent agréablement le long de ses bras. Après quelques dizaines de secondes, elle finit par porter son choix sur le deuxième qui ne se ronge pas les ongles et dont les mains sont larges.
Les quatre hommes s’alignent devant elle, les bras le long du corps, dans l’attente du contact des paumes d’Aline. Christophe est le dernier cette fois-ci. Elle s’avance, toujours guidée par le maître du jeu qui la laisse à un bon mètre des hommes, ce qui l’oblige à y aller à tâtons. Le premier soldat est très grand et le contact ne se fait pas avec les pectoraux mais plus bas, au niveau des abdos. Le contact avec les carreaux de chocolat de l’homme qui lui fait face enflamme le bout de ses doigts qu’elle retire vivement, comme si elle venait de se brûler.
Ses deux mains remontent et se posent à plat sur la poitrine du premier candidat.
Elle passe au suivant. Pour laisser durer le suspense, à moins que ce ne soit simplement par plaisir, elle laisse ses doigts glisser sur le torse poilu, sachant bien qu’il ne peut s’agir de Christophe, qui est presque imberbe.
Par contre, entre les deux derniers, c’est plus long, comme si elle n’arrivait pas à se décider. En fait, elle a bien reconnu Christophe mais elle trouve ce jeu tellement excitant qu’elle fait tout pour le faire durer…
Le ballet de ses mains sur la poitrine des numéros 3 et 4 se prolonge, ses paumes en parcourent lentement chaque centimètre carré. Le bout de ses doigts s’attarde même sur la pointe des seins qu’elle sent se dresser avec satisfaction. La tension monte brusquement d’un cran. Tous les hommes, non seulement ceux qui reçoivent la caresse des paumes féminines, mais les autres aussi, deviennent plus nerveux.
Une vague de sifflets accompagne son erreur. Aussitôt, en guise de gage, le maître du jeu la fait tournoyer sur elle-même en plaquant sans vergogne les mains sur ses seins.
Les mains posées sur sa poitrine lui arrachent un profond soupir. Aline s’imagine être une toupie folle abandonnée dans un brouillard opaque. Le contact de ses paumes avec les torses de tous ces hommes l’a profondément troublée et a même allumé une petite explosion de chaleur au creux de son bassin.
Elle hésite un court instant mais, finalement, succombe sans un mot à ses pulsions aventureuses et tend les mains devant elle pour ne pas trébucher. Aline part à la rencontre de l’inconnu.
L’émotion de Christophe est visible tandis qu’il l’observe se diriger vers eux, en petite tenue, les bras tendus devant elle. La voir désirée par tous ces hommes lui procure une immense excitation.
Un militaire tricheur monte sur le banc de bois vers lequel elle se dirige à tâtons, les bras tendus devant elle. Les mains d’Aline se trouvent ainsi à la hauteur du bassin de l’homme. Inévitablement, les doigts en quête d’un contact rencontrent une bosse révélatrice. Elle est surprise par cette découverte qui provoque instantanément une nouvelle bouffée de chaleur dans sa poitrine. Encore une fois, elle retire vivement ses mains, comme si le contact l’avait électrisée.
Enhardis par le geste de leur camarade, tous les hommes montent à présent sur le banc…
Deux mains se glissent sans ménagement sous le tee-shirt d’Aline en caressant ouvertement sa poitrine au passage. Les larges mains qui la pelotent accélèrent sa respiration. Le vêtement est jeté dans un coin de la pièce et elle se retrouve seulement vêtue d’une culotte minimaliste qui ne cache pas grand-chose de ses fesses.
Le maître du jeu la saisit par les hanches pour la faire tourner lentement plusieurs fois sur elle-même. Il se frotte à elle à chaque tour, elle se colle à lui de plus en plus, offrant aux autres hommes le spectacle de ses seins gonflés de désir qu’ils matent tous avec envie.
Tout comme celle d’Aline, la respiration de Christophe s’emballe lorsque, sans se presser, les paumes du maître du jeu caressent ostensiblement le mont de vénus épilé. Le frottement des doigts sur le tissu de la culotte enflamme Aline encore un peu plus. Elle sent tout son corps brûler d’excitation, elle pense à son mari qui doit être dans le même état qu’elle… C’est encore plus fort que tous les jeux qu’ils ont essayés jusqu’à présent !
Brisant le silence troublant qui s’installe, le chef lui donne un ordre impatient :
Plus audacieux que ses troupes, il enlève carrément son slip et monte à son tour sur le banc, dévoilant un sexe déjà à l’horizontale, qui n’attend visiblement que le contact avec les mains d’Aline pour continuer à se dresser.
Cette fois-ci, lorsque ses doigts rencontrent la verge gonflée, elle ne les retire pas. Au contraire, elle les laisse lentement parcourir la tige, appréciant sa raideur prometteuse.
Des sifflets saluent sa victoire ! Le chef lui ôte le bandeau. Aussitôt, les yeux d’Aline partent à la recherche de Christophe, dont les mains tremblent d’excitation. Puis elle fixe successivement ses propres doigts immobilisés sur le sexe tendu qui se dresse devant elle, le visage du chef qui la domine de toute sa hauteur, puis à nouveau le regard complice mais lubrique de son mari qui l’encourage à poursuivre.
Aiguillonnée par l’incitation de Christophe, la paume d’Aline se resserre sur le sexe palpitant qui durcit encore, tandis qu’une interrogation surgit dans son esprit embrumé : « Mais qu’est ce je suis en train de faire ? » Mais aucune réponse ne vient, elle entend juste une petite voix intérieure qui lui murmure insidieusement, mais si délicieusement : « Ne fais pas ta mijaurée, vous en avez tant fantasmé avec Chris, allez courage, Chris te regarde, il n’attend que ça ! »
Alors, les yeux rivés dans ceux de son mari, elle commence à masturber l’homme.
Christophe comprend que le point de non-retour est atteint. Il s’approche d’Aline, ramasse le bandeau tombé au sol, le lui remet et se glisse derrière elle. Il entoure ses seins de ses mains tremblantes d’émotion tandis que ses lèvres fébriles parcourent le cou d’Aline qui s’offre tendrement à ses baisers enflammés. Lorsqu’elle sent le sexe tendu de son mari palpiter contre ses reins, la chaleur qui inonde son ventre se transforme brusquement en un feu ardent. Elle laisse échapper un long soupir.
Puis tout se précipite. Des bras musclés la soulèvent comme un fétu de paille et l’entraînent vers les matelas sur lesquels ils la déposent avec un empressement qui ne dissimule rien de leur impatience.
Christophe assiste à la scène, submergé par ces émotions nouvelles. Mais, putain, sa queue est dure comme du bois, si dure que ça lui fait presque honte d’être excité que sa femme soit « offerte » à ces hommes affamés de sexe, qui s’apprêtent à la baiser devant lui. Comme il ne veut pas être réduit à un statut de voyeur, il rejoint le groupe.
Pendant que des mains pressées ôtent le seul bout de tissu qui dissimule encore l’intimité d’Aline, elle entend les paroles du chef qui s’adresse à Christophe :
Les yeux de Christophe s’écarquillent et une intense émotion le paralyse lorsque les hommes s’avancent vers elle leur sexe à la main, afin de donner une suite concrète aux paroles que vient de lui adresser le chef. Ils allongent Aline sur le dos, guident ses mains vers leurs bites tendues pour qu’elle les branle. Des mains caressent ses seins et deux doigts s’insinuent immédiatement entre ses cuisses pour constater qu’elle mouille déjà abondamment. Le chef se tourne vers sa troupe, en montrant un préservatif, puis s’adresse à Aline :
Aline est incapable de réagir. Sa tête lui paraît au bord de l’explosion, elle voudrait que le calme revienne sous son crâne mais elle a aussi tellement envie qu’on lui donne du plaisir, beaucoup de plaisir… Christophe se fraie un passage entre les hommes. Il s’allonge sur elle, l’embrasse et la pénètre lentement car il veut profiter au maximum de l’intense désir qui inonde Aline et qui irradie par tous les pores de sa peau satinée. Christophe se sent comme un jardinier qui dépose la première graine de plaisir dans une terre fertile.
Aline gémit brusquement puis, après quelques va-et-vient très lents mais appuyés, Christophe se retire en prononçant à haute voix des mots qui allument un brasier dans le ventre de son épouse :
Dès que la place est libérée, elle devine le premier militaire s’avancer et elle écarte les jambes comme un automate. Il pénètre sa victime si consentante sans trop de ménagement.
Le cœur de Christophe bat la chamade lorsque l’homme prend immédiatement possession d’Aline qui, surprise par cette conquête empressée, laisse échapper un gémissement de plaisir quand le membre l’envahit.
Après avoir investi l’intimité d’Aline, le chef s’arrête pour savourer sa conquête et lève la tête en direction de ses hommes qui l’observent avec impatience. Lorsqu’il donne un nouveau coup de reins et s’enfonce en elle brusquement, des sifflements admiratifs ponctuent le début d’un va-et-vient tout d’abord très lent, mais qui s’accélère rapidement.
Aline gémit pendant que la barre brûlante la lamine longuement, consciencieusement. Les sexes tendus qui l’entourent se développent au contact de ses doigts, sa poitrine se soulève sous la caresse des mains qui pétrissent ses seins, des bouches qui lèchent ses tétons avec avidité.
Christophe est fasciné par le spectacle de son épouse qui jouit à pleine gorge sous les coups de boutoir de l’homme qui la baise avec efficacité, comme une machine à donner du plaisir.
Le militaire s’active fébrilement pendant quelques minutes puis il s’abandonne à son plaisir, trop rapidement au goût d’Aline qui n’a pas encore rejoint le septième ciel. Elle veut encore du plaisir, plus de plaisir.
Le chef le comprend lorsque les mains d’Aline essaient de le retenir en lui. Il l’invite à se relever et lui ôte le bandeau tandis qu’il donne l’ordre à ses hommes de s’allonger sur le dos, les uns à côté des autres, offrant à Aline le choix des verges tendues. Mais la vue et l’esprit d’Aline sont trop brouillés par l’alcool et le sexe, elle se dirige sans réfléchir vers le premier militaire qui se trouve devant elle. Elle s’agenouille devant lui, caresse rapidement la tige brûlante qui durcit sous ses doigts avant de venir s’y empaler avec un petit cri de contentement.
Mais sa préférence est éphémère. Après quelques rapides va-et-vient, elle devient capricieuse et décide de l’abandonner pour répondre aux sollicitations pressantes du militaire qui lui caressait la poitrine tout en la fixant d’un regard plein d’un désir sauvage et impatient pendant qu’elle gémissait à califourchon sur son camarade.
Aline domine son nouveau partenaire sur qui elle s’empale, conquérante, avant de se déchaîner sur lui à une cadence effrénée. La jouissance monte en elle. Essoufflée, elle met un terme provisoire à sa chevauchée, la tête penchée en arrière pour profiter pleinement du plaisir qu’elle reçoit. Mais l’homme ne veut pas être dominé de cette façon, il libère les seins d’Aline qu’il avait pris dans ses mains, profite de cette accalmie pour se soustraire à son emprise et lui demande de se mettre à quatre pattes.
Il la pénètre énergiquement, comme s’il voulait lui confirmer que c’est bien au mâle de prendre l’initiative. La sensation est différente, la pénétration moins profonde, le rythme lent et cadencé, presque brusque, mais une chaleur toujours aussi grande embrase la chatte inondée de plaisir.
Le buste d’Aline est caressé par les hommes qui l’entourent. Son sexe n’est plus qu’un volcan qui ne désire qu’une chose, être éteint par une vague de jouissance. Elle accueille les coups de boutoir de l’homme avec de petits cris plaintifs.
Interrompant le long va-et-vient qui la conduisait tout droit vers le septième ciel, son partenaire se cale profondément en elle avant de s’adresser à tous, mais plus particulièrement à l’un de ses camarades :
Tous ensemble, les autres militaires scandent des encouragements :
Avant d’abandonner la grotte trempée qu’il vient de conquérir, son partenaire du moment s’adresse à Aline sur un ton narquois :
L’énorme manche vient cogner au fond de sa chatte en lui arrachant un cri de plaisir et de douleur mélangés puis s’immobilise en elle.
Christophe a suivi avec une fébrile appréhension la progression de la colonne de chair qui, centimètre par centimètre, a pris possession de la chatte d’Aline. Son cœur bat si fort qu’il lui semble que sa poitrine va exploser.
L’émotion d’Aline est extrême, si bien que lorsque l’homme semble se retirer, elle trouve à peine la force de murmurer d’une voix soumise :
L’excitation du militaire est si forte qu’il se retire entièrement pour mieux l’investir à nouveau, cette fois-ci de manière plus volontaire.
Aline mouille abondamment et la pénétration en est plus facile. Après s’être immobilisé en elle quelques secondes, il en ressort à nouveau pour la prendre encore plus énergiquement. Une boule de feu dévore les entrailles d’Aline. Elle ne sait plus si elle a mal, si elle va mourir de plaisir ou si son ventre va exploser de jouissance. Sa chatte est tout inondée, ses seins tendus à craquer.
La cadence s’accélère, les frottements du pieu qui la pilonne la brûlent, ses chairs sont écartelées. Elle émet un grognement à chaque pénétration du sexe qui vient cogner au fond d’elle. Ne pensant qu’à son propre plaisir, l’homme la traite comme une femelle offerte à son bon vouloir. Chaque claquement des hanches qui viennent régulièrement heurter ses fesses donne à Aline le sentiment d’être l’objet d’une convoitise animale. Elle se surprend à aimer ça. Les mains de l’homme qui la baise s’incrustent dans ses hanches. Le pieu la laboure consciencieusement, régulièrement, inexorablement. Elle a un premier orgasme, puis s’effondre sur les matelas, pantelante.
Mais l’homme n’en a pas terminé, il l’attire vers lui et la prend de nouveau, sans plus de ménagement. À chaque assaut, elle crie son plaisir qui revient, sa chatte dégouline encore plus. Lorsque l’homme accélère brutalement et s’abandonne en elle dans un râle de satisfaction, le raz de marée d’un deuxième orgasme, encore plus fort que le précédent, submerge Aline. Elle hurle de long cris rauques et la tornade de jouissance s’arrête brusquement, la laissant sans voix.
Christophe est interloqué. Comment peut-il apprécier de rester passif devant le spectacle de sa femme qui prend un pied immense avec un homme qui la traite comme une vulgaire poupée gonflable ? Mais comment résister à ces émotions quand la poupée est si belle et qu’elle exprime si bien le plaisir qu’elle éprouve ?
Ses longs cheveux roux trempés de sueur collent sur le front et le visage d’Aline. Elle se redresse et aperçoit Christophe qui l’observe, assis tout près d’elle sur le bord du lit de fortune. Il n’a pas perdu une miette du spectacle de l’énorme pieu qui vient de défoncer à deux reprises la chatte de sa femme, pour leur plus grand plaisir à tous les deux.
Elle se rapproche de lui en titubant, épuisée par le plaisir qui vient de l’envahir, l’embrasse à pleine bouche tandis que sa main s’aventure vers sa verge gonflée qu’elle n’a jamais vue aussi grosse. Elle se redresse aussitôt, lui tourne le dos pour venir s’empaler sur lui, faisant face aux cinq hommes qui la désirent encore. La bite de Christophe pénètre sans aucune difficulté dans la chatte distendue et lubrifiée qu’il lui semble ne pas occuper entièrement.
Les militaires s’approchent d’elle jusqu’à ce que leurs sexes soient tout près de son visage.
Ivre d’un nouveau désir, elle les branle tour à tour avec une avidité non feinte, tout en se donnant du plaisir avec le sexe de Christophe. Des mains pétrissent ses seins qui balancent au rythme des mouvements de son bassin. La bite revancharde de celui qu’elle avait laissé en plan au début de leurs ébats force la porte de ses lèvres et voudrait aller jusqu’au fond de sa gorge. Pour se faire pardonner, elle le suce consciencieusement. Mais la bite insiste un peu trop et Aline doit resserrer ses mâchoires autour du gland pour calmer ses ardeurs. Le contact avec les dents propulse immédiatement le plaisir de l’homme frustré qui se retire brusquement et éjacule dans le cou d’Aline qui, surprise, laisse échapper de petits gémissements de plaisir qui s’accentuent, tandis qu’elle monte et descend de plus en plus vite sur le sexe de son mari.
Christophe est bouleversé de partager ainsi le plaisir d’Aline. Ses mains quittent les hanches de son épouse pour emprisonner fermement ses seins gonflés et l’accompagner vers l’orgasme. Elle crie de plaisir lorsqu’il se raidit et s’épanche en elle.
Elle reprend son souffle quelques instants, se redresse et embrasse à nouveau son mari avec passion.
Mais tous les hommes du groupe n’ont pas encore assouvi leur désir. En effet, ils sont cinq et l’un d’entre eux qui n’a pas encore pu visiter l’intimité qui s’offre à eux ce soir éructe :
Alors, par solidarité masculine, les hommes s’emparent à nouveau d’elle. Elle se laisse emporter par les bras musclés qui la remettent à quatre pattes. Très vite, un sexe impatient force sa chatte, virilement, lui arrachant immédiatement un cri de plaisir. L’homme, qui comprend alors qu’elle reprend encore le chemin de la jouissance, est encore plus excité. Emporté par son enthousiasme, il la pilonne sauvagement pendant de longues minutes, sortant et rentrant son pieu de la chatte offerte, sans aucun ménagement, en lui disant d’une voix présomptueuse :
Voulant lui prouver qu’il n’est pas le plus fort, Aline se dégage, se redresse puis lui fait face. Elle se dirige vers les vêtements des militaires qui sèchent auprès du feu, enfile la veste kaki du chef et met un béret sur sa tête. Revenant vers l’homme, elle le fixe droit dans les yeux, saisit d’une main une gourde posée près du matelas, en boit une gorgée et de l’autre, le repousse et l’allonge sur le dos en lui disant crânement :
Mais pendant qu’elle s’empale sur lui, Christophe se rapproche d’eux, son émotion est si forte qu’il lui semble que son sexe va exploser. Il s’agenouille et se masturbe devant le spectacle de sa femme qui s’adonne au plaisir comme il ne l’aurait jamais imaginé, même dans ses fantasmes les plus fous.
Aline cherche le regard de Christophe, dans lequel elle lit une sombre et terrible excitation, le désir de la voir baisée par tous ces types. Elle voudrait lui dire qu’elle n’a pas honte d’avoir accepté de se laisser entraîner dans cette partouze, pas honte du tout d’y prendre ce plaisir indicible. Le spectacle de son homme excité décuple son propre désir.
Puis elle abandonne son partenaire et se met face à celui qu’ils appellent Martin, pose ses mains sur les pectoraux musclés, force l’étalon à s’allonger. Elle glisse ses doigts dans sa chatte trempée de sécrétions, les ressort et en enduit le sexe de l’homme qu’elle masturbe vigoureusement avant de l’enfourcher, telle une Amazone. Pour provoquer son mari, elle joue avec la tige, se titille le bouton avec, caresse les lèvres humides de sa chatte avec le gland, avant de l’introduire en elle.
Christophe lui fait face, hypnotisé par la colonne de chair qui s’enfonce lentement, coulissant jusqu’aux tréfonds de son épouse entre les lèvres de sa chatte, distendues et rosies de plaisir. Les yeux rivés dans ceux de son mari, elle descend lentement sur l’homme, guidant d’une main l’énorme sexe qui s’enfonce en elle, l’autre main crispée sur les pectoraux du militaire.
Elle adresse un nouveau regard provocateur à son mari, puis se penche sur l’homme, lui mordille la lèvre avant que leurs langues ne se rencontrent… Christophe est piqué au vif par ce geste de tendresse, il en serait presque jaloux… mais c’est tellement excitant de la voir ainsi, secouée comme un jouet planté sur la bite d’un type qui la fait jouir comme une dingue. C’est vraiment une salope quand elle s’y met…
Elle frotte son pubis contre celui de son partenaire, bascule d’avant en arrière, lentement, puis de plus en plus vite, imposant son rythme. Empalée sur l’étalon qui lui donne tant de plaisir, elle relève son buste et rejette sa tête en arrière pour mieux offrir ses seins durcis aux militaires qui la caressent d’une main, se masturbant de l’autre.
Christophe s’approche et lit dans les yeux brillants d’Aline ce message provocateur : « Tu es vraiment un sacré cochon de te branler pendant que je me fais baiser comme une dingue, devant toi, par tous ces hommes. Mais ils me font jouir, jouir comme une folle et j’aime ça. J’adore te mettre dans cet état et… je peux même faire mieux ! Regarde… » Elle lance un bras en arrière, incruste ses ongles dans les fesses musclées et crie au militaire qui s’est immobilisé en elle :
L’homme ne se fait pas prier et s’active en elle. Chaque mouvement de sa queue arrache à Aline une plainte sourde. Entre deux grimaces de plaisir, les yeux brillants, elle dit lentement à Christophe :
Pour toute réponse, la main de Christophe s’active plus vite sur son sexe. Le militaire ne tarde pas à venir, son sexe épais bien comprimé dans le vagin de sa partenaire. Aline, survoltée par le plaisir et la jouissance, se libère aussitôt de l’emprise de l’homme qui s’activait en elle.
Revenant sur les matelas, elle fait face aux autres militaires, s’avance vers eux à genoux et les suce tour à tour avec boulimie. Elle branle les queues tendues qui reprennent de la vigueur, les engloutit toutes les unes après les autres.
Décidée à exciter toujours plus Christophe qui l’observe les yeux hagards, elle gémit la bouche grande ouverte et l’apostrophe :
Voyant l’effet que ses paroles produisent sur la main de Christophe qui s’agite frénétiquement sur son sexe, elle ajoute :
Christophe, débordé par un tsunami d’émotions, perd tout contrôle. Il s’avance et éjacule sur le visage d’Aline en grognant :
Toujours plus provocante, feignant une gourmandise perverse, elle sourit à Christophe en passant sa langue sur ses lèvres. Les hommes qui l’entourent comprennent le jeu qu’elle poursuit. Ils lui prennent les mains, les guident vers leurs sexes maintenant fièrement dressés, avides des caresses qui vont les mener vers la jouissance. Elle ordonne à un des militaires :
Il s’installe derrière elle, pousse un « han » de bûcheron et ses mains ramènent vers lui le bassin d’Aline qui pousse un cri en réponse à cette brutale pénétration. Son buste s’effondre sur le matelas, elle s’offre passivement au pieu brûlant qui fouille ses entrailles énergiquement et sans faiblir.
Entre deux gémissements rauques, elle rassemble ses forces pour la touche finale :
Ne pouvant plus retenir l’orgasme qui la submerge, Aline pousse un long gémissement qui se termine en un cri rauque, sauvage, déchirant. Son plaisir inonde brusquement le matelas tandis que les hommes autour d’elle la redressent pour l’honorer de leurs jets brûlants qui dégoulinent sur ses seins tendus à l’extrême, trempés de sueur et maintenant de la semence des soldats.
Puis, à bout de forces, rassasiée de sexe et de jouissance, essoufflée, épuisée, elle se laisse tomber sur le côté, ne pouvant lutter contre le voile de velours noir qui recouvre lentement ses yeux pour l’entraîner dans le néant.
La pluie a cessé, quelques braises rougeoyantes s’éteignent dans la cheminée. Aline et Christophe sont seuls dans le refuge. Est-ce le froid ou la lumière du jour qui les réveille ? Ils sont nus, couchés sur les matelas.
La douleur qui pulse sous leur crâne les ramène à la réalité et leur rappelle les verres de potion magique qu’ils ont ingurgités sans compter. Les images de tout ce qui s’est passé ensuite remontent peu à peu à la surface de leur esprit ankylosé par une énorme gueule de bois.
Christophe se lève péniblement pour ranimer le feu qui reprend rapidement de la vigueur et réchauffe l’atmosphère frileuse du petit matin. Il rejoint Aline, s’agenouille à côté d’elle et lui dit à l’oreille :