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n° 17046Fiche technique11315 caractères11315
Temps de lecture estimé : 7 mn
03/10/15
Résumé:  Surpris en plein essayage par ma belle-sœur, je découvre - pour mon plus grand plaisir - son côté pervers...
Critères:  extracon alliance hépilé hsoumis fdomine chantage revede exhib photofilm lingerie hféminisé travesti hmast hdanus hgode hsodo init
Auteur : Nono69      Envoi mini-message
Ma belle-sœur

Seul devant mon PC, simplement vêtu d’un string en dentelle, de bas noirs et d’un porte-jarretelles, je naviguais de site en site afin de trouver une vidéo suffisamment excitante pour me caresser.


J’avais découvert le plaisir de me travestir il y a quelques temps, au travers de récits trouvés sur le net et avais eu envie d’essayer. J’ai donc pioché dans les affaires de ma femme pour faire divers essayages de ses dessous, et je dois dire qu’effectivement j’y ai pris beaucoup de plaisir. Rien que le fait de choisir le string, je bandais déjà… L’enfiler, le glisser contre mes cuisses jusqu’à sentir la ficelle s’immiscer délicatement entre mes fesses puis venir se frotter contre mon anus… Hummm… un moment de pur plaisir.


Je filai à la salle de bain pour m’admirer devant le miroir et me trouvai particulièrement sexy, le sexe comprimé sous la dentelle et mon petit cul rebondi que le fin tissu mettait particulièrement en valeur.


Je retournai dans la chambre, enfilai des bas, découvrant au passage la douce sensation du nylon sur mes jambes, puis mis un porte-jarretelles pour parfaire le tout. Retour à la salle de bain pour m’admirer de nouveau… Je me trouvais attirante, habillée comme ça, et cela m’excitait énormément. Je me surpris même à glisser mes doigts sur mes cuisses, mes fesses, mon torse, et chaque contact m’électrisait, excitée comme je l’étais.


C’est donc en petite femme sexy que je me retrouvai devant mon ordi, cherchant des vidéos pour alimenter encore plus mon excitation. L’une attira mon attention : un mari rentrant chez lui trouvait sa femme en train de se faire prendre par son amant… Il restait là à les observer, excité de voir sa femme prendre du plaisir dans les bras d’un autre ; il commençait même à se caresser devant le spectacle ainsi offert avant de se faire découvrir, se retrouvant la bite à la main devant sa femme et son amant… Passée la surprise, sa femme l’invitait à se joindre à eux…


J’avais moi aussi commencé à me caresser, glissant ma main sous la dentelle pour caresser mon sexe et mes couilles durcies d’excitation. Je poursuivais ma lecture en me masturbant quand on sonna à la porte. J’hésitai un instant puis enfilai rapidement un jogging avant d’aller ouvrir : c’était ma belle-sœur qui venait emprunter des affaires à ma femme pour un rencard le soir même.


Nous n’avions jamais pu nous saquer, sans trop savoir pourquoi ; nous n’avions jamais rien à nous dire, et aucun de nous n’avait jamais daigné faire le moindre effort. Passées les politesses d’usage, elle se dirigea vers la chambre pour récupérer ses affaires.



Merde, j’avais oublié ce détail ! Ne pensant pas être dérangé, j’avais en effet laissé traîner tous mes essayages sur le lit. J’arrivai précipitamment dans la chambre, prétextant qu’elle était pressée ce matin et n’avait pas eu le temps de ranger. Mais je vis qu’elle m’observait bizarrement ; quelque chose la perturbait… Elle fixait mon bas de jogging d’un air interloqué.



Je baissai les yeux pour voir de quoi elle voulait parler quand, patatras, je découvris qu’une des lanières du porte-jarretelles s’était détachée et ressortait de mon pantalon le long de ma cuisse. Je passai par toutes les couleurs, ne sachant que répondre.



La salope profitait de la situation pour me ridiculiser, mais je n’avais pas choix. Lentement, j’ôtai mon jogging, me retrouvant en string, bas et porte-jarretelles devant celle que je détestais. Elle me regarda de haut en bas pendant un moment qui me parut une éternité puis, sans dire un mot, s’avança, fit le tour pour m’observer côté pile, m’assenant au passage une claque sur la fesse qui me fit sursauter.



Comment le nier ? J’avais effectivement la verge tendue à son maximum, comprimée sous la dentelle, insérant encore un peu plus la ficelle contre mon petit trou.



Ce faisant, elle se dirigea vers le PC resté allumé. À présent, le mari suçait l’amant et semblait y prendre beaucoup de plaisir tandis que sa femme se masturbait frénétiquement en les regardant.



Disant cela, elle vint se positionner derrière moi. À présent, à l’écran, le mari se faisait sodomiser par l’amant et couinait sous ses assauts. Elle prit une voix sensuelle que je ne lui connaissais pas et vint me chuchoter à l’oreille :



Je ne répondis pas. La situation et la vidéo m’excitaient terriblement… Sans vraiment m’en rendre compte, je me cambrai, les mains posées sur le meuble devant moi, entrant en contact avec le corps de ma belle-sœur.


À l’écran, on voyait maintenant un gros plan sur la queue de l’amant entrant et sortant du cul du mari soumis. Je ne pouvais détacher mon regard de cette vidéo qui m’excitait au plus haut point malgré moi.



Ses mains étaient à présent posées sur mes hanches, je sentais son souffle sur ma nuque…



Sa main gauche glissa jusqu’à mon sexe tendu à travers le tissu.



Elle présenta ses doigts à ma bouche que j’ouvris instinctivement, sans réfléchir.



Elle glissa une jambe entre les miennes que j’écartai presque machinalement. Sa cuisse était à présent contre mon cul. Instinctivement, je me mis à onduler du bassin pour me frotter contre sa cuisse.



Elle continuait son manège, allant et venant de haut en bas entre mes fesses, et je gémissais à chaque fois. Un doigt faisait maintenant le tour de mon œillet, le caressait.



Elle venait de le poser à son entrée, le titillant juste ce qu’il faut pour me faire gémir un peu plus.



À peine avais-je fini ma phrase que je sentis son doigt écarter lentement mes sphincters. Je ne pus retenir un râle de plaisir… Des frissons me parcouraient le bas du dos, mon anus s’ouvrait pour accueillir ce doigt, source de tant de plaisirs. J’en tremblais. Elle faisait aller et venir ce doigt en moi, bientôt rejoint par un deuxième, me caressant les cuisses, le torse, me pinçant délicatement le téton de son autre main… J’étais sa chose, à sa merci.


Mon bassin ondulait maintenant, allant à la rencontre de ses doigts, me les enfonçant profondément telle une pute assoiffée de sexe. Les frissons me parcouraient maintenant toute la colonne, haletant comme une chienne assoiffée de sexe. Elle avait raison : je n’étais qu’une petite pute, et j’aimais ça. J’adorais tellement ça que j’en redemandais.



Je sentais mon anus palpiter, une vague de chaleur irradier mon bas-ventre de plus en plus fort, mes fesses se contracter, mon corps trembler, mon sexe couler telle une fontaine, et puis, et puis… un éclair me parcourut le corps de part en part, me foudroyant sur place. Tétanisé de plaisir, je hurlais ma jouissance qui n’en finissait plus. N’ayant même plus la force de tenir sur mes jambes, je m’écroulai à genoux, la gorge sèche, quelques frissons me parcourant encore le corps.


Je relevai les yeux : le film était terminé depuis longtemps, ma belle-sœur me caressait tendrement le dos.