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n° 17064Fiche technique38579 caractères38579
Temps de lecture estimé : 23 mn
13/10/15
Résumé:  Il adore la varappe et exerce son art dans des travaux de réhabilitation sur des façades d'immeubles de grande hauteur. Et un jour il voit...
Critères:  fh fhh fplusag cocus amour fellation pénétratio sandwich confession
Auteur : Roby  (Je suis un adepte du Candaulisme.)      
Une passion, une faiblesse

Avoir la chance de joindre l’utile à l’agréable est assez rare. Moi je le fais. J’adore l’escalade, la varappe, et mon métier me permet de pratiquer ma passion. Combien d’immeubles, de bâtiments ne sont pas ou ne sont pas assez équipés pour permettre d’intervenir sur leurs façades ! Se balancer au bout d’une corde est un plaisir que beaucoup fuiraient, mais moi j’adore.


Actuellement je travaille sur un ensemble d’immeubles d’habitation afin de laver, nettoyer, rénover certaines fenêtres inaccessibles par les occupants. Et comme il fait une chaleur de chien avec un soleil de plomb nous commençons très tôt, juste au lever du soleil et encore en choisissant la façade qui n’est pas à l’Est. Nous compensons la course du soleil par notre agilité et la possibilité de changer facilement d’orientation.


Ce matin, je dois être au vingtième étage et il fait à peine jour. La pièce de l’autre côté de la baie vitrée est encore dans le noir. Cela facilite mon travail car je peux bien voir les défauts, fissures et dégâts divers.


Et puis une lampe s’éclaire. Un homme entre. Il est à poil. La plupart du temps les occupants ne lisent pas les annonces placardées dans l’entrée et dans les ascenseurs prévenant de notre présence potentielle. Ce n’est pas du genre à défiler comme mannequin. Plutôt du genre petit, gros avec du ventre et des poils qui doivent lui servir de couverture en hiver. Il ne me voit pas et s’installe sur un canapé.


Quelques secondes plus tard une femme arrive avec un grand plateau qu’elle pose sur la table basse en face du canapé. Elle aussi est à poil. Elle aussi ne me voit pas, mais instinctivement je me balance un peu pour disparaître de la fenêtre. Pourtant je ne peux m’empêcher de la détailler. Elle a bien la quarantaine, mais ce que je peux en voir me montre une femme pulpeuse avec deux beaux seins qui pendent lorsqu’elle se penche et reviennent presque à l’horizontale lorsqu’elle s’installe à côté de son mari. Il me la cache mais pourtant je garde le souvenir d’une peau laiteuse et de hanches généreuses.


Qu’est ce que je fais ? Je passe à la fenêtre suivante et reviendrai plus tard. Mais je risque de l’oublier. Je vais appeler mon collègue pour qu’il me donne du mou lorsque la scène de petit déjeuner change. L’homme se lève et fait un mouvement que je ne comprends pas sur le moment. Il a attrapé un pot de ce qui semble être de la confiture, non du miel avec cette couleur jaune d’or si caractéristique, et s’installant face à sa femme, il trempe son sexe dedans.


La femme rigole mais aussi se précipite pour glisser une serviette sous le pot, et sous cette tige molle dont l’extrémité laisse couler de gros filets de ce sirop épais mais liquide. Le pot est déjà sur la table que l’homme attire sa compagne qui n’a d’autre choix de venir lécher la verge pour la nettoyer. Tous deux rient de cette plaisanterie mais le début de circulation dans les rues m’empêche de les entendre. Suit un long moment où la langue déguste la pâte épaisse et sûrement écœurante. Bien sûr, cette caresse produit son effet et la verge molle se transforme en mandrin court, terriblement veiné et large, tronc énorme émergeant du sous-bois très garni de la toison pubienne. Elle a la bouche déformée en essayant de gober l’engin. Mais cela n’altère pas sa bonne humeur. À chaque fois que sa bouche est libérée du monstre, elle regarde vers son mari et lui parle.


Lui n’y va pas par quatre chemins. Il la soulève littéralement du canapé, la tourne et la fait s’installer à quatre pattes dessus. Un instant, j’ai une vision magnifique des fesses et des cuisses blanches dans le creux desquelles se tapit un univers secret juste marqué par un délicat duvet blond.


Le mari se positionne. J’espère que sa femme lui a bien nettoyé la queue de son miel collant car il va l’enfiler avec. Je sais que je ne peux pas entendre, mais mon imagination le fait pour moi. Le "han" que doit pousser le gaillard au moment où il enfile sa femme d’une unique mais puissance saillie résonne dans mon crâne. Il la dissimule de son corps gras et lourd. Si je n’avais vu la femme se préparer et se positionner avec entrain pour la possession, la rudesse de la scène pourrait faire penser à un viol. Un homme de Neandertal qui couvre une délicate Homo Sapiens. La fourrure de la bête sur ce corps blanc et délicat.


Mais nul doute que la femme soit habituée car aucun mouvement de sa part ne montre un refus. Au contraire, la cochonne tortille son cul dès que la queue fait mine de l’abandonner.

L’homme la baise. Sa queue est un piston qui bourre la grotte certainement complice de l’envahisseur. La femme tourne la tête et parle à son baiseur. « Merde, comme j’aimerais pouvoir l’entendre ! » À sa façon de se comporter, c’est évident qu’elle apprécie le traitement. Et ses paroles doivent encourager son mari qui, loin de ralentir, enclenche vitesse après vitesse.


Il paraît infatigable, et pourtant, alors que je commence à avoir des crampes de me maintenir hors équilibre, il accélère encore et je vois bien qu’il va jouir. Les derniers coups sont d’une violence extrême. La femme doit se retenir au dossier pour ne pas être propulsée hors du champ de bataille. La semence doit jaillir et inonder le vagin.

Quelques mouvements encore et l’homme s’effondre sur sa chienne de femme. Au bout d’un moment elle se dégage, et après avoir dit quelques mots va attraper la queue débandante pour la nettoyer de ses lèvres.

Une cochonne. Une salope. La Belle et la Bête, mais la belle sait se hisser au niveau de la bête…


Quelques instants plus tard, tous deux sortent de la pièce. J’imagine qu’ils vont faire un peu de toilette. Enfin je peux me laisser revenir en équilibre et relâcher mes muscles. C’est à ce moment que la femme revient, range les affaires sur le plateau, et alors qu’elle se relève, elle me voit. Je suis certain qu’elle m’a vu, et pourtant, après une infime hésitation, elle sort de la pièce. Ouf !

Je me dépêche de faire ce que j’ai à faire sur cet étage, et c’est avec soulagement que je continue plus bas mon travail.


Onze heures. Paul et moi débauchons. Au bas de l’immeuble, quelqu’un semble attendre. Merde, c’est la femme ! Sans hésiter, elle se dirige vers nous.



Comme je n’ai pas parlé de ce que j’ai vu ce matin à mon collègue, je m’empresse de dire :



Il ne se fait pas prier. Je suis la femme dans l’ascenseur. Elle appuie elle-même à son étage. La montée est silencieuse. Je ne suis pas fier. Peut être que le mari m’attend là-haut pour me faire la leçon. En tout cas, j’espère que cela restera entre nous et qu’ils ne cafteront pas à mon patron. À la porte de son appartement la femme me signifie :



Et en mettant la clé dans la serrure, elle ajoute :



Cette précision me rassure. Au moins je n’aurai pas à subir le mari.

Sans bruit elle me guide vers la cuisine. J’imagine que c’est la pièce la plus éloignée de la chambre.



Pourquoi nier ?



Je me pense en mon for intérieur que la position délicate, c’était tout à l’heure. Mais elle continue :



Mais de quoi elle parle ?



La lumière se fait dans mon esprit. Tout à l’heure, ce n’était pas son mari. Bien sûr que non, il travaillait. Donc elle couchait avec son amant. C’est son amant que j’ai vu.



Lui dire, mais je m’en fous, moi, qu’elle couche avec un autre. Si elle ne m’avait pas parlé, je ne me serais même pas posé la question. Le couple aurait juste été un couple marié qui baise dans son salon, et c’est tout.

Mais comme je ne réponds pas, elle insiste :



Et soudain, ses yeux brillent. Elle poursuit :



Elle s’approche de moi. Elle me pousse doucement, et je me retrouve contre la table. Déjà je sens ses mains qui s’attaquent à mon short. Elle le tire très vite. Le slip suit. Me voilà à poil devant elle. Sans parler, elle se baisse. Dès que sa main touche ma verge, je tressaille et mon sexe réagit. C’est dingue, mais je vais me faire branler par une femme afin que je taise son infidélité dont je me fous royalement.



Bien sûr, chaque caresse la fait grandir et gonfler.



La salope me suce. Je suis dans une cuisine, une femme me pompe alors que son mari dort à quelques mètres. Si au début j’ai des scrupules de l’avoir laissée faire, bien vite ils s’envolent. Ils s’envolent lorsque je vois – et surtout je sens – la façon dont la cochonne agenouillée devant moi me suce, me lèche, m’aspire, me gobe les couilles et le reste. Ce n’est pas une punition qu’elle s’inflige. Oh non ! La salope aime cela. Elle aime tirer des filets de salive qui lui coulent sur le menton. Elle aime faire ramper ses lèvres sur ma queue qui semble ne plus vouloir s’arrêter de grandir. Je sens combien elle est frustrée de ne pas pouvoir me gober entièrement, je suis trop long. Elle aime pourtant faire jouer mon gland contre ses joues.


De toute façon, tout son vice est dans son regard. Ses yeux brillent et transpirent le stupre. C’est ma première quadra. Mes copines sont plus jeunes et, si elles aiment bien baiser, aucune ne sait sucer si bien, et surtout avec autant de gourmandise. Ma queue n’est pas imbibée de miel mais elle me lèche.


Ce qu’elle n’arrive pas à gober, elle le branle ; et alors qu’elle se retire pour reprendre son souffle, je crache ma purée sans avertissement. Le premier jet lui éclabousse le visage, mais la salope a le reflexe de guider les suivants entre ses lèvres. Et c’est au chaud que je déverse ma semence.

Cela ne la dégoûte pas de me boire, et même j’ai l’impression qu’elle apprécie.

Quelle pute ! Quelle salope ! Faire cela à quelque pas de son mari afin qu’il ne sache pas qu’elle a un amant.



La femme est autant surprise que moi. Son mari est juste à la porte de la cuisine et vient de parler. Oh là là, quelle merde !



C’est tout ce qu’elle arrive à dire alors qu’elle découvre son mari et se relève.



Là, je trouve qu’elle s’enfonce. Il n’est pas aveugle. De mon côté, je remets mon slip et mon short. J’hésite. Je voudrais me sauver mais l’homme bloque la sortie. Et devant sa carrure, je ne chercherai pas la bagarre. Il est en caleçon avec rien d’autre, et taillé comme une armoire à glace. Il n’a pas un cheveu sur le caillou, et d’ailleurs pas un poil sur le corps. Je ne peux m’empêcher de le comparer à l’amant que j’ai vu, Arnaud si j’ai bien entendu.

Mais la femme réalise.



Le "aussi" est lourd de non-dits. Le "aussi" avoue qu’Arnaud la fait jouir. Séverine se rend compte de son indélicatesse, elle essaie de se rattraper.



Ce que j’ai vu ce matin a peut-être commencé comme une plaisanterie, mais la suite, si ce n’est pas du sexe – et encore du très hot – alors je me fais moine.



L’homme se tourne vers moi. Il continue :



La femme se rend compte que du sperme est encore sur elle. Elle attrape un torchon et s’essuie succinctement.



Bien sûr, elle ne connaît pas mon nom. « Régis » je dis.



Elle tressaillit sous l’injure mais ne pipe mot. Elle se lance juste dans une explication un peu brouillonne de ma présence. L’homme réagit :



J’ose un « Oui » timide.



Un nouveau « Oui » et j’essaie de me sauver.



Voilà comment je me retrouve à l’air libre, heureux de m’être sauvé mais encore secoué de la fellation magistrale.

Quelle femme ! Quel mari !


C’est deux jours plus tard, en partant du boulot avec Paul, que je remarque le mari, Pascal, qui manifestement m’attend. Comme il ne semble pas en colère et qu’il me fait un signe de la main avec un sourire, m’encourageant à venir le rejoindre, je m’arrange pour laisser mon collègue partir sans moi.



Quelques minutes plus tard, attablés devant deux demis, il parle.



Quelle question ! Évidemment que sa femme, je me la ferais bien. Moi, je sais déjà comment elle suce, et j’ai bien vu comment elle se comportait avec son amant.



Et il m’explique. Au bout du deuxième demi, nous sommes tombés d’accord. Moi, de toute façon, je n’y vois que des avantages. Pour le reste, cela le regarde.


Vingt heures. Vendredi soir. Je sonne à la porte du couple. Je me suis mis sur mon 31, chemise et pantalon repassés. Je sonne.



Il faut quelques secondes pour qu’elle me remette. Je vois l’œilleton s’assombrir. Elle doit regarder.



La porte s’ouvre. Elle me découvre, un bouquet de fleurs dans une main, l’autre encombrée de paquets.



J’entre. Elle réalise que je suis presque élégant. La dernière fois j’étais en short.



Elle me fait une bise chaste.



Elle va partir. Je demande :



Elle me laisse. Je m’installe au salon, déballe mes paquets sur la table basse, débouche la bouteille de champagne, et comme j’ai même apporté de quoi écouter de la musique, lance ce qui ne peut que compléter cette ambiance que j’espère torride.


Séverine revient. Je la découvre : ce n’est plus la même femme. Un coup de peigne, un peu de blush, du rose sur les lèvres, et surtout cette robe noire qui la moule délicieusement. Des bas. Oui, des bas. En demandant un porte-jarretelles, je n’avais pas vraiment réalisé ce que cela impliquait : des jambes galbées de soie noire.


Elle est heureuse de son petit effet. Les minutes qui suivent nous voient minauder comme deux ados. La bouteille est vite éclusée. Les petits fours à peine entamés. Chacun sait comment cela va finir, mais j’ai comme mission de prendre mon temps.

Dès la première danse, je sais que je ne pourrai pas la retenir longtemps. C’est une femme en chaleur qui se moule contre moi. En quelques secondes, je suis en pleine érection. Nos baisers sont aussitôt des brûlots. Je dois la retenir pour qu’elle n’arrache pas mes vêtements. Moi, je veux faire durer le plaisir et goûter une progression dans l’érotisme.


J’aime escalader une paroi, mais ce n’est rien comparé au bruissement de la fermeture Éclair que je tire vers le bas et la découverte de cette peau blanche qui n’est plus protégée que par une lingerie noire, tout en dentelle, tout en transparence. Le porte-jarretelles a plus de la guêpière que du simple objet de mon fantasme. En détacher les bas et les faire rouler sur la cuisse est une promesse. Le dégrafer est un éblouissement.

Le soutien-gorge, un écrin qui libère cette poitrine si généreuse, entrevue un certain matin. Et que dire de la culotte : deux triangles noirs maintenus entre eux par quelques ficelles.


Elle est nue devant moi. Je m’en ressasse. Cette fente m’est offerte. Le duvet blond entrevu est de celui dont on devrait faire des oreillers. Elle ne bouge pas. Pourtant je la sens fébrile. Une chatte en chaleur. Mon pantalon ne peut cacher mon érection, et le regard de Séverine semble rivé sur lui. En deux mouvements je me déshabille. Ma queue respire. Le regard de la femme est une caresse. Je me colle contre elle. Elle gémit de me sentir si fort et se tortille comme une salope.


D’un mouvement, je soulève ce corps généreux et le pose sur la table rectangulaire. Elle s’allonge en écartant les cuisses. Me pencher est inconfortable, aussi je m’agenouille. Sa fente est juste là. Les poils semblent déjà humides. Un doigt me le confirme. Quelle chienne ! Son mari avait raison : elle aime cela.

Son mari. Je sais qu’il est là. Certainement juste dans l’ombre de l’entrée et qui nous regarde par la porte entrouverte. Il m’avait bien conseillé de mettre de la musique pour couvrir son arrivée et laisser l’éclairage du salon afin qu’il puisse bien voir. J’espère pour lui que son idée fonctionne. En tout cas, cela me donne une opportunité exceptionnelle.


Ma langue va aider mon doigt. Ma bouche aspire et enveloppe. La salope gémit, écarte encore plus les cuisses, allant jusqu’à poser ses pieds sur mes épaules. Elle coule, ruisselle. Je lape comme un chiot. En soulevant la tête, je vois qu’elle se caresse la poitrine. C’est beau, troublant, sexuel. Elle ne se refuse rien. Elle est "sexe" et se moque du reste.


En regardant dans cette direction, il me semble voir une ombre parmi l’ombre de la porte. Il est bien là. Mais oui, son visage fait par moments une tache blanche.

Moi, je vais baiser sa femme devant lui. Je me redresse. Ma queue est parfaitement dans l’axe et les jambes de la femme font le grand écart sous la force de mes mains sur ses chevilles.



Rien n’est plus beau à mes oreilles que ce petit cri qui accompagne ma possession. Car je suis entré avec force. Cette chienne veut de la queue, et ma queue est entrée en terrain conquis. Il n’est plus temps de lambiner. Je vais la bourrer, l’enfiler, lui faire oublier la queue à peine dégrossie de son amant alors que la mienne s’enfonce au plus loin, la faisant reculer sous mes efforts. Elle avance sur la table et sa tête pend maintenant dans le vide.

Je m’attendais à trouver une grotte béante, mais je découvre un vagin étroit qui s’adapte parfaitement à ma bite. Si elle n’était pas si mouillée, ma queue souffrirait de la pression.


Il est là. Pendant que je baise sa femme, Pascal s’est mis en pleine lumière, et tout de suite je vois que son plan a marché. Il est nu, muscles saillants, et ce qui pend entre ses jambes n’est pas une tige molle mais un sexe bien gaillard. Ainsi, lui qui souffrait depuis des mois de faiblesses à répétition, abandonnant à d’autres le corps de sa femme qu’il sait incapable d’abstinence, a enfin retrouvé le goût et l’envie. Je trouve touchant et même généreux de ne pas la priver de son plaisir afin qu’elle ne souffre pas d’une faiblesse dont elle n’était pas responsable.


Mais le remède était justement dans cette générosité. Pendant notre rencontre, il m’avait expliqué que, lors de l’épisode de la cuisine, il était resté un moment sur le pas de la porte, regardant sa femme me pomper et déguster mon foutre. Ce spectacle avait déclenché une érection qu’il avait même sentie se renforcer alors qu’il traitait son épouse de pute et de salope.


Séverine ne l’a pas vu entrer, tout entière concentrée sur son plaisir alors qu’elle se tord les seins et que je la bourre avec ardeur. Chaque seconde, maintenant que le mari est très proche de sa femme et qu’il peut la voir possédée par un autre, son sexe semble grossir. Il est beau, lisse, un gland très prononcé.



Elle l’a vu. La tête penchée en arrière, elle doit avoir une drôle de vision de son mari.



Voilà, elle ne pouvait pas ne pas le remarquer. Étrangement, c’est plus le fait qu’il bande que sa présence qui l’étonne.



Il n’en faut pas plus pour qu’une main aux ongles rouges se tende vers le bâton et s’en empare.



Quel homme résisterait à cette demande ?

Quel homme n’apprécierait pas de voir son sexe avancer dans la gorge proposée ?

Quel homme résisterait à la tentation de se servir de la bouche et de la gorge, dans un alignement parfait, comme d’un fourreau sans fond ?


Bientôt je ne vois plus qu’un mandrin passant entre deux yeux, survolant un nez et disparaissant entre les lèvres roses. Même les couilles semblent vivantes lorsqu’elles écrasent le nez de Séverine.

Le gargouillis est infâme. La salive coule et ruisselle, forçant la femme à fermer les yeux.

Mais putain, que c’est beau ! La femme, salope, cochonne, surtout pute déclarée et encouragée par le mari pour une trique maritale, est un jouet entre nos mains.



Nous nous activons. La pièce est remplie de nos gémissements et des bruits de liquides qui "floquent" avec des chairs qui claquent.



Quelques secondes encore…



Alors je balance ma purée. Un raz-de-marée s’est précipité et a inondé le vagin. Mais ce n’est rien par rapport à ce que Pascal a envoyé. Un moment j’ai bien cru qu’il allait étouffer sa femme par ses flots, et surtout cette queue qu’il ne retirait pas. Pendant un long moment des traînées de foutre se sont jointes à la salive.


Nous avons repris notre souffle. Séverine a voulu essuyer son visage, mais son mari lui a dit :



Elle le questionne sur son retour d’affection. Il lui explique comment il a découvert ce remède. Pour l’instant il décide d’en profiter. Il verra plus tard si ses érections vont revenir naturellement.

On boit. On picore.


Voir Séverine évoluer dans la tenue où notre partie l’a laissée m’inspire. Pascal a raison : rien de plus érotique que ce visage qui garde les traces de la jouissance de son mari. Et que dire de ces coulures sur ses cuisses, de ce foutre dont je l’ai abreuvée !

Merde je bande ! Pascal le voit. Il sourit.



Séverine comprend à demi-mot. Elle se penche sur moi, et déjà ma queue disparaît entre ses lèvres. Je suis déjà dur, et moi aussi la présence d’une troisième personne m’excite.

Je prends sa tête entre mes mains et l’invite à venir me rejoindre. Je suis confortablement installé dans le canapé et elle vient vers moi. La voir se lever, m’enjamber, attraper ma queue avec deux doigts délicats pour la guider dans sa chatte est encore une découverte. Dire que mon gland reconnaît le chemin, dire qu’il retrouve ce qu’il a abandonné un peu plus tôt est un euphémisme. La crème qui enduit les parois de la grotte est de moi. J’ai tapissé, tel l’homme de Cro-Magnon, les parois de la grotte de dessins que tout le monde peut identifier.


Je baigne dans ma crème. Je nage dans le stupre, et sous mes yeux le stupre a laissé des traces sur le visage de la femme qui commence à se baiser sur moi. Cela ne semble pas la déranger que son mari regarde. Cela ne perturbe pas son rythme alors qu’il se lève et s’approche. Il est juste à côté, et tous deux pouvons voir la tige maritale reprendre vie. Pascal adore ce qu’il voit. Voir sa femme se baiser sur une queue autre que la sienne est son Viagra personnel. Je suis heureux par mon action d’éviter que le trou de la Sécu ne se creuse.

C’est d’une complicité totale. Je m’étonne de me sentir si à l’aise avec ce couple que je ne connaissais pas il y a huit jours.


C’est à moi de jouer avec ses tétons. C’est à elle de se caresser le bouton alors que son mari fait le tour. Moi, je vois bien où il veut en venir. Ce serait une première pour moi. Pour eux, je ne sais pas.

Il l’invite à se pencher plus sur moi. Elle est obligée d’abandonner son bouton pour s’appuyer sur ses bras. Pascal disparaît de ma vue, mais je sens ce qu’il fait. Il lèche le cul de sa femme, et je crois aussi y abandonne des flots de salive dont une partie coule sur mes couilles.

Le voici qui réapparaît. Pas de doute, il va le faire.



Bien sûr, je m’exécute, et mes mains plaquées sur les fesses généreuses doivent offrir une vision d’enfer au mari.



Pascal ne fait pas que parler. J’ai senti Séverine se crisper avant même que je sente que quelque chose force l’anus.



L’engin avance dans le cul. Je le sens contre ma tige.



C’est à la fois dur et bon de le sentir progresser.



Encore une poussée.



Cette fois-ci, le coup est si puissant que la queue doit être en butée. D’ailleurs il me semble sentir ses couilles sur les miennes.



Séverine semble hésiter, mais déjà son mari la travaille sans ménagement et je vois sur son visage les traces qui marquent sa douleur ou son plaisir.



Ce n’est d’abord qu’un soupir informe qui sort de ses lèvres, mais petit à petit, à mesure que la queue lui défonce le cul, le soupir se transforme en gémissements, puis en cris, et enfin, comme une libération :



C’est comme un écho. Le couple est en plein délire. Séverine avance et recule sous les assauts de son mari, et ce mouvement la baise en même temps sur ma queue.

C’est bon.

Séverine peut-elle oublier que c’est ma queue qui la possède ? Non, je vois bien que de temps en temps elle me regarde, et ses yeux rient alors qu’elle répète les mots les plus grossiers, les expressions les plus ordurières. Maintenant, elle n’a même plus besoin de son mari pour crier son plaisir. Elle a compris que ce jeu est un "Viagra" extraordinaire et que le bâton de chair, si dur, si gros, n’est que le résultat de leur délire.

Moi aussi j’aime bien l’entendre ; et si au début j’avais l’impression qu’elle se forçait un peu, maintenant je vois que ce n’est plus le cas.



D’ailleurs ce n’est plus Pascal qui s’active, mais elle qui s’enfile sur nous.


Ah, voir cette femme se tortiller, avancer, reculer pour chercher le plaisir…

Peut-on jouir par le cul ? Voilà une question que je ne me suis jamais posée. Je regarderai plus tard sur le web. Ou, pourquoi ne pas essayer ? En attendant, quelle que soit la façon, celle qui me domine semble littéralement possédée.



Je comprends que Pascal jouit. C’en est trop pour moi : je me laisse aller et jouis aussi.


Longtemps Séverine continue de se baiser sur nous alors que petit à petit nos queues faiblissent. Son mari n’a peut être pas tort ; après tout, il la connaît bien : sa femme est quasiment une nympho.

Oh, que j’aimerais rencontrer une fille de mon âge comme elle…


Encore une fois Pascal refuse que Séverine se nettoie.



Un long silence. Un verre.