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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/10/15
Résumé:  Premier rendez-vous avec Amandine, tout juste 18 ans, avec qui je parle sur Internet depuis quelque temps...
Critères:  fh hplusag hotel caférestau fsoumise cérébral voir exhib fmast fellation cunnilingu anulingus nopéné init -initfh
Auteur : PourJulie      Envoi mini-message

Série : Les débuts d'Amandine

Chapitre 01
Premier rendez-vous avec Amandine

J’avais rencontré Amandine sur un site internet de dialogue sur lequel je vais parfois. Site où la fréquentation, aussi bien masculine que féminine, frisait bien souvent le niveau des pâquerettes. Mais je continuais d’y aller, conscient que la « bonne surprise » pouvait se cacher n’importe où, n’importe quand. J’étais en couple et cherchais plutôt une femme de profil « amante », une relation régulière, discrète, complice.


Mais ce jour-là je suis tombé sur Amandine. Tout juste dix-huit ans, quinze ans de moins que moi, le dialogue s’était établi de façon plutôt simple et innocente. Mais très vite un feeling naquit, feeling assez rare. Amandine était vierge et inexpérimentée, et ne cherchait pas du tout quelqu’un pour quelque chose de sexuel. Je n’avais pour ma part jamais spécialement fantasmé sur les femmes bien plus jeunes que moi, et encore moins sur leur dépucelage. Mais le dialogue aidant, la confiance grandissant, je me rendis compte qu’elle avait un état d’esprit assez porté sur la chose, et qu’elle était manifestement mûre. Elle n’était pas dans la quête absurde du prince charmant, et pas mal d’idées coquines lui trottaient en tête. Je crois que l’idée d’être initiée par un homme plus mûr ne lui avait pas plus effleuré l’esprit que moi une femme plus jeune jusqu’à ce qu’on en parle. Par site de dialogue pour commencer, puis à l’audio et même parfois par cam dans un second temps.


Elle, qui n’avait aucune expérience sexuelle, aucun recul, faisait preuve d’une maturité saisissante, et elle me surprenait régulièrement pas la finesse et la justesse de ses analyses et ressentis vis-à-vis de moi. Nos conversations se firent plus coquines… L’idée d’être « le premier » n’avait rien d’excitant pour moi ; par contre, celle d’être l’homme qui l’aiderait à révéler le potentiel sexuel déjà présent en elle, qui l’aiderait à découvrir le plaisir, devenait très agréable… et tentante !


Nous nous sommes alors donné un premier rendez-vous. Un rendez-vous en public, que nous avions d’un commun accord décidé plutôt « sage », pour voir si l’attirance qui devenait indéniable entre nous était toujours aussi forte en réel. Nous savions pertinemment que si c’était le cas, il y avait de forte chance pour que nous dérapions, mais le risque était plus agréable que réellement dangereux !


Le rendez-vous était pris dans un café pour la fin d’après-midi. J’arrivai un peu en avance, comme toujours, un peu inquiet du risque de lapin qu’une jeune femme inexpérimentée peut toujours poser, effrayée de franchir un cap. Mais non, après cinq minutes, je la vis arriver. Nos regards se sont croisés alors qu’elle était assez loin. J’étais soulagé. Soulagé, car même après échange de photos, de webcam, le « réel » a toujours un je-ne-sais-quoi en plus qui fait que ça peut très bien ne pas le faire du tout. Mais non, elle était encore plus belle. Et il me sembla, au sourire chaleureux qu’elle m’adressa, qu’elle n’était pas déçue non plus.


Elle se définissait comme petite ; je ne la trouvai pas si minuscule, mais la dominant de plus d’une tête, je ne pouvais pas la qualifier de grande. Elle avait un regard franc et direct, de beaux cheveux ondulés qui lui arrivaient au milieu du dos, plutôt fine, mais je devinais de jolies courbes que je qualifierais d’appétissantes… Je la détaillais des pieds à la tête en la regardant approcher, sans me cacher le moins du monde mais sans insister lourdement non plus. Qu’elle voie juste elle aussi qu’elle ne me décevait pas du tout.


Elle me dit bonjour et me fit la bise, en se collant à moi un peu plus que nécessaire. Je posai ma main un peu trop bas sur son dos en lui rendant sa bise. Le ton était donné ! Elle m’avait confié que si je lui plaisais, alors elle prendrait plaisir à me séduire et même m’allumer, sachant très bien, car je le lui avais dit, que j’adorais ça. Elle savait, m’avait-elle confié, se mettre en valeur. Fan de lingerie fine, m’avait-elle aussi confié. En effet, sa tenue n’était pas sexy à proprement parler, mais assez serrée et la rendant sexy, clairement. Un simple tee-shirt mais plutôt serré, moulant une poitrine de taille moyenne sous une veste ouverte, un jean absolument affolant lui faisant un cul qui était un aimant pour mes mains (que je retenais difficilement) et pour mes yeux, ainsi que pour ceux de pas mal d’autres hommes des alentours.


On s’assit à une table et la discussion commença. Sans gêne, sans retenue, on parlait de tout et de rien mais nos yeux avaient un langage bien moins innocent. Nos sourires également. Nos jambes et nos mains s’effleuraient régulièrement, jusqu’au moment où elle me fit simplement du pied, à l’ancienne. Avec un sourire délicieux et deux yeux pétillants plongés dans les miens. Pour une débutante, elle semblait maîtriser parfaitement la séduction et la sensualité débordante qui émanait d’elle !


Je décidai alors, puisqu’elle avait ouvert les hostilités, d’assumer ce rôle d’accompagnateur sur les chemins du vice et du plaisir. Les dialogues que nous avions eus avant étaient torrides, et le premier contact était entièrement raccord avec ce que j’osais à peine rêver du potentiel de la bombe sexuelle que je devinais en elle. J’attrapai sa main et la tirai doucement vers moi pour qu’elle comprenne que j’attendais qu’elle se penche vers moi. Elle s’exécuta et je fis de même, comme si j’allais lui dire un secret dans l’oreille. Je gardais sa main dans la mienne, la caressant doucement, et je déposai un baiser, un tout petit baiser, dans la fine et douce limite entre la mâchoire et le cou, sous l’oreille. Puis un second, et un troisième. Puis je lui murmurai :



Elle se redressa lentement, me fixant d’un air énigmatique. Puis se leva sans un mot et se dirigea vers les toilettes. Elle en revint rapidement, le soutien-gorge dans sa main, comme si c’était normal, avec un petit sourire en coin. Elle s’assit, rangea le soutien-gorge et me dit que c’était dommage, il m’aurait sans doute plu.

Le tee-shirt la moulait toujours, mais la forme était plus naturelle et, à mes yeux, beaucoup plus excitante.

Amandine me sourit, puis me dit simplement :



Là, c’est moi qui n’en pouvais plus. Il me faut généralement plus qu’une pensée ou même une jolie vision pour faire durcir mon entrejambe, mais là, elle tapait très fort. Elle ajouta qu’elle était trempée.

Voilà une perche que je voulais saisir.


Je la fis se rapprocher de moi encore et lui ordonnai de discrètement se caresser. Je voulais que dans trente secondes elle puisse avoir deux doigts complètement trempés, et que j’en connaisse le goût.

Elle se pinça les lèvres, et en laissant une main dans la mienne sur la table, elle glissa, plutôt difficilement, et le plus discrètement possible, une main dans son jean serré. Je pense que sa main resta plus de trente secondes, et ses jambes s’écartèrent un peu… Son sourire s’élargissait à vue d’œil. Cette jeune femme adorait se masturber devant moi, sans que personne ne le sache. Puis elle ressortit sa main. Ses doigts étaient luisants, et elle se pencha en avant en reposant ses deux coudes sur la table. Je fis de même. La position parfaite du couple amoureux. Je pris ses mains entre les miennes, nos visages à environ trente centimètres l’un de l’autre, et je mis dans ma bouche les deux doigts complètement trempés. J’aimais son goût. Je fermai les yeux de plaisir, entendant un très léger gémissement venant d’elle, audible de moi uniquement. Je rouvris les yeux ; son visage était à dix centimètres du mien. Je libérai ses doigts qu’elle mit d’elle même dans sa bouche, anticipant mon désir. L’instant suivant, nos bouches étaient collées l’une à l’autre et nos langues se découvraient. Un baiser profond, puissant, long. Suivi d’un autre. Elle me souffla :



Ses yeux pétillaient d’envie. Elle ne me mentait pas. Je l’embrassai à nouveau, et sa main libre passa derrière ma tête. Elle éloigna sa tête de quelques centimètres et me murmura qu’elle voulait me faire goûter sa salive et sa langue… Je me levai, gardant sa main dans la mienne, et fonçai au bar pour payer. Je me retournai ensuite vers elle et lui expliquai :



Elle se pinça les lèvres d’une façon si craquante, les yeux brûlants de désir que, sans attendre sa réponse, je l’entraînai à ma suite.


Dans l’ascenseur, il commençait à faire vraiment très chaud. Cette jeune femme, complètement débutante, me rendait dingue et m’excitait au plus haut point. Elle approcha à nouveau sa bouche de la mienne, et au moment où nos lèvres auraient dû se toucher, j’ouvris un peu plus les lèvres et elle me fit don d’un filet de salive. Suivit une mémorable pelle, profonde et plus qu’humide. Nous en avions bien sûr discuté auparavant lors de nos nombreux fantasmes, et elle savait que j’adorais les petits jeux de salive… Elle avait un goût absolument divin, et je ne pus me priver d’un autre jeu rapide. Ma langue se fit plus fureteuse et impérieuse dans sa bouche. Elle comprit quasi immédiatement, après m’avoir donné sa salive, où je voulais en venir. Elle saisit ma tête à deux mains et ses lèvres vinrent enserrer ma langue comme s’il s’agissait de ma queue. Elle fit quelques va-et-vient sur ma langue tendue avant que nos bouches s’abandonnent encore une fois l’une à l’autre.


Tout ceci n’avait duré que quelques secondes, aussi, à l’ouverture de la porte de l’ascenseur, nous ne traînâmes pas et j’étais maintenant assis sur le bord de mon lit, Amandine à califourchon sur moi, et ma bouche et mes mains se relayaient entre son cou, ses épaules, ses seins, au rythme de ses vêtements qui tombaient. Je la voulais pour moi, offerte, nue. Sa veste n’avait pas résisté plus d’une seconde après la porte, et je venais d’enlever, non sans mal, son tee-shirt moulant qui découvrit sans tarder une poitrine parfaite, son soutien-gorge étant toujours dans son sac.


Je jouai avec elle, m’attachant à commencer dès maintenant à lui faire découvrir et aimer le plaisir de mes caresses, de mes mots, de ma bouche, et surtout – car c’était essentiel pour moi – de mes yeux. Je ne me privai pas de la dévorer des yeux. Je voulais qu’elle voie, qu’elle sente sans aucun doute possible que la regarder m’excitait au plus haut point. Elle ne pouvait pas non plus ignorer, assise sur moi, que mon sexe était dur comme du béton.


Comme si elle avait fait ça toute sa vie, ma jeune débutante se releva et finit de se déshabiller sous mon regard appréciateur. Pas de vrai strip-tease, bien qu’elle m’ait assuré que j’y aurais droit, un jour, mais elle réussit à ôter pantalon et tanga de façon plus que sensuelle. J’eus à peine le temps de la mater comme je le voulais que c’était mes vêtements qui étaient enlevés par les mains, malgré tout un peu maladroites, de ma belle. Je l’aidai un peu, pas trop, provoquant sourires et pouffements, et me retrouvai sans tarder aussi nu qu’elle. Avec ma belle à genoux devant moi, sa main tenant délicatement ma queue tendue.


Je savais qu’Amandine n’avait jamais touché ni même vu un sexe. Elle passa quelques secondes à le regarder, se pinça encore les lèvres et approcha sa bouche de la base de mon membre. Qu’elle lécha de bas en haut, délicatement. Puis, à mon immense surprise, elle l’enfourna brutalement en bouche et en avala presque les trois quarts d’un coup. Elle resta ainsi une à deux secondes, ses mains passant derrière mes fesses comme pour prendre appui dessus, puis se recula en laissant ma queue ressortir de sa bouche centimètre par centimètre, déjà luisante de salive, et me fit ce même sourire éclatant que je commençais à connaître. Je ne pus m’empêcher de me pencher vers elle et l’embrasser à pleine bouche encore une fois.


Les minutes qui suivirent, ces délicieuses minutes, virent Amandine faire la connaissance intime de ma queue, la dompter avec facilité, découvrir comment s’en régaler et comment me faire un bien fou. Je crois que j’avais devant moi une suceuse qui allait devenir une experte très rapidement, guidée par son appétit dévorant et l’écoute nécessaire de toute bonne fellatrice. Elle aurait pu, avec un peu d’expérience, me faire durer très, très longtemps. Mais elle en voulait plus. Elle voulait mon sperme, me l’avait dit, et tenait sa parole. Sa bouche travaillait entièrement dans un seul but : me faire me vider en elle.


Elle gémissait d’envie et d’excitation en me pompant avec voracité, se tortillant très légèrement le cul de plaisir, spectacle qui ne pouvait que me faire venir plus rapidement. Après cinq délicieuses minutes de torture, à mes gémissements elle sut que j’allais jouir, et ferma les yeux, me masturbant avec douceur et amplitude avec juste mon gland dans sa bouche, qu’elle sollicitait à peine de sa langue, ayant vite compris que j’étais très sensible de ce côté-là. Puis j’explosai en elle, me vidant, encore et encore, de longs jets puissants et chauds qui vinrent s’écraser contre sa langue.


Elle libéra mon sexe, n’ayant pas perdu une seule goutte de ma semence, garda les yeux fermés quelques secondes, puis les rouvrit doucement alors que je voyais au mouvement de sa gorge qu’elle avalait le fruit de mon plaisir.

Amandine me fit un sourire, timide cette fois-ci, et me demanda de l’air ingénu le plus innocent et donc pervers que j’avais vu jusqu’ici :



Je n’avais qu’une réponse à lui offrir. Sans un mot, je l’attrapai par les cheveux et l’obligeai à s’allonger sur le lit. Elle semblait moins à l’aise, elle la tigresse qui me fit, pour sa première pipe, une des meilleures que j’aie pu avoir. Je lui souris, fis pression de mes mains à l’intérieur de ses cuisses, elles aussi douces et parfaites, et goûtai cette chatte encore vierge.


Je me régalais. Je pus cette fois me rassasier de ce goût dont j’avais eu un aperçu dans le café, et je lui fis découvrir le sens du mot crescendo. Dix bonnes minutes passèrent au son de ses gémissements, qui très vite devinrent des petits cris entrecoupés de phrases ô combien excitantes que je ne répéterai pas ici, désirant les garder pour mes seules oreilles.


Elle avait, dès les premières secondes, eu cette attitude que je n’ai vue que rarement chez mes amantes mais qui était tombée du ciel pour le voyeur que j’étais. Ses mains bougeaient tout le temps, passant de l’arrière de ma tête qu’elle caressait à ses seins, son ventre, son cou, ses cuisses, ses joues, ses cheveux. Elle se caressait pendant que ma langue s’enfonçait de plus en plus entre ses lèvres trempées de cyprine et de ma salive.

Puis elle jouit. Là aussi je garderai secret le spectacle divin qu’elle m’offrit, ses mains agrippées à ma tête, sa cambrure crispée, ses cris. Vous n’en saurez rien.


Je la laissai à peine reprendre son souffle et lui ordonnai de se mettre à quatre pattes. Elle eut une très légère hésitation, car nous avions convenu que je ne la prendrais pas, pas pour la première rencontre, mais s’exécuta tout de même, sans discuter. Sauf que j’avais prévu de respecter ma parole. Je la plaçai au bord du lit, puis m’agenouillai par terre. Je lui ordonnai de se caresser pour moi. Elle était dégoulinante de plaisir ; son jus commençait à couler le long de ses cuisses, sensation qui ne devait pas être très agréable. Sa main vint docilement entre ses cuisses et ses doigts vinrent solliciter son clitoris dont je m’étais juste avant occupé avec délice. Je contemplai ce spectacle de longues secondes où elle prit vite de l’assurance, aimant, j’en suis persuadé, offrir son corps et son plaisir à ma vue.


C’est donc un joli sursaut qu’elle eut lorsqu’elle sentit mes mains écarter doucement, mais sans hésitation, ses fesses rebondies et ma langue venir immédiatement goûter son anus offert. Mon pari fut payant, et très rapidement je sentis ma douce se détendre et commencer à savourer cette nouvelle caresse conjuguée à ses doigts qui jouaient entre ses cuisses.


C’est un second orgasme qu’elle connut, épaules contre le matelas, cul tendu, cambrée au maximum pour mieux sentir ma langue la fouiller, sa main s’agitant frénétiquement.

Second orgasme qui conclut les découvertes sexuelles pour cette fois-ci. Nous passâmes encore un long moment ensemble, dans ce lit, à nous découvrir, à discuter, à rire, à s’embrasser ; mais ça aussi, c’est privé…



À suivre