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n° 17070Fiche technique11109 caractères11109
Temps de lecture estimé : 7 mn
14/10/15
Résumé:  Découverte du candaulisme.
Critères:  fhh extracon cocus vacances boitenuit noculotte init
Auteur : Soireefol      
Découverte

Nous allions nous coucher, après une bonne soirée dans un restaurant dansant. Pierre m’embrassa dans la chambre et sa main partit à la découverte de ma petite culotte…



J’hésitai un instant avant de lui avouer ce qu’il n’avait pas vu.



Mon mari me regarda, surpris.



Mon mari m’agrippa le cou, m’embrassa furieusement et murmura :



Pendant qu’il massait mes seins et tirait sur mes tétons, je lui avouai que l’homme m’avait proposé de le suivre aux toilettes et que j’avais refusé. Fou d’excitation, mon mari me renversa sur le lit, arracha à moitié ma petite culotte et me baisa sauvagement, brutalement, en me couvrant d’insultes. Cette violence et ces mots inhabituels provoquèrent en moi une première vague de plaisir ; son sexe dur comme jamais ravageait mon minou en nage, et un orgasme fulgurant me terrassa ! Sans en tenir compte, Pierre m’ordonna de le sucer. Son sexe prit possession de ma bouche. Parfumé de mon jus, il heurtait le fond de ma gorge, et avec un cri Pierre cracha son sperme dans ma bouche.


Nous avons repris nos esprits une fois sous la couette ; mon mari m’a câlinée, murmurant qu’il m’aimait, que ça l’excitait que sa chérie fasse bander d’autres hommes, que j’étais sa petite traînée infidèle…

Nous nous sommes endormis rapidement.


Dans les jours qui ont suivi, nous avons souvent reparlé de la soirée, des épouses infidèles qui suivent des inconnus aux toilettes… Nous fantasmions en faisant l’amour, imaginant des scénarios de plus en plus précis où un homme abusait de moi sous ses yeux ; j’étais traitée comme une chienne, et lui en mari cocu.


Un samedi où nous étions seuls, Pierre m’avait fait brièvement l’amour et giclé rapidement dans ma chatte ; j’avais remis ma petite culotte, frustrée, sans prendre de douche. Je le laissai devant la télé et sortis faire une course. À mon retour, il était toujours avachi devant l’écran.



Mon mari me regarda avec un sourire incrédule.



Surpris, il n’osa rien dire ; j’en profitai pour enfoncer le clou.



Je m’approchai en soulevant ma jupe.



Mon chéri jouait le jeu.



La braguette prête à exploser, ses lèvres et sa langue chaude fouillèrent et burent mon intimité, nettoyant le sperme qu’il avait lui-même laissé. Le minou en feu, je sortis son sexe et chevauchai longuement mon petit cocu aux anges.

Le lendemain fut jour de punition pour moi : fesses rouges, mots crus et pénétrations sauvages pour la putain cocufieuse que j’étais !


Les mois qui ont suivi ont renforcé notre amour, notre complicité, et agréablement pimenté notre vie sexuelle ; mais Pierre ne débandait pas – si j’ose dire – sur l’idée de le faire en vrai.


L’été arrivant, mon chéri m’offrait des tenues de plus en plus courtes, sexy et provocantes. En voiture, à la terrasse des cafés, lors de nos balades sans enfants, dans les soirées, je devais jouer à l’épouse BCBG, un brin perverse ou vicieuse, qui innocemment montrait ses formes, ses bas et ses dessous. J’avoue que le regard concupiscent des hommes sur moi enflammait souvent mon bas-ventre. Une petite robe courte et moulante m’attira aussi des remarques désobligeantes de femmes qui, à vrai dire, ne me déplurent pas tant que cela et ont largement encouragé mon mari à me traiter de petite salope !


Le début des vacances – les enfants chez les grands-parents – favorisa nos jeux.


Un soir, en rentrant du travail, mon mari me montra le site d’un club libertin non loin de chez nous et me décida pour une visite découverte le vendredi suivant.

Pierre a préparé ma tenue : une belle tunique rouge dos nu et bras nus nouée sur le cou par deux cordons croisés, courte et légèrement fendue sur les hanches. Des spartiates et un mini-string complétaient l’ensemble.


Vers 22 heures nous avons pénétré dans le club : lumières tamisées, canapés et fauteuils cosy, piste de danse. Nous nous sommes détendus en buvant un verre avant de danser. Il y avait assez peu de femmes, quelques couples comme nous un peu perdus, et pas mal de mâles en chasse. L’un d’entre eux nous proposa de partager une coupe avec lui. La quarantaine grisonnante (j’ai 35ans), costume de lin clair, sympathique et dégageant une forte sensualité ; nous avons papoté en sirotant notre champagne. Les bulles aidant, la conversation dérapa sur les désirs et les envies de chacun. Durant les « aveux » de mon mari, les regards d’Alexandre devenaient de plus en plus appuyés ; je pouvais sentir la brûlure de ses yeux sur tout mon corps.



J’ai eu à peine le temps de rougir que Pierre prenait ma main et la tendait à Alexandre après avoir posé un bisou dessus.


Le bas de l’escalier était sombre ; des bruits feutrés brisaient légèrement le silence. Alexandre me guida jusqu’à une petite pièce dans laquelle, grâce à un miroir, nous aperçûmes une femme agenouillée qui suçait deux hommes tandis qu’un troisième léchait ses jolie fesses offertes. Alexandre passa derrière moi, me prit par la taille il me blottit dans ses bras, tout en profitant pour découvrir mon corps. Ses mains effleuraient mes seins, mon ventre, mes fesses et mes cuisses.



Je le laissai fouiller mon corps sans répondre ; ses doigts s insinuèrent dans mon string humide. Un groupe d’hommes nous surprit, ce qui brisa le charme. Je demandai à Alexandre de remonter au bar.

Je reprenais mes esprits sur le canapé, entourée de mes deux hommes, quand il fit une nouvelle proposition :



Je me mordis, priant pour que Pierre refuse, mais il répondit oui avec quelques conseils de douceur.



Il me regarda.



Pierre m’embrassa tendrement et me murmura :



Sans trop réfléchir je fis glisser ma petite culotte, la roulai en boule et la donnai à mon chéri en l’embrassant.



Pierre se leva et me prit la main. Arrivés devant l’escalier, il m’embrassa en regardant Pierre.


Vingt minutes après nous étions de retour ; les yeux de mon chéri brillaient comme jamais. Alexandre brisa le silence :



Il m’embrassa à pleine bouche, serra la main de Pierre et lui tendit une carte.



Quelques instants plus tard nous avons rejoint notre voiture. La tête sur son épaule, je lui murmurai des mots d’amour en lui disant que je lui raconterai tout dans notre lit. Gardant ma robe, je le déshabillai entièrement. Son sexe était droit de désir. Je le fis s’allonger sur le lit et commençai à masser son sexe et ses boules gonflées.



Le sexe de Pierre vibrait sous mes doigts ; il écoutait en gémissant. Je l’embrassai en lui disant :



J’ai sucé Pierre, puis je me suis mise à quatre pattes sur le lit et je glissai un doigt dans mes fesses.



La nuit fut longue, et mon cocu chéri ravagea plusieurs fois tous mes orifices d’infidèle.


De retour de vacance, Pierre a retrouvé « miraculeusement » la carte de visite d’Alexandre et lui a passé un petit coup de fil…


Ceci est une autre histoire, que nous pourrons vous raconter si vous le souhaitez.