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Temps de lecture estimé : 16 mn
25/09/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  C'est l'aboutissement pour Marie, une débauche de plaisir. Mais attention au carrosse, il peut se transformer en citrouille !
Critères:  ff fhhh
Auteur : Nooz            Envoi mini-message

Série : La métamorphose

Chapitre 07 / 07
Plaisir sans contrainte

Résumé des épisodes précédents :


« La rentrée »

Marie, une femme mariée proche de la quarantaine, s’ennuie. Son mari, Marc, la délaisse. Un soir de déprime, elle se réfugie sur Internet.


« Rencontre et initiation »

Attirée par un établissement libertin, Marie se lance dans l’inconnu. Elle rencontre un couple charmant qui l’initie.


« Déception et confidences »

Après une relation décevante avec un collègue et une mise au point avec son mari, Marie se confie à une personne qu’elle connaît peu.


« Le choix »

Marc essaie de reconquérir sa femme.


« Douceurs lesbiennes »

Marie découvre les plaisirs lesbiens et se prépare à la soirée qui suit.


« Une soirée chaude »

La soirée au « Carpe Diem » s’est terminée en apothéose, et Marie entre de plain-pied dans un autre monde.


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Plaisirs sans contrainte




À peine arrivée au travail et après avoir expurgé tous les mails de ces deux jours, elle téléphone à Cécile pour un déjeuner dans un petit restaurant sympa que les deux amies affectionnent. Elle lui raconte l’intégralité des événements qu’elle a vécus pendant ces deux jours. Cécile boit les paroles de Marie, les yeux pétillants de plaisir.



Cécile est étonnée de la liberté de ton de son amie.



De retour au bureau, un mail de Katie lui donne la liste des médecins qui sont agréés pour la prise de sang ; elle choisit le plus proche géographiquement et téléphone immédiatement.



--ooOOoo--



Plusieurs semaines se sont déroulées depuis, et le train-train quotidien a repris ses droits. La libido de Marie s’est normalisée, même si, de temps en temps, les quelques contacts Skype avec Georges et Katie ont dérapé en masturbations et exhibitions collectives.

Son mari est retourné dans sa sexualité insatisfaisante, comme si l’effort qu’il avait souscrit lors de la crise antérieure avait suffi pour tout remettre dans le bon sens. Plus de nouvelles de Philippe, malgré une relance sur le site.


Par contre, la personne à qui elle avait donné son pseudonyme sur le site l’avait recontactée, et après une rencontre dans un bar un midi, d’un commun accord ils avaient consommé dans l’après-midi chez lui directement. Il avait été d’une douceur et d’une tendresse peu communes, et Marie avait été comblée par l’endurance et les multiples orgasmes que cet homme lui avait prodigués. Elle lui avait promis de l’avertir si elle pensait retourner au Carpe Diem, mais Cécile n’avait pas pu se libérer, et le plan coquin à trois qu’elle avait prévu était tombé à l’eau.


Une nouvelle année approche, et Marie se rend de plus en plus compte que la direction dramatiquement commune des relations avec Marc la dirige vers une séparation. Sans que, pour autant, leurs relations se tendent, elle se sent totalement indifférente aux attentions de son mari. Elle est décidée maintenant à vider l’abcès qui doucement mûrit. Marc doit partir trois semaines à Melbourne ; à son retour, elle déclenchera une explication inévitable et posera les bases d’un accord de séparation entre eux. L’attitude de son mari semble confirmer qu’il s’achemine vers la même direction que la sienne.


Le soir, en rentrant, accompagnée de ces enfants, elle vide sa boîte à lettres. Des factures, des prospectus sur les promotions du magasin voisin ; rien de particulier, si ce n’est cette petite enveloppe cartonnée dont le coin droit est orné d’un bouton de rose doré. Curieuse, elle décachette. Un bristol noir apparaît : le monogramme d’or avec un petit texte.


« Marie, vous êtes conviée par Georges et Katie à leur soirée sur le thème de l’obscurité et des plaisirs ».


Suivent la date et l’adresse qu’elle reconnaît tout de suite.


Arrivée dans l’appartement, elle se précipite sur son ordinateur et se connecte à Skype. Ils sont connectés mais ne répondent pas ; elle laisse l’appareil branché et vaque à ces occupations familiales. Ce n’est que vers 22 heures, alors qu’elle comate devant la télévision, que son ordinateur tinte. Elle se précipite pour décrocher ; Katie apparaît sur l’écran, tout sourire.



Marie sourit et écarte le compas de ses jambes…



--ooOOoo--



Deux jours plus tard, elle reçoit un colis express avec un ensemble complet et un petit mot de Georges :


« Pour la soirée et pour la femme qui va subjuguer toute l’assemblée de demain, un véhicule viendra te chercher à 20 heures devant chez toi. Je t’embrasse là où tu aimes tant ! »



--ooOOoo--



La cour de la maison bourgeoise de Katie et Georges est remplie de grosses berlines ; Marie sort de la limousine qui avait été affrétée. Elle porte la tenue reçue quelques jours auparavant, elle se sent belle et désirable. Dans le hall d’entrée, une jeune femme la débarrasse de son manteau et une autre lui demande son carton d’invitation. Au fond de la pièce, Marie aperçoit Katie en grande conversation avec deux hommes ; elle la trouve différente. « Sans doute la pression de l’organisation… » pense-t-elle. Elle suit le mouvement des derniers invités, plus habitués au cérémonial, et se dirige vers un vestibule où, sous une patère, elle trouve son nom en lettres d’or.


Les personnes qui la côtoient dans le vestibule commencent à se déshabiller ; la jeune femme à côté d’elle est déjà nue et se dirige vers une porte dans la continuité de la pièce. La porte s’ouvre sur un rideau qu’elle entrouvre sur une pièce aussi noire que le voile. Elle se dévêt lentement sous les yeux de deux hommes d’un certain âge ; elle profite de leurs regards pour faire durer son effeuillage. Quand elle a terminé et qu’elle offre aux deux hommes sa nudité, elle s’aperçoit de sa force d’attraction en se déplaçant devant eux pour rejoindre la porte. L’un d’eux laisse sa main effleurer sa hanche droite ; elle lui sourit et ouvre la porte.


Le rideau écarté, elle pénètre, les mains en avant, dans une salle totalement obscure. Par petits pas, elle progresse jusqu’à ce que ses mains heurtent une poitrine velue. Le buste pivote, et elle passe à côté d’un homme dont la fragrance boisée atteint ses narines. Une main la saisit au bras et la dirige sans un son. Elle s’enfonce dans la foule, et une multitude de stimuli l’envahissent, olfactifs dans un premier temps, auditifs – des souffles et des gémissements étouffés commencent à remplir la salle – puis tactiles, des mains et des corps glissent sur son corps. De ci de là, une pointe de sein, une main qui empaume ou caresse une de ses courbes, parfois un doigt plus insidieux qui se faufile entre ses fesses ou sur sa fente déjà humide. Ses mains aussi pincent un téton ou frôlent ou entourent une verge durcie, un gland dénudé, des bourses bien remplies.


Cernée de tous côtés, elle s’arrête. Les corps autour d’elle se rapprochent encore et la chaleur irradie. Un homme se positionne contre ses fesses ; elle se dégage légèrement et vérifie d’une main experte le membre tendu de belle facture. Elle le branle lentement ; il grossit plus encore pour son plaisir. D’autres mains explorent son corps et une langue prend possession de son téton droit. Difficile de discerner si cette langue qui l’érige est masculine ou féminine, mais elle déclenche des frissons tout le long de son échine. Elle lâche la queue pour passer les mains sur la tête qui mordille sa poitrine : c’est une femme, et ses doigts caressent la douce joue. L’homme derrière elle insinue son sexe entre ses fesses ; elle l’aide, se cambre et se resserre sur la belle colonne et imprime un léger mouvement de bas en haut. L’homme saisit ses hanches et se laisse conduire.


La femme a délaissé son sein et recherche les lèvres de Marie ; leurs souffles se croisent et leurs langues commencent à s’exciter. Finalement les bouches se soudent et Marie explore la cavité buccale de sa compagne de jeux. Deux doigts inconnus prennent possession de son ventre, et elle ne peut empêcher un petit cri quand ils massent son clitoris. Elle contre-attaque, et ses mains sont à la recherche des deux hommes qui abusent d’elle pour son bonheur. Le premier sexe qu’elle agrippe est petit mais épais, et le gland brûlant est volumineux. Elle le serre et imprime une rotation sur la couronne. Le deuxième est monstrueux : jamais elle n’a tenu une telle hampe en main. Il ne bande que partiellement, mais Marie l’imagine bien dressé et fouillant son intimité. Cette pensée déclenche une ébullition dans son ventre, et le troisième sexe qui glisse entre les fesses est totalement trempé.


Cet afflux d’hormones qui vient d’inonder son corps, suite à la sensation de ce monstrueux appendice, décide Marie de l’honorer plus spécifiquement. Elle change de position, se met en levrette pour l’homme qui s’est si bien occupé de son postérieur, et se trouve ainsi en face des deux sexes si différents et aussi d’une vulve qu’elle a hâte de goûter. Alors que l’homme derrière elle commence à la pénétrer et démarre sur une cadence régulière, elle saisit le premier sexe qu’elle découvre, le plus petit. Elle ne le boude pas et l’englobe intégralement. Elle le lèche, l’aspire, et n’oublie aucune partie de son anatomie. Sa main gauche a découvert l’objet de son émoi et, en attendant mieux, elle le fait patienter en le branlant de son mieux. Le petit sexe, longuement sucé, se rend et inonde sa bouche d’un liquide abondant qu’elle avale jusqu’à la dernière goutte. Elle peut maintenant s’occuper du superbe gland, et ses deux mains enserrent la hampe ; elle a toutes les peines du monde à englober le gland qui grossit encore sous la caresse.


Elle détache une main de la verge et recherche la propriétaire qui a enflammé son corps tout à l’heure. Sa main effleure enfin un mont de Vénus proprement épilé ; son doigt prolonge le renflement du clitoris et plonge. Marie est surprise de rencontrer une fente serrée : une très jeune femme, visiblement. Elle force doucement les lèvres qui s’ouvrent et laissent le doigt inquisiteur pénétrer dans une fournaise. Elle joint deux autres doigts et, pour la première fois, la jeune femme soupire alors que les doigts s’enfoncent au plus profond.


Marie est comblée : ses doigts coulissent dans un milieu humide, l’homme qui la prend semble infatigable, et le piston régulier qui fouille son vagin fait monter en elle des vagues qu’elle a du mal à contrôler. Tous ces stimuli qui l’assaillent se conjuguent et déclenchent un orgasme qui la tord de plaisir. Elle tremble, et l’homme emboîté contre ses fesses la saisit pour que la force de son sexe remplisse tout l’espace qui se referme sur lui. Elle se débat sous les violentes contractions inhérentes au plaisir.


Les deux autres protagonistes ont profité de sa jouissance pour se rapprocher et caresser son dos et ses seins, prolongeant les vagues qui continuent à la secouer. Elle aurait aimé que l’homme qui avait déclenché son orgasme se vide en elle, mais ce n’est pas le cas, et son sexe ressort tendu de son écrin. Elle hésite à se retourner et honorer ce beau dard, mais l’homme ne semble pas frustré par la situation et reprend l’initiative ; il écarte ses fesses, et sa langue se dirige directement sur le petit œillet et le titille. L’invitation est explicite ; elle peut refuser en resserrant son postérieur, il stoppe sa caresse, attendant la réponse à sa demande… qui vient de façon détournée. Marie agrippe les fesses de la jeune fille, et sa langue écarte la vulve et se délecte du jus poisseux qu’elle recueille. L’homme derrière elle vient de faire pénétrer son pouce dans l’étroite porte ; elle se cambre et s’ouvre plus sous la caresse. Le petit murmure de satisfaction qu’elle entend derrière elle la comble : elle va se faire sodomiser et rendre un homme heureux.


À sa grande déception, l’homme au sexe énorme a disparu, mais il lui reste la petite chatte qu’elle explore de toute la longueur de son appendice lingual sous les gémissements plus aigus de sa partenaire. La modulation varie quand elle s’attaque au petit bouton ; les halètements de la jeune femme lui indiquent que sa caresse porte ses fruits, elle insiste. Trois doigts fouillent maintenant son rectum, lentement. Pour montrer sa totale soumission, elle abandonne le minou juteux, fléchit les bras et remonte son postérieur dans une invitation impudique. L’homme comprend. Ses doigts l’abandonnent, et après un léger tâtonnement dû à l’obscurité, le gland repousse doucement les sphincters préparés. Marie se concentre sur l’intrusion qui progresse en son rectum ; elle est surprise par la facilité de l’avance. Le gland écarte ses chairs, et le fait que ce soit un inconnu qui la sodomise augmente encore son plaisir.


Elle pousse un petit cri consécutif à une légère douleur lorsque le gland traverse la fragile barrière. Le membre fait une pause ; elle sent une main légère, féminine, qui joue avec son clitoris. Le membre reprend son cheminement, et les hanches de l’homme butent contre son fessier ; elle se sent bien remplie. Il commence un doux va-et-vient qui leur arrache, à tous les deux, des geignements et des petits mots doux ou orduriers selon le niveau d’excitation. Le doigt qui fait rouler son clitoris et le sexe qui pilonne de plus en plus fortement son fessier ont changé le niveau sonore de leurs ébats. Chaque assaut qui fait ruer en elle la colonne de chair déclenche des cris et des tremblements énormes : personne dans la salle ne peut ignorer le niveau de plaisir que les deux impétrants ressentent. Quand, soudain, elle sent le sexe qui la perfore se vider dans son rectum, elle se libère en une longue plainte qui déchire l’obscurité. Une multitude de flashs lumineux éclairent son cerveau. Le tremblement de l’homme et le flot qui continue à envahir son intimité lui indique l’énorme orgasme de son amant.


L’intensité commence à peine à se réduire qu’une pluie d’applaudissements l’entoure ; de tous côtés des paroles de félicitations fusent alors que le couple récupère et que le sexe dans son intimité commence à se rétracter doucement. Jamais de toute sa vie elle ne s’est sentie aussi libre et heureuse. Jouir si fortement par un homme qu’elle ne connaît pas et qu’elle n’a jamais vu est une expérience incroyablement excitante. Le sexe de l’homme vient de sortir de sa prison ; une main suivie d’un baiser effleurent le fessier accueillant, un souffle chaud atteint son cou et dans un autre, plus long, une voix de basse la remercie. Elle se retourne en direction de la voix et leurs lèvres se frôlent. Son haleine douce l’incite à les goûter. L’homme disparaît soudain dans l’obscurité, comme si tout n’avait été qu’un rêve.


Délaissée, sevrée de plaisir, elle se couche sur le côté et écoute les bruits qui lui parviennent. Juste sur sa droite, une petite voix qu’elle a déjà entendue l’attire ; certainement la jeune femme. Elle se déplace dans la direction et ses mains auscultent la forme secouée par les cahots d’un coït soutenu. La jeune femme en levrette reçoit les assauts fougueux d’un homme. Sa main droite atteint un petit sein dont le téton roule sous ses doigts ; sa deuxième main balaie son visage. La femme happe à son passage un de ses doigts et le suce entre deux souffles. Marie comprend l’invitation et se positionne pour qu’elle puisse la masturber. Elle reconnaît le petit clitoris qu’elle avait découvert auparavant, mais aussi la colonne de chair monstrueuse qui la pénètre. Ainsi positionnées, ses deux mains sont actives : la première branle lentement le petit bouton turgescent, et l’autre serre légèrement les bourses imposantes de l’homme. Elle module entre ses deux mains pour éviter de déclencher un orgasme trop rapide.


Soudain, la jeune femme se dégage de l’énorme queue, se retourne et, dans un souffle rauque, elle intime à son amant de l’arroser. Les mains de Marie branlent l’homme et dirigent le membre vers le corps de sa partenaire. Accompagné d’un cri, le sexe lâche plusieurs jets puissants ; elle continue à le branler, puis nettoie à petit coups de langue le sperme qui s’écoule encore de la longue tige. C’est à ce moment-là que la lumière revient graduellement dans la salle ; elle découvre les protagonistes. La jeune femme, âgée tout au plus de vingt-cinq ans, lui sourit, maculée du sperme de l’homme à peine plus mûr dont elle tient encore le sexe encore gros. Elle ne peut s’empêcher de goûter ce gland si monstrueux. Autour d’elle, malgré la lumière, des groupes continuent. Elle reconnaît, pas si loin d’elle, Katie couchée sur le dos. Deux hommes se branlent sur sa poitrine et un autre la besogne à grands coups de reins. Les jets arrosent sa poitrine et son visage, et l’homme ressort de son ventre et termine le travail sur son entrejambe.


Elle se rapproche de son amie et l’embrasse. Le souffle un peu court, elle lui rend son baiser.



Après une douche salvatrice, elle se retrouve dans un petit salon tranquille avec Georges et Katie. Des coupes de champagne trônent sur une desserte. Katie lui apporte un verre.



Les trois verres tintent. Elle porte la coupe à ses lèvres ; elle grimace légèrement : le breuvage est légèrement amer. Soudain sa tête tourne, sa coupe tombe sur le tapis dans un bruit mat, sa vision se brouille et ses jambes ne la portent plus.



--ooOOoo--



Marie se réveille dans le paradis clair d’une chambre d’hôpital. Tout est flou autour d’elle. Une envie violente de vomir lui tord l’estomac. Elle n’arrive pas à structurer sa pensée. Elle buvait tranquillement une coupe de champagne avec Katie, puis le trou noir. L’arrière-goût qui lui reste au fond de sa bouche ressemble à celui qu’elle avait ressenti avant de sombrer.

La porte de la chambre s’ouvre, une silhouette se découpe en contre-jour dans l’encadrement de la porte. Elle se rapproche.



Elle regarde, la tête encore embrumée, l’homme qu’elle croyait connaître, totalement dépassée par la situation. Elle se remémore Philippe, un bel homme qui avait fait vibrer son corps et qui ne l’avait pas recontactée, et maintenant il s’appelle Jürgen. C’est vrai, ce petit accent…



Marie, les yeux exorbités, se rend soudain compte de sa position dans cette histoire.



Marie pleure ; Jürgen se rapproche et pose sa main sur son bras.



Une angoisse la submerge.



La mine défaite de Marie émeut Jürgen. Il pose sa main sur sa joue.



Marie sourit pour la première fois, faiblement.



Jürgen sourit, et sa main devient plus douce sur la joue de Marie ; presque sensuelle.



Marie incline la tête ; la chaleur de la main lui fait du bien. Il retire soudainement la main.



Il pose sur la table de chevet un bristol aux couleurs d’Interpol et se retire. Marie le regarde s’en aller. Elle saisit la carte, la retourne, et son cœur bat plus fort : en plus des numéros imprimés, Jürgen à tracé d’une belle écriture un numéro de portable suivi de trois petits points en triangle.