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Temps de lecture estimé : 21 mn
12/10/15
Résumé:  On s'ennuie beaucoup dans la fonction publique. Ce ne sont pas les femmes qui nous entourent qui nous sortiront de la monotonie... sauf exception(s).
Critères:  fh couleurs extracon collègues travail cunnilingu fgode pénétratio fsodo
Auteur : EliasK      Envoi mini-message

Série : Briser la monotonie du travail

Chapitre 01 / 02
Double trouble

La fonction publique a cela de particulier qu’elle est une majoritairement féminine. On retrouve les femmes malheureusement souvent dans les fonctions les plus ingrates et les moins considérées, le patriarcat latent de notre société laisse les postes de direction souvent aux hommes.

Mais du coup quand on est comme moi, un homme relativement jeune dans un poste sans grandes responsabilités, on pourrait croire que je suis chanceux de me retrouver entouré de beaucoup de femmes, si l’on est un tant soit peu coureur de jupons.

Ce n’est pas mon cas d’une part, et d’autre part ces femmes sont souvent mères de familles, mariées, et parfois d’un certain âge. Rien de vraiment affriolant, on est bien loin du cliché d’un service rempli de jeunes femmes prêtes à nous réconforter.


Mais surtout, je suis considéré parfois comme quelqu’un d’un peu à part et comme un électron libre dans mon service. En effet, je travaille dans l’aide à la recherche de financements pour les structures publiques. Je passe donc une très grande partie de mon temps sur des tableaux dynamiques Excel infernaux, je suis contraint de chipoter sur les rédactions des dossiers de subventions, sur des arrondis de centimes, sur des procédures… Rien de très passionnant.


Les gens qui ne travaillent pas directement avec moi ne comprennent pas exactement ce que je fais. Les autres le comprennent à peine mieux. Mais si je ne suis pas là, plein d’actions publiques n’auraient pas lieu, et on me laisse relativement tranquille pour me laisser travailler tranquillement. On se dit souvent « On ne comprend rien aux chiffres, autant laisser cela à ceux qui savent faire. » Je m’autorise dans ce milieu guindé et parfois un peu réac’ des familiarités ; je fais passer mes idées par l’humour et j’essaie d’éviter toute langue de bois administrative. Même si c’est compliqué.


Inutile de vous dire que les secrétaires ne me considèrent pas vraiment, d’autant plus que je n’apprécie pas spécialement leur compagnie. Je ne m’intéresse pas trop à leurs histoires qui tournent autour de leurs mômes à l’école, de leurs maris, de leurs vacances à Narbonne… Rien de méchant, c’est juste que je ne me sens pas concerné. Et je me suis fait un point d’honneur à rester relativement neutre avec les autres femmes de mon service : je n’ai pas spécialement envie qu’il y ait des rumeurs sur moi ou des suspicions, c’est déjà assez déprimant.


Mais souvent il m’arrive de quitter mon bureau pour des réunions à l’extérieur pour aider d’autres structures qui ont besoin d’aide sur la recherche de financements. Et de temps en temps je tombe sur des femmes de mon âge, intéressantes, concernées par leur boulot et qui se donnent du mal. Ce fut le cas avec deux collègues qui travaillaient dans des services « jeunesse » de deux villes différentes.


La première, Sandrine, semblait un peu plus jeune que moi et venait d’arriver sur un poste où on lui mettait la pression pour obtenir les financements nécessaires, sinon son poste sautait. Elle était blonde, avec des formes généreuses, un petit piercing au nez et avait la parole franche et parfois un peu autoritaire. C’était sans doute dû au fait qu’elle devait se faire respecter par les jeunes collégiens qui atterrissaient chez elle. J’étais toujours un peu mal à l’aise avec elle car je pense qu’elle voulait toujours trop bien faire et me posait toujours des questions en boucle sur les dossiers de subventions, et j’avais souvent l’impression de me répéter. Cela devait tenir à son manque d’expérience. J’avais un peu l’impression d’être, paradoxalement, infantilisant avec elle.


Cela allait de pair avec une sorte de gêne que j’avais tout le temps en sa présence : elle me posait souvent des questions parfois très personnelles afin de savoir si j’étais en couple, où j’habitais, si mon travail était correct, si j’étais bien payé… Je me doutais qu’elle essayait de me faire du rentre-dedans, mais je prenais toujours un peu distance, au cas où.


Mais en même temps je ne pouvais m’empêcher d’observer ses formes qu’elle m’offrait en réunion, avec ses vêtements proches du corps qui me laissaient imaginer ce que bon me semblait. Elle avait un parfum enivrant, et j’étais parfois un peu envoûté. Je rêvais parfois de prendre ses petits bourrelets dans mes mains afin de les pétrir, voire de les malmener. Et je me demandais si elle continuerait de minauder si je la prenais en main.


La seconde, Édith, était un peu plus expérimentée et était directrice d’un petit service « jeunesse ». La municipalité lui demandait de trouver des financements, mais cela ne semblait pas une priorité. Elle était beaucoup plus détendue, et il était agréable de parler avec elle de tout et de rien, on pouvait plaisanter facilement. Elle avait la peau très noire, était un peu plus ronde, et avait les cheveux lissés. Je me suis rendu compte que je n’étais pas insensible à ses charmes lorsque par inadvertance j’ai remarqué une petite tache sur son pull au niveau de sa poitrine. Puis en regardant de façon un peu plus large, je devinai des seins opulents dans lesquels je me serais bien perdu quelques heures.


Même si on plaisantait souvent ensemble et qu’on échangeait pas mal sur la politique, sur notre ressenti comme citoyens des quartiers, je n’ai jamais deviné ce qu’elle pensait réellement de moi. À part peut-être au détour d’un échange :



Elle préférait porter des jupes, et j’aurais donné beaucoup pour pouvoir y glisser parfois mes mains, pour toucher ce qui s’y cachait, et caresser ses seins pour voir s’ils étaient aussi ronds que je l’imaginais… J’aurai aimé mordre ses lèvres pour voir si j’étais toujours plus qu’agréable que la sous-préf’.


Je me retrouvai un soir dans le bureau de Sandrine pour l’aider sur son suivi de projet.

Elle m’avait appelé, un peu paniquée, me disant qu’elle pensait ne plus être à jour sur son dossier. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit, au détour d’une de ses innombrables questions, qu’un jour mon appartement n’était pas loin de son lieu de travail. Elle m’avait proposé de passer en milieu d’après-midi afin que je puisse rentrer chez moi ensuite. C’était la fin de l’hiver, et il commençait à faire sombre assez tôt dans la soirée.

On reprit tout, on rédige une note à diffuser, je lui remontrai les preuves nécessaires à fournir, comment faire les calculs de salaires sur son ordinateur.



Je soupirai, un peu fatigué. Je réexpliquai une dernière fois. Elle se pencha vers moi pour mieux voir l’écran, et j’eus une vue directe sur sa poitrine. J’ai détourné rapidement les yeux pour pas qu’elle me remarque.

De temps en temps elle s’arrêtait pour me regarder et sourire gentiment, voire pouffer. Cela me mettait mal à l’aise.



Elle s’est baissée, et son pull moulant vert s’est relevé. En plus de m’offrir la vue de son fessier opulent, je distinguais au-dessus de son jean un tatouage tribal dans le bas du dos. Je trouve ça vulgaire, habituellement ; un ami les appelle « les tatouages à levrettes ». Mais là, la proximité, le fait qu’elle soit à côté de moi depuis plusieurs heures, et maintenant son cul qui s’offrait à moi, tout cela faisait que j’avais des démangeaisons dans le bas-ventre.

Ce n’était pourtant pas le moment d’avoir une érection, il y avait des collègues à elle encore présentes. Je rapprochai la chaise de la table afin qu’on ne puisse rien voir.



J’allais pour prendre la facture lorsque nos doigts s’effleurèrent. Je la regardai, un peu confus, comme si j’avais dit à haute voix ce que j’avais envie de lui faire.



J’essayai de lire cette putain de facture, mais j’avais la tête beaucoup trop embrouillée. Les chiffres se mélangeaient ; je relus trois fois les mêmes lignes sans rien y comprendre, puis je lui dis :



En effet, sa dernière collègue venait de la saluer en lui disant qu’elle allait chercher son fils.



Une fois dehors je m’allumai une cigarette puis lui tendis mon briquet. Je voulais rentrer chez moi, et je me demandais si on allait finir vite car cette tension étrange me fatiguait.



Toujours ces questions embarrassantes. Pourquoi voulait-elle absolument savoir où j’habite ?



Elle tira sur sa cigarette ; je fis de même machinalement. J’essayais de m’occuper les doigts.



Elle pouffa.



Elle m’appelait toujours « Monsieur » ; c’était mignon et un peu gênant car ça me donnait plus d’importance que je n’en n’avais réellement. Surtout que je n’étais pas beaucoup plus vieux.



Je souris. En temps normal, j’aurais peut-être vu une porte ouverte, mais au même moment j’avais l’estomac noué, ce n’était pas le moment de déraper. Je déglutis pour ne pas me retrouver à bafouiller et me donner une contenance.



Elle se tenait droite comme un i. Elle avait l’air à l’aise dans ses pompes, pas comme devant notre tableur Excel plus tôt.



Elle sortit son portable, sembla regarder l’heure, puis elle me dit un truc auquel je ne m’attendais pas du tout :



On s’approcha de la porte ; elle sortit ses clefs et ouvrit. Elle m’expliqua que le gardien n’avait pas encore pris place dans ce nouveau gymnase. Elle alluma quelques lumières.

Après avoir seulement passé un couloir, elle se jeta sur moi, prit ma tête dans ses mains et colla sa bouche contre la mienne. C’était le signal : il ne m’en fallait pas plus pour que je plaque mes mains sur son cul qui n’arrêtait pas de me narguer et je le pétris fort. Elle glissa sa main sous ma chemise ; le contact froid de sa main m’électrisa, et tout en fourrant ma langue dans sa bouche, j’essayais de caresser tout ce que je pouvais. Je remontai à ses hanches rondes pour bien profiter de ses formes. Elle savait ce qu’elle voulait et ne se décrochait pas de ma bouche. Je me risquai à caresser sa poitrine indécente sans qu’elle ne s’en offusque le moins du monde.



Un peu dépareillée et ébouriffée, elle me prit la main et m’amena près de la poutre sur laquelle je détestais faire de l’équilibre quand j’étais môme. Elle jeta son manteau ; je fis de même et la plaquai contre l’appareil alors qu’elle dégrafait mon pantalon. Dans la panique, j’ai essayé d’enlever son jeans ; mes mains s’emmêlaient toutes seules, je me sentais gêné par la violente érection qui m’arrivait. Elle finit par l’enlever elle-même, et j’arrachai sa culotte.



Je voulais qu’elle se taise, alors je me suis agenouillé et j’ai commencé à lui brouter la chatte sans vergogne. Ça n’a pas loupé : elle a commencé à haleter, sans doute plus excitée que je ne l’étais moi-même. Elle était adossée au mur et je sentais ses jambes trembler. Je donnais des coups de langue rapides sur son clitoris. J’osai mettre deux doigts dans son entrée chaude afin de m’assurer du passage : il était déjà prêt. Peut-être l’était-il déjà quand elle m’avait demandé comment me remercier. Depuis tout à l’heure elle m’envoyait des signaux, mais en fait elle devait mouiller comme pas possible. Je lui mis mes doigts dans sa bouche, doigts qu’elle avala sans vergogne.



Elle se retourna, mit ses mains sur la poutre, écarta bien les jambes, et me dit :



Je devinai qu’elle savait très bien comment trouver au mieux son plaisir et que cela devait être sa position préférée. Mon sexe ne faisait qu’effleurer ses petites lèvres qu’elle commençait déjà à soupirer. Je rentrai d’abord mon gland, puis j’essayai de tout rentrer d’un coup sec. Comme je m’en doutais, elle poussa un petit cri, le tout coulissant à la perfection.


Il fallait donc que je donne des petits coups secs pour toucher le fond. Je m’agrippai à ses seins pour être à la bonne hauteur et j’ai commencé à donner des coups de bassin. Elle n’avait pas enlevé le haut : j’ai donc passé mes mains sous son foutu pull, dégagé comme je pus son soutien-gorge, et j’ai pris ses tétons à pleines mains.

Elle-même bougeait très bien, si bien qu’à chaque coup on entendait un petit « clac » sonore.


Je me rendis compte qu’elle criait vraiment fort à chacun de mes coups de reins. Tout le son se répercutait dans ce gymnase vide, j’en devenais presque fou. Elle baisait comme elle parlait : beaucoup et fort. Son pull s’est relevé, et j’ai pu enfin contempler son tatouage à levrette. C’était la première fois que je pouvais profiter de ce spectacle.



Excité par ses petits cris, j’allais de plus en plus vite et j’avais envie de donner tout son sens à son tatouage. Je sentis son vagin se serrer autour de ma verge tandis que j’essayais d’aller toujours plus fort. À chaque coup, un petit cri. Ses cheveux blonds attachés en queue-de-cheval se défirent ; ils tombaient désormais sur son visage. La sueur les colla, et cela me donna étrangement une nouvelle vigueur. Il me sembla qu’elle eut un cri plus fort et ses jambes vacillèrent un peu, mais elle se retenait à la poutre. Je ne savais pas si c’était le signe ; je serrais les dents pour ne pas jouir tout de suite, mais j’ai décidé de tout relâcher. La décharge fut fulgurante.


Je m’étais tellement retenu depuis deux heures que je me rendis compte que j’avais besoin de me vider. J’attendis bien que mes derniers spasmes se finissent.

Bizarrement, je me suis dit que pour ne pas salir le tapis d’exercice, il fallait que je reste en elle. Mes jambes allaient se dérober sous moi.


On se rhabilla, un peu penauds. Cette baise nous avait permis de nous réchauffer, mais il recommençait à faire froid.



Elle baissa les yeux et fronça les sourcils…



Elle réfléchit.



Je ris.



J’étais plutôt satisfait de la façon dont les choses avaient tourné. J’étais bizarrement plus léger et plus confiant. Je n’ai pas voulu la rappeler tout de suite, pas besoin de la harceler. Si elle voulait revenir vers moi, elle le ferait.


C’est donc insouciant que quelques semaines plus tard j’étais cette fois en rendez-vous avec Édith. Je m’étais dit que j’irais sobrement, sans prise de tête. Mais lorsque j’arrivai dans son service municipal et qu’elle m’accueillit devant son bureau tout sourire et avec un jolie robe longue à petites fleurs, je sentis mes jambes défaillir. Cette femme était vraiment attirante, dans un tout autre genre.



Nous discutions en l’attendant. Que cette femme était plaisante… J’avais envie de caresser son petit ventre rond.


On devait préparer son bilan pour qu’elle puisse récupérer l’argent des subventions. Un éducateur était avec nous dans le bureau de la directrice, on refaisait l’historique du projet. J’étais un peu déçu car j’aurais préféré un tête-à-tête avec Édith, mais j’essayais de garder mon calme et de ne pas montrer que je m’intéressais à elle. L’idée était toujours la même : pas de vagues, pas de rumeurs, ce serait malvenu. Cela a duré un bon moment, le temps que je montre comment ils pouvaient récupérer des pièces justificatives, des preuves comptables. Pour faire passer la pilule, j’hasardai comme à mon habitude quelques blagues et un langage parfois familier, et cela sembla fonctionner.


À un moment j’ai vu Édith croiser les bras juste en dessous de sa poitrine, la rehaussant légèrement. Je me revoyais déjà mettre ma tête dans sa poitrine noire. Bon sang, qu’ils étaient indécents, ses seins ! Je croisai plusieurs fois son regard, et comme l’autre fois avec Sandrine je pensai m’être trahi rien que par un contact oculaire. Mais elle me sourit, ne se doutant visiblement pas ce qui me passait par la tête.



L’éducateur me serra la main chaleureusement, visiblement content de repartir rassuré sur son projet, et quitta le bureau.



Elle éclata d’un rire franc. Elle ne s’attendait pas du tout à ce que je sorte cette expression qui est plutôt utilisée par les jeunes de banlieue et qui me correspondait plutôt pas mal bizarrement.



Elle reprit position sur son fauteuil et croisa les jambes. Je vis qu’elle portait des bas gris ; j’avais envie d’y glisser mes mains pour qu’elle se fasse pardonner de s’être moquée de moi, même si j’étais bien sûr consentant.


C’est à ce moment-là que le téléphone en profita pour sonner. Elle s’excusa et me demanda quelques instants. Comme j’avais encore une heure et demie de route pour rentrer chez moi, en plein bouchons du vendredi soir, je décidai de m’en aller discrètement en faisant un petit signe de la main. Édith fit une tête un peu étrange, voire contrariée, mais semblait absorbée par sa discussion au téléphone et répétait « Oui, oui… D’accord … »


J’étais dans le couloir et remettais mon manteau. Je cherchai une cigarette dans ma sacoche, pensant que cela m’aiderait à me détendre après ces visions de poitrine et de ce ventre rond qui me faisaient rêver. Je n’avais pas de raisons d’en vouloir davantage : j’avais déjà eu une relation avec Sandrine quelque temps avant, je n’étais pas à plaindre. Mais rien que la vision de la robe d’Édith m’avait mis dans un état pas possible. C’est alors que j’entendis :



Merde ! Elle revenait pour me dire au revoir. En trottinant dans ce couloir municipal monotone, ses talons retentissaient, et je vis ses seins bouger sous sa robe. Je détournai vite le regard mais je sentais déjà quelque chose monter en moi.



Je voulais qu’elle se mette à table, qu’elle en dise un peu plus. Un peu de baume au cœur, c’est toujours sympathique.



Je me rappelai alors d’un détail :



Elle ricana.



Elle fit une moue de déception ; je la sentais un peu sur la défensive.



C’était risqué, mais ça pouvait être une porte pour autre chose.



Et elle planta son regard en moi. « Bon sang, que devais-je dire ensuite ? Une banalité du style « Oui, je le sais » ? Non surtout pas ! » Elle regarda sa montre pour vérifier l’heure. Elle était retournée sur son poignet, et je ne sais pas pourquoi cela m’a marqué. Le bracelet était un peu lâche. Elle tourna la tête un peu nerveusement ; ses cheveux lissés virevoltèrent. J’étais hypnotisé.



Je vérifiai dans mon sac ; cela me fit sortir de ma torpeur. C’était vrai ! J’étais tellement obnubilé que je n’avais pas fait attention.

Nous retournâmes dans son bureau. Et d’un coup je me rendis compte de quelque chose d’anodin : pourquoi ne me les avait-elle pas ramenées directement ? Pourquoi avait-elle fermé la porte juste derrière moi ? Et pourquoi s’était-elle rapprochée aussi près de moi ?



Mon sexe était déjà dressé ; elle s’en assura en plaquant sa main dessus.


Je l’embrassai à pleine bouche ; elle engouffra sa langue. Je mis calmement ma main sur l’arrière de sa nuque et lui mordis la lèvre inférieure. Elle soupira plus que de raison.

Je l’installai sur la table de réunion, et elle retroussa sa jupe. Pendant ce temps-là, je voulus libérer son chemisier pour avoir enfin une vue sur ses seins. Lorsqu’elle dégrafa son soutien-gorge, je crus que j’allais jouir immédiatement. Elle a dû le remarquer car elle ouvrit ma braguette et descendit juste mon pantalon. Il ne m’en fallut pas plus pour la pénétrer. Elle se colla davantage contre moi et je sentis ses seins magnifiques contre ma poitrine.

Leur contact chaud et doux sur moi me donna un surplus de vigueur.

Mais ce qui m’excita le plus, c’était de sentir enfin son petit ventre rond contre le mien.


Tout est allé très vite, et je la bourrai de coups de reins. Le très peu de préliminaires me suggérait qu’elle voulait que ce soit rapide et intense. Je sentis ses longs ongles s’enfoncer dans ma peau, elle me mordit même le cou. Cette légère douleur m’excita encore davantage, et je la sentais se serrer contre moi.

Bien que la position sur la table était inconfortable, j’allais jouir égoïstement quand d’un coup elle me dit :



Je commençais à comprendre, malgré l’excitation qui m’embrumait la tête.



Ces derniers mots me mirent une claque. J’avais déjà commencé à lâcher un peu de sperme lors de cette première saillie précipitée ; je crus que c’était fini. Mais, à sa demande, j’ai senti une nouvelle érection.

Elle se retourna. Elle mit ses mains sur le bureau. Elle avait toujours sa jupe. Je la relevai et j’humidifiai rapidement mes doigts afin de la préparer. Je ne l’avais jamais fait, mais il me semblait qu’il fallait que je le fasse ainsi.

Je caressai son énorme fessier et commençai à titiller l’endroit où peu sont allés. J’écartai un peu son cul, puis elle me dit d’une voix rauque et sûre :



Elle écarta ses deux lobes, me donnant une vision directe sur son petit trou du cul.

Je n’en pouvais plus, alors j’ai posé mon gland à l’entrée de son cul. Puis je suis rentré. C’était serré, mais il fallait que je tienne bon. J’y allai par petits à-coups. Il fallait qu’elle s’habitue pour qu’elle puisse réellement apprécier. Elle respirait vite et fort. Elle était beaucoup plus discrète que Sandrine : tout dans la retenue, elle était concentrée sur son propre plaisir.

Je voyais sa montre à son poignet. À chaque coup que je donnais, elle tapait doucement sur le coin du bureau. Je voulais que cette montre fasse davantage de bruit, qu’elle soit coordonnée avec notre ballet étrange. Je commençai à accélérer.

C’est à ce moment-là que cette saloperie de téléphone sonna. Édith m’ordonna de m’arrêter.



Je pensais qu’elle avait la trouille que rien que le fait que ce téléphone sonne on puisse nous entendre. Mais elle fit bien pire que ça : elle décrocha.



Bon sang ! C’est pas vrai ! Elle voulait répondre au moment le plus important ! Tant pis pour elle : on n’arrête pas une locomotive en marche ! Je recommençai à la bourrer gentiment, puis j’accélérai.



« Tu m’étonnes ! Une bite dans son cul, c’est compliqué à expliquer ! »



C’en était trop. Je ne sais pas si elle a fait exprès de choisir ces termes-là, mais j’ai commencé à m’activer sérieusement pour lui faire payer son affront. « Oui, je suis difficile à satisfaire, mais je vais te faire jouir par un endroit que tu ne soupçonnais pas. »


Je pris un petit pot incurvé qui traînait sur le bureau. C’est un truc qui habituellement sert à mettre des stylos, mais il avait une forme particulière, un peu arrondie à sa base. Je le vidai et m’en servis comme godemiché d’appoint. Je le lui rentrai dans la chatte. Elle mit sa main devant sa bouche et se la mordit. Elle avait ses deux orifices occupés. Je passai alors ma main sous son ventre et je me mis à caresser son clitoris.

La manœuvre étant un peu compliqué, j’ai pu me retenir ainsi quelques minutes. Mon but était qu’elle me supplie de la faire jouir.



Elle raccrocha précipitamment. Je la pris par ses cheveux lisses et lui tirai légèrement la tête en arrière.



J’y suis allé beaucoup plus fort. À force de la caresser, je sentis son corps trembler. Le petit pot sortit de sa chatte et tomba sur le sol, et elle cria enfin. D’abord doucement, puis cela s’accéléra. Au moment de sa jouissance, ses jambes tremblèrent et elle s’affala, le buste en avant sur le bureau. Même écrasés contre le bois, ses seins débordaient largement de son buste.

Ma bite brûlait depuis tout ce temps, et lorsque j’éjaculai, je sentis mon gland s’embraser.


En sueur, je m’affalai également sur elle. Je lui mordis la nuque, et elle me caressa le cul avec une main libre, comme si elle voulait que je continue un peu. En regardant le sol, je vis qu’elle l’avait arrosé de sa cyprine. Je me suis dit qu’elle était plutôt contente !


Après plusieurs années à m’emmerder dans mon travail, je commençais enfin à en profiter.


Mais mes ennuis ne faisaient que commencer…