n° 17045 | Fiche technique | 7908 caractères | 7908Temps de lecture estimé : 6 mn | 03/10/15 |
Résumé: Une femme mariée en manque de sexe se laisse tenter par un 12/14 imprévu... | ||||
Critères: fh extracon grossexe travail voiture fellation cunnilingu pénétratio -totalsexe -occasion | ||||
Auteur : Madec Envoi mini-message |
Je m’appelle Michel, j’ai 54 ans et je suis routier.
Je vais régulièrement chercher de la marchandise au dépôt d’un transporteur sur la rive droite de Bordeaux. C’est toujours M. qui s’occupe de moi lorsque j’arrive dans les bureaux… j’adore cette femme ! Et je pensais que je ne lui étais pas indifférent… elle avait toujours le sourire lorsqu’on se voyait.
Une femme de 47 ans, magnifiquement bien roulée… elle me faisait beaucoup d’effet. D’ailleurs, à chaque fois que je repartais de leur dépôt, je me disais au fond de moi qu’un jour il fallait que je l’invite à déjeuner et que je tente ma chance pour la baiser ! Je savais qu’elle était mariée, ou en couple… mais lorsqu’on arrive à un certain âge, je sais que les femmes sont plus disponibles à tromper leur mari. Malgré mes 54 ans, j’étais plutôt pas mal foutu, et surtout avec un engin très bien proportionné.
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Ce jour du mois de juin 2015, il fait particulièrement chaud ; on me charge dans le camion la marchandise que je suis venu récupérer. Je vais voir M. dans le bureau ; il est 12 h 30 : c’est l’heure où habituellement elle part déjeuner… sauf que là, il y a une erreur de stock dans le chargement. M. sort avec moi : elle doit monter dans le camion pour contrôler la marchandise avant de finaliser son transport.
M. est en petite robe blanche, relativement courte et transparente à la lumière ; je peux voir qu’elle porte un string. Elle se met au cul du camion et me demande de l’aider à monter dans la remorque. Je ne me démonte pas, et je pose délicatement mes deux mains sur son joli petit cul pour l’aider à monter. Bien sûr, à ce moment-là, je remonte la robe sur ses hanches pour voir un joli string habillant un cul magnifique. Là, M. – tout en rigolant malgré tout – me dit que c’est pas une raison pour en profiter. Bien évidemment, je n’écoute pas ce qu’elle me dit, et bien au contraire, je plaque mes mains bien à plat sur son fessier rebondi.
Une fois sur la plateforme du camion, M. réajuste sa robe, toute timide et gênée. Je lui dis alors qu’il ne faut pas qu’elle soit gênée pour si peu et qu’elle a un petit cul vraiment magnifique. Elle me sourit alors, et je comprends finalement que ça ne l’a pas du tout dérangée. Mais à quel point ?
Très sérieusement, M. reprend le travail pour contrôler la marchandise, mais je ne la sens pas si concentrée que cela sur la tâche qu’elle doit accomplir. Voyant qu’elle n’y était pas, je lui en fais la remarque et lui demande si elle a été troublée par mes mains aux fesses, et en insistant sur le fait que moi, j’ai été particulièrement troublé par la vue de son très joli petit cul. M. finit par m’avouer que ça l’a un peu déstabilisée sur le coup… qu’elle ne s’y attendait pas du tout, mais qu’elle a apprécié !
Je recule alors vers la porte du camion pour la refermer discrètement, puis je reviens vers elle et je le plaque tout contre moi. Je plaque mes mains sous sa robe et je commence à caresser son petit cul. À ma grande surprise, elle se laissait faire… Alors je le retourne et je la plaque cette fois-ci contre la cargaison, et je relève sa robe au-dessus de ses fesses. Je m’agenouille et viens embrasser son petit cul partout alors que ma langue lui lèche la raie de ses fesses. Je lui écarte son string pour mieux lui lécher sa petite fente qui s’humidifie très largement…
M gémit tout en me disant que ce n’est pas bien… qu’elle a honte de ce qu’elle est en train de faire avec moi alors qu’elle pense à son mari. Je lui demande alors si elle préfère que j’arrête… et elle me répond que ce n’est pas bien du tout ce que l’on est en train de faire… mais elle me supplie de continuer !
Je la retourne de nouveau, face à moi… Je lui retire sa robe, et elle est maintenant en sous-vêtements devant moi. Elle est magnifiquement belle !
Je lui dégrafe son soutien-gorge et je libère ses deux petits seins. Ils sont magnifiques. Assez petits effectivement, mais avec deux tétons particulièrement gonflés et bien durs. Pendant que je les embrasse passionnément, M. s’active sur la braguette de mon pantalon. Elle doit sentir la dureté de mon sexe qui n’attend plus qu’une seule chose : se libérer de mon caleçon et pointer fièrement. Autant l’avouer, et en toute modestie, mon sexe est très impressionnant niveau taille. Autant en longueur (plus de 20 cm) qu’en diamètre. Digne d’un Rocco Siffredi. Je me rends compte que M. est très habile de ses mains… Elle arrive enfin à faire glisser mon pantalon le long de mes jambes, puis saisit mon engin dans mon caleçon qu’elle retire tout aussi aisément.
Hummmm… ses deux mains s’activent sur mes bourses et ma queue raide. Elle me décalotte et me masturbe délicatement. Je la vois qui se mord les lèvres et me sourit, surprise par la grosseur de ma queue. Elle me compliment sur ma queue :
Sans rien lui demander, M. s’agenouille devant mon sexe… le tripote délicatement puis commence par me sucer ! Je sens mon sexe durcir davantage dans sa bouche experte… Elle suce divinement bien !
Puis elle se relève et murmure ces mots à mon oreille :
Putain… j’ai tellement envie de la baiser ! Par contre, je n’ai pas de capote sur moi ; je le luis dis. Moi, même marié et elle aussi, on décide de baiser sans capote… De mon côté, je sais qu’il n’y a aucun risque. Du sien aussi, il n’y a aucun risque. Elle n’est pas du genre à coucher à droite ou à gauche… sauf aujourd’hui !
Je la retourne de nouveau et la penche sur les palettes… Je lui retire son string et je plaque mon gland devant sa petite fente ruisselante. Je m’enfonce dans son vagin sans aucune difficulté, et je commence mes va-et-vient. Tout d’abord lentement pour qu’elle sente bien ma queue la pénétrer, puis de plus en plus vite.
M. gémit de plus en plus fort, et je commence à sentir la jouissance venir. Je suis prêt à me retirer pour éjaculer surs ses fesses lorsqu’elle me dit de rester en elle, qu’elle a un stérilet et que je peux jouir en elle sans risque. Quelques secondes plus tard, je jouis en elle… plusieurs jets de sperme.
Je me retire au bout de quelques instants, la queue légèrement molle… M. se retourne et me demande de lui lécher le clito… elle n’a pas joui !
Elle me dit alors qu’elle est clitoridienne, et qu’elle jouit très rarement par la pénétration, même si ça lui procure énormément de plaisir… même si MA queue lui a procuré énormément de plaisir.
M. s’assoit alors sur les palettes et écarte ses cuisses. Je me rapproche et je commence à lui lécher son clito. Elle est encore pleine de mon sperme… c’est excitant !
Quelques minutes plus tard, je sens tout le corps de M. se contracter et trembler de partout… Elle ne peut s’empêcher de crier, tellement sa jouissance est intense !
Puis, après nous être rhabillés, M. m’avoue que son mari ne lui fait pratiquement plus l’amour mais qu’elle a de gros besoins de sexe, et que finalement elle ne regrette absolument pas d’avoir baisé avec moi… et que je l’ai fait jouir comme rarement.
En rigolant, je lui propose alors de la baiser chaque fois que je reviendrai au dépôt !