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n° 17043Fiche technique16171 caractères16171
Temps de lecture estimé : 10 mn
30/09/15
Résumé:  Découverte du plaisir entre hommes avec Thomas, un client habituel.
Critères:  hh hbi amour voir facial fellation pénétratio hdanus hsodo init journal
Auteur : Vince_33            Envoi mini-message
Thomas, un client fidèle

Je m’appelle Vincent, j’ai 25 ans. Je mesure 1,70 m pour 67 kg, brun, yeux verts, plutôt carré, un peu musclé et imberbe. Je travaille dans la restauration comme serveur, et l’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a trois ans.


À l’époque j’étais barman dans un pub à Londres. Cela faisait quelques mois que je travaillais dans l’entreprise, et comme dans tout pub, il y avait des habitués. Bien entendu, j’étais reconnu car avec mon accent français je ne passais pas inaperçu.


Il y avait un jeune homme qui avait à peu près mon âge et qui venait tous les soirs boire un verre avec des copains à lui. Il était un peu plus petit que moi, les cheveux noirs, les yeux aussi, avec une barbe de trois jours et un sourire qui le rendait absolument irrésistible. Il était de corpulence normale mais apparemment très musclé et avait un fessier magnifique. Il s’appelait Thomas. Chaque fois que je le voyais, je ne pouvais m’empêcher de baver. Et en plus d’être beau à souhait, il était adorable. On discutait régulièrement et c’était très sympa. Il m’aidait un peu à améliorer mon anglais.


En général, il venait en débauchant sur le coup de 18 heures ; il travaillait dans une banque à côté. Un jour, je l’ai vu arriver dans le courant de la matinée, ce qui n’était pas du tout son habitude. Il n’avait pas l’air bien : lui qui avait toujours le sourire, ce jour-là il avait le visage fermé, ses yeux emplis de tristesse. À sa demande je lui servis la même bière que d’habitude et il partit s’assoir dans un coin.


À cette heure-là, le pub était quasiment vide ; je demandai donc à prendre ma pause et j’allai m’asseoir avec lui. Je ne savais pas comment aborder le sujet ; on discutait, mais jamais de choses très personnelles. Les banalités habituelles. Et puis tout à coup il se mit à parler, un flux incessant de mots sortait de sa bouche, comme s’il ne se contrôlait plus. Il venait de se faire licencier, sa copine l’avait largué peu de temps auparavant. Bref, une période difficile. Je ne pouvais pas rester trop longtemps, mais comme je finissais mon service plus tôt ce jour-là, je lui proposai donc que l’on se retrouve après.


Pendant le reste de mon service, je n’arrêtais pas de penser à lui, et le voir assis tout seul dans un coin aussi déprimé me faisait mal au cœur. Il buvait les bières les unes après les autres, au point d’être rapidement saoul. Mon patron était très gêné car Thomas ne posait jamais de problèmes, mais ce jour-là c’était différent. Comme c’était encore plus calme que d’habitude, je proposai à mon patron de quitter plus tôt mon poste de rattraper les heures quand il le voudrait ; comme ça, je pourrais raccompagner Thomas chez lui. Il accepta, et après un moment de négociations avec Thomas – qui ne voulait pas s’en aller – nous nous sommes mis en route vers son appartement. Il n’habitait pas très loin ; il avait un deux-pièces dans une petite résidence moderne.


Une fois dans son appartement, je fus surpris. L’endroit était très agréable, décoré avec beaucoup de goût et très cosy ; je m’attendais plutôt à une garçonnière rudimentaire. Je décidai de mettre Thomas sur son lit pour qu’il puisse dormir un peu. Une fois dans sa chambre, assis sur son lit, j’entrepris de lui enlever son costume pour qu’il s’allonge. Malgré la situation peu romantique – voire même plus que glauque – je pris plaisir à le déshabiller et à révéler son corps magnifique. À chaque bouton de chemise, je pouvais contempler un peu plus son torse musclé et ses abdos impeccables, le tout parsemé à merveille et en nombre idéal de quelques poils virils. Une fois torse nu, je l’ai fait se coucher, lui ai enlevé chaussures et chaussettes. Je lui ai défait ensuite son pantalon, laissant apparaître un boxer coloré. J’entrepris la tâche de lui enlever son pantalon, qui ne fut pas des moindres. Une fois cela accompli, je fus ébahi par le contenu de son boxer : il semblait que Tom avait été particulièrement bien doté par la nature. Après un moment de contemplation, je le mis sous ses draps et commençai à vouloir partir.



Il n’eut pas besoin d’insister beaucoup.



Bredouillant d’une voix inaudible, ce que je supposai être un OK, il se retourna et tomba dans les bras de Morphée. Je suis donc parti dans le salon ; j’en ai profité pour regarder ses photos. Il avait l’air tellement joyeux, très sportif ; en voyant son chez-lui, je ne l’appréciai que plus encore. Je commençais à tomber amoureux.


Quelques heures plus tard, je fus réveillé par le bruit de la douche. Je m’étais assoupi sur le canapé avec la télé en fond sonore. Je n’osais pas trop bouger, ne sachant pas ce que Tom se rappelait de sa matinée. Je me suis donc assis sur le canapé, les yeux rivés sur la porte de la chambre, attendant l’arrivée de Tom.

Je l’entendis sortir de la douche, puis quelques minutes plus tard il apparut dans le salon, torse nu, en caleçon. Il fut saisi quand il m’aperçut. Il eut une seconde de réflexion avant de dire :



Je ne pouvais pas détacher mon regard de son corps et de la bosse que formait son sexe au repos.



Après un quart de seconde d’hésitation – qui n’en était pas vraiment – je répondis :



Cette idée me ravissait au plus haut point. Il commença à s’avancer vers la cuisine, et comme si une petite voix le rappelait à l’ordre, il prit conscience qu’il ne portait qu’un caleçon, ce qui n’était pas pour me déplaire.



Il alla dans sa chambre et en ressortit vêtu d’un short de foot noir et d’un tee-shirt blanc.

Tout en faisant à manger, on commença à discuter et à parler de tout et de rien, de notre enfance, de nos études, de nos copines etc. Une fois le repas prêt on s’installa devant la télé. On mangea tout en se moquant du programme télé que l’on regardait, puis une fois fini, il me proposa de regarder un film. J’avais tellement envie de rester que j’acceptai de suite. Après un léger débat, il mit un film et on s’affala dans le canapé.


Au départ, on était chacun d’un côté, mais plus le film avançait, plus on se rapprochait. Puis je sentis le contact de sa main sur la mienne ; cela me fit comme une décharge électrique provoquant un frisson d’excitation. Je n’osais plus bouger, plus respirer. Je sentis ses doigts caresser ma main. Je tournai alors la tête vers lui afin de voir s’il s’était endormi, pensant qu’il était dans ses rêves. Mais je fus saisi quand je vis qu’il me regardait. Les yeux dans les yeux, on ne bougeait plus. Cela dura quelques minutes qui me parurent être des heures. Puis tout à coup je vis son visage se rapprocher ; il était de plus en plus près. Je fermai les yeux, et là je sentis le contact de ses lèvres sur les miennes. Je sentis la douceur de ses lèvres, la caresse tendre et sensuelle de cette étreinte. Puis il coupa le lien. J’ouvris les yeux, et mon regard se perdit dans ses yeux ténébreux.


Il se rapprocha de moi, se mettant tout contre moi. Il posa délicatement sa main sur mon visage et le caressa avec une douceur troublante. Sa main sur ma joue, notre baiser reprit avec toute la douceur et la sensualité du monde. Mes mains se mirent à explorer son corps, les siennes se perdaient dans mes cheveux, sur mon visage. Je sentais l’excitation monter. À ce moment-là, sa langue força délicatement ma bouche, venant s’entremêler à la mienne. La tension montait de plus en plus, les caresses se faisaient plus brusques, le baiser plus sauvage.


Son corps me fit basculer et je me retrouvai allongé sur le canapé. La sensation de son corps contre le mien, de ses baisers mêlés de fougue et de sensualité, son odeur m’enivrant, l’excitation ne cessait de monter. Son bassin se mit à faire des va-et-vient, faisant frotter à travers les tissus nos sexes durcissants. Mes mains se baladaient sur son corps, glissant de ses cheveux à son dos, jusqu’à son cul si excitant. Il se redressa et retira son tee-shirt, faisant apparaître son torse et ses abdos parfaitement musclés. Mes mains se posèrent sur ses pectoraux. La sensation de nos peaux l’une contre l’autre ne faisait que faire monter la température. Il me retira également mon tee-shirt, m’embrassa, me lécha le torse. Il reprit ses baisers envoûtants, laissant nos corps chauds se frotter l’un contre l’autre. Je sentais nos sexes bandants se frotter l’un contre l’autre.


Ne pouvant plus attendre, ma main descendit le long de son ventre, se glissa sous son short et son caleçon, se retrouvant en contact direct avec son pénis brûlant, durci par l’excitation de la situation. Jouant avec pendant quelques minutes, je décidai de le faire basculer sur le dos, le mettant à ma merci. Après un baiser fougueux, je descendis le long de son cou, embrassant chaque centimètre de son corps. Descendant au fur et à mesure, je lui mordillai les tétons tout en couvrant son corps de milliers de baisers. La distance me séparant de l’objet de ma convoitise se réduisait de seconde en seconde. J’arrivai à hauteur de son short, le baissai légèrement afin de l’embrasser de son bas-ventre jusqu’à la base de son pénis puis j’en saisis les bords et le lui retirai délicatement. Je décidai de l’en débarrasser, laissant ainsi apparaître son sexe majestueux, un bon 20x5.


Ma main saisit celui-ci et commença à le caresser, tel un objet précieux. Ma bouche s’en approcha ; je léchai généreusement ses bourses vierges de tout poil avant de laisser ma langue remonter le long son pieu et d’atteindre son gland entièrement découvert et bien rose. Après une exploration de sa queue, je la pris en bouche et commençai les va-et-vient. Je l’entendais gémir de plaisir, ce qui m’encourageait à le sucer. Ses mains se mirent à caresser mes cheveux pendant que ma bouche limait généreusement son sexe. Mes mains caressaient son ventre, son torse, puis revenaient le masturber pendant que son pénis faisait des va-et-vient dans ma bouche. L’étreinte de ses mains devenait de plus en plus ferme ; son bassin s’anima doucement. Il gémit tous en enfoncent son sexe dans ma bouche. Sa respiration tressautait, ses gémissements se décuplaient. Il me prévint qu’il allait jouir et, dans un râle de plaisir, il éjacula. De longs jets puissants emplirent ma bouche, une quantité impressionnante se déversa dans ma bouche. Après avoir avalé le tout, je lui nettoyai consciencieusement son sexe, le faisant encore gémir, puis une fois assis à côté de lui, il s’approcha de moi et m’embrassa sauvagement, puis il me regarda droit dans les yeux en déclarant :



Je ne savais pas quoi dire. Je le regardais transpirant, essoufflé, un sourire recouvrant son visage. Je me blottis dans ses bras. Il recommença à m’embrasser, puis je sentis sa main caresser mon sexe. Il se mit à me caresser vigoureusement ; je sentais le plaisir monter. Il se mit à embrasser mon cou ; l’excitation me gagnait de plus en plus. Il descendit le long de mon corps jusqu’à arriver à mon sexe. Je sentis sa langue le parcourir, ses lèvres l’engloutir. Il se mit à me sucer et me procura la meilleure fellation de toute ma vie. Rapidement je sentis que j’allais jouir ; je le prévins et me retrouvai à lui jouir en plein visage.


On se prit dans les bras l’un de l’autre et on s’embrassa passionnément.

Je sentais son sexe se dresser ; avec un sourire aux lèvres, je lui dis :



Il commença à se frotter contre moi, puis je sentis sa main descendre et rapidement son doigt me caresser la rondelle. Il faisait ça en douceur. Le plaisir montait, je frissonnais, ce qui le fit sourire. Puis je sentis son doigt s’enfoncer en moi. Il fit un léger va-et-vient en moi avec son doigt avant d’en mettre un deuxième, puis un troisième. Je gémissais, j’ondulais, j’avais envie qu’il me prenne.


Il se redressa, se mit debout, et m’emmena dans la chambre où je m’allongeai sur le ventre. Il s’allongea sur moi, et je sentis son sexe faire des va-et-vient entre mes fesses. Du bout de son gland, il caressait mon petit trou légèrement dilaté. Il m’embrassa dans le cou puis me susurra à l’oreille :



Alors je sentis la pression de son bassin faire pénétrer son sexe en moi. Je ressentis d’abord la douleur de la pénétration ; il s’enfonça jusqu’au bout et fit une pause. Je sentais son sexe entièrement en moi.



J’arrivai à gémir un oui, rempli de souffrance mais surtout de plaisir et d’excitation.

Il commença alors les va-et-vient, délicatement au départ ; puis plus ça allait, plus il accélérait, plus ses coups de reins s’intensifiaient. Il devenait plus brutal et plus sauvage. Nos gémissements s’entremêlaient.


Il décida de changer de position et me coucha sur le dos, les jambes relevées. Alors que son sexe avait retrouvé sa place en moi, il m’embrassa, nos torses en contact, son sexe en moi, ses lèvres caressant les miennes, sa langue effleurant la mienne, et il recommença les va-et-vient.


Il se redressa, me laissant admirer son corps de rêve. Je sentais sa queue aller et venir en moi en contemplant son bassin onduler en me prenant sauvagement. L’intensité augmenta, les gémissements aussi. Il allait bientôt jouir. Il me branla au rythme de ses coups de reins. Un râle sortit de ma gorge et j’éjaculai sur mon ventre et sur ses doigts. Il me regarda avec un grand sourire, et après deux ou trois coups de reins bien profonds, il s’allongea sur moi pour m’embrasser, et je sentis son corps tressaillir alors que son sexe déversait des flots de sperme en moi.

Il resta quelques minutes en moi puis se retira. Nous sommes restés allongés dans les bras l’un de l’autre, et je sentais son jus en moi. Puis on décida de prendre une douche ensemble. On se lava mutuellement, on s’embrassa avant d’aller se coucher dans les bras l’un de l’autre.


Cette nuit-là, j’ai dormi comme un bébé.